i'*eüsées diverses
n
1
J.FIËRS-LOUWYCK
HENRI GHYStL
ün Te Dettmhistorique
Ccrcle d'étudesci dc
conférences
EXCELSIOR
La «Chronique» cléricale
Acles 'Officieis
Nos autres monuments
Croix Bouge
Au Cimetière
Chronique reïigieuse
Leonard de Vinei
La vie est un degré de i'óahelle des
mondes, que nous devons franchit- pour
arriver ailleurs.
Hu welijksafkon digmgen
Bibliographic
V
i
2^. k4? 2® 2# 5#
V-
Les
r h ua i i s n u vl'acablaiont,
Les piIuit s Link
lont guéri.
POISSONIS ERIE
me Longue du Marais, a° 20
/YPRES
Poissons mis et ordinaire^
B(litres Ir8 aualit?
PtINTURE DECORATIVE
Déeoration. du deruier genre
/.égère* et solides, a l'huile, k la colle
a ia Fresqut pour tout le batirr ot
FAUX BOIS et marbres tres soignes
Decoration spéciale pour Salons eo
tons styles.
Paysages légers et humorisUques
pour Verandas. Sabes a aot-er
de tous travaui de Peiature.
nous l'avons constaté et est produite par les passant et lui dérober la vue de facades en-
transferts annuels auprès de la grille du j tières, voire des Halles et de St-Marlin
choeur. j Ainsi le veut l'incommensurable vanité fémi-
Pour y remédier, il suffit de serrer les nine, habilement exploitée par les lanceurs
montants au moyen de serre-joints. Ce de modes parisiens.
travail peut être exécuté sur place par j Inutile d'attendre du bon sens flamand
n'importe quel menuisier Yprois, ce qui j une co.irageuse révolte contre la tyrannic de
d'ailleurs a déja été fait, et il serait inutile
et même dangereux d'avoir recours a des j
restaurateurs de grande ville. Nous ne savons j
que trop ce que restaurer veut dire. On
nous rendrait un meuble flambant neuf a la I
polychromie criarde, doni la valeur archéo» i
logique se trouverait diminuée de moitié. j
la mode de Paris
le coeur a ses raisons
Faut-il rappeler la désastteuse dorure que le
clergé de St. Martin crut bon d'appliquer a
la croix de Thérouanne lors de la procession
jubilaire de 1883
Le Te Deum chanté, dimanche dernier,
dans toutes les églises de Belgique a été gaté,
en maint endroit, par la pitoyable exécution.
De l'avis général,cette hymne admirable dont
la musique, bien connue des fidèles, est si
heureusemeDt appropriée aux paroles, cette
hymne, disons nous, supporte mal les attein-
tes portées sa physionomie traditionnelle.
L'innovation n'est pas toujours le progrès.
En l'espèce, le changement était d'autant
plus malheureux qu'il empêchait la foule
pieuse d'ajouter, par sa voix, la majesté du
nombre aux autres éléments de grandeur qui
caractérisent ce chant.
Malgré tout, pour qui sait se dégager des
impressions résultant des vaines matérialités,
l'hymne gardait toute son intense beauté et
empruntait a la circonstance qui la motivait
un puissant accroisscment de solennité.
Ce n'était plus seulement le cantique
d'actioDS de graces renouvelé chaque année
pour reconnaitre les bienfaits que le Ciel
dispense a la patrie c'était en outre comme
Pholocauste solennel de tout un peuple
offrant au Créateur les prémices d'un monde
nouveau et appelant les bénédictions célestes
sur l'oeuvre immense de civilisation qu'il
allait entreprendre, a la gloire du Ré-
dempteur.
C'est aussi l'hommage a la Co-Rédemptri-
ce, a l'Eve nouvelle qui r/généra, avec son
divin Fils, le genre humain tout entier; a
cette Mère admirable qui, a l'instar des meil-
leures mères et mieux qu'elles, aime d'un j
égal amour tous ses enfants et, partant, aime I
a gratifier de caresses et de faveurs compen-
satrices les petits et les déshérités.
Et nous.catboliques beiges, nous en paiti- 1
culierles protégés de la Vierge de Tuine,
pouvions-nous mieux lui témoigner notre
reconnaissance qu en nous faisant les exécu-
teurs de ses désirs auprès des peuples dés- f
hérités du continent mystérieux en promet- j
tantde faire partager a des millions d ames
encore paiennes lts bienfaits de la Rédemp- j
tion
Et tandisqre s'élevait sous les voütes du
temple l'hymne liturgique de la reccnnais- j
sance tandisque ruisselaient de la bouche
des fidèles les perles oratoires des litanies de
la Vierge, nous ne pouvions nous cléfendre
d un sentiment de patriotiqije fierte'. Nous
songions qu'après avoir conquis une des
premières places parmi les nations les plus
prospères du globe, nous étions maintenant j
appele's a l'honneur d'etre a la tête des
peuples vraiment progressistes et civilisa-
teurs.
Et par une antithése obvie, la douloureuse 1
et suggestive vision de la France a'aujour-
d'hui venait se superposer a la douce image
de notre patrie agrandie Et volontiers nous
eussions entendu suivre le Te Deum du j
chant du psaume qui justifiait nos sentiments S
et nos pensées Nisi Dominus cedificaverit 1
domum, in vanum laboraverunt qui cedifi- j
canteam. f
que la raison ignore
et cette tyrannie-la est douce au coeur de la
femme.
Et de fait, tel un automobile qui pointe a
l'borizon de la route et grandit a vue doeil,
le couvre-chef féminin prend,de jour en jour,
des proportions plus extravagantes et, qui
pis est, plus encombrantes.
Une vitrine de modiste est accaparée toute
entière par deux exemplaires de ces chapeaux
monumentaux Et la province, toujours un
peu timide, est naturellement en retard sur
la grar de ville. D'ici peu, les chapeaux de
deux mètres et quart de tour auront envahi
nos rues pour y projeter leur gigantesque
écran sur les seuls attraits sérieux de la
voirie.
II fallait d'ailleurs s'attendre a cette ven
geance féminine. Des messieurs peu galants
s'étaient offusqués, au théatre, de voir les
dames leur dérobcr la vue de la scène, iüt-ce
al aide d'un bouquet defleurs ou d'un noble
panache. Dès lors notre affaire était claire.
Ce n'est plus la scène d'une salie de spectacle
qu'on se b^rnera a nous masquer, c'est tout
le décor architectural de nos rues et tout le
paysage de nos campagnes 1
Heureusement, les modes ne durent
guère...
Souvent femme vaiie
Bien fol est qui s'y fie.
PROGRAMME
i" SÉRIE
Conférences d'Apologéliqupour hommes
1 A\ La liberté de l'ame humaine par le R.
P' J.-B. PAQUET, S. J., directeur du cercle
d'apologéiique de Bruxelles,
i) Mardi ij Novembre a 8 i'\2 h.
f La liberté et le déterminisme.
2Mardi 24 Novembrea S ij2 h.
La liberté et i'anthropologie crimineile.
3) Mardi 1 Décembre, a 8 ij2 h.
La liberté et la Providence.
BI Les voyages d: Saint Paul, par M.
l'abbé A. CAMERLYNCK,docteur en théologie
de 1 Université de Louvain.professeur d'Ecri-
ture Sainte au Grand Séminaire de Bruges.
le Mardi 22 Décembre, a 81/2 h.
2" SÉRIE
Conférences pour dames et messieurs
1. L'Art Grec avec projections lumineuses
par M. labbé R. LEMAIRE, docteur en
C'est un excellent travail dont il convient
de féiiciter l'Administratien Communale.
S'il y a aussi progrès h 1 intérieur du
cimetière pour la prop'eté des chemius et la
dispositiou des tombereaux, il y a pourtant
encore beaucoup a f<?ire
Tout d'abord il l'audrait plus de petits
chemics entrecoupés pour permettre a
c'nacun de s approcher de la tombe qui lui
est chère sans devoir sauter ou marcher
sur des tombes voisines. C'est ia un incon-
vénient auquel on a pu remédier daus
nombre de cimetières de nos villes voisines;
même celui de Poperinghe pourrait set'vir
de modèle au notre.
L'inconvénient existe surtout, pensons»
uous, paree qu'on enterre les enfants pêle-
mêle eDtre les grandes personnes. Si en
aménageait un endroit spécial pour ies
enfants, on dégagerait par le fait même
nombre de petites alléesquiétant empierróes
rendraient notre cimetière plus propre et
donneraieat uu accès facile a toutes les
tombes.
D'autre part il faudrait encore mieux
soigner les plantations et arracher plus
souvent les mauvaises herbes qui puusseut
sur les mottes de terre couvrant les cercueils.
Cela donne un aspect négligé et contribue
a augmenter l'hutnidité.
Nous soumettons ces considérations a
1'autorité communale toujours soucieuse de
d nner satisfaction aux voeux raisonnables
de ses administrés.
On n'est jamais frahi que par les siens.
La Chronique vieut d'en faire la dou
loureuse experience. Elle avait expi imé soa
regret au sujet de ,1a mentalité cat! olique
hostile a l'école neutre. Et voi'a qu'ua de
ses typos s'avise de lui faire dire qu'elle re-
grettait la nèutralité scolai're
Comma bi-n l'oii psuse, la rectification
suivre le lende aain.
Chronique est reitéë
un siècle
tot, il va commencer une égiise spacieuse,
indispensable au centre important de Hindu.
11 aura, sous peu, 4 lermes-chapelles et une
nouvelle station au point temiinus de iigne,
a Congolo, a alio kilometres de Kindu.
Les populations qu'il rencontre sont b'en
disposées malheureusemcnt, aux environs
de Congolo, el les sont décimées par la mala-
die du sommeil. R. P. Callewaert réclamait
des auxiliaires pour porter les secours de la
religion a ces malheureux. li uitend aussi de
ja générosité de la Belgique les ressources
nécessaires a cette loiniaine mission. Les
partants seront pendant deux mois en voy- j
age Congolo est a plus de 4,000 kilometres I
de la cóte
Par anêté roya! du 15 October 1908 la
reconnaissance légale est accordée a ia socié-
fó mutualiste d'assurauce contie la morfahlé
dubétail DDi-auouterscheGrensgeit.étabfie
a Dranoutre.
Par arrêté royal du 29 Octobre 1908, la
médaille civique da Tc classe est décernée a
M. 11. Sierens messager al administration
des hospices civils cl'Ypres en récompenso
des services reudus dans le cours d'une
carrière de plu3 de treute cinq aunérs.
U11 arrêté royal du 19 Octobre 190S ap-
prouve le nouveau reglement organique du
corps de sapeurs-pompiers communaux ar-
més de Comines.
Huwelijken
Muys, Ludovic, landwerker wedr. Van En-
gelandt. Eugeni -, MorMSylvte, naaistar bei-
dan te Yper.
Verschoore tlphonse, aardewerker Davos
Palmyra k- ntonwerkster, baideu te Yper.
Couvreur Emile, landwerker to Langemarck
Waterbley Lueie, hovenierster, te Yper.
Sterfgevallen
Leterme Arthur4i jaar paardengeleider wedr.
Grimmonprez Emma ecütgt. Vaugilluwe Emma'
Meenensteenwfg.
Viitu Maria, 4 maand .1, Tempelstraat,
bartier Maria 4 j. Zonnebekesteeuweg.
Legrand Abc 0 maanden .PadJepoeistraat.
Buftüé, Pr idence, 31 j. z.b eclitgta Nunne
Henri, Poporin ihest
Vanselio vbeke, Maria, 71 j. z.b. eciitgte Hoor-
r.aert Char les Popei ingtiest.
Vei eeeke Kemi, 5j. Zillebekestr.
24 heares
j n ;i pas manque c
I N'empêche que ia
jj cléricale pendant
j po ar eile 1
i Eé as ce ne sont pas ses typos seulemeut
1 qui veuleut ia faire passer pour cléiicale
ce sont encore la plupart do ses amis, les
j liléraux. Pense? done Se lédicteurs, en
i fiers fibres penseurs, sont a deux genoux
j devant le dog me macouaique qui procaine
l antagonisme essentiel et irréductible de la
1 fci et de la science. Dès iors, vive I'instruc-
j tion obligatoare a tout prix, düt on admet.tre
les écolcs fibres au partage de la maane
budgétaire.
j La masse des libéraux n'éntend pas par
J cette orefile. Périsse Ja science pourvu que
leurs écoles soient seules a émarger au
trésor commun et que la Chronique
1 soit anathème
Quant a nous qui ne croirons au clérica-
lisme sincère de la Chronique que le jour
oü elle n'aura plus un seul curé a se metire
scus la dent, nous nous méfions de ses
Disons le bien haüt personne n'aura
injustement ni inutilement sou ff er t. La
mort est une restitution. La ioi du monde
maténel, c'est l'équifibre; Ja loi du monde
iioraV, c'e-t l'équitó. Dieu so trouve a la fin
de tout. Ne l'oubiion pas, et enseignons le
a tous il n'y aurait aucune digcité a vivre,
et cela n'en vaudrait pas pa peine, si nous
devions moarir tout entier.
Ce qui allege la souCRance, ce qui sancti-
fie le travail, co qui fait l'homme bon, sage,
patient, bièhveillant, juste, a la foi.3 humble
et grand, digne de la liberté, c'est d'avoir
devant soi la perpétuelle vision du monde
meilleur, rayonuast a ravers les ténèbres
de cette vie.
Victor Hugo
pbilosophie et histoire, professeur d'Art et j avances. C'est un bloc enfariné qui ne nous
d'Histoire a l'Université de Louvain.
2. La Musique et le Sentiment Religieux
II fait toujours bon déambuler a Ypres,
poui qui n'est pas indifférent aux séductions
du beau. Mais le plaisir est surtout sensible
quand le regard peut se soustraire sans trop
de peine aux banalités tyranniques de la
circulation et se mettre tout entier au service
de l'ame.
Nos facades artistiques se dressent alors
sur le trottoir d'en face dans toute leur har
monie et dans toute leur majesté et vous
donnent un moment l'illusion que tout est
beau ici-bas et qu'il fait bon quand même
traverser cette vallée de larmes.
Et si d'aventure vous parcourez quelque
artère pauvre en facades de caractère, il est
rare que vous ne voyiez surgir majestueux,
au bout de la rue, Tun ou l'autre de nos
grands monuments.
Hélas I il est e'erit que rien ne doit durer
en ce bas monde. Voici qu'on nous annonce
pour bientöl et que se profile déja la femme-
sandwich, vrai monument ambulant qui
p'rétend accaparer a lui seul le regard du
avec audition Musicale, par MM. CHARLES
Martens et Joseph Ryelandt, composi
teurs.
3. Allo 1... J ecoute Cummunications in-
terrompues par M. HUBERT HENRAD.
4 Le Comité s'est en outre, assuré le con
cours de M.THOMAS BRAUN, avocat a la
cour d appel de Bruxelles,dont on se rappelle-
rala charmantecauseriesurEmile Verhaeren.
ABONNEMENTS personnels
a la 1 re serie 2,5o frs.
a la 2me serie -~ 3,5o frs.
aux deux séries 5,00 frs.
CARTES D'ENTRÉE pour une confé
rence 1 fr.
Pour la conférence de MM. Cl-I. MARTENS
et J. Ryelandt 2 frs.
Le Comité se réserve en outre, pour cette
dernière conférence, d'établir des places
réservées moyennant paiement d'un supplé
ment de o. 5o fr.
dit rien qui vaille.
Sans doute, si nous étions affiigés d'un
Un sous-comité est en voie de formation
dans notre ville.Des cours seront donnés par
- MM. les docteurs Lagrange et Donck. Les
i personnes qui s'intéressent a cette oeuvie
j humanitaire sont priées ie s'adresser a
M. le docteur Donck, rue du Lombard. Lis
jours et lieures des cours serout décidés
ultérieurement.
Les nombreuses personnes qui ont fait le
j0ur des Morts leur pieux pélerinage au
cinoetière d'Ypres out pu constater que
l'enlrée et le mur de cloture iécemment
acbevés ont beaucoup contribué a l'eml ellis-
sement du champ d9 repos do nos chers
défuuts.
gouvernement magonnique, nousaurionsa
examiner si, pour sauver l'essentiel, il n'y
aurait pas lieu de consentir quelqurs sacri
fices et de souscrire a l'obligafoire en
échange d'une justice distributive que, sans
cela, nous risquerions fort de nous voir
refuser.
Mais a quel titre doncpeut-il être question
de transactions et de compensations lorsque,
tout en étant. majorité et en détenant le
pouvoir depuis 24 ans, nous en sommes
encore toujours a être ti aités en parias dans
un tiers deslocalités du pays.
CommecQins par instaurer la justice
pleine et entière, sans conditio! s. Après,
nous examinerons peut-être si la contrainte
scolaire est une mesure utile ou non.
Depart de missionnaircs pour le Congo.
Jeudi 5 Novembre, se sont embarqués a
Anvers pour la Mission des Pères du Saint
Esprit au Congo deux missionnaircsle
Pcre Conrad qui fut l'élève de S, E. le car
dinal Mercier a Louvain, et le frère C. Seyn-
have, né a Emelghem, prés d'Iseghem.
Les pères du St. Esprit qui ont 800 mis
sionnaircs en Afrique et en Ame'rique et une
érole apostolique a Lierre, ont fondé l'an
dernier une mission au Congo beige, a
Kindu. lis s'occupent la des 6,000 travail-
leurs du chemin de (er des Grands Lacs.
Parmi ces ouvi iers ils ont trouvé 200 Chre
tiens et 240 catéchumèncs qu'ils ont baptise's
a Noël. Depuis, ils ont inscrit 2000 nouveaux
catéchumènes qui leur donnent toute satis
faction.
Le supérieur de la mission, It R. P. Cal
lewaert, origin-fire de Marcke prés de Cour-
trai, s'est mis, malgré ses 23 années de se'jour
en Afrique, a faire des briques, a construire
une école, une maison d'habitation et bien-
La vie n'est qu'uneTongue perte de ce
qu'on aime, Ou laisse derrière soi unetral-
née de dou eurs.
Idem
Je liens a ce qu'on n'entende sur ma
tomb d'autres paroles que celles par los-
quelles l'Eglise implore pour ses enfants la
miséi'icorde de Dieu; on ne mettra sur mon
cercueil ni f'leurs ni touronnes, je déteste
cette co-'tumo pa'ienne qui cache sous les
fleurs la croix, sigue a la fois de mort et de
résurrëction, de pe'nitence et de saiut. Mon
désir est qu'on n'entende autour do mon
cercueil d'autre harmonie que i'harmonie
sainte des chants de l'Eglise priant pour le
repos éternel de ses enfaafs.
PnoFr Périn
Comme une journée bien remplie donne
uae joie au sommeil, ainsi une vie bien
employée donne une joie a la mort.
Lamautine
Vous êtes venu au moude pour en sortir,
non pour y rester.
S. Augustin
Après taut d'articles, celui que nous
devons soigner le p'us, c'est Particle de la
mort.
flENfii de Pene, Journaliste
Gustaf Dejonklitere, z.b. en Maria Pbulippaert,
z b. beid n ie Yper.
Florenl Duvivier, mijnwerker gehuisvest te
te Carnières, en Martha Coffyn, waschvrouw ge
huisvest to Yper.
Emile Gauwelier, landbouwer gehuisvest te
Westnieuwkerkeen Maria Ghyselen, herber
gierster gehuisvest te Yper.
BURGERSTAND VAN YPER
Van den 30 tot den 6 november 1908
Geboorten:
Dapauw, Eugónius, Gartonstraat,
oaesen, André. .Vlinneplein,
Gtyfïon.Jose. h, Neêrstraat,
Ma-art e 1 Julia, Buk ^i-rstraat,
Sagon BerthaBruggesteecweg
Beun Gaston, Neêrstraat.
.vlo 1 me MaurilMam-siraat
Moerkorke Afred, öraivkestraat,
Degroote Jules, Kemmelsteenweg
A Mocceau-sur-Sambre (province du Hainaut)
41, rue de la CoHine, habife M. Clément Arthur,
machiniste bien connu dans cette localité: M.
Clément Arthur a souftfirt de rhumatismes arti-
cifiaires dans les bras et les jambes, et il n'a dü
sa guérison qu'a l'interventiou toujours favora
ble de pilules Pink.
I.a maison do M. Clément Arthur
«Je crois bien, disait-il, quo je souffrirais
encore si je n'avais cu la bonno idóe de prendre
eet excellèntmédicament. II y avait, en effet,des
annóes que je loufi'rais f t, i-aturellement, je-ne
suis pas restéa souffrir uno si longue période de
temps sans essayer ptusieurs remêdes peur ne
plus souffrir. Malheureusement, jusqu'au moment
oü j'ai pris les pilules Pink, tous ies remêdes
essayés ótaient reslés sans effet. Mon état géné-
ral est devenu aussi bien meilleur, mon appótit
est de nouveau trés bon et je me sens plus de
forces
Onattribue k tort les doufi urs rhumatismales
au fi oid et a l'üumidité. Qu'ils l'avorisent l'ér-.lo-
ston de la crise rtiumatisrnale, ceia tie fait pas do
doute, mais que ce sou ia l'unique cause, ceci est
une errour. Si le troid était l'unique cause du
rliumatisme, il suffirait de rester au lit bien
chaud pour voir les douleurs disparaitre assez
rapidemerit. Le rhumatisme, ainsi qi.e la gcutte,
la gravelie, le lumbago, la sciatique, outpour
cause ie dépot dans les articulations, la vèssie,
los reins de l'aeide urique. Comment élffaalnet
l'acide urique qui cause ces deuleurs La ré-
pouse se trouve dans cette attestation de guéri
son que nous venons de publier-, prise eritre
miile.
Les pilules Pink sont en vente dans toutes les
pharmacies et au üópöt Pbie Derneville, 66,
Boulevard de Wateiloo, Bruxelles, Fr. 3.5o la
boite Fr. 17 5:- les 6 boites franco.
Dépot a Ypres pharmacie LI BOTTE.
En vente au bureau du Journal
LES CODES
et les Iois spéctales les plus usuelles en
vigueur er» Belgique avec des notes de con
cordance et de jurisprudence utiles a l'inter-
prétation des texies par Jean Servais et M.
Mcchelynck.
Deuxième édition, revue, corrigée et
augmentée. Un vol. de 1 5oo pages,
reliure plein cuir souple 10 francs.
Ge!te édition est TOUT A FAIT AU COU
RANT de la légtslation actuelle. Par un
effort, peut-être sans précédent en librairie,
elle contient toutes les lois et tous les arrête's
publiés depuis un an, jusques ety compris
la nouvelle et importante législa'ion sur la
navigation maritime et fluviale paruc au
Moniteur du 25 SEPTEMBRE 1908.
N, A
Ex-élève Ö9 l'Aa».déiai8 Royale ds Bmxelles
«i-'- - tp- ,:1