L CARÈME Téléphone 51 Téléphone 52 GMhOM/QUi rP».Q.'St Samfdi 6 Mars 1909 10 centimes ie N° 448 Aftaf* N° 4524 ^rmons rancais Fanfare boyaie Lercie xcelsior Nille Iweir.s Le Carnaval A u éditer»- par le Progrès Mort d'un ancien combattant de 1830 La Chambre On s'abonne rue aw Beurre, 36, A Ypres, et Le Journal d'Ypres paralt une fois par semaine. tous les bureaux de post© du royaume. p r li' Hév rond Pèro >fT' arm ssi t# S$S«>2$!alsg9sS!sSfïï!f3SPs# JOURNAL ©rgane Catholique de l'Arrondissement Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr, 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a 1 adresse ci-dessus. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémeniaires coüte&it 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adresser l'Agtim Havas, Bruxeiles, rue d'Argent, 34, et a Paris, Place de la Bourse. d de ÏOrdre des Frères Précheurs Tous les jeudis, jusqu'au 8 Avril inclus, leJcudi 25 Mars excepié, en 1 égiise Saint Nicolas, au Salut de 5 1/2 h. SujetLes Péchés capitaux La soirée-taDagie, fixée au Samedi 27 Févricr, est icm.se au Sameai l3 Mais, a cause du deuii de ia tamilic lweins d lici.il- houtté. Le comité du cercle Excelsior a l'honneur d'inviter les lecteurs du Journal d'Ypres a assister le Mardi 9 Mars, a 4 1/4 heures précises, la grande séance musicale, qui sera donnée en la salie des fêtes de la rue St-Jacques, 26. (Volkshuis). Le comité a jugé bon de changer de local ponr cette fête extraordinaire paree que la belle salie du Volkshuis possédant une tneil- leure acoustique est toute arrangée par son theatre, ses estrades et gradins pour la pleine réussite d'une grande soirée. Le programme ci-après vous permettra de juger de l'importance toute spéciale de la séance du Mardi 9 Mars. La semaine passée le Journal a fait assez connaitre a ses lecteurs le nom et le 'alent de Af. Joseph Ryelandt pour que nous soyons dispensés de présenter a nouveau son éloge. Af. Charles Martens est un conférencier de premier ordre et un musicien de talent. 1! a inauguré, au début de cette année, a l'Extension universitaire pour Dames a Anvers, une série de conférences surl'üistoire de la musique, de Monteverde a Beethoven. La conférence qu'il donnera a Ypres servira en quelque sorte d'introduction a 1'audition que M. Joseph Ryelandt donnera de quel- ques-unts de ses oeuvres avec le concours de MS. Van der Heyden, professeur a le'coie de musique de Louvain. Prix des places Réservée 3 fr. Première 2 fr. Seconde 1 fr. Les abonnés la 25 série de conférences d' Excelsior I recevront une carte d'entrée aux premières places. lis pourront faire numéroier leurs cartes moyennant paiement de 1 fr. Des cartes sont en vente chez M. Tyberghein-Fraeys, rue des Chiens. Af. Bras-Tavernier, rue au Beurre. M. Antony-Permeke. rue au Beurre. Le co 11 ié d1 Excdsor 1 n nous eommu I.iqm auasi k progiamm gé éial de ia lêle. U pr. giammc apé.idi. ioui déiailié t ornp en-.Di e text 1 1, traduction des liedcr sera una en vente a la séance. PROGRAMME I* Partie. Conférence sur Le sentiment religieux dans la musique au XIXs siècle, par vl. CHARLES -.ARTENS docteur en philosophic et Mtres et en droit. II* Partie Audition d'oeuvres de JOSEPH RYELANDT, avec le concours de 1 auteur et de M. S. Vander Heyden, professeur a l'écolede musique de Louvain. A. Mélodies Christussonnet. De Goede Herder. De Maegdekens. Brandt los. B Sonate pour piano Allegro con fuoco. Andante appassionato. Introduction-Allegro. C. Mélodies Rondel de Charles d'Oriéans. 'k En hoore u nog niet, o nachtegale. De Mandel. D. Pieces pour piano Le Ruisseau. Clair de Lune. E11 Ardenne E. Mélodies Ch'isto confixus sum. Epitaphe. Adieu. Lundi i5 Mars, a 8 heures du soir, con férence avec projections par M. LUDOV1C FRAEIJS, avocat a Bruges. Sujet Au pays des Pbaraons. Nous avons été heureux !e trouver dans Le Progrès de D manche passé, uue violente mais trè juste diatribe comre le Carnaval. Voici ce qu'il écrit «Approctieniit-il le temps oü le Carnaval, cat ignoble fauve laché de par les rues cette infecte coulée de l'orgie dégrudante. disparnitra de nos moonrs En attendant eet heur^ux jour, voici les réflexions qu'il inspire a plusieurs jout naux De la Gazette CARNAVAL Le voila revenu, ce vieux salaud qu'ou dit moribond dermis tant d'années tt qui vit toujours, bravant fes ceDsures et les dégoüts, narguant tout ce qu'on tente pour le tuer. Disnaraitra-t-il un jour C'est possible et eest a désirer. Mais ce ne sera pas de sitöt encore. 11 amusec'est la son ex' use. Combien n'en a-t-i! nas amusés, des gens austères qui, reveaus des jo'es brutales dont s'égjie la jeuuesse, lui jettent la pierre du haut des ermitages oü, vieux diables, i s méditent et philosophent... Et combien, don qu a regarder les folies et les licences qu'il autorise, sentent se róveüler en eux l'immonde animal qui y dormait, fatigué. Le Carnaval est ignoble, par toutes les occasions de gambades qu'tl lui ofire, p>r l'excitatiou aux bashes jouis a ces qu'il apporte, a l'ivresse et a la goinire ie, a la débauche, a la dépense oü s'engouffrent tant de laborieusea écouumtes. II est abruüssant et ma!sain... Que voalez-vous? II met eu liesse Ja cnère béte. Le revoila Cochon,cochon, Ileureux oit le petit cochon. 1*1 Puls vient encore un extrait, d'un article écrit sur le même ton dari3 Le Petit Bleu. f Nous croyous que nitre édilité est séneu- sérieusement préocoupée da la question de I s«voir queües mesures pourraieut être prises en uh de refrèoer sutant que possible 1- divecgondage caruavalesque >lout s 1 s gens hüuiiêt so flrem et se olaigne Nous espéro s que Le Progrès. en vei», de beaux sentiments, approver* hautemeut les mesures qui p urraient être prises. Entre*emps, il nous revient que 1 'Ont- houdersbond Yoruis se propose de faire ctrcuer uue petition en vue d'obtenir le3 mesures les plus urgentes Le Progrès »e manquera p is de signer des deux mains. li est vrai qu^ dans ce même n°, oü sa 2-* page Le Progrès s'emporte d'un beaa zèle contre le Carnavalil annonce a sa 3m* pa;e, en grandes et belles lettres, un Grand Bal, Paré, Masqué et Travesti a la Salie des Anciens Pompiers Toujours le mèine, le libéralisme... ua banc de sablecomme disau feu Léooold I, Roi des Beiges, et rien qu'un banc de sable, quand tl sagir de la defense d s priucmes sur h squels repose l ordr- moral social ei religieux. Ce n'est pas de lui que peut venir le salut. Sous le titre A méditer le Progrès écrit v A propos de l'installation du nouveau curé de Lesquin, M. I'abbé Podvin, le Journal de Roubaix du 18 janvier 1909, émet ces réflexions, que 110s curés oelges feraient bieu de méditer E' c'est tout un splendide programme d'aciion sacerdotal que développe alors le 0 nouveau curé. Le prêtre, montre-t-il, doit aider les hommesüremplir leursdevoirs individuels leurs devoirs familiaux, leurs devoirs so- ciaux. II n'est 1 ho.nine d'aucun parti, re- présentant d'une morale éternelle qui les domine tous et son action ne saurait s'éga- rer dans les compétitions de la politique Mais a tous, et a chaque instant, il doit enseir.ner la justice et la fratermté, aux riches comme aux pauvres, aux patrons comme aux ouvriers. 11 doit être comme un autre Christ, souffrant avec c^ux qui souffrent et entourant d un amour part'cu- lier ceux dont la vie est pius rude et qui ont plus besom d'etre aimés. II doit se sou- venir aussi que le bon Pasteur ne peut avoir de repos avant d avoir relrouvé la brebis perdue c'est a-dire cette fouie ou- i) vrière, dont les lésirs de justice et de fra- ternué sont une aspiration inconsciente vers le cathohctsme oublié, et qu'il doit aider dans son corps et dans son ame. Pour ce labeur immense, il compte sur Dieu et sur ses paroissiens, a qui il appartient désor mais tout entier et dont il soubaite êire toujours i'ami le plus sör et le plus i) dévoué... C'est tout bonnement édifiant,... presque touchant. de voir le Progrès servir a ses pieux lecteurs, ce résumé d'une allocution d'un curé a son installation Mais qu'il veuille nous croire, les curés beiges ont médité tout cela depuis longtemps c'est lui qui devrait un peu se recueillir... et se meltre agenoux... pour méditer. Donc,le Progrès trouve parfait que le prê tre doit aider les hommes a remplir leurs devoirs individuelsleurs devoirs familiaux, leurs devoirs SOC1A UX. Nous pourrons done dans la suite en appe- ler au Progrès pour taxer de sectaire la manière d agir de ceux qui éconduisent ie piêtre lorsqu il se piésente pour aider un mour a remplir un devoir Certainement trés i iduelcelui de bien mourir. N en appellerons de même au Progrès lors ri lui ou les gens dc sou bord, sou tien r nt que le prêtre sort de sa sphere i d'a tl quand li parle aux parents du grand devoir familial qu'ils ont de donnet et de lane aonuer a leurs enlants une éducauon et un cnscigncitieni toncièrement religieux et Chretien. Nous en appeüerons encore au Progrès lorsque... lui ou ses congénères vicnaront soutcini que le cuié sort ue sa sphere d action 1 s'occupe de politique uu moment qu il a .e a ses paioissiensues devoirshUClAÜX q .s ont a remplir, des responsaDilités qu'ils encourent lorsqu lis donnent leurs votes, p. ex. a des üomrncs dont Taction sera nélaste aux intéréts de la religion et de la morale. Mais, s'écriera sans doute le Projrés, M. '■'abbé Podvin, dit que Taction du prêtre c'.oitpas ségarer dans les compétitions «t vot. :que que ce ne sont que ces parolesil a... admiréeset proposées aux séneuses meditations des curés beiges. Pauvre Progrès, une fois que I'abbé Pod vin avait revendiqué au prêtre le plein droit, et lui avail reconnu le stiict devoir de veiller aux intéréts de la re.igion et de la morale dans les mdividus, d.ms familie et sur le terrain SOCIAL, il est par trop évident que par les compétitions politiquesoii ie prétre ne doit pas laisser s'égarer son action,il ne peu- vait plus comprendre que les competition» purement politiques, oü les intéréts de la religion n'ont rien a voir comme sont en France les compétitions entre Monarchistes, Républicains. Impérialistes et Royalistes, Orléanistes et Partisans des Bourbons, etc., et, comme sont en Belgique tant de questions qui sont uniquement politiques (organisation del'armée, protectiunnisme, réglementation du travail, etc., etc.) dont les curés beiges ont bien soin de ne jamais parler en chaire. Le Progrès le saurait depuis longtemps... s'il fréquentait un peu plus l'église... ce dout il aurait grand bien. Mais voila il plait aux libéraux beiges de faire de la libre-pensée et même de l'athé- isme en politique ils jurent de déchris- tianiser les écoles, et par les écoles la nation, et paree qu'il leur plait de proclamer que cela est leur politique il faudrait que les curés les laissent faire, de peur d'etre accusés de se mêler de politique 1 1 Allons done I Le Progrès nous dira peut-être qu'é Ten- contre de 1 avis du statufié M. Laurent, pour lui, Progrès, le Libéralisme n'est pas la libre-pensée, mais simplement une doc trine de liberté (1 ouf respectueuse de toutes ;es religions... même de la Foi chré- tienne, ce en quoi (il n'en doute pas) il fait preuve de beaucoup de tolérance 1 car nos lecteurs s'en souviennent encore, sans doute, un jour le Progrès a reproduit avec pleine approbation, un article d'un autre journal liberal, oü il était dit que les dogmes de notre foi choquent le bons sens. Hélas 1 Progrès, croyez-nous Vous re- tardez quelque peu 1 sur ce terrain la vous ne représentez plus le libéralisme... pas même Yprois... Vous ne ieprésentez plus que quel- ques personnalités vieillies. Et vous le sentez bien, chaque fois qu'il vous arrive de laisser parler votre naturel... libre-penseur... et qu'après... vous recevez sur les doigts. La commune de Zonnebeke comptait par- mi sis habitants un dos rares survivants des guerres do 1830, qui ont contribué a la fondation de l'indépendance de la Belgique. Frédéric Goddem est né a Zonnebeke le 16 aoüt 1811. Boldat milicien en 1830, il se rangea immédiatement, lors de léclosion de ia révolution, du cóté des patriotes belgas, qui voulaieut afïrauchir la Belgique du joug hoilandais. Après être resté plusieurs aunées encore au service de la patrie, il retourna ünalement au village natal, oü il reprit son ancieu métier de magon. II coutracta man age et deviut ie chef d'une nombreuse descen dance d'enfants et petits-enfaats. Un de ses fils, Jules Goddons, est établicomme maitre- majon a Ypres, rue de Lilie. Godderts, qui avait fait vaiLamment son devoir, ue caerch nuilement a se faire pas ser pour uu héros et nègligea même de conserVwr les pièces qui auestaient sa parti cipation aux óvéneme its de 1830. C'est seuieinent, coutraint par ie» circon- stancas,qu'il sorlit de sa réserve. II requt la pension quuue récente loi accorde aux glorieux héros de l'iudépendaoce. II était porteur de la Croix de Fer et i e la croix commémorative de 1830. Doué d'une forte constitution tt jouissant d'une excellente et robuste santé, il exerqa jusqu a un Age fort avancé son rude métier de maqon, saus jamais seméuager. (Jen est que depuis peu d'aunóes et après le décès de sa femme qu'il a quitté son métier. 11 vivait paisiblemont, sortant tous les jours, pour se retrouver a l'esta- minet avec des camarades. Toujours alerte et jeuue de coeur, il pouvait a peiue se plaiu- dre d'une légere surdité. Inutile de dire que tous les habitants de Zonnebeke ie tenaient en grande veneration etl'entouraient dun certain cultj respectueux et patnotique. Cette véueratijn ne Sc couiinait pas a son village. Lors des fêtes orga lisées en 1905, a l'oc- casion du 75* annirersairede Tludépendance beige, Frédéric Godderis vint a Ypres, vêtu de Tuniforme des combattants de 1830, et la population yproise se fit un devoir d'applau- dir e; d'ovationner ce vieillard plein de verdeur. Au nom de l'Administration com munale, M. lebourgmestreColaert lui remit comme souvenir une médaille gra d module représentant les Halles d'Ypres. Il portece même coTume de combattant le 1833 et cette médaille. Frédécc Godderis, qui n'avait j amais été malade, fut atteiut, ces jours derniers, d'une iégère grippe qui s'enveuima et l'en'eva a Taffection de sa familie et de sei uombreux amis le 25 févrie r 1909, dans sa 98* année. De giandei funérailles lui furent faites lundi. Le Gouvernement s'était faitofBciellement représeuter par M. Simou, ua haut fouc- tionnaire du ministère de 1'Intérieur. Re- marqué dans le cortège: MM. Henri Parret, conseiller provincial du canton; l'Admini stration communale au complet, baron Van Zuylen van Nyevelt, président, et une délé- gatlon de la Société des Anciens officiers et Sous-officiers de TArmée beige; des déléga- tions de la Société des Fi 8 des Ancieus Combattants de 1830, des Anciens Militaires de Roulers, las Anciens Militaires de Zonne beke; plusieurs officiers et sous-officiers du 3C regiment de ligue et de l'éco'e d'équita- tion d Ypres; la musique communale de Zonnebeke, l'Harmouie de Zonnebeke et une nombreuse affluence de personnes. Remarqué également plusieurs étendardset dififérentes courounes mortuaires. A l'église, Toffraude paraissait interminable. Autour de a tombe funéraire, de3 discours iureat prononcós par MM. Simon, au nom du Gouvernement; baron Van Zuylen vaa Nyevelt, au nom des AnciensOfficiers et Sous-Officiers de l'Armée beige, et par le président de la Société des Enfants des Combattants da 1830. S# 2# rfvSül S# 2# Mercredi 17 Février La discussion générale de la proposition d3 loi fixant la durée de la journée du travail dans les mines a été continues par M. Cousot,rapporteur, qui, dans un discours bien documenté, a défendu cette loi de justice qui intéresse les 120000 travailleurs de la mine. M. Wauwermans a déposé le rapport de la commission sur le projet de loi ajournant a 1910 les élections pour les conseils de prud'hommes purtiellement soumis a renou- vellement au moi- de Mars de cette année. A la séance de Jeudi on a entendu M.Ma- roille qui a défendu la santé et le bien-dtre des mineurs. Puis M. Donnay a fait uu long discours, trés souvent iuterrompu, pour prouver que c'est la puissance du groupe- ment des ouvriers mineurs qui a provoqué le mouvement actuel en leur faveur. Ce long discouis s'est continué Vendredi et M. Persoons a parlé dans le même sens, suivi par M. Bertrand. M Colaert dépose le rapport de la section centrale sur la propo sition de loi complétant la loi du 7 Mai 1888 relative a la répression de quelques abas commis par des administrations publi- ques de bienfaisanee. Le Présideut communique a la Chambre que la commission spéciale chargée d'exa- miuer le projet de loi portant délimitatioa de la froutière belge-franqaise entre West- outre et Sc Janscappel est composée de MM. Colaert, Van Merris, Dabunne, Rey- naert et Nolf. Mardi a3 Février L'interpellation de M. Verhaeghen con- cernant la soupe scolaire qui a été le pré- texte de ia crise échevinale Ganteise a fait de nouveau les trais de la séance et huit orat-iurs qui out encore beaucoup d choses a dire a c-e sujet auront seulement Mardi procbaiu leur toui de parole. Le debat a fait ressortir une fois de plus 1 odieux secta- risme liberal.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 1