m$b Aleool el, question militaire srand bien de la cause cathoiique, Conseii communal Voeux sincères S Le nouvel an au Lerele Cathoiique I croulement d'un éciiafaudage a Ypres Bitiiographie Coup double A des Ofïicieis Un mortcinq blessés Alot's que Demotion provoquée par le mystérieux assassinat d'uu jeuue soldat du 3° do'igne est encore fort vivo, uu terrible accident ayant causé mort d'homme vient de se produire jeudi inatiii, aux travaux de restauration des Halles. La catastrophe Les secours Les secours furent immédiatement orga nises et les blessós transportés dans ies locaux du commissariat de police et Je Petit Marché au Beurre, oü iis recureut les soins des docteurs Beesau, Dierickx, DevJoo, Douck, Justice, Lagrange, Van Robaeys. Uo des blessës expire L'état de Désire Crabbe. ne a Pollincliove, le 5 avril 1851, ne cessa d'empirer et le malheuieux expire, a dix heures 40. te cadavre du malheureux soldat a rété transporté k Thöpital civil. II serait difficile de décrire Témotian provoquée dans toute la région yproise par le crime af'freux découvert lundi matin. Dans cette partie de la Flandre les assassinats sont heureusement rares et celui qui vient ensanglanter la gar- nison d'Ypres, par son caractere de fé- rocité, par le sombre mystère qui l'en- ,toure, est bien fait .pour Jeter une im pression tragique dans les coeurs. Pom- la caserne, dont le jeune soldat faisait partie, c'est un deuil cruel. Depuis la découverte du cadavre, le parquet, la police, la gendarmerie sont sur les dents. Chacun a hate d'appren- dre l'arrestation de l'assassin. Malheu- reusement, si les indices ont été retrou- Vés, il ne semble pas encore qu'on tienne la bonne piste. Au cours des recherches, on a noté les moindres détails des der- nières heures de la victime. Son compagnon a été longuement in- terrogé, mais il ne sait plus rien a partir du moment oü il a quitté Goethals pour se rendre au Cercle militaire. L'opinion générale est qu'on se trouve 'en présence d'un guet-apens. Le jeu ne soldat se vantait naïvement, nous ra yons dit, de la petite fortune quin- ze francs, c'est une fortune pour un mi litaire! qu'il portait sur lui et sans au- cune méfiance il précisait l'endroit de la cachette sous ses yêtements. On a vu commettre des crimes pour moins de quinze francs. II est done presque cer tain que l'assassin a entrainé la trop confiante victime dans une promenade nocturne, loin des habitations et qu'ar- ïiyé sur le boulevard extérieur oü tout estelésert, il l'a assassiné lachement en le frappant a grands coups de pieu qu'il iavait arraché a une barricade. Goethals a du tomber sans pousser un cri; en tout cas, personne ne pouvait rentendre et venir a son secours. L'autopsie a révélé plusieurs graves Llessures a la tête et des fractures au crane; ce qui témoigne de la brutalité de l'assassin. iL'enquète continue. Souhaitons qu'elle aboutisse bientöt. 4 ster.ant pour lui même, n'en plus orfrir aux autres. En ce qui concerne l'usage du v:-n et de la bière, Léon XI11 a loué i'abstinence totale, commc l'Eglise loue ceux qui prati- quenl, dans les ordres religieux, la perfection desconseils évangéliques, lapacvreté, l'obe'is- sancf, la virginité, la charité poussdes jus- qu'au complet sacrifice. Le Conciie de Balti more des e'vêqucs Aniéricains a recommandé pareillement cette abstention complete, et Fie X a encouragé, par l'octroi d indulgences, une prière qui en contient l'engagecnent. Roma locuta estil ne nous reste plus qu'it ticus incliner et a applaudir au geste de 1' Onthoudersbond. Ncus nous rdservons cependant, une foisle mois de Verkoren maandag passé, de re- venir sur notre consultation du plus savant, I d a-propos au Roi d'J jour, au doyen d'Age du plus sage et cn même temps du plus large t du parti cathoiique et k la jeuues3G si bien et du plus condescendant des thdologiens de representee a cette cordiale réuoion qui Belgique. espérons-le, aura donué a notre cercle uu I nouveau regain de vitalité pour le plu« Dernièrement, il propos de la première fête d'hiver donnée par les Gymnastes de Si-Michel, nous nous rangions a l'idée, pré» conisée a la Chainbre et dans la presse catho lique,d'organiser les sociétés de gymnastique dans le sens de la formation militaire. fête iuaugure son pouvoir avec une largesse vraiment royale-et c'est au bruit des coupes de champagne ontrechoquées qu'on acclamo la harangue royale prontmcée avcc bonho mie et avec toute la tranche überté qu'un Souverain le droit de se permettre. Puis, M. le Uonseiller d'Huvetter, toujours huinoiistique, a pronoucé. en étnule du Roi mage Gaspard, uu discours chaotique et congopbile de grande envergure. II a coaclu par le voeu intéressé que de Bunion des races beige et congolaise puisse résulter un heureux transformisnie du erdne per» mettant aux futurs membres de nos Conssils de mieux se tirer.... par les cheveux. Enfin, M. la Bourgmestra a relevé le niveau de Tébquence dans un toast plein Son Eminence le Cardinal Mercier vient, a son tour, de féliciter la solution du pro- biême militaire par une précieuse contribu tion. Au cours de la magistrale conférence qu il VILLE D'YPRES REUNION DU CONSE1L COMMU NAL du 2 janvier 1909. La séance s'ou- vre a cinq heures et quart. Présents: MM. Coiaert, bourgmestre, Fraeijs, Vandenboo- gaerde, échevins Fiers, Vanderghote, D'Huvettere,Bouquet, Sobry,Iweins d'Eeck- houite, Lemahieu, Begerem, Boone, conseil- lers. M. Boudry, chef de bureau a l'admi- e nistration communale, remplit les fonctions a donnee dermerement au Bien-etre social, j i de secretaire communal. 11 a signale la guerre a 1 alcoohsms comme t i ii 'Ui DS w ïi V S üevant contnbuer granclement a assurer le conseii]ers recrutement, Puis, après avoir exposé quel- Absents excuses: MM. Struye et Biebuyck, Au risque de nous mettre a dos tous les fils de Gutenberg et tous les sujets de öambrinus, nous souhaitons s:ncèrement de voir nos honorables voter, a leur rentree au Parle ment, un bout de lol cmgu a peu prés de la sorte ART. I. L'usage des cartes de visite et des lettres de nouvel an, échangées sous pré- texte de voeux sincères a s'adresser, estaboü. ART. II. La loi n'ect pas applicable aux Ligues de tempérauce. II est clair, en Set, que la tr.oralité pu blique y gagnerait beaucoup si la loi dispen- sait les gens de mentir aussi cffrontément qu'ils ont coutume de le faire au nouvel an. Que de mensong-rs prévenus du coup de puis celui du gendre qui poiterait volontiers au cimetière, kic et nunc, la chère belle mère a laquelle il souhaite encore un demi siècle de vie, jusqu'a celui du subordonné ou du compétiteur qui souhaite tout haut mille bonnes choses a son rival, sauf de le voir bien vite décamper ou culbuter, en lui cédant sa place. Et les lettres de nouvel an done, que les élèves ont copiées du tableau et que le maitre a extraites du recueil ad hoe w k Mais passons a Particle II d; la loi. L'exception se justifie non seulement par des considerations de moralité mais encore d'hy- giène. Car voila au moins un voeu bien sincère et un voeu excellent que celui déposé dans notre boite par ies Tempérants VOnthouders- bond Yprois vous souhaite une sainte et beu- reuse annèe et vous prie respectueusement de ne pas offrira boire, ces jours-ci, La croix des bonnes croisades surmonte cette invita tion. Aucun distinguo, aucune réserve. C'est une excitation formelle a la suppression ra dicale d'une oeuvre temporede de miséricorde. Cela parait bien grave, a première vue, bien révolutionnaire. On ne dérange pas comme cela les gens dans leur vieilles habi tudes; on ne s'en prend pas surtout a ce verre de viu tant louédu bon Samaritain tr.oins encore k ce verre d'eau alcoolisée ou non auquel est attachée une recompense éfer- nelle. Devant le geste subversif de ces milliers de Tempérants que nous savor,s être les plus braves gens du monde, des hommes de prin cipes et de courage vraiment modèles, nous n'avons pas voulu nous en rappor'cr a notre humble jugement. Dare, dare, nous sommes allé consulter le premier sage du pays et peut- être du monde entiernotre trés savant Car dinal Mercier. Or, voici sa réponse Tout cathoiique, tout chrétien, tout homme ayant une morale, doit plus que jamais s'abstenir de liqueur forte et, s'en ab ques-unes des suites de i'alcooiisme dans l'ordre économique et dans l'ordre physiolc- gique, après avoir stgaaié l'hérédité parmi lescaractères les plus distinctifs des misè-es de I'alcooiisme il ajoutait Airsi se produisent des légioas d'anor- maux, de tarés, inap'es au travaii, incapa- bles de servir ou de défendre cette société a f la charge de laquelle iis tombero et dans laquelle ils perpétueront les gén tions de mirérables. Dans tous les pays d'ailleurs la correlation est étroite t ntre 1 as cension de I'alcooiisme et le chiffre des jeunes gens qu'il faut refuser pour incapacitc con- slitutionnelle au seuil du service militaire. La Suède et la Norivège étaient, il y a cinquante ans, les pays oü par habitant il se consornmait le plus d'a'cool2 5 °/0 des recrues s'y trouvaient, en i860, inaptes au service. Aujourd'hui, gr&ce a une legislation énergique et a de puissants efforts priiés, la consommation a baissé de plus de 20 a 8 litresla moyenne d:s recrues refusées n'y Démission du secrétaire communal. M. le bourgmestre donno lecture d'une lettre de M. M. Gorrissen, secrétaire commu nal. par laquelle celui-ct donne sa démission. M. le bourgmestre fait un vif éioge du secré taire communal démissionnaire, et propose de lui offrir un cbjet d'art en souvenir. Fondalions. M.D'Huvetteré présente le nt bientöt, rai'Por! qu'il a assume dans la précédente les généra- séance sur l'emploi des revenu-» des fondati- ons faites en faveur das éiè/es de l'école com munal pourgarcons. F Lit ressortir que l'ir- gent placé sur un livrei d'cpargne peut être trés facilement retire',ca qui fait que l'e'pargne de plusieurs années est trés souvent retirée en une fois pour être dépe.nsé le jour du ti- rage au sort. Cela n'a certainement pas été l'intention des personnes charitables qui ont institue' des fondations pour favoriser et sti- rnuler l'e'pargne. llestime qu'il serait préfe'- rable de verser les trdis premiers francs pro- j venant d'aliocation sur ies- fondations, sur j le carnet de retraite pour les vieux jours. De est plus que de 19 a 20 °/o. En France, phé- l ce^e fa^on, une somma resterait, qu on ne j nomène inverse la consommation y monte, I PoulraR retirer; cette somme, par les subsi- les incapacités aussiplus la courbe de l'al- des de i Etat, de la province et de la vilie, coolisme s'élève, plus ditninue la validité. j serad presque doubiée. et constituerait pour Avis a tous ceux qui cbez nous ont a cceur ^es intdressés une épargne intangible qu ris la défense nationale seraient peut-être portés a augmenter par des j La parole de notre éminent cardinal est j versementspersonnels.il fait une proposition j trop autorisée pour qu'elle ne soit entendue I dans ce sens. La proposition est renvoyée au j en haut lieu. Au nom du parti qu'on voudrait l co^®8e pour examen. accuser de manquer de patriotisme, le gou- f M. Sobry partage la manière devoir de M. j vernement saura tenir compte d s indications D'Huvettere et reprend une proposition qu'il j I a faite antérieurement, de donner un livret 1 de retraite a tous les enfants des écoles de la i ville, tant des écoles libres qu'officielles de Mgr Mercier, et il en profitera pour faire d'une pierre deux coups restreindre les ra vages de I'alcooiisme et assurer la défense nationale en maintenant le volontariat. La bonne volonté des chercheurs saura fa're découvrir d'autres perfectioanements et d'autres moyens encore, notamment dans la proposition de Mérode et, les petits ruis- seaux laisant les grandes rivières nous aboutirons, grace a tous ces moyens com binés a faire mourir d'inanition le service personnel et général pur et simple. Nous lui souhaitons dès maintenant de reroser en paix. Le réveillon traditionnel av^it iéuni un grand nombro de mombres, ei c'est avec une vive satisfaction que tous out apolaudi l'exceilente execution musicaia ,t„ M. le bourgmestre propose de renvoyer la proposition de M. Sobry a la commission des pensions, tout en declarant qu'il ne peut pour ia question de finances, y adherer, d'au- tant plus que la ville donne déja annuelle- ment une somme de 4.000 francs comme subside pour pensions de vieillesse. Budget 1909. Après Finscription a l'ex tiaordinaire d'une somme de 25o francs pour la caisse de secours des pompiers, le budget communal est définitivement arrêté et voté comme suit: recettes ordinaires, 375.649 fr, 39; dépenses ordinaires 355.579 fr- 33; e*- cédent a i'ordinaire, 20.070 tr. 06; recettes f extraordinaires, 220.767 fr. 44 dépenses I extraordinaires, 237.524 fr. 24; déficit a l'ex- f traordinaire, 16.756 fr. 83; excédent général 3312 fr. 23. j Le budget 1909 ne comporte pas de crédit >r 11 i t/ r\i tv n - - PourI établissement d'un stand pour le lir M. 1 advocat V. et .1. FD. ont fait ie plus paree que la commission mixte qui a été char- graricl plaisir aans i^fre'-pretatjon de super- géedel'étude de cette question n'a pas en core lerminé ses travaux d'études et n'a done pu dresser un rapport. Cloitre Saint-Martin. M. le Bourg- mestre fait un magnifique rapport sur le jj projet de restauration du cloitre Saint-Mar- rexceitenie execution mustcite de notre jeune syotphouie Yproise Maziekkrin" bes romances bien cnoisies pour leur bel'e voix. A Tissue du Concert, ie punch a été s"rvi et trois excellents discours pleins de cordiale opportunité ont été prononcés par M. Téche- vin Fraeijs, président du Cercle Cathoiique, par M. le Bourgmestre-député Coiaert et par M. Julien Antony, prés idea, de la Gilde de 1 N. D. do Tuin-, au nom de la jeunesse. Excellente réunioa qui a raai mé les coeurs au seuil de l'année nouvelle. du tin. Ifait valoir le cöté historique de la ques tion et les motifs csthétiques et autres qui en- trent en jeu pour la restauration de ce monu ment qui fera une trilogie artistique avec la cathédrale Saint»Martin ct les Halles. Cette restauration est estimée a 18o.ooofrancs. Comme le cloitre Saint-Martin est propriété le ia fabrique d'église, une convention serait Le 6 Janvier ramenait Ses metnbre3 Cercle au banquet traditionne: des Ilois. Plus de monde que d habitude, excellent conc'us entre la fabrique et la ville qui moy menu, bons vins, joyeuse oompagnie et !i ennaat^u-n-baiL»emphyth.éötique de99 ans, franc he cordiaiitó ont contribué a rendre un loyer annuel de 650 fr- et les charges d'en- cette fête iatime des plus agréable. H trelien, en aurait l'usage et pourrait y instal- LegAteau royal est servi, c'est l'heure iï ler le musée communal, la bibliothöque et soïenueile, et la fêve apparait bientöt daDs |i PeuGêtre les archives, la part du ghteau de M. Jules Baus. Le M. D'Huvetterefélicite M. le bourgmestre nouveau Roi est acclamé et complimenté deson remarquable rapport dont Timpression par M. le Président Fraeijs au nom des 1 est ordonnée sur la proposition de M. l'éche- fidèles sujets de sa majesté. Le héros de la vin Fraeijs. Ecole communale pay ante pour filles. M.D'Huvettere demande oü en est la ques tion de la destination a donner au jardin provenant de la fondation Vandenpeereboom annexé a l'école comm.inalo payaute pour filles. Cette question reste ai'étude et, sur la pro position de M.le bourgmestre,MD'Huvettere se charge de 1 examiner a fond et de faire un rapport qui exposera les meilieurs moyens d utiliser ce jardin selon les intentions de feu M. Alphonse Vandenpeereboom. Restauration de l église Saint Jacques. Les plansderestauration de la tour de l'e'glise Saint-Jacques sont déposés. La tour serait surmontée d'une fièche gothique. La restau ration de la tour sans la fièche est esti née a 80.000 francs. La discussion de ce projet aura lieu ultérieurement, La séance est levée a si"' heures et quar'. BUPEAUDE BIEnFaISANCE.— Le Conseii communal, en sa séance dehuis-clos, a nomnaé M. Hector Veys, juge au tribunal de première instance, comine membre du Bureau de bionfaisance en remplacement de feu M. Léon Vandenpeereboom. L'tutrepreneur général, M. Lolong de Courtrai, avait confié cette partie en sous- adjudication a, M. Verbeke, maltre-ardoisier a Yprcs. La toiture intérieura des Halles-, était presque entièrement terminée. Le travail se fait au moyeu d'échelles mobiles acciochées a des poutres de ia toi ture et reposaut sur uu échafaudage soutenu au moyen de consoles, que d'éaormes cram pons en ter attachaient a la corciche du batiment. Huit personnes y était occupées ie maitre-ardoisier Verbeke, ses deux fils Auguste et Julieu et les ouvriers Désiié Crabbe, Henri Sanctorum, Charles Vauux- cem, Jules Deltombe et Maerten. Vers huit heures et demia, jeudi matia, en se disposait a déplacer le systèmo d'échelles mobiles. Six personnes se trou vaient reünies sur Téchafaudage, tandis que le ïnaitrö-ardoisier Verbeke et l'ouvrier Maerten se tenaient su" une échelie sur Ie toit. Soudain les écheiles mobiles se deta cher ntun des crampons en fer se bt'isa net et 1c tout tomba a terre, d'une hauteur de douze mètres, ap èi avoir rebondi sur ia toiture d'uue galerie dans ia cour Ltóiieure des Halles. Désiré Crabbe, August Verbeke, Julien Verbeke, ileuri Sanctorum Charles Vaauxceia, Jules Deltombe, avaient entratnés par la chute des uiatériaux, et gisaient, renversées au milieu de débris de toutes sortes. Le maitre-ardoisier Arthur Verbeke et TouvrFr Maerten ayant pu s'ac- crocher a une échelie étaier.t restés sur le toit. Désiré Crabbe, loplus gravement alteint, rAlait il y regut l'Exlrême-Ouction des mains du vicaire Louwage. i-es blessós fureut transportés ensuite a Thöpital civil, a l'exception de Julien Ver beke, qui n'avait qu'une foulure au poignet gauche, et quelques égratignures. Augusta Verbeke, né a Ypres, Ie 17 décembre 1889, a une jambe Iracturée et une blessure a la tête, Henri Sanctoruai, né Ypres, le 26 aoüt i869, lesions internes et multiples égratignuresCha les Van- uxem, né a Ypres, le 22 aoüt 1858, lésions internes et multiples égratignures Jules Deltombe, né k Boesinghe, en 1865, biessu- 1 es a la tête, aux bras, douleurs internes. L'cnquête Une première enquête fut faite par le commis-aire de police Vandenbraambrus» sche. Le Parquet, composé de MM. Van- daele, juge destruction, Vanderheyde, substitut du procureur du Roi Dumon] greffier, s'est rendu sur !es lieux dans ia matinéa. I L'entrepreDeui Leloog est assure centre les accidents, mais le sousmntropreneur, Arthur Verbeke, ne 1'était pas. L enterrement da Desné Crabbe aura lieu Lur.di matin a 9 h. en I'église de l'höpital. La belle revue technique beige, les Annales de VImprimerie. appelle a nouveau 1 attention du monde professioneel par son numéro de décembre d'une importance et d'uu iutérêt exceptionnels. Cette publication mensuell8 de g-mnd luxe, éditée avec uu soiu méticuleux, renferme nou seulement des articles techniques inté ressants et des mioux rédigés, mais encore de nombreux et beaux moJèlos de travaux de ville et d'admirables planches, hors texto, dont les caractères ou clichés provienuent dos fondaurs ou photograveurs les plus réputés. IjSS Annales de l'Imprimerie se recom- mandent vivement a tons les amis du Livre tint ariisans qu'ainateurs qui y puiseront un enseignement continu, tout a la fois tkéuriqua et pratique. Le prix de i abonnement est, de quatro francs pour la Belgique. Un numéro spéci- men est envoyé sur demande adressóe a la Direction, 42, rue des Bo^arde, Bruxelles. BURGERSTAND VAN YPER Van den 1 tot den 8 Januari 1908 Geboorten: Trasschaert Jules, Dickebuschsteonwesr bebacker Elvira, Lange Thouroutslraal. orepeele Ivonna, Kemmelsteenwe"- rollebout Emile, Kanonstraat Depuydt Oscar, Rjjsclstraat. Huwelijk Rosiers Valeer, borstelfabrikant te Isoghem Bagin Maria, z. b te Yper. O verlij (lens Depuydt Maurice, 5j. St. Jacobstraat. Pattyn Victorina, 3 weken, Kanonstraat. Paridaas Coleta,S7 j. z. b. we. Debecker Jo annes, Gallet Vincent, eebtgte van Detr^ Edouard, Poperingtiesteenweg. Kestelyn Rosalie. 73 j. z. b we Denudt Ed- moed, St. Ja shoapitaals.'raat Godtscnalck Edouard, 11 maanden,Bukkerstr. Rruynsteei Constant, 81 j. Koperslager wadr Didier Carolina, Hondstraat. Rébéré Maria, 1 jaar, Comansteenwez. Goetbals Emile, 20 jaar, soldaat by het 3« linie regiment,ongehuwd, Esplanade Belettre Florimond, 59 j. winkelknecht, echte Po'.lée Maria, L. Tliouroutstraat. Syssau Elodia. 27 j. z. b ongeb. Poporingbest. Turcry Gustsaf,69j z.b. wedrDewdteSylvia Rijselstraat. Grabbo Desideer, 57 j. tegeldekker wedr Jacquier Maria, echtgt Vancaipergh Barbara, Tegelstraat. Les pilules Pink font souvent coup double, c'esl-a-dire quo dans une même familie olies ont guórietguérissent chaquejourdeux ou plusieurs personnes. Ceci tend a bien démontrer ce que nous n'avons jamais cessé de répéter que Us pilules Pink sont bonnes pour tous, vieiiiards, adultes. enfants, et qu'elles sont aussi bonnes pour tous les tempéraments. Nous meltons au jourd'hui sous vos yeux une double guérison. II s'agit de la mère et de la fitte Mile F. Schoenmakers, rióe Broekmuller, de- meurant a Eerkelaar prés (Echt) nous écrit 1 Mmr- Sckoeumakers (Cl. Van Vaegeningb, Roermond.) «J'ai été souffrante pendant deux ans. Mon estomac était devonu trés mauvais, ii me faisait beaucoup souffrir et je ne pouvais plus guère m'alimentor. Je n'avais d'ailleurs plus que trés peu d'appétit. .I'avais consulté plusieurs fois et n'ayant obtenu aucun soulagernent des remèdes indiquós, j'en avais cunclu que la guérison était impossible. J'ai cependant voulu essayer ies pi lules Pink dont tout, ie monde paria avec é!o'-e. Après en avoir prix deux boites, j'ai obtenu uu soulagemant incontestable. J'ai continué ie trai- temorit et au bout de peu de, temps, j'ai éts com- plètemeut guérie MUe Sjboet.makers, fille de la précódente, soufï'rait depuis 6 ans, d'une anemie leut.-. Elle avait perdu ses couleurs, so„ appótit, clla so plaignait beaucoup de migraines, d'insomnte et était excessivemant faio e. En présence des bons résultats obtenus par sa mère avec los pilules Pink, elle a voulu, elle aussi, prendre ces pilules qui avaient lalt tant do bien a samaman. Mile Maria tra pas été desappointéa, et dans une lettre que nous avons sous les yeux, elle dit que ces pilules l'outguérie et qu'elle se porto main tenant a merveille. M. Schoenmakers, rnari et père de ces deux personnes, a conlirmé ces de clarations. Les pilules Pink guérissent non soulsmeut los anémiqués et los personnes qui souffrent de l'estomac, mais aussi les jeunes chlorotique, les personnes agées atteintes de faiblesse, générale, de douleurs Elies sont trés efücaces pour com- battre l'épuisement nerveux, la neurasthénie, les maladies des nerfs. Les pilules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépotPhie Derneville, 66. Boulevard de Wateiloo, Bruxelles, Fr. 3.5J la boite Fr. 17 50 los 6 boites franco. Dépot a Ypres pharmacie LIBOTTE. Par arrêté royal en date du 27 Décembre 1908, les nominations suivantes ont e;i lieu dans la garnison d'Ypres. V étenuaire de le ciasse le vétérinaire de 2e classe N. Wousseu du 1" régiment de chasseurs cheval, détaché k l'école d'équi- tation. Un arrêté royal du 4 Décembre 1908 au- tortse le conseii communal do Wervicq a petcevoir des taxes sur les divertissements publics.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2