Peosées diverses Wm. i Abbaye ou Prévóté tle Sl-Martin a Ypres iVexagérons rien Peuh Qui done voudrait ei core dang le canal k tel point que la navigation en »era bien tót empêchée. M. le bourgmestre. Ces chemins incom- bent a l'Etat beige a qui nous signalerons la chose. M. Sobrj.Je constate k l'article 30, une dépense de 1900 francs pour la ligne du cbemin de fer Ticinal Ypres-Gheluwe, alors que le chiffre porté aux recettes pour cette ligne, n'est pas en proportion. N j aurait il pas moyen d'augmenter ces recettes en de mandant a la société de mieux régler la correspondance de ses trains avec ceux Tenant ^Gheluwe des autres directions. M. le bourgmestre. Je dois faire remarquer que les recettes augmentent progressivement. Nous nous sommes basés, pour I'ingcription du chiffre, sur celui des années antérieures, qui sera certainement dépassé cette année, au point que les recettes et dépeases sequilibreront probablement, mais rien n'empêche de demander une meil- leure correspondance. Police et süretépublique. Le cliiffre est porté de 48.360 francs a 49 010francs, pour permettre la nomination d'un nouvel auxi- liaire de po'ice. Eclairage publique. Le nombre des lanternes augmentant touiours, on vote un crédit de 17.500 francs. Voirie et hygiëne publique. Crédit de- mandé: 31 850 francs. M. B rnquet demande la mis9 en état du ehemin est et sul, k la plaine d'Amour. M. le bourgmestre. explique que ce chemin n'est pas, a proprement parler, un cbe nin public de grande utilité: l'étabüssement d'une ehaussée coüterait environ 70.000 fr. IIJ a fort peu de maisons ayant leur entrée principale sur ce chemin,quant au charriage, il peut facilement aefaire paria rue d'Elver- dinghe, qui eat parallèle et a peu de distan ce. M. Bouquet. II ne faut pas une chaus sée, mais une amélioration du chemin existant. M. Fiers. Un trottoir en cendrée. M. Fraevs. Ce n'est pas ce que les riverains dé«irent;or,un trottoir en eend, ées coüterait aussi 5.000 francs. A l'article 49, M. Bouquet signale l'état défectueux du service de nettoyage des rues par les éboueurs de la ville. M. le bourgmestre. La question est a l'étude et peut-être devrons-nous recourir a l'adjudication publique. Nous tiendrons aussi compte de la situation faita aux ébou eurs dans ce cas. M. Bouquet signale encore la situation d'un p'éposé k l'abattoir communaL Son traitement est porto 800 francs et le crédit deman pour l'hygiène et Ja voirie est adopté. Inhumations. M. Vandenboogaorde signale que la ville paie annuallement de 650 h 700 francs pour frais d'inhumation d'iudigents étrangers qui meurentdans les maisons de saaté et hópitaux de la ville, et demande de faire rembourser ces frais par les communes uü ces indigents avaieut leur domicile. II en est décidé ainsi. (Suite) Mais nous manquions de données pré- cises, nous supposions que des colonnes avaient dü exister aux points de retom- bce des arcs doubleaux et arcs diago- nau.c. Les l'ouilles dirigées dans ce sens, ont été couronnées de succès ei ont con- firmé pleinement nos prévisions sous le pavement, a 1,50 mètre de profon- deur, aux endroits précités, nous avons retrouvé la fondation d'une colonne et sous le mur de la fagade actueile le sou- bassement d'un second piédroit. Nous donnerons leurs formes primi tives aux baies du XIU> siècle qui don- nent sur l'ambulatoire ainsi qu'aux fenê tres de la fagade oriëntale, dont 1'archi tecture rappelle si fidèlement celle des Halles. Le pavement ancien en dalles de grès clair, comme on en retrouve dans les anciens monuments religieux de S' Omer, sera rétabli a son niveau primitif, soit a 0,60 m. environ sous le niveau existant. A Vétage, la disposition de la char- pente prouve que le dortoir des religieux prènait toute la profondeur du batiment. La toiture sera remise dans son état primitif du cöté de l'église, c'est-a-dire que les versants longitudinaux, qui d'a- près les comptes de la ville ont été inodi- fiés en 1867, viendront buter contre le mur pignon du transept. (1.) La voüte lambrissée qui garnissait an- ciennement la charpente, sera restaurée suivant les documents relevés sur place, Après une observation de M. Bouquet, qui demande de rechercher les moyens pour éviter tout accident dan» le transport des corps, le crédit de 8-000 francs est adopté. Cultes. Crédit de 2.600 fr. adopté. Enseignement public Crédit de 71.588 Ir. 19 adopté. Beaux Arts et Lettre. Crédit de 3.454 fr. 47 adopté après observations de M. D bu- vettere, qui signale le mauvais état de cer- tains livres a la bibliothèque communale. Fondations. - 4.017 fr. 05, adopté. Dette communale. 33.40 fr-, adopté. Pensions et gratifications. M. D huvet- ter voudrait qu'une partie des gratifications accordées aux élèves de l'école communale sur la fondation vandenpeereboom soient versées sur un carnet de retraite et cela dans le but de stimuler lepargm' et trés souvent retire pour être dépensé c-n une foisle jour da tirageau sort, ce qui ne sera pas possible avec un carnet de retraite. Ce système a été suivi du temps du baron Surmont et aban- donné plus tard je voudruis qu'on y re tour ne. M. le Bourgmestro approuve la manière de voir de M. D'huvettere et demande que celui-ci fasse un rapport sur cette question et une proposition. 11 le prornet. Le crédit de 16.644 fr. 10 esI voté. Fêtes publiques. Le crédit do 4.500 frs. est voté. M. le Bourgmestre croit devoir rappeler qu'ii n'a pas dit comme certain journal l'a prétendu, que nos fêtes publiques saison d'été comprise, coütaient 20.000 frs. mais que l'enssmble des fêtes publiques dans lesquelles il faut compter les subsides au sport hippique, aux troupes dramatiques, aux expositions hortico'.es et autres, etc., se monteraient a environ 20-000 f s Eu 1908 ces fêtes ont coütó 15 129 frs. 79, et co chiffre n'est pas plus élevé los années élec- torales. M. Bouquet:Qn'on se rappelle le fatnaux festival de 1890, qui a coüté 18 000 frs. et qui a dmé uue seule iournée. M. le Bour mestre Nous n'avons jamais pu trouver ie chiffre total de la dépense et 1890 était une annéo élecforale. Le chiffro global des dépenses ordinaires se montant a 355.529frs est adt pté. Dépenses extraordinair es- Des crédits so it successivement votes pour tiavaux de restauratiou du portail móridional do Sain - Martin, 13,899 frs. 70; travaux do restaura tiou (église SiintPierrd 8 235 frs. 93; travaux de lestauration (Halles), 50.0a0. améuagement et endiguement do i'étang de Zillobeke, 30.000 frs meubleB pou- la Justice de paix, 520 frs.; installation d'un poste de pompiers au Wieltje, 2.500 frs.; trottoirs et repavage rue Longue du-Ma rais, trottoirs et plantations J'arbres rue Carton; plant itions d'arbres boulevard de la Station; trottoirs rue du Quai; trottoirs et repavage rue Courte-du-Marais; concours d'ordre ot de propreté. Ou decide encore d'employer cette anuéa 20 0.30 fian-s pour repavage et trottoirs rue d'Elverdinghe et d'inscrire uu crédit au budget de 1910 pour l'achèvement de ce tra vail. (1). Rapport de la ville 1867. p. 513. A 1 église S' Martin, les restaurations entre- prises ont été poussées avec vigueur. A l'ex- térieur, on a terminé le pignon du transept NonCd, le toit qui masquait une partie de ce tran sept a été coupé pour le dégager on prépare les pierres pour la restauration des baies, des moulures et du parement mis découvert. lesquels présentent des vestiges trés ap- préciables de peinture decorative. Le dortoir, ou les religieux logeaient, en commun suivant la règle de S' Augus- tin, communiquait avec l'église; un large escalier, empiétant en parfie sur le tran sept, permettait aux chanoines de se ren- dre dircctement de leur dorloir aux of fices de nuit du choeur. Cet escalier présentait, a mi-hauteur, un palier intermédiaire sur lequel débou- chaient deux petits locaux que nous croyons être l'ancienrte trésorerie de 1'abbaye oü l'on gardait les chartes, l'ar- genterie, etc.... Par suite de la disposition adoptée, ces locaux étaient de jour et de nuit sous la surveillance incessante des religieux précaution nécessaire a des époques sou vent'troublées. Un détail a signaler encore les lar- ges ébrasements des fenêtres a lancet- tes qui éclairent latéralement cette sal ie, présentent tous du cöté seneslre de la baie une petite niche, de dimensions modestes, avec parfois une seconde ca- vité ménagée au fond de la première. Batiment dit de Jansénius.» Ce batiment qui masque l'ambulatoire au cöté Nord, fut modifié, non édifié, sous l'épiscopat de Jansénius. La facade front a rue, d'un beau ca chet, exécutée, en 1636, est l'oeuvre de l'arcliiteete Franckaert, sauf toutefois la porte d'entrée dont le mauclair porte l'é- cu de labbé baic M 536-1557.) Le couloir d'accès avec ses voütains gracieux et le rez-de-chaussée, remon- tent a une époque antérieure. La salie 1 basse présente une double rangée de voü- tes arrête retombant sur une épine de colonnes trapues, en gres d'Arras du ty- pe que l'on retrouve au choeur de l'église de S' Pierre dont la construction remon te au XYe siècle. ij Le maitre mur postérieur présente, I du cöté de l'ambulatoire, un encorbelle- ment formé d'une série d'arcatures ayant sans doute servi d'appui a un mui- pi- M. D'huvettere. Comment ce travail se fera-t-ü? M, Eraeijs. Comme nous avons de bons paveurs, nous u'allons pas recourir a 1 adju dication, mais ia travail sefera eajournée» par nos paveurs. Un supplément de crédit de 500 francs est voté pour ia restauration de ia maison Cousin. MM. D'huvettere,Sobry et Begerem votent contre, M. Sobry est d'avis que la ville ne doit pa3 faire a ses frais des restau rations de fagades particulières, mais ferait mieux de fixer une part d'intervention uni forme de un tiers pour des restaurations pareilles. Le crédit de 1500 francs pour la restaura- tion du petit portail latéral sud est provisoi- rement maintenu et des crédits votés pour l'installation de la petite rosace du portail meridional et la reconstruction urgente d'un mur de ranfort et d'un contrefort a l'église Saint Martin. La fabrique d'église ayaat décidé de placer onze statues, dont i exécution sera confiée au sculpteur Rooms, dans les niches du grand portail a l'église Saint-Martin, et ie Rév. chanoine De Brouwer, curé doyen pre- nant a sa charge les parts de la ville et de la fabrique d'église, le Conseil érnet uu avis favorable et adresse des remerciements au généreux donateur. Un crédit de 15.065 frs. est voté pour la première part d'interventio» dans les travaux de restauration de l'abi aye Saint-Martin M. lo bourgmestre explique que l'abbaye de Saint-Martin étantlapropriété de la fabrique d'église, des negotiations ont lieu entre celie-ei et la ville pour la conclusion d'uu bail emphythéotiquo de 99 aus, avec paye- raent do 800 francs par an, ce qui permet- trait la ville (i'utiiiser ces locaux pour l'installation du muséa et de ia bibliothèque. M.D'Huvettere fad remarquer que la ville n'est pas tenue a cette restauration et que si elle intervieut, la fabrique d'église, de son cö'é, devra être largo et peu exigeante pour la conclusion du buil emphythéotiquo. A propos du nouveau musée, M. Ie bourg- mostrecommaaiquo que M.leministro d État BcOrnaert fera don a ce mu?é.?, d'un tab'eau point par sa soear Euphrosiue Heernaert la di-tinguée aibste. Sont decides aussi et votés, des crédits a cette finuu trottoir au KnlUaai t,cöté droit; l'établissement d'uu urinoir et d'un terre- p'ein a 1'EspIanade, la construction d'un égoüt reliant les chauss^es deThouroutet de Dixmudo a travers le Wieltje Grachtdes égoftts rue de la Louche et rue du Violon d'or. Sur la proposition do M. Bomiuet, une somme de 600 frs. est accordée a la Fanfare - royale, et 2,000 frs. soat votés pour {'orga nisation des fètes durant la saison d'été. M. ,1'éohevin Fraeljs orofite d'une absence momentanée du bourgmestre, pour proposer d'inscrire un crédit de 1.500 frs. qui permet- trait de faire peindre a, l'huile le portrait de 1 honorable bourgmestre. C'est la une tradi tion coasta-fe a Ypres, d'olïrirau premier magistratde la vil'e sod portrait. Les services gnon. Nous maintenons ce qui existe; mais nous ne croyons pas nécessaire de rétablir la superstructure qui était du reste déja démolie avant 1649, ainsi qu'il appert des indications du plan de la ville de 1'époque. La l'agade extérieure est facile a res- taurer au rez-de-chaussée, toutes les anciennes fenêtres, dont les ébrasements ont été maintenus sous les enduits, se- J'ont rétablies celles des étages seront complétées par des doubles croissillons et meneaux en pierre blanche qui les dé- coraient a l'origine et par des volets aux endroits oü les goods sont encore en place. La menuiseric de ces fenêtres sera faite conformément aux types an ciens existants c'est-a-dire a vanlaux ouvrants, déoorées de ferronneries artis- tiques et garnis intérieurement de peiits volets pliants. Dans la toiture, les lucar- nes seront remises en place, dans leurs proportions primitives aux endroits indi- qués dans la charpente. Facade postérieure Cette facade d'un caractère différent, mais non moins artistique, de celui de la fagade principale, surplombe la galerie, ajouiée du cioitre qui lui est antérieure. i-e demi-étage qui termine malencon- treusement cette partie intéressante de 1 abbaye est de construction moderne. Nous avons en effet constaté que les dor- mants des chassis, a ce niveau, sont assemblés avec des bols de remploi. En outre, en examinant soigneusement la toiture et après avoir enlevé le crépis- sage des parties oü s'engageaient ancien- inement les entraits retroussés nous a- vons pu établir que Ia toiture a été ex- haussée a une époque récente. N B. Nous n avons pu trouver trace des trois petits pignons rappelés sur le plan de 1645. II nous a paru inutile de les i etablir, d autant plus que ces ajoutes ne répondent a aucun but justifié. Ambulatoire. Ce joli cloitre, dont l'origine remonte au XIIIe siècle, a subi des modifications profondes dans le courant du siècle sui- rendus par M Colaert sont nombreut et le moment est vinu de lui offrir son portrait, d'autant plus que l'aanée 1909 est cede de son jubilé psflementaire do vingt-cinq aas. Cette propo-tion est votée a l'unammité. Après 1 iaic.riptio!) d'un ció lit pour le raehat d'unevieille pompe ornemeotale, les dépenses exiraordinaires sont votées. Les recettes orcinaires et extraord'uaires sont approuvées en bloc et on décide devoter définitivemint le budget, qui se clóture avec un léger excédent, daus une prochaine reu nion. La séanct est levée a 5 h. 40. Nous avons trop souvent protesté contre la profanatioi de nos temples par la mus'auette de foire, de sailes de danse ou de musiqu halls; tropsincèrement loué, d autre part, le motupropria de Pie X, destine a promouvoir le retour aux saines traditions de la musique sacrée, pour être suspects d'hostibté aux trés louables efforts faits, en notre ville, pour répondre aux voeux du Saint Père. C'est ce qui nous permet d'etre plus franc dans l'expression de regrets formulés dans le public et dont nous éprouvons d'autant plus le besoinüe faire l'écho que nous les parta- geons pleinement. Le mieux est l'ennemi du bien, dit le proverbe.'On a voulu si complètement et si brusqueraent améliorer notre musique d'église qu'on a manifestement dépassé la mesure. C est ainsi qu'on nous a tout simple- ment gaté notre messe de Noél. Ah 1 certes, nous ne demandons pas qu'une cabotine vienne, a 1 heure la pms solennelle de l'année liturgique, nous rou- couler le Noëi pa'ien avec force ac- om- pagnement de violons et iutermèdes de piston ou dc flüte. Mais de la a saluer d'une psalmodie de requiem le joyeux et triomphal avènement du Rédempteur, il y a de la marge. S'il faut absolument pécher par excès, franchement nous préferons que ce soit dans Ie sens des messes espagnoles, ou les casta- gnettes, les rossignols et les tambourins accompagnent du moins un naïf et joyeux cantique pastoral parfaitement de circon- stance. Je ne parlo pas du plaiu-chant. La faveur lui est revenue, grice encore a Fie X elle lui est revenue dans un élan si irrósisbbl qu'ii y a la, peut-être un danger, pour ia musique poiyphanique, une meuace iücoü- scieate k l'adrease de 1 art de notre temps qu'un zèle exeessif pour fe plain-chaut pourrait compromottre. Et cette lois-ci, li faut oser le dire, l'srt liturgique serait, perdu skns retour ce serait la bauque; oute du Motu proprio Edgard Tinel. Lu3 p 1 ui exBüieaces chosis soat sojvo ot gitées pit dos 'ii igis qui inii'i ent i eire bornés. VIoliÈrs. dalfairo aio bouw cuoso ui grial mai. R. P. Fabbr vant el notammenj au XVc dont il conser ve le caractère dominant. Les faces septentrionale et occidentale, surrnontées d'un étage, présentent un plafond plat a solives. Les galeries Sud et Est sont respeclivement couvertes la première par une couverture en ardoi- ses la seconde par une toiture de plomb conformément a un compte de 1 église de i428. II est a sup poser, eu égard a la faible pente du versant de la derniè- re galerie, ménagée entre les contreforts du Collatéral Nord de l'église, qu'elle n'a pas regu comme la première de vousset- tes ;en bardeaux mais un simple gitage apparent servant d'appui a la couver ture, système appliqué dans de nom- breuses constructions similaires. Les fenestrages a arcatures reden Léés du cloitre, ainsi que les meneaux qui les supportent sont dépourvus de rainures et de fers a battées ce qui dénote qu'au- cun vitrage ne garnissait anciennement ces élégantes baies a résilles qui seront restaurées en maintenant les fox-mes dis- tinctives, qui caractérisent cliacuue d'elle. Aile occidentale du Cloitre. Xe baLiment qui limite le cloitre a l'oc- cident, a subi, lui aussi des modifica tions -considérables. Les chassis dor- mants des fenêtres que d'aucuns croy- aient être anciens, ont été placés a une époque postérieure a la construclion de 1 étage auquel ils correspondent. Les anciens ébrasements, retrouvés sous le mur déroché, seront ré tablis com formément au dispositif proposé au plan relatif a icette partie. A 1'extérieur 1'annexe, adossée au XVIIIe siècle, en hors d'oeuvre, sera dé molie pour accuser a nouveau les lignes architecturales de la fagade primitive et notamment la jolie tourelle, vers la place Van den Peereboom, qui la couronne si gracieusement. Les travaux projetés, énumérés dans le métri descriptif qui suit, s'élèveront d'après devis, a la somme de 180779,73 francs. Ypres, le 20 Janvier 1907. l'ingénieur-farchitecte. J. Coomans La pissé Uu sjnga ratrospéctil. L aiie- mr I Uu - -uge uufioipe. La présent? Un uieusouge outra ces deux souges. Edmond Thiaudière. Donner la liberté aux Fratigais, c'est uuo mesur» équivalaih a autor .ser la Véuus de Mho a se iourrer les dosgts dans le uez. Avec la liberté, faudrait lournir le moyen de sen servir. Aurélien Bcholl. 11 ne suffit pas d avoir de lüsprit pour n'être pas béte il faut encore savoir s'ea servir. De Rémusat. Four faire uao démarche, uu hoinme se demande; que duaije? Une femineque mettrai-je Metternich. Les visites font toujours plaisir. t^uand ce n est pas en entrant, e est en sortant. E. Marbeau. Les jeunes filies saventque la valse a deux temps et rnème trois temps, tandis que la femme sur le retour se souvient qu'elle n'a qu uu temps. E. Pailleron. Quand ou est jeune, il n'est pas temps de se maner quand on est vieux, il n est plus temps. Dans 1 interval!# ou rédéchit. Un vieux garqon. VILLE D'YPRES On demande un AGENT DE POLICE connaissant les deux langues. Age ma ximum 30 aus. Traitement initial 1100 fr.après 5 ans, 1200 fr.après 10 aus, 1300 fr. 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J'ai persévéré etapiès avoir employé 6 flacons tna guérison était compléte .le vous autor-ise volon- uers a publier cette attestation. Atteniion! Procures vous lo méme Sirop do l'Abbaye que celui employé par Mr. Beranger; seul celui ci guént, et se r conuait a une bande I rouge autoui de la boutcille et poi taiit ia signa ture de l'agent-, ónérai E. 1. aklier, Kottas dam. ï'out auU e p; oduit n'est qu'une imitation et ne guerit jamais. Le reméde pour les affections de ia poitriue ee des poumons existe: il s'apelle Sirop de l'Abbaye. Vous n'avez qu'a le prendre pour vous guérir N'hcsitez pas plus longteraps, si vous souffrez de maiadie de poitrine ou des poumons, d'astimie i mais reeourez au reméde qu'il vous faut. Lo Sirop de l'Abbaye guerit les autres, pourquoi ne j vous guérii ait-ii pas? Prix 2, 4 et 7 fr. le flacon. Depót gónéral: L. I. Akker, Rotterdam I Dépot principal pour la Belgique: O de Beul, Longue Rue Neuve 57, Anvers. En vente a YPRES L. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2