Aanbesteding CHRQtJIQUE fPfiO/SE m m m Pensées diverses 6SSCA«SS«««e Draps de Frise ou draps de FlandreT La Monnaie divisionnaire Manifestations catholiques. Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE m La beatification de Jeanne d'Arc Uuwelijksaf kondigingen aommeil, le» superstition», etc., n'e»t-il pas dune cruel!# ironie d'avoir A enrefister encore chex nou* lei pratiques les plu» superstitieuie* at les plus barbare», comme, par exemple, l'emploi dee tête» de parot par lequel nou» administrons vérita- blement la maladie du lommeil k nos pro pree en/aats f Et tandis que la question militaire diriie •i Aprement des patriote* également sin- cères, n'est-il pas singulier que »i peu e'avi- sent de )a résoudre de la fa9ou la plus pa- triotique, la meilleure et la plus cenforme au sentiment et aux intéréts de to us les pères et de toute» le» mères, en abaissant le taux de la mortalité Car c'est tout un régi ment de volontaires que les mères ignoran te» ou coupable» envoient cheque année au cimetière. Oui, c'est une cause patriotique entre toute» quecelle dont M. le Dr Pattyn, entre autre», s'est fait 1'ardent champion. Qu'il ne croie pas aroir prêché dans le de sert. Tous le» débuts sont difficile» Mais comnae il le disait lui-mlme arec une légi- time conhance, il en sera des conférences de puériculture comae de» conférences d'agri- culture, Quand, il y a quelques lustres, le étouvernement institua ces dernières, elles ne réunirent tout d'abord que quelques campagnards sceptiques, ostensiblement gouailleurs et reréche», mais qui, malins quand même, s'avisèrent d'en essayer dis- crètement, et qui, derant le» résultats obte- nus, eurent tót fait d'amener notre enseigne- ment agricole a prendre un essor extraoi- dinaire et a devenir l'un de» priooipaux élé- ments de la prospérité nationale. Cette noble cause du sauvetage de la pre mière enfance compta a ïpres trop de par- ti»ans convaincus, elle y eat assurée de trop éminents patronages pour qu'elle tarde da- rantage a y laire son chemin triomphant et fécond. Ypres-la-Coquette se doit a elle méme de faire disparaitre l'affreuse tache qui la dépare et de la remplacer par un grain de beauté supplementaire. Nous voudrions voir se constituer eet effet un comité d'initiative, sans couleur politique, patron- né et soutenu par l'autorité communale. F. II est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue e'tonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune Ame a !a vie Et sa bouche aux baisers Seigneur 1 pre'servez-moi, préservez ceux que j'aime, Frères, parents, amis, et mes ennemis même Dans le mal triomphants, De jamais voir, Seigneur, l'été sans fleurs nouvelles, La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, La maisou sans enfants V. Hugo. Celui qui obtient une plante nouvelle augmente le capital de l'humanité celui qui élève un enfant ajoute quelque chose a l'humanité elle même. X. Mal faire une bonne chose est un grand mal. R. P. Faber. Lorsque sur la nature on regie ses besoins, Combien s'e'pargne-t-on de travaux et de soins Voltaire. On est trop heureux quand Dieu nous donne clairement un devoir a remplir, un devoir qui demande un entier dévouement et sacrifice de sa personne c'est un assaut dans lequel on est toujours sür de réussir pourvu qu'on aille en avant. Mgr. X. de Mérode. Celui lè seul jette avec calme un coup d'ceil en arrière sur sa vie, qui ne s'est jamais proposé d'autre but que celui de faire, modeste ment mais avec fidélité, le devoir de chaque jour. R. P. Weiss. Les peuples qui pratique le Décalogue prospèrentceux qui le violent, déclinent ceux qui le renient disparaissent. Fréd. Le Play. Ne vous laissez pas décourager par la froideur que vous voyez autour de voub. II n'y a rien de si tranquille qu'un magasin poudre, une demi-heure avant qu il *aute. II ne faut que du feu, et c'est nous qui l'avons. - Jos. de Maistre. if'&ifr&lf'if* IPK La décoration polychrome des Halles On a pu voir, luadi après-midi, le» Yprois et le» touristea arrivés avec les première» hirondelies, mettre le aez ea l'air pour Juger de l'effet produit par l'écu armorié qui ve- aait d'etre posé sur la toiture des Haile». Aux exclamations admirative» des uns, se mêlaient ie» questions les plus diverse» des autre». Le public paraissait, en general, peu initié aux important» travaux de décoration formant le complément de la reetaaration des Halles, nou» croyon» utile de donner quelque» renseignements A ce »uj«t. La toiture primitive des Halles, en tuil»» rouge», devait oftrir une coloration chaude, comme en peut en juger par une dee pein- tures murales de la salie Pauwels. En 1377, une couverture en ardoiies succéda k cette toiture en tuile», jugée probablement trop lourde. L'effet produit par le ten bleu foncé de l'ardoise fut-il trouvé trop BÓvère 5 Oa serait tenté de le croire, puisque nos ma gistrate firent peindre de grand» blasons, de même que sur le beffroi. L'héraldique avait pris üéja un grand développement a l'époque de la construction de» Halles, et, k l'avènement de la maison de Bourgogne, le goüt du blason 'étendit, avec le luxe déployé k cette cour, non seule- meut k l'archuecture civile et religieuse, mais jusqu'au mobilier et aux vétements. Cette profusion d'armoires cadrait, du reste, avec le» goüts artistiques de l'époque en matière de polychromie. Si la peinture décorative était de regie pour le» parois in- térieures, elle trouvait fréquemmeut aussi sa place a l'extérieur de» édiflee». Dan» ce ca», la coloration pouvait être beaucoup plus heurtée, comme on peut en juger par les nombreuses tracé» de peinture et de dorure qui subsietent encore k l'extérieur de certaines grande» cathédraies de France, et comme nous avons pu le constater jadii au grand portail de Saint-Martin, oü la frise sculptée se détachait en vert sur fond rouge. Nou» ne croyon» pa» qu'il y ait lieu de redouter la durité des colorations qui pour- raient exister dans certaines de» armoiries a ajouter, et nous estimons même que le» plomberies de la toiture, crête et épis de lu- carne», gagneraient a ètre rshaussóes d'or. Dans ce cas, les deux statuettes qui feront partie intégrante de la crête en la terminant, réclameraient une dorure compléte, sinon, le cuivre rouge, en s'oxydant, prendrait un ton vert-de-gris en opposition avec la rut! lance de l'or avoisinant 11 est certain qu'en fait de peinture monu mentale, on croit généralement faire ceuvre de bon goftt en l'évitant systématiquement et, ce endant, l'étude des monuments an ciens, comme nous venons de le dire, prouve que nos ancêtres savaient parfaitement tirer parti de eet élément de décoration. Mainta- nant que l'étude de l'archéologie est poussée k un si haut degré et qu'il est prouvé que la polychromie s'est étendue, a traver» le» Biècles, des temples égyptien» et de la fris# du Parthénon jusqu'ü nos cathédraies gothi- ques, pourquoi nou» obstinerion»-nous en core a vouloir nous priver de toutes ces ressources fournies par l'art f Prétendrions noug, par la sobriété et la monotonie de no» matériaux, avoir l'oeil mieux exercé que les anciens, dont nous nous avouons cepecdant, »i volontie'-s les tributaire» en matière d art? M, Coomans, l'architacte restaurateur de nos Halles, a compris qu'il fallait rompre avec la timidité usitée jusqu'ici.et s'icspirant a la fois de données historiques fournies par nos archives communales et de principes logique», mais tombé» en désuétude, il n'a pas craint d'entreprendre sur un de nos pluB importants monuments civils du Moyem Age, un syitème de décoration de nature k en augmenter singulièrement le caractère de riches8e. Conirairement a ce qui s'est pratique au Moyen Age, les blasons, au lieu d'être peints directement, a même les ardoiies, seront appliqnés en plomb.avec les sujet» en relief. II en résultera un effet décoratif plus inten se, joint k une plus grande durabilité. La forme de l'écu po»é lundi, a d'excel- leutes proportions et son emplacement, bri sant un peu la ligne de» lucarues, est trés heureux. Le lion rampant est bien héraldique et •emble inspiré d'un bon modèle ancien élève sur se» pattes de derrière, la patte sénestre de derrière en arrière. II est armé et lampassé, e'est-a-dire que les ongles et la langue sont rouges (ou de gueules). II figure les arme» de Flandre d'or au lion de eable. Les armeiries qui suivront seront celles d'Ypres, telles que nous les connaissons d'après le» eceaux des année» 1225 a 1382 (les armoiries telles qu'elles ont existé jusqu'en 1844 devant figurer de l'autre cóté dn Beffroi)celles de Baudouin de Constan tinople, qui est présumé avoir posé la pre mière pierre des Halles, et, enfin, calles de la Corporation des drapier». Une décoration analogue doit être appli- quée sur l'autre aile des Halles encore a restaurer, ain3i que sur le Beffroi. Nous attendons de eet ensemble uu puissant effet décoratif. Journal de Roubaix La question, quoique purement histori- que, intéresse nos ancien» centres de fabric»* tion drepière, et ia ville d'Ypre» en particu lier. C'est M. Pirenne, profe»»eur d'hiiteire l'Université de Gand, qui l'a po»ée a la dernière séance de la Société d'histoire et d'archéjlogie de Gand, et il semble l'avoir résolue. Le «avant aeteur de l'hiitoire de Belgique a prouvé tout d'abord que la draperie frison- nc indigène e»t trè» growière, que c'est une industrie de pay»«ns, et il l'établit, grlcek la numiimatique, par le» prix minimes payés pour leg sagelli (petits manteaux) k l'époque de Charlemagne. II démontre ensuite que c» ne »ont nulle- ment ces tissus grossiers qui sont désignés, par les auteurs de l'époque, sous le nom de pallia fresonict, mais bien des draps fins. Sous cette dénomination, il ne peut être question, en effet, que d'étoffes de luxe, quand il s'agit des vétements de Charlema gne ou des riches cadeaux qu il offrit a Harun al Rachid. D'autre part, il est prouvé par des monu ments littéraires du X* et du XI* siècles cités par M. Pirenne, que la Flandre fabriquait, a cette époque, des draps fins portés par les seigneurs. Ce n'est pas d'emblée qu'une in dustrie arrive a ce degré de perfection, et on peut, sans hésitation aucune, rattacher ce passé industriel aux fabrications de la région dArras.de 1 Artois et de la Morinie citées per les écrivains romain». La fabrication des draps fins étant démon- tre'e, leur exportation reste a établir. Le» nombreux ateliers moné'aires de la Flandre sont la meilleure preuve du développement commercial de ce pays,Des textes le prouvent également. Un monastere des environs de Rouea, au 9« siècle, faisait déji venir ses draps fins du paqus de Térouanne (le pays setendant de cette villejusqu'a Ypresj. Que penser alors des draps de Frise? Que ce pays ayant eu les rnêmes raisons que la Flandre pour produire des draps moutons, riches patures, a produit parallèlement des draps, mais seulement des draps grossiers. L appelation pallia fresonica s'applique done exclusivement aux draps de Flandre, r t n'est nullement impropre, car c'eüt été'un vrai non sens, en parlant des draps flamands de les appeler pallia flandrensia. On sait] en effet, que le nom de Flandre ne s'étendait a cette époque, qu'au territoire du Franc de Bruges, ou Ie drap ne se fabriquait pas encore. II n'y a done pas plus moyen de parler de draps de Flandre au X* siècle que de draps beiges au XIII* siècle. Plustard, quand Douai, Arras, etc., feront parti de la Flandres, les draps qu'on y fabriquait pour- j raient être appelés des draps flamands. L industrie frisonne, qui n'arrive a se ratta cher qu'A riodustrie germanique, n'a été une continuation de la barbarie et a disparu, tandis que l'industrie flamande, descendant de 1 industrie gallo-romaine, a joui d'un succês sans égal dans l'histoire. Elle est l'héritage des civilisations cent lois sécu lairs. (Journal de Roubaix). Un resserrement va résulter sous peu, dans le circulation des monnaies d'vision- naires, de l'entrée en vigueur de la conven tion monétaire récemment approuvée par le I arlementla Banque Nationale va opérer, ainsi que nous l'avons dit, le retrait, en vertu de I art. 5 de cette convention des pieces de 5 fr. k l'effigie de Léopold I«', des pièces de 5o centimes fran^aises usées retrait qui avait dü être suspendu par suite de la pénurie de pièces coursables et de toutes les pièces de monnaie divisionnaires grecque». Ces dernières n'auront plu» cours k partir du i«r Aoüt. Vs 1P La journée de dimanche a été féconde en manifestation» catholiques dont la plu» émouvante fut san» aucun doute le jubilé gantoi». Mais pour étre plus modeste», les autre» n'en furent pas moins enthou»ia»te». C'est d abord Leaninck-Saint Quentin, le joli village ensoleillé et ctinturé d'arbres déja verts, qui était en fête dimanche. Toutes le» ceuvres agricoles de l'arrondisse- meut s y etaient donné rendez-vous pour célébrer la bénédiction de 1 éteudard offert par M. Renkin, ministre des colonies, k la Féuératioa des syndicats d'élevage dont il est le président d'honn ur. 258 sociétés, 20,000 syudiqués y out acclamé le ministre des colonies. Fe Huy on signale l'imposante réunion d'un congres des oeuvre» sodales de l'arron- dissement de Huy-Waremme. A Turnhout, le S5* anniversair# du gou vernement catbolique coïncidait avec le X* anniver.-aire de la société Zorgen voor mor- gen. Après MM. Versteylen et Naets, M. Schollaert, chef de cabinet a pris la parole. II aaccapté avec infiniment de plaisir le titre de président d'honneur de Zorgen voor 1 morgen, et il a souhaité en lerminant a ses chers Campinois, si prudent» et si prévoy- ants, bon courage et persévérance. L'honorable chef de cabinet y a été l'objet d'une longue et émotionnante ovation. Bref, une journée historique et qui sera marquée en lettres d'or dans les annale» de la catholicité Beige. j Dimanche a5 Avril xgop C. LIBOTTE, Marché au Beurre, aq. I p/.tpiifc N'oubliez pas que vous (.ouvez IX.UI 3* Toug débarrassser radicalement de votre toux et de vos maex de en 2 jour», v- e Ij d cieusc "a 11 P« .Val- tbéry-1 fr. partcut, C'est un événement d'une importance bien considérable que celui qui s'est ac compli ces jours ci a Rome nous voulons dire la beatification de Jeanne d'Arc. L|importance de eet événement est double, en effet, en ce sens qu'il y a un caractère universel que lui donne l'Eglise. Par le décret de béatification le Pape proclame le caractère héroique des vertus de Jeanne d'Arc et permet de placer son image sur les autels. Et l'église catholique, c'est-A-dire universelle, prend une part directe a cette beatification, comme k toutes les décisions du Souverain-Ponijfe en matière de dogme ou de morale. II n'en est pas moins vrai que l'on a donné a la béatification de Jeanne d'Arc un carao tére national et francais, et sans doute, cela n'A diminué en rien l'imporiance de l'événe- ment, bien au contraire. Pour s'en convain- cre, il suffit de cotpparer l'époque ou vivait Joanne d'Arc avec celle oü Pie X procédé sa béatification. La France, au moment oü parut dans l'histoire la Pucelle d'Orléans, était descen* due k un degré d'abaissement comme elle n'en a plus guére connu depuis. Charles VII, succédant a un roi dont la folie avait fait le jouet de ses ennemis comme de son entou rage immédiat, semblait devoir être le dernier roi de France. L'Angleterre triom- phante se préparait a receuillir les fruits de sa victoire, lorsque Jeanne d'Arc déploya son étendard, sut rallier autour du Roi les quelques fidèles qui lui restaient, et elle finit par la conduire juspu'au couronnement a Orléans. On a dit, non »ans raison, que eet épieode de la vie de Jeanne d'Arc est le plu» grand miracle, et. que celui-14 seul aurait pu moti- ver le décret de béatification. Incontestablement, les évêques et les 60.000 pélerins franqai» qui se sont rendus a Rome pour as'ister aux fêtes de la béatifi cation, attendent de l'inter ven tion de Jeanne d'Arc la victoire dans la lutte actuelle contre toutes les forces destructives de l'Eglise et de la eociété, En France, pour le moment, cette lutte paratt désespérée ou pour mieux dire, on peut a peine parler de lutte. 11 faudrait aussi qu'une vierge héro'ique apparut comme du temp» de Charles VII pour grouper le» dernier» fidèles autour des rep ésentants de la Foi et de l'Autorité. Lo So"ve*'ftin-Pontife a dü certai^ement songer a tout cela ea éievant Jeanne n'Arc sur ie» auïels. II a. place l'heroïne de ce qu'on a appelé le miracle franqai» au milieu des parti» adversaires et elle-même parait aujourd'hui comme un étendard et comme un symbole de victoire. Le Souveraiu Pontife, en recevant hier le» pélerins francais A labasilique de Saint- Pierre a protesté contre les reproches fait» souvent aux catholiques frangais par leur» adveraaire», de manquer de patriotisme. La béatification de Jeanne d'Arc, qui cependant fut une héroine nationale, est d'aillenrs une pi euve sufiisante de l'inanité dece reprocbe. II a ainsi mis les catholiques francais par faitement A l'aise pour se grouper sur le terrain des institutions nationale» autour de l'étendard de Jeanne d'Arc pour la lutte pour la Foi et our les libertés manacées. C'est surtout en cela qu'il faut chercher la signification et la grande portée de la béatification de Jeanne d'Arc. Cette beatifi cation vient a son heure, il convient de le remarquer, et même d'insister sur cette particularité qui montre une foi» de plus, la grande sage»se de ceux auxquels est coufiée la direction de l'Eglise. Les catho liques francais avaient besoin d'être rappe- lés a l'union et Pie X leur a donné la Bien- heureuse Jeanne d'Arc, autour de l'autel de laquelle ils pourront se grouper dans an même désiret dans un même but Huwelijken Godderis Odilo, metser en Deboutte Palmrr» naaister, beiden te Yper. Buyst Karei, verlakker »n Verleure I.eontina werkvrouw, beiden te Yper. Verhelst Ludovic, metser te Clamgkiarke «n Hondegbem Celine, i b., te Yper ®n Hommeien Hami, wachtmeeiter bH b«t Reet. Schutteru te Leuven en Garrevn Maria z. b. te Yper. ««m, Hoedt» Georges, brouwer te Worte*bem en Debetu üabnella, z. b. te Yper. Sterfgevslleu Sophie,76 j.,kloosterling», G. de Steer»- Vandenbusïche Leonie, 75 j., k«ntenw»rk»ter weduwe l ozie Deaideer, Xanonweg. Sanctorum Cesarina, 1 maacd, Paddepoelstr Dieryck Leona, 18 maanden, Hondstraat. Delaire Desiaeer, 2 maanden. Klaverstraat Lemeire Honoré. 80 j., z. b weduwaar van Dumelie Barbara, Ryselsti aat. Titeca Eudoxie, 76 j„ kantenwerkster echt genoote van Berten Emiel, Kemruelsteenweg Wyckhuyse Virginie, 68 j z. h Wed,,_a Majeur August, Groote Markt. weduwe Bruyer August, 77 j smid, echtgenoot van Dopaepe Eulalie, R(jselstraat. WJ,«enoot van Vandecasteeie Valeer, 21 j Uixmudesteenweg. smid, ongehuwd, I PA VPr litTPC tnigraine, les lourdeurs, L.C» VCrilgCÖ, lesjbourdonnementsd'oreil- les i roviennent de ce que l'estomac ou les intes- tins sunt chargés de glairesc'est pourquoi tous ces maux sont si vite guéris par la Pilule anti- glaireuse Walthéry. l fr. partout. BURGERSTAND VAN YPER VaD den 16 tot den 23 April 19C9 Geboorten Doolaeghe Irena, Aardestraat. Vandenberghe Margareta, Mondstraat. Velghe Michaël, Buk*erstraat. Marseloo Omer, Brugge steenweg. Deknudt Antonia, Patteelstraat. 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Dans les bureaux de poste, le défilé des acheteurs ne discontinue pas. II faut attribuer cette vogue persistant» a deux causes principale» La première est que le Comité a été fort inspiré en combinant deux séries en une seule alin de pouvoir distribuer des gros lot» plu» nombreux et plus importants la seconde, indépendante de t ute volonté humaine, est que la bonne fée qui préside A la Tombola de Bruxelles continue, avec une bienveillance per»évé- rante, k faire tomber les gros lot» dans l'es" carcelle de braves gens dont la modeste con dition se trouve tout a coup transforznée. Le résultat est que chacun risque volon- tiers un franc ou deux pour courir la cbance de gagner 150.000, 50.000, 25.000, 16 000, 10.000 ou 5.000 franc», san» compter un» infiaité de lote secondaire». :*T t i r*' - I >*t I p6P. S*S*2

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2