s© gg^ggggg® Le canal de la Lysa 1' perlée Audition tiyclandt CUftOMQUE RLL5D1EÖSE Sermons de Larème e?i l'église de M-Nicolas Mandement du Larèiiie Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Mort du Rombaud, Carme ÜécSiaussé Le prochain Longrès général des Catholiques mQQQQQmQQQQQm GlIitOilQUti RLLUiitlbL Di manche 14 Mars OUVERTURE DU VÉLODROME VOYAGE EX OU!ent Guslave-Joseph VV v FFEL4E;- T, séparés par une allée centrale. Une partie encore, se continue le long des Halles et une dernière setreuve Place Yandeopeereboom, 11 y a done moyen d» faire un bout de prome nade n'était ce fichu temps et cette marme lade de boueNotons le cirque Dejonghe, un des plus fameus en son genre, sans bluff, mais des artistes de première valeur et des savants de tous genres; le théatre Michelo, oü il y a du plaisir sans payer beaucoup d'argent le carrousel Opitz, doublé d'un cinéma avec les nouveautés les plus moder- nes le théatre Renouprez pour les amateurs de représentations dramatiques, toujours trés courru, dommage pourtant que le ré pertoire contienne des pieces qui ne per- mettent pas a tout le monde de fréquenter le théatre Qui ne voudrait voir la vie d mineur, sans rude labeur, ses dangers, ses joies, allez visiter la fosse mécanique S'Eli sabeth ah voici les forts, des biceps, des nerfs, des luttes émouvantes et bien calculées a l'arène de Pierre le Gantois; la taille humaine diminue disent les statist'ques, possible, n'empêche que nous avons au champ de foire un géant de sm 33, bien d'aplorb et tres robuste; mentionnons encore une ménagerie oü la qualité des animaux remplace la quantité des tirs pour amateurs de stands et autres garde- civiques, pékins et militaires des Iritures trés proprettes; des jeux d'adresse, des car rousels; des vélodromes, des marchands de Iriandises, nougats, jouets et articles divers et même des voyantes tellement perspicaces jusqui faire sortir i'argent des porte- monnaies des naïfs, des gogos et des zwan- zeurs. Souhaitons que tous fassent des affaires d'or et que pendant les derniers jours de notre Katt- feest le temps soit un peu plus clément et engage les gens des environs et bon nombre d étrangers a faire un tour a Ypres. Les forains et nos concitoyens ne pourrontqu'y gagner. M. Nolf avait posé le 2 mars la question suiyante En séance du 21 aoüt 1008, M. le minis- tre a bien voulu nous faire savoir que son intention était de procéder sous forme de concours a (adjudication des travaux d'a- chèvement du canal da la Lys a l Yperlée de f?,gon que le projet d'aclièvement du dit canal soit réalisé daas le courant de cette année. Quand M. le ministro compte-t-il faire procéder a (adjudication annoncée M. le ministre des travaux publics a ré- pondu de la fagon suivaiste a la séance de mardi dernier Le pro;et de cahier des charges devant régir l'adjvdication-concours dos travaux d achèvement du ca al de la Lysa (Yperlée est actuellement soumis a (examen du con- seil des ponts et chaussées. Je compte dene pouvoir donner suite pro- chainement a cette affaire. Nous sommes au regret de ne pas pou voir insérer dans le présent numéro un compte-rendu de la séance du 9 Mars qui nous est parvenu tardivemnt. Nous serons heureux de le publier Samedi. Jeudi passé a eu lieu a Poperinghe l'in- sta'latiou solenneile du trés Rév. chanoine M. Vervaeke, commc cure de StBertinet doven du district de Poperinghe. La cérémo nie était faite par M. le chanoine Van den Berghe, vicaire général de S.-G. Mgr i'évqua. Un peu contrariée, dehors, par un temps gris et maussade, elle n'a pas 'aisséd'ètie fort belle et imposante. A son arrivée le nouveau curé-doyen a été complimenté par M. Lebbe, président de la Fabrique d'église. Dans un speech vibrant d'éloquence l'orateur exprima toule la joie que la paroiss» de St Bertin, et la ville toute entièreavaient ressentie lorsqu'oneut appris que le choix de Sa Grandeur était tombé sur la personne du chanoine Principal du Collé ge de Bruges, frère de M. l'rtbbé Vervaeke, ancien Principal do collége de Poperinghe et maintenant Inspecteur des éc®les. A l'expression de ces sentiments de joie M. Lebbe ajouta ceile des grandes espérances que tous fondent sur le nouveau curé-doyen, et des sentiments de respect, de soumission et d'amour que tous lui ont voués a jamais. Après ce beau speech, le cortège se met enmsrcbe; cortège vraiment magniüque, formé de groupes divers tous remarquables par leur boa ordre et la richessö des cos tumes. Inutile de dire qu'une icule énorme, res- pectueuse etsympathique form ai t haie tout le long du parcours et remplissait toutes I03 feu ét ros Les rues étaient décorées avec beaucoup de gcüc et les facades, a, peu d'except!oii3 prés, disaieat la bienvenus au nouveau pasteut, par des drapeaux et par beaucoup de belles inscriptions Après la cérémonie de l'Eglise.un banquet nombreux et distingue eut lieu au Cerele eathoiique. Au dessert «1le chanoine vicaire général pnt ie premier la paroie pour beire la santé du vénéré installé et féliciter la paroisse de St Bertin et la ville de Popeiioghe d'avoir recu M. le chanoine Vervaeke pour curé et doyen, et pour fé'ici- ter M. le chanoine Vervaeke d'avoir regu St Bertin et Poperinghe pour cure et doyenné. Après M. le vicaire général, M. G Lebbe, président de la fabrique d église pi opo3a a son tour la san'é du nouveau curé, dans des termes trés choisis et trés lieureux. Après lui, M. Van Mèrns, représentant et bourg- taestre, prit la parole, pour porter la santé du nouveau doyen au nom de i'administra tion communale dans un toast plein d'hu" mour et de franche amitié. Ls nouveau doyen prit enfin lui-meme la parole et avec des mots qui venaient du coeur et allaient aux cceurs il exprima les sentiments de reconnaissance dont son Urne débordait et la pensee bien arrêtée chez lui da se dévouer, corps et Ame, au bien de ses ouailles. Cest de l'envie qua le Révérend Père Hoffmann a parlé Jeudi soir. G est la iristesse éprouvéa a la vue des avantages dont jouit le prochain et la joie causée par les malheurs qui lui arrirent. II 11e faut pas confondre l'envie avec la peine que nous pouvons ressentir en remar- quant que des charges sont aux mains d intrigants ou d inbabiles, que des riches- sts appartionnent a des avares qui ne veu'ent pas les employer pour le bieaavec la cc ncurreoce qui désire dépasser par des moyens honnêtes c?ux qui out la même professionavec 1 emulation qui nous excite a être plus vertueux que ceux dont nous considérons la vie sérieuse et ch étienne. La tristesse exitée par l'envie a un carac- tère particulier. Nous sommes affligés par ee que nous croyecs que les biens po sédés par le procbain, liens spirituels on biens temporels, i.ous cans nt un préjudice, que nous devrious les avoir et non lui. La source de l'envie: e'est legoisme. Nous voudrions jouir de tous les biens et de tous les avantages. Seals nous nous en crovons dignes. Aussi com me ce vice se rencontre fré* quemmentdans L us les rangs de la société, nous le d.'eoavrons. Cependas'c quels tour/nects il cause. On le représente sous Ls traits d'une f»mmo a j ia figure pale et drchirnue aux yeux lividee; j aux minus portant des epnes, au crour dé vore par uo serpent. L'envieux s'irrite, s'aigrit, se dessêche, moralement et pbysi- quemente'est un ver rongeur. Les autres vices procurent quelque satis- föc'.ioü re-ui-la aucune. j L'envieux i.'aimo pas Dieu il ne peut aimer coti procbain. il ne peut reconnaltre ses qualités et ses mérites; il redoute ses inférieurs il est défiaat vis-a-vis de ses égaux, il jaiouse ses supérieurs il denature les intentions, il rabaisse toutes les actions; il so réjouit quand d'autres sont dans la douleur. j Aussi que de bassesSes renferme ce vice il est le partage des esprits étroits et vulgai- 1 ras il engendre la méchanceté, la Jacheté, l'hypocrisie. L'envieux est un malheureux, il cache son vice et ii en souffre selon le mot si profond d'un l'ère de l'Eglise e'est una pourrituie qui pénètre dans les os c est un venin qui corrompt tout ca que nous faisons. Toujours poursuivi par son vice.i'euvieux 110 peut tiouver ni paix, ni joie, ni conso lation. Lattons contre ce vice que la charité cluétienne ouvre nos cceurs, les transporte de son souffle divin au dessus des mesquine- ries, des tristesses da l'envie. 3#*. >J$ rt£ Docteur en Théologie, Par la miséricorde de Dien et la grace du S a int-Si ège A pos tol iqite, Evêque de Bruges au clergé et aux Jidèles de notre Diocese salut et bénédiction. (Suite) Nous disons que les facultés supérieures de la créature raisounable la conduisent nalurellemiLt vers le Crea'eur, pour le raconnaïtre et l'adorer. Développons un instant cette pensée. Lorsque nctre ême fait retour sur elle- 3 même et qu'e'le considère attentivement ses i est faible, défaillante et sujette au chan gement. (Test la un averxissement pour tout esprit loyal et sincère de ne pas se laisser aveu- gier par l'orgueil et la passion, et de sentir vivemeut le besoin des lumières et des se- ccurs d'en haut. C'est l'un des extremes, sa faibiesse et son impuissance, qui conduit déja vaguement i'ame aux aspirations vers laDivinité. Mais d'autre part, lame constate que l'intelligence na sauiait se contenter des premières idéés générales et transceudantes qu'elle coogoit tout d'abord, ni des notions vagues et obscures, qu'elle veut en outre des notions particuüères, détermioées et com pletes, qu'elle aspire a des idéés précises et claires que plus eLe acquiert de notions plus elle en veut acquérir, que ses aspira^ tions vont a l'infini. Et quant aux objets de ces notions, taud;# que dans tous les objets qui l'entourent notre esprit trouve partout des êtres liinités, imparfaits, finis, il veut mouter plus haut, et il rencentre pour la première fois en lui même l'idée d'une perfection simpief c'est a-dire 'une perfection qui n'implique pas eu soi l'idée d'imperfectiou et de limite, car telle est la perfection de l'intelligence et de la voionté, tel est 1'être spirituel. qu'i'. est possible e le concevoir, sans aucune limite de perfection, comme i'esprit 'nffni. Voila do ;C l'intelligence en presence de l'idée d'un être sans limits, d'une perfection infinie. Encore la *eule notion de l'infiui ne lui donne pas le repos. Elle n'est pas satis- faite par la formation d'idées ou de notions elle va naturellsment jusqu'a la counais- sance parfaite'qui est dans lajngement, par lequel ebe constate '"existence des objets et ce qu'ils soot. Elle n'aura done pas d'apaise ment avaut d'avoir saisi l'idée de 1 irifini, et d'avoir jugé de sa réalité objective, c ast-a dire de l'exi.stence de l'être infim et, autant que possible, dece qu'il est en lui-mème. Telle est la naturo de l'inte'ligence, qui en révêle l'origine et nous la moutre déja comme écaut un veritable reflet de Ja divi- nité. Do même dans la voionté iibre, malgré sa faibiesse et sa mobililé, il faut reconnaltre un pouvoir do domination sur ses aetes, qui ne saurait subir de contrainte de la part non seulement d'aucune puissance finie, mais d une puissance quelconque, même divine et sans limites. Nouvelle image de Dieu que nous trouvons dans ie libre arbitre de l'hommo. Cest 1 autre extréme que nous constatons dans les facultés supérieures de l'bomme, cest a-dire 'a perfection de son intelligence et de sa libre voionté. et qui de même le ramène natureliement vers son Créateur et sa fin dernière. Malgré tout cela, dans l'état déchu de 1 humanité, 1 bomme se laisse trop souvent aveugler par les passions et surtout par l'orgueil, jusqu'a se détourner de Dieu, son principe et sa fin, et jusqu'a refuser le secour8 que la Providence par me bonté toute gratuite lui offre par la révélation et la grace sumaturelles. Qu'elles sont heureuses les ümes simples et droites qui, ayant regu au baptême le don inestimable de la foi, y trouvent la lumière divine qui les échnre et les guide dans toutes leurs voies, les met en poss -ssioa de Ia vérité, et leur montre avec sécurilé le chemin qui conduit a la béati'ude éternelle. Quelles actions de grdce nous devons a Dieu, N. T. O. F., paree qu'il a illuminénos intelligences par ce don si précieux et nous a fait participer ainsi a sa science divine elle-même. Avec quel soiD jaloux nous de- vot.B cons8ryer le don de Dieu, avec quel zèle t ous devons travailler a propager la foi et k la défendre, chacun selon ses moyens, surtout oü il s'agff des Ames qui lui sont confiées a un titre spécial. Nous le pouvons tous en nous intéressant pratiquemeut a l'oeuvre si importante des écoles catholiques de tous les degrés, k la nouvelle oeuvre de l'instruction religieuse et de la défeuse de la foi par la presse, a l'oeuvre de la propagation de la Foi, de la Ste-Lufence. nes Missions nous ie pouvons par nos r rières et par nos aumónes. par la diffusion de bons journaux et ;e bons livres, par une ooópération parfois plus directe selon les circónstances. Avec pieine coDfiaDce N^us faisons appel a votre attachement bien connu a 'a Sainte Eghse et k la loi de nos Pères, pour combat- tre vaillamment ies dangers qui la menacent, pour soutenir avec peisévérance la lutté pour la plus sainte des causes, la conser nation de la foi dans notre chère patrie et l'extension du royaume de Dieu et de son Christ, qui soit lcué et béni dans tous les siècles. Tordination sacerdotale a Bruges le 3 Avril 1870, fut élu prieur d'Ypres en Mai 4876, renonga a cette charge vers la fin de 1877 pour se vouer al'apostolai dans le Ma abar, cd il arriva au commencrment de l'auoée suivaute. Apiès avoir réaidé treis q atre ans a Cochin, il lut appeié a Vérapoly, au centre de la mission, et bieutöt nommé pasteur de 1 importante église et chrétieuté de Chattiath. Eu 1895 il succéda a Mgr Marc-llin Berardi, G. D., c imme Vicoire général de 1'archevêquH e Vérapoly 11 s'endormit pieusemeui dans le d ig'.eu' le 1 Février deruier. Jamais on ne pjurr due, jnnu- 011 n saura, tou le bien accompli paf Ie P. R nu baud dans sa Lborieus caTière aux I d En effet, duiaot les trenie a nees qii y résida saus revoir sa patiie, '1 n'a poi i cherchè un iustant de repos t. avail.e m infatigable, son zè!e n ut d'égale oue son invincible modestio D un. chari 1 ép i-a- bie, il était aussi d'un dévoueuie d qai ne reculait devant aucun périipendaui ,es épidémies si fréquentes aux lodes, on L voyait courant partout oü le tiéau abat'ait des victiines, recueiilant dans ce ministère une ample rnois on d'hines. Eutouré de 1 estime et e 1 afleciion de ses évêques, de ses confrères, du clergé in ii- gène, des Soeurs Carmélites tertïaires tout particulièrement, iesqueiles véuéraieut en lui un directeur éclairé et un bienfaiteur, du peuple tout entier, qui l'aimait et l'honorait comme un père et un arbitre, des autorités tant Britanniques qu'indigènes, le P. Rombaud tit honneur a l'apostolat beige. Le jour mènia d« son décès, 1 archevèque de Vérapoly, Mgr Bernard de Jésus, C D., écrivait 'es lignes suivautes Aujourd'hui, 1 Février, a deux beures de relevée, il rendit son ame a Dieu, après une longue et pénible maladie, supportée avec la resignation la plus édiiiauieCe fut Ie c uromrement d'une vie sainte nent consumée aux besoins de cette mission. Sa mort a été pieose et doacele regard de son ame semblait ne poiut se distraire de la v:e de Di^u. L'Ar- chidiocèse de Vérapoly vieut de faire uoe grande perte. Tout le monde admirait st science et sa sagesse. Comme religieus et comme missionnaire, il était vraiment un saint. Qu'il repose eu paix, et prions pour lui. Les dernières üeures da sa vie furent marquees par un fait, j'allam dire par une cérémonie, réeliement admirable. Los ou. ailles du vénérable mourant, inconsola1 las a la pe-sée de le perdre, se lameDtai. nt bruyamment et réclamaient la faveur de voir leur père uno dornièra fois. Le vieux missionnaire accéda a cette demande et admit son peuple, par dizaines de personn«s, auprès de sa couche II requt ainsi ies adieux de ses paroissiens et leur donna une suprème bénédiction. Ajoutou8 que l'inörmité qui a conduit piématurément a la tombe notre vailiant apotre, n'était autre que l éléphantiasis, maladie trés répandue au Malabar ba robuste constitution et surtout ia généreuse ardeur de son üme aoostolique lui faisaient porter joyeusement l'affreux mal qui para- lysait moins sou zèle que son aetion exté rieure. Jusqu'ü ces deruiers jours ii se dépensa au dela de la mesure de ses forces, qu'il ne consentait noint a voir faiblir. II succomba k la téche Ses oeuvres l ont déja suivi la-baut, expnmons en la confiance, sans oublier toutefois le saint devoir q>-j réclame quand même nos cbaritables suf frages. A Dimanche 14 Mars 1909 C. MAY, Grand'Place, 35. facultés d'iutelligence et de voionté elle constate aussitot deux fails, qui sont en quelque socte des extremes opposés. Eile se rond compte d' me part, de ce fait que sen intelligence est bi n bornée, sujette a 1'erreur, et que les choses quel on ignore, füt on parmi les plus savauts de la terre, siupassent en nombre et ae trés loin celles que l'on suit- Elle voit aussi que sa voionté On nous annonce la mort, aux Indes An- glaises, d'uu missionnaire Beige, dont le nom n a point fait de bruit dans le mende, mais dont les ceuvies furent grandes. Le T R. p. Rombaud de Saint-Elie (Henri Dneghe) iiaquit a Eecloo le 19 Jum 1842^ émit ses vneux de religion dans POrdre des Carmes déchaussés le 1 Mai 1866, rsgut La circulaire suivante vient d'etre lance'c par le comué organisateur du Congres na tional des oeuvres catholiques, placé sous Ia présidence de S. Em. le cardinal Mercier, archevèque de Malines, primal de Belgique Nous avons I'honneur de vous inviter a prendre part au Congres national des ceuvres catholiques qui se réunira du 23 au 26 sep- tembre 1909. Comme son nom l'indique, le Congres n'aura d autre préoccupation que l'avenir et le progrès des ceuvres catholiques beiges. Son but est cle dresser l'inventaire de ces oeuvres, de mettre en commun le fruit de l'expérience de tous ceux qui ont participé a leur travail, et, grace a la lecon qui se dé- gagera de cette enquête, de donner a la vita- lité eathoiique un nou vel élan. Le Congrès excluera de son programme les discussions politiques. II ne s'occupera des questions de législation que dans la mesure ou celles-ci intéressen! l'activité eathoiique et le développement des ceuvres. Les tiavaux du Congres seront répartiscn dix sections i° (Euvres religieuses, morales et chari- tables 3° (Euvres économiques et sociales 3" (Euvres scolaires et post-scolaires 4* (Eu vres de presse, de propagande, etc. 5" (Euvres scientifiques el artistiques 5* (Euvres catholiques dans les colonies. Nous venons, en conséquence. vous prier non seulement de donner votre adhésion Congrès, mais encore de vous associer a s»s travaux préparatoires. Dans ce but nous vous prions de nous en- i voycr, avant le 3i mars, les propositions de voeux qu'il conviendrait, d'après vous, de sounrettre aux discussions de l'une ou 1 autre section. De cette fagon, aucune initiative ne se treuvera étouffée, l'occasion s'offrira a tous d élever la voix. Aucune suggestion a la cause que nous uélendons ne sera omise et le Con. grès sera vraiment la representation fidéle de (opinion eaihonqut tout entière. Notre appel s'adresse indistinctcmeni a lous les caiholiques prèir>.s et iaiques hommes d oeuvres ei hurames politiques, pa^ irons et ouvners. A toüs, nous demandons l'autonté de leur nom et lappui de leur ex- pénence. La réussite et leilicacité au Congrès dé- pendront du zèle avec bquel 01 nous accor- dera le douole concours que nous sollicitons Veui kz agiéer. Monsieur, (expression de nos sentiments dévoués. Comité organisateur Prési leius MM. Cooreman, président de la Chambre des représentants le vicomte Simonis, président du Sénai Secrétaires: MM. V. Brffaut, avocat, it Bruxelles Defourny, professeur a 1 Umver- sité eathoiique de Louvain Van Bauwen, bergh, avocat a Anvers Van Hecke, chargé de cours a l'Université eathoiique de Lou vain Membres: MM. Beernaert, ministre d Etat, ancien président di la Fédération des associations et ccrcles catholiques Woeste, ministre d'Etat, président de la Fé dération des associations et eercles catho liques Frédénc Belpaire, président de la Ligue scolaire eathoiique Campioni, prési dent du Secrétariat des ceuvres sociales Claes, membre de 1 Académie flamande et président du Daviasfonds baron José de Coppin, président de la Fédération des an ciens élèves des Frères marquis de la Boes- sière Thiennes, président de (Association des anciens étudiants catholiques de Lou vain Emile de Lalieux, membre de la Chambre des Représentants, président de la Fédération des Sociétés de gymnastique ba ron della Faille, président du Comité cen tral des ligues agricoles cathoiiques; Edouard de Pierpont, président de la Fédération des mutualités le comte Adrien d'Ursel, prési dent de l'CEuvre de Saint Paulle chanoine Luytgaerens, présidentdu Boerenbond; Mou- linasse, rédacteur en chef du a Patnote Président de ia Féaération des journalistes catholiques Maurice Pirmez, membre de la Chambre des représentants, président de ia Fédération nationale des jeunes gardes ca tholiques R. P. Rutten, secrétaire général des unions professionnelles chréii nnes Ar. thur Verhaegt-n, membre de la Chambre des Représentants, président de la Ligue démo- cratique beige. EGLISE DE S' MARTIN Vendredi 19 Mars, Fête de 6' Joseph. MeSBe Solennelle k 8 beures. Salut Solennel k 5 1/2 heures. jggMgMjgMMjjgBanBBBMBBBM Cbaus8ée de Fumes Beaucoup de coureurs vi -ndroct s'entrainer Entree exceptionnelle o 25 c. Pour paraitre prochainement par feu M. l'Abbé DE GRYSE curé-doyen a Courtrai. BURGERSTAND VAN YPER Van den 5 tot den 12 Maart 19i9 Geboorten Goethals Elias, Esplanade. Moniez Antoon, De Haernestraat. Pinknt Arthur, Zonnebekesteenweg. Michiel Andries, St Elisabettretraat. Cnoekaert Andrie», Kaaistraat. Baratto lanca, St Maartensklooster. Deeap Gustaaf, Rgselstraat. Becquart Jeroom, Kalfvaart. Verschoore Marcel, Grin.minekstraat Devos Gelina, Christoffelstraat. Huwelijk Pecostor odewijk, z b. te Oostende en Bergh- man Gabriela, naaister te Yper. Sterfgevallen Carlier Maria, 46 jaar, landbouwster, eclitg. Alleweireld Kmiel, Zillebekestraat. Verdoene Jan, 89 jaar, wed. Debal Adelia, Oude Konjjnstraat. Staelen Gyriel, 46jaar, z. b., ongehuwd, Zon nebeke steenwi g. Gabriel Daniel, 2 maanden, Schuttelaerestr Bailliëul Amelia, 84 jaar,'z. b., wed. Vanalder naght N'orbertus, Ste Godelievestraat. Dondeyne Leonia, 52 jaar, herbergierster, echtg. Vanbrabant Hamucus, St Maartenskloost. Verbeke Amelia, 88jaar, z. b., weduwe Slera- brouck Ludovicus, Zonuebekesteeuwt-g. VaDhove Lodewjjk, 77 jaar, herbtrfiier, eobti De Coster Baibara, Houdstraat Tytgat Pelagia,64 j., kloosterl., G Deftuerstr. Malfait Victoria, 63 j z, b., echtgte La.oie Carolus, Poperinghe steenweg. Billiet R ger, 2 1/2 j Boterstraat. Woets L- o, 3 maanden, Eigen heerdstraat. I eire Alois, 58 j aardewerker, wed-r van Sarasiu Ma ia en Ae unit Ëtnma, Caitonstraai' Arneel Felieie, 49 j herbergierster, eehtg'6 Dael Alois, Meenenstraat.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2