Au ^énat La soupe scolaire Correspondence CUnOAlQL'Ë HLLIGIEUaE Sermons- de Garème en l'église de St-Nicolas Bepos dominical PHARMACIEN DE SERVICE ftécrologie Actes Ufticiels Mandement du Carèine Lp Vélodrome d' pr^'S fp iff* if* p* fes p* p1 p* fff* Gustave-Joseph WAFFELAEBT, iJ$ Le» séances de Mercredi, Jeudi et Ven- dredi ont été occupées par la continuation de la discussion de la limitation des heures de travail dans les mines qu'on aurait voulu cjóra du de cette seiaaine, uiais avec les 3ij orateurs encore inscrits cetait impossible,et le temps heureux nest pas encore vonu oü l'on pourra faire le saciitice de tant d'élo- quence parlementaire. A la séance de Jeuii, M. le Président Cooreman, vivement ému, fait part a l'as- semblée d9 la nouvelle doulourense de la mort s ibite de M. De Cocq, bourgmestre et, député de Malines. La Chambre écoute debout l'allocution présidentielle et prend une part unanime aux sentiments 'e regret» que cause la mort de ce collègue distingue et syrapathique. Le Sénat c'est réuni le Vendredi 26 Février pour procéder a la désignaliou de ses candidate a la place de conseiller a la Cour de Cassation reudfte vacante par suite de la mort de M. de Bavay. La première candidature échoit a M. de Hu'st par 66 suffrages contre 7 a M. Leurquin. Celui ci est présenté pour ia seconde candidature par 52 voix et 20 bulletins blancs. L'assemblée a voté ensuite, sans obser vations et k Puuanimité, le projet de loi approuvant la nouvelle convention mone taire internationale, ainsi que Ie projet modifiant les limites séparatives des com munes de Forest, Uccle et Ixellö3. Le Sónat a adopté le crédit de 200000 fr. pour les victimes du cataclysme italien et l'ajournement a 1910 des élections des conseils de prud'hommes. Nos pères eonscrits, en hommes sages, ont décidé de mettre en tête de l'ordre du jour de la prochaine reunion le projet relatif a la circulation d^-s automobiles. Le Sénat s'ajourne jusqu'a convocation ultérieure. M. Colaert, représentant d'Ypres, a Ia séance du 19 février dernier, a déposé le rapport de la section centrale sur la proposi tion faite par M. Woeste de compléter la loi du 7 mai r888, relative a la répression de quelques abus commis par les administra tions pubiiques de bienfaisance. On connait les faits qui ont motivé cet'.e proposition de l'honorable ministre d'Etat. Le bureau de bienfaisance de Tirlemont et celui des hospices civilj de cette ville avaient inscrit a leurs budgets une somme de 3.000 fr. en faveur d une société privee qui distribuait la soupe scolaire aux enfants fré- quentant les écoles communities. Un arrêlé royal du i5 aout 1905 annula ces deux articles Afin d'éviter le retour de pareiis abus, M. Woeste élabora un projet de loi qui vient de faire l'objet de l'examen des sections 011 la plupart des membres lui firent un accueii favorable. En effet, on a reconnu que l'oeuvre de la soupe scolaire, et plus généraicment l'octroi d'aliments ou de vêtements, ne sont pas du domaine ou de la competence des admini strations d'Hosp:ces. Quant aux bureaux de bienfaisance, si la loi leur reconnaït pareille extension, il est évident que tous les indigents de la commune doivent en fcénéficier et qu'on ne peut tolérer qu'ils octroient la faveur de la soupe scolaire aux seuls enfants qui fiéquentent des écoles communaks ou une école déterminée. Aussi laloi du 7 mai 188S a frappé d'une double sanction les procédés d-s administra tions charitables qui subordonnent leurs j secours aux indigents a l'envoi de leurs eu- fants dans des écoles déterminées. Pareilles j résolutions sont nulles, et les membres ou i employés de ces administrations qui les exécutcnt sont passibles d'amende. Le rapport, énumère successivement les j lecas oü 1 enseigaement prxvé serait insuffi- sant. Tout au plus peut-on prétendre que les deux enseignements sont placés, par la Con stitution, sur un pied d'égalité. La proposition de M, Woeste, conclut le rapport, compléte la loi de 1888. Elle atteint les délibérations des conseils communaux contraires a l'esprit de la Constitution et des lois dont nous venons de parler, et punit les niemlres ct employés des administrations communales qui exécutent ces délibérations. Desoncoté, le gouvernement a déposé, dans la séance du 24 janvier 1906, une série d'amendemcnts qui constituent un nouveau ou un autre projet de loi. Mon Cher Collègue, J'ai le plaisir de vous faire connaltre qu'il sera procédé prochainement a une adjudica tion restreinte pour l'exécution des travaux d'agrandissement du hangar aux marchan- dises et de construction de bureaux a la station d'Ypres. Agréez, mon cher Collègue, l'expression de mes sentiments dévoués. J. Helleputte. Bruxelles, le 2 Mars 1909. A Monsieur COLAERT, Représentant, Ypres. Nous osons espérer que ce premier tra vail d'aménagement aux bailments de notre j gare sera suivi sous peu par d'autres tra- s vaux d une réelle urgence. Nous avons de plus la conviction que notre sympathique Ministre des chemins de fer, faisant droit aux piaintes londées de notre population, nous accordera pour l'été pro- chain un horaire plus en rapport avec notre important commerce de meilleures corres- pondanc,.8 avec le centre de la province et du pays et enfin un materiel un peu moins préhistoristique que celui dont nous sommes gratifies depute un derni siècle. Le Révérend Père Hoffmann, Jeudi soir, a entretenu son aüdnoire de VAvarice qu il a délinie l'amour désordonné des richesses. De ce vice, nous avons une conception incomplete ctre avare, c'est aimer 1 argent pour lui rnême; e'est trouver une satisfaction a le paiper et a le tou her. C'est la une des faces de l'avarice. Est aussi avare celui qui aims d'une manière de'sor- donnée les richesses peur les jouissances qu'elies procurent. L órateur analyse l'amour le'gitime des richesses et mov.tre ie röle qu'elies jouent puisqu clles soru acccrdées par Dieu, elles sont bonnes nous en retirons des avantages, nous pouvons en iouir. Ma is cét amour des richesses devient promptement une passion insatiable. On veut posséder, et posséder de plus en plus. Pour se donner des jouissances, des plai- sirs, on les recherche elles deviennent le Par arrêté royal un subside de 4138 fr- 24 est alloué pour l'exécution de travaux artisti- ques a la fabrique de l'église de St Pierre Ypres. Un arrété royal du 16 Février 1909 accorie un subside de 294 fr. 89 la fabrique de l'église de Becelaere pour la restauration des toitures de l'église. Par arrêté royal du 18Février 1909 la croix civique de i« classe est accordée a M.T. Tho mas, institeur communal a Reninghelst. Par arrêté royal du 25 Janvier 1909 la re- connairsance légale est accordée a la société mutualiste d'assurance contre la mortalitó du bétail Hand in Hand établie k Wervicq. Par arrêté royal du 22 Février 1909, M. le comte C. Mouchet Batteffort de Laubespin, est nommé eourgmestre de 1» commune d'Elverdinghe. Par arrêté royal du 'i 1 Février 1909 les modifications apportées aux statuts de la société mutualiste La Gerbe établie k Ploegsteert, sont approuyées. Dimanclie 7 Mars igog C, LI BOTTE, Marché au Beurre, 29. La population Yproise a appris avec peine la mort de M. Ie chevalier Jean Ruzette, fils alnéa de l'honorable gouverneur de la pro vince, décéde' au collége dsl'abbaye de Ma- redsous l'age de 16 ans. Cet excellent jeune homme que Dieu ap- peüe a Lui au pnntemps de sa vie, faisait la jnie de sa familie qui pouvait fonder sur lui les plus bedes espéranceset qui se sent main- tenani si douloureusement frappé?. Nous présentons a notre gouverneur bien aimé et a Madame la baronne Ruzette 1 ex pression de nos cliréiiennes condoléances. Nous prions Dieu pour qu'il donne a ces époux affhge's la force de ia resignation et du courage dans la pjjibl? épreuve qui les accable. seulobjet <le nos préoccupations. Lorateur montre comment dans l'óvangile N. S JC. a été sévère pour ceux qui sont dominés par cette passion et passé en revue les mots qu'elle engendre. Elle affaiblit ie sentiment religieux elle diminue notre foi, notre espe'rence, notre charité. Elle obscurcit 1 intelligence, elle étouffela conscience et elle endurcit lecceur. L'éminent prédicateur conclut en disant qu'il fa ut latter contre cette passion si vile il faut lui cpposer le detachement et la géné- rosité. Par aTêlé royal du 24 Janvier diverses lois en verlu desquelies l'airêté de 1905 a pu condamLer les dispositions du '^al ariele roi'Jl öu 24 Janvier 1909 un conseii communal de Tirlemont et c'est a subside de i3?9 ir. 12 est accordé a la fabri- juste titre que dans les développements de sa 1ue cK^iee de Notre Dame a l'operinghe, proposition de loi, M. Woeste se base sur la P°u,r 'a restauratlon de sept pilliers de liberté de conscience et la liberté d'enseigne- j 1 e8use- ment, consacre'cs par la Constitution, aui n - - ij t? 1 Par arrete royal du 1 ho/ner 1909, M. R. j Decool a Watou est autorisé sous certaincs conditions a établir une fabrique de tabac en v, consacrécs par la Constitution, qui seraient illusoires si, par des moyens directs ou indirects, les pouvoirs publics pouvaient obliger les parents a envoyer leurs enfants dans une école dont Penseignement ne rc- pondrait pas a leurs convictions. L usage qu'ils feraient de leurs ressour- ccs, dit 1 honorable ministre d'Etat, serait particulièrement odieux, si, exploitant le dénüment dos pauvresgens, ils en tiraient parti pour ne leur accorder des secours qu a la condition d envoyer leurs enfants dans les écoles que cm pouvoirs patron- nent. Ces raisons de droit et de fait nous parais- sent justes. On peut y ajouter que 1'articie 17 de la Constitution, en proclamant d'une facon absolue la liberté d'enseignement, a interdit toute mesure préventive, et que, en décidant que 1 instruction publique est éga- lement réglée par la loi, le légisiateur consti- tuant n'a entendu faire de celle-ci qu'un enseignement subsidiaire, e'est a-dire, pour cette commune, sec'ion A, Nos 3g3c et 3q3a du plan cadastral, a environ 840 mètres de la frontière. Un airêté royal du 3i Décembre 1908 ap- prouve les délibérations des conseils commu naux dont les r.oms suivent et qui sont rela tives au régime des taxes d'expertises sur les viaudes de boucherieGheluvelt et Ploeg steert (maintien des taxes). Un arrêté royal du 3 Féviier 1909 alioue un subside de 4739 fr. 67 a la fabrique de l'église de Passchendaele pour les travaux suppiémentaires effectués a 1 église. Par arrêté royal du 6 Février 1909 le con- Siil communal de Wervicq est autorisé emprunter par 1 entremise de la Société du Crédit communal la somme de 1 to. 100 fr. Nous avons appris avec regret la mort de M ensieur Eugène Moreau, né a Ypres et décédé a Bruxelles dans sa Ó2e année. Le regretté défunt avaif résidé de longuts années dans sa ville natale, y donnant l'exemple d un chrétien sincere et convaincu, d'un catholique désinléressé. d'un membre inodèle de la Conférence de St Vincent de Paul. II possédait l'estime de ses concitoyens qui ie virent partir a regret il j a quelques années pour la capitale oü il s'était fait de nombreuses relations dans le monde catholi que, y faisant le bien avec uns discrète modestie. Nous présentons a sa familie nos chrétien nes condoléances. Que son üme repose en paix dans le sein de Dieu. Dqcteub en Théologie, Par la miséricorde de Dieu et la grace du Saint-Siège Apostolique,Evêque de Bruges, au clergé et aux fidèles de notre Diocèse, salut et bénédiction. N s trós chers Frères, Le Seigneur a ditCelui qui aura cru et qui aura été baptisé, sera s mvé; inais celui qui n'aura pas cru sera condamué. Quiconque me conLssera devant le3 hom mes, je le onfesserai moi aus i devant mon Père, qui est dans le cielmaïs celui qui m'aura renié devant les homma3, js les renicai moi aussi devant moa Pare, qui est dans le ciel. Et l'Apótre easeigne que S ■•ns !a foi il est impossible de plaire a Dieu, car celui qui veut s'approclier da Dieu doit croire que Dteu ex-ste, et qu'il est le réaaunérateur de ceux qui le cherchent. Jamais peut eb e ff ne fut plus opportun qu'aujoard hui do nous rappeler cesp.iroles de la v'érité, jamais il ne fut plus néces saire de nous ressouvonir do ces avertisse ments divius, puisqua jamais la foi, qui est le commencement du salut, Is fondement et la racine de touto justificationne parait avoir été menaces davantago chez uu grand nombre. En effet, aucune époque de l'histoire, de l'Eglise on ne vit uu acharnement plus grand de l'impiétó pour arraeher les ames a l'Eglise, un effort suprêue de toute3 les puissances de l'enfer, comme celui dont nous sommes les témoins attristé3 pour éteindre la foi dans les coeurs. Co n'est pius une hérésie particulière qui surgit, contrai re a l'un ou 1 autre dogme do la foi, ce n'est plus un point da doctrine morale que l'on proelame en opposition avec la morale évaugéliqueeest a la religion et k la mora'e suruaturelles dans leur entier que l'on s'attaque, l'on wut saper les bases mêmes de la foi, que dis-j les véri'és fon- dam ntales de toute religion et de toute morale jusqu a la vérité inême de i'existeuce de Dieu sont battues en brèohe. Chose étonuaute, et qui certas ne fait pas bonueur au soi-disant siècle de lumière, le Concile du Vatic in après dix-neuf si"cies de civihsa ïoa ctirótieuue a éte foi c" do proclamer et de défiiur soleuu lemeui la vérité de i'existence de Dieu Or, cost précisément sous les dehors trompeurs d la science qu i'iinp'étp u;c- derne eatre en .utte co'o.re i s eus> i,ti men ts de la foi. Les sciences de la nature I f -.t i" de l'antiquité les Livres saints eux-mémes et la critique b'blique lui four issent tuur a tour des objections qu'elle a'cumu'e dans les broch 'res, les tracts, les fe u les voJau- tes qu elle distribue pir mil iers. Ils le sa veut bien ces faux savants rien n est plus lacile que de formuler ces sé< fes de dilficultés, plus spécieuses que réelles, qua la plupart de leurs iecteuis ne s ront pas a même de résondre, n'ayant ni les aptitudes ni la science requrses a cet eff t, ni les loisirs suffisanis pour s'instruire. Ils savent qu'il est aisé de présenter uue objection, saus avoir besoin - de longues études ui de laborieuses recherchesau contraire pour répondre a une objection, même de détail parfois, il faut bien souvent de lonques et savantes explications, qui supposgnt un lecteur spécialiste ou du moins. un lecteur d'une science ou d une perspicacité peu commune. De plus, quand il s'agit notamment de l'antiquité et de difficultés tirées des Livres saints de l'Ancien Testament, comnien de choses, d'abord, qua même les plus savauta igno rant et qui auraient besoin dêtre counue3 pour résoudre certaines questions difficul- tueuses ensuite, combieu il est malaisé, simn impossible, de se mettre dans le milieu, oü cepeiidant il faudrait se trouver P°hi" jugei sainement des rnoeurs et des faits si éloiguéa de nous, si étraugers a notre civl isation actuelle et a la matiière de voir, et de psnser d'a, présent. L impie sait tout cela, et il en abuse pour en imposer au lecteur imprude-d. II est vrai qu'una objection quelconque aa constitue qu'une difficulté qui, fut e le insolublepour le momrnt.ne sauerait jamais démontrer qu une doctrine e iseignée par l'Eglise est orronée, ni entamer lensemole de cet admirable édifice du dogme et de la morale chrétieune, fondó sur 1 èternelle Vérité trè3 souvent encore les objections sont basées sur une fausse intell gence, sur une interprétation erronée du dogme, et elles sont sans valeur aucune aux yeux de celui qui esr suffisnmment instruit dans la to:. Mais il est vrai aussi que la lecture de ces écrits remplis de blasphèmes ei émaiffés dobjeclio s plus ou moins spécieus s contre la religion constitue un grave dauger pour la foi chez ceux qui, tout lettrés quils soieüt d'ailleurs, n'ont pas la science et 1'instruction religienses assez développées, et pour tous iudistiuctement qui n ont qu une foi cbancelaute, la fed sans les oeuvres, et dout trop souvent 1 orgeuilleuse raisou veut juger de tout et tout mesurer k sa mesure. Nous sommes convaincu, N. T. C. F. qu'ü moius da vivra conformément aux préceptes de a foi, dêtre chrétiens vra meut prati- quants, de coofesser la foi par ses oeuvres, par uue vie chrétien e et uu attachement iuébranlable a l'Eglise de Jésus Christ, disons même, k mmns de confesser la foi par la parole en pre.iant sa defense, il est difficile de nos jours, smou impossible de conserver sa loi intacte et de ne pas s'expo- ser même a ia 4 erdre. L vous est facde, N. T. C. F., de corn- prendre par ce qui précè ta combien ii est important, combien nécessaire, non seule- meut déviter toute lecture dangereuse, mai3 encore de s'instruire positivement dans la foi, plus que jamais il faut que les chiótiens soieilt k mêoie et prêts ci satisfaire quiconque demandera la raison de l'espé- rance qui est en eux. 1 Qu ils sont bien avisés vos Pasteurs qui 1 considèrent comme un de leurs plus graves devoirs ceiui d'enseigner Enseiguer a l'égli se et a i école, et faire 1 oeuvre de l'instruc tiou et de léducation chrétienues de l'en- fance et de la jeunesse leur oeuvre de predilection, euseigner partout, en cbai"e, dans les assemblees des congregations, pa- tronages on oeuvres quelconques, étiger même de nos jours deB cercles spóciaux pour l'ótude et la défense de la foi, voila c rtes une oeuvre capitale. II semble même ne plua suffira aujourd'hui que les pasteurs desaines, et ceux qui les lemplaceut et les aideut, enseignent par la parole dans les école3 et dans les assemblées des fidèles, tout le monde niaiutenant veut lire, et personae n'ignore combien 1 im, ïóté abuse da »a pre^se pour servir aux intelli gences et aux coeurs uu aliment nou seuie- Kk-nt dangereux, mals uu vóritauie poison des ames, capables de causer ia ruïne irre parable de la foi et des rnoeurs curétieu- nes. C est pourquoi une oeuvre nouveffe a surgi, 8pécialem9ut destiuéa a l'instruciion religi- euse et k la défense de la f i par la voie da la presse.par la bonne Fcture.L'oppnrtui ité et l'impoi rauc do cette ceu~re que nou» recom- mandons viv m >nt a votre bienveillante attontiou, ne sauraient vous échapper. Gomme il est péni le de voir un grand nom bre d'liommes abuser de leur intelligence et d? I* sc ene- pour per-lre i°s ames, tout en travailhiut a leur propre perte 1 Comme il est pónib e de co"s ater cet abus des dons naturels 'es plus nobl s dont Dieu ait pu gratffier u.ie créatnre, dons qu; par leur nature même sont futs pour la reco duire v< rs ce Dieu, sou origine et s t fi>. ffernière a suivre Le Conseii d'administrat on de la Société anonyme du Vélodrome d'Ypres a l'hon neur dinforrr.er le public que l'ouverture du vélodrome est fixé au Dimanche 4 Avril prochain, A cette occasion une grande réunion cycliste aura lieu I •quelle prendront part M. Arthur Vanderstuyft, le recordman du monde entier derrière grosses motos et M. Plateau, gagnant des courses de vitesse de 6 er 8 heures, en plus d'autres cou'eurs dont les noms et le programme paraltront hientót L°s prix d'entrée au vélodrome sont fixés comme suit Tous les jours en dehors des jours de réu nion et Ie Dimanche de réunion jusqu'è midi 0)25 Les jours de réunion Places populaires, grandins 0,75 Virages ,i5o Tribunes 2,5o I-oges 4(00 Loges pour 4 personnes j5,0o Oo délivrera aussi les abonnements sui- vants, valables tous les jours Pour les coureurs avec accès aux virages 10.00 Pour le public avec accès aux tribunes 15,oo En dehors des fétes organisées par la Société du vélodrome, les abonnements sont suspendus. Les abonnements seront délivrés au Siége de la Société u Café du l'etit-Ypres rue de Dixmude, 51a partir de cejour. N. B. Toute soc'été sportive, désireuse de faire usage du terrain du vélodrome, pourra faire offre et demande au Siége de la Société. Pour le Conseii d'administration, Le Président H. JONCHEERE. Le Conseii d'administration de la Société anonyme du Vélodrome d'Ypres - a 1 hon- neur d'informer le pubMc, qu'tl mettra en location, pour l'année 1909, \t buffet princi pal, construit aux frais de la Société ainsi qu'un buffet ou échope a placer dans les places populaires par le locataire. Outre les cinq grandes réunionsqae don- nera la Société, d'autres fêtes pourront y avoir lieu. I est a noter que le locataire ne pourra y débiter que les jours de fête seule- ment. Les soumissions cachetées devront être envoyéesau Siég? de la Société, Café du Petit-Ypres rue de Dixmude, 5r. pour le leudi 11 Mars 1909, £17 heures du soir. Pour le Conseii d'administration, Le Président H. JONCHEERE BURGERSTAND VAN YPER Van den 26 Febr. tot den 5 Maart 1909 Geboorten Vanhaecke 'licia, Rlauwe Leliestraat. IVIaire esideer, KLversiraat Vandamme WiPy. Flondstraat Decroix Karei, Groenesfraat. Moniez Roger, Doorgangstraat. Cotipin Mauritz. Ravelynstraat. Wolff Emiel 1 Wt Iff Elza, Blverdinghestrast, Gouwy Florinda, Mondstraat. Gantaert Margareta, Hondstraat. Nuytten Est'ier, Zillebekestraat. Sterfgevallen Durnez Emile, t maand, Wati-ringstraat. Carton Joanna, 3 j., Grimmiuckstraat. Goinyn Angela, 4 m Mond traat. Vandamme Catüarina, 8g j,, z. b., we Degryse Louis, Rijselstraat. Hoffman Erailio, 53 j., z. b., echtte Hartert Jan Kalfvaart Deconinck Jules, 3 m., Minneplein. Leieu Gatharina, 57 j kloosterlinge, ongeh., G. de Stuersiraat. Mahieu Charles, 82 j., z. b., wedr Vermeesche Adolphine en Durnez Pelagie, Ryselstraat. Gaene Henri, 67 jz. b., ongeh., L. Thourouts* Grande surprise pour notre ville La aeul dépositaire du Diamant ALASKA et genre esthétique, celui qui est admiré dans toutes les villes d'tau. Vient sur le champ de autre foire pour quelques jours seulement. Nous consetllons nos charraautes lectrices d'aller le voir. 0'esi uue merveilie. AdressaALASKA Champ ue Foire au Marché Bas.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2