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En fait, ces dési-spérés chimériques. no sont bien souvent, ni pi ni moins attends que d'au tresmaladesque nousavons parfaiternentguéris- Leur indifference, leur résignaiion incompré- hensible devant la soutfrance permeitont au mal de s'ancrer, de s'enraciner, si bien qu'il sera quelquefois irop tard, lorsqu'on lesdéeidera se soigner. pour que l'intervention mélicale, mêmo ia plus énergique, ait raisoi de'eurmal C'es' a cs tte catégorie de malades, a ces ré- signés. que nous nous adressons aujourd'bui. tes priant de lir ceci _900 '■'JS OOC. c~iao vi J e t v o-.i __300d Vijl. ftlauUis, 1 ou. Depulsiongtetnps. nous éciit Mile Yvonne Roy, uiie tésignéc de 'Oans.j'étais atteinte d'une anémie lente. Mes forces m'avsictij absndpnnée, ie n'avais plus les bonnes couleur? d'autrefois et !a maladie m'avait feit beaucoup maigrir Un petit travail, up léver effort,étaimit de trop pour mes petit es forcrSfft jen« pouvais plus marcher, plus travailjer, même au# travgux d'aiguilie, gans avoir des points douloureux dans les cötés et une faugu« extréme J'avais des raaux de tête qui duraient des journé-s entières mon som- meil ótait trés fragile, je u e réveiliai? au moin- dre bruit et je ne pouvais plus ru'endormir Mon estoniar était rnauvais, mes digesiioig étaient i énibles et j'étais toujours si mal, je souffrais d'une facon ai if.ontiutelle. que j'étais toujours trist- Je ne m'intóregsgjs plus h rien et commo tout <e qu'on axait fait, pour me guérir avait édioué, je m'é'ais l ésignée h sonflnr. On a mis cependa'nttant d'i-sist.ance ft me conseider les pilules Pink. on m'a cité des guérigone si belles, si sur. r enantes dans mtre pay s memo, que j'ai voulu fair. l'essai de ces bienfaisantes pilules Je suis allee a Tours, je m'en suis procuré quelques boit s a la pbarmacie du Pocteur Aut-is el j'ai oom met cé Ie traitement. J'ai le plaisi de vóus informer que je suis maintenant eomplètement guérie. J'ai r< pris bonne mine et suis toute gaie Les personnes qui m'syaient vuo si malade ne me reconpais.seut pas Mile Yvonne Roy, dont nous donnons lei la photograph!0,habite choz ses pat ents, èAuzouer, pai Chateaurénault (Indre-et I oire). Résignés. désespérós, si voire maladie a pour origine Ia pauvreté du sang, fe faiblesse des nerts, les pilu'es Pink doivent vous guérir Même si b s autres médicaments ont échoué, 1 s pilules Pink vous guériront; les pilules Pink ne ressembiei t en rien aux autres medicaments. E les ont guéri d'innombrables eas d'anémie, de chlorose des jeunes fllles, de rnaux d'estoroac, migraines, névralgies, siatique, rhumatisme, neurasthénie. Les pflules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies et au ópót Phie Derneville, 66, Boulevard de Watei loo, Bruxeiles, Fr 3.5u la boite Fr 17 5 1 s 6 boites franco. Dépót a Ypres pharmacie LI BOTTE. En vente au Bureau du Journal administrative, commen.iale, routière et hydrographique. Eehelle de 1/4.000.000 C"mprena°t toutes les routes, chemins de fer, les rivières, cours d'eau, les comptoirs com- merciaux t les missions. Format 78x68 en 6 couleurs. PRIX I FR. ÖO \inpt qu i' a' rive a t°u« les produiv» qui o. t CCi quis la vrgue. a Ouate THERM08ÈNE ef;t coi trefaiV claque joui deplus on plus. 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Pins de Vlnrschauwei rn jure plus, comme on le dit vulgair.-mm t,que par le Siron de l'Abbay*» Nous faisons suiviv sa pro pre déchraiion Pendant quelques anné s ma femme, meg enfant» 1 tpoi- Qrne e io. s toi - jours malades tons nous avions lus organes i espiratoires attaqués Chez mes enfant» la nu- ladie Uóbuta par une coquelueho terrible, qui ne leur la s?a le moindre enos ni de jour ni d<- nuit Les angoisses dont souti'raient les enfin te étaient o .va tables ft voir, malgré que pen dant ces années on leur avait prodigué divers médicaments, aucnn résultat ne se déclara lis éta ent absoiument sans anpó;it.ils malgrissai nr a vue d'ceil. les nuits étaient sans sommeil entret. mps lesoussigné ótait la i roie a une ina- laciie do poitrine, <d iria femme touffrait .le broncbite. j'étais sujet k des angoisses ier-rihiess ma ien-rr-e x r-to'ad b'ain oup 'I snuft' il Familie Pms ue leeit/iuinci;/' continue lement de la tête. II serait difficile dg cjonner qne idéé de iiqs souffranceg k töqs dans oes circénstancesÜn ménage entier malade, dont le plus souvent personne n'était en état de faire le moindre travail. Heureusement idusieurs personnes nous signalèrent leur guéri-on par le Sirop de i'Abbsye, en nous reeommandant de faire l'essai de co remède. Parole d'ho- neur to s nous a ons été com plement guéris par le Siiop de i'Abbaye. Cou- vent Sanc.ta Paulo, que nous avions acireté a la pharmacie de Beer II ne reste plus aucune trace d° noti e maladie, et tous nous pojvons vaquer régulièrement a noire besogne.Dermis que imu. avons appris a connsitre le Sirop de l'Abbaye, nous sommes de nouveau un ménage beureux'. Le irop de l'Abbaye du Convent Sancta Paulo guérit infailhblement le froid le plus rebelle, les rhumes anciens, l'asthme, les crachements de sang et toutes les affections da la poitrine et des poumons. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 3