CONCERT Pilules Pink., DIEKIRCH GHROHIQUE fPROISC m ei ammsisLB Pensées diverses Le nouveau Carillon Le Jubilé du Gouvernement Catholique a Touniai Fanfare Royale 1PsmiF.miP:M&M*iMPi Bésultat du Concours de Bétail. Actes officials Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Vélodróme d'Ypres ADJUDICATiOM5 I Huwelijksafkondigingen ■ÜQ6GGGÜGQ GG iGGGGGiGGGGGi Les Pilules Pink ont guéri de prétendus incurables VOYAGE ElY O Ut EIST Grand Hotel des Ardennes 58 du Oimtnche 15 aout iosP -aflft s# sflft sflft isflP sflft ifl# sflP sf# •M. Ministère de la Querre. m if- Ml M *T>M M O sacrement de piété O signe d'unité O lieu de charité Celui qui veut vivre trouve ici la vie. 5. Augustin. 11 n'y a pas de signe plus assure de la rui- ne d'un Etat que Ie mépris du culte divin. Machiavel. II laut poser en fait que sur cent mille volu mes produits par la librairie francaise, il en est plus de quatre vingt mille dont la lecture est courammont interdite a l'enfance et a la familie pour le reste de 1'Europe. Blanc S. Bonnet. Les Francais savent faire des barricades, mais ils ne savent pas élever des barrières. Lord Chesterfield. D'après les premiers essai; auxquels il uous a été donné d'assister hier, le nouveau carillon promet de donner un résultat ma- gnilique, et le concert qui sera donné Dimanche par M. Denyn, le célèbre carit- lonneur malinois, sera un événement ar- tistique de tout premier ordre. Le program- me, que nous publions d autre part, est composé avec un goüt exquis et tiré entière- ment du répertoire national. En décrétant ce travail, peut-être un peu dispendieux, 1'Administration pourra se flatter d'avoir doté la ville d'un des meilleurs carillons du pays. Des dépenses somptuaires pour des villes dart comme Ypres, ne sont, du reste, jamais regretter, elles consti tuent même le meiileur placement d'argent, paree qu'en attirant de plus en plus les étranaers, on tavorise le commerce local. L'ancien carillon, comme nousl'avons éciit précédemment, est un amalgame de clocbes de différentes époques et de tous fabricants. Sur la total ité des cloches examinées au tonomètre, buit a peine sont consonnantes, et, sur ces dernières encore, certaines man- quent de sonorité. En cherchant a les com pléter, comme il en fut question un instant, on se serait exposé a un iosuccès complet. Les cloches anciennes provenantde l'église Saint-Jacques sur Coudenberg de Bruxelles et reprises par la ville a MVan Aerschodt, de Louvain, en même temps qu'elle faisait la commande des nouvelles cloches, ont été fondues par son ancêtre, Vanden Gheyn, qui appartient a cette dynastie de fondeurs déja réputée au XVI' siècle. Le nouveau jeu comprend 35 cloehes composant trois octaves. La cloche fonda- mentale, le do, pèse 1.360 kil., la suivante en pèse 990, et ainsi en diminuant jusqu'a la 35* cloche qui représente seulement uu poids de 9 kilos. Le poids to al est de 6.889 kil. Nous traduisons ci-après l'inscription que JMI INI JljWIMWlf (suite) Je sais que, depuis quelques années, uos adversaires proclameut que notre situ tion financière est mauvaise et que nous som mei a deux doigts de la fail lite. Ne les croyez pas leur intention est do crier dans quelques mois Mauvaises finances, mau vaise politique Non, ne les écoutez pas. L'étranger, qui nous observe, proclame de- vant i'univers ce que nous savons nous- mêmes que, tandis que les b idgets de tous les pays de 1 Europe, sans exclure la Fran ce, l'Allemagne et la Hollande sont en déficit, le nétre présente, depuiB que le gouvernement catholique est au pouvoir, un équilibre immuable. L'étranger atteste aussi, non peut être sans quelque envie, que la Belgique est devenue le pays le plus prospère et un des plus riches du monde. Le nier serait contester l'évidence et manquer de patriotisme. Loin de moi de prétendre que notre prospérité est due exclusivement a l'action gouvernementale. II y a d'autres facteurs, et notamment l'esprit d'iuitiative, l'activité, l'esprit de suite de nos classes bourgeoise et ouvrière. Loin de moi de prétendre que jamais notre situation financière ue se ressentira d'un malaise général. Ce qu'il importe de con- stater et de dire, e'est que nos finances sont bonnes, meilleures que celles des autres pays, et que cette situation est la einsé- quence de la politique d'ordre pratiquée par not amis. (Applaudissements). Je disais tout l'heure, Messieurs, que presqu'immédiatemeat après notre avène- ment au pouvoir, un orage se leva a l'hori- on simpli incident politique qui ne dura porta la cloche de 1.360 kilosA l'occasion de la restauration de l'aile oriëntale des Halles, et pour la gloi ification de la ville, le Conseil communal décida le 24 avril 1909 de renouveler le carillon. M. Fenyn, de Malines, fut chargé de l'éxécution des travaux la maison V.ni Aerschodt, de Louvain, fondit les cloches. Le carillon fut iuaugur et joua la pre mière fois en la fête de l'Assomption 190'J. La population Yproise manifesta sa joie et sa reconnaissance a 1'Administration Communale. Les membres du Conseil ótaientM. Co- iaert, bourgmestreMM. E. Fraeys et 11. Vandeubjogaerde, échevins; MM. E.Struye, H. Fiers, H.Vander Ghote, C. D'Huvettere, R. Bouquet, H. Sobry, H. Iweins d'Eeek- houtte, C. Lemahieu, k. Biebuyck, O. Be geren), C. Boone, conseillers A. Biebuyck, secrétaire intérimaire. Si Ton a quelque peu ergotó de cett" ma nifestation de joie avant la lettre conlée dans le bronze, 1'essentiel est qu'elle sera réelle et durable après l'audition de Di manche. a 6 h. du soir Programme - 1. Triomfmarsch. Edg. Tinei. 2. Fragment Bur 1'opéraTannbauser. i R. Wagner (Soliste M. Julien Desramault). 3. Tout simplement Gavotte. H. Weyts. 4. Valse militaire Beige. L. Fremaux. 5. A travers l'ceuvre de Peter Benoit. Grande fantaisie arr. par Felix Degre\, Organisépar le Cornice-Agricole d Ypres le Samedi y A out 1909, ITaureaux sans dents, (21 couc.) 1 pr. méd. de vermeil et 25 fr„ L.eroy Henri, Westvleteren 2 pr., méd. en argent, et 22 tr., Huyghe Cli. Boesinghe. 3 pr. méd. en bronze, et 20 Ir., Deiaedt Henri, Sint Jean. 4 pr. méd. en bronze et 17 fr., Bekaert Cyrille, Dickebuscb. 5 pr., prime de 14 fr., Mabieu A., Wytschaete. 1 6 pr., prime de 12 fr., Va Derycke, Boesingbe. 7 pr prime de [.10 fr., Docby Renó, Woesten. 8pr., primo de 5 fr., überardyn-Lemahieu, Noordschote. 9 pr.. prime de 5 fr., Vergote Henri, Sint Jean. II.Taureaux d 2, dents et plus, (5 conc. 1 pr., méd. de vermeil et 25 fr., Docby Hector Saint Jean. 2 pr méd. en argent et 22 fr., Sarnyn Fidéle, qu'un instant. II y en eut d'autres que je ne puis vous rappeler tous ici, mais dont l'uu ïrérite d'arrêter notre attention, paree qu'il était la manifestation d'un mal profond et que la politique égoïste et individualiste du parti libéral avait constamment méconau et aggravé. Mal périlleux paree qu'il menagait nou plus seulement le parti au pouvoir, mais 1 ordre social tout entier. Je veux parler des événemeuts de 1886. Vous les avez vus de plus prés que nous, Flamands, qui ne les appercevions que de loin, a la lueur des iuceudies. Le Gouverne ment catholique était il de taille a arrêter le mal, et, pour tout dire, a placer des barrières devant la revolution menagante Rétablir momentanément I'or.lre el la tranquillité publique n était que le fait de la force matérielle que nous possédmns. Il fallait maintenir l'ordre et le garantir con- tre de nouveaux assauts criminels. Le cabinet Beet naert, conscient de sa responsabilité et convaincu que le mal gisait dans les couches profundes de la société, étudia le problème social sous toutes ses faces, et décida de le résoudre avec le con cours de tous, même des libéraux, s'ils voulaient renoncer a la politique de la non intervention absolue. Le session de 1886-87 s'ouvrit par le memorable discours du trone, qui tragait le programme du gouvernement catholique. Des faits profondément regrettables, disait le Roi, même abstraction faite de l'exagération avec laquolle on les a rap- portés, se sont passés dans les bassins de Liége et de Charleroi. Mais la respousabi lité en incombe surtout a ceux qui les ont n provoqués par de coupables excitations, et aujourd'hui, messieurs, que la justice a parlé, j'ai cru pouvoir me montrer clément envers le plus grand nombre de ces mal- haureux ég n és. Boesinghe. 3 pr., prime de 14 fr.. Ampe Aloïse, Ylamer- tinghe. 4 pr prime de 12 r Wullepat Hector, Lan- gemarek. III. Genisses sans dents21 conc.) 1 pr., médaille de vermeil et 25 tr., Docby Hector, Saint Jean. 2 pr., médaille en argent et 22 fr., Bou Iry Fid. Voormezeele. 3 pr., médaille de br. et20 tr., Van Fecko Tb., Klverdinghe. 4 pr. id. et 17 fr Vergote Henri, Saint Jean. 5 pr., prime de 14 fr., Deconinck Richard, Voormezeele pr prime de 12 fr., Sarnyn F., Boesingbe. 7 pr., prime to fr Philippe Em, Voormezeele. 8 pr., prime 5 fr., Vandeputte R., Boesinghe. 9 pr. Mention lion Docby Cyrille, Woesten. 1" p. id. Noppe Edouard, Woesten. IV. Geuisses a 2 dentsxq couc.) t pr., méd. de verm. et 20 fr Vandeputte R., Boesinghe. 2 pr,, ipéd. en argent el lx fr., Vergote; Henri, Saint Jean, 3 pr., méd. de bronze, et 1ö fr., I.eciuse Cyr., Saint Jean. 4 pr., prime de 14 fr., Leterme, Wytschaete. 5 pr., prime del2 tr., Vergote H Saint Jean. 6 pr., rime de 10 fr Devrieze enfants, id. 7 pr., prime de 5 fr Opsorner Aloïse, Ypres. 8 pr., ment. bon., Vandenbergbe A. bo singhe. V. Genisses a 4 dents14 conc.) 1 Pr., méd de vermeil et 18 fr., Jehem, enf Voormezeele. 2 Pr., méd. en argent et 10 frank. Veys Jos., Vlaraertinglie. 3 pr.. prime de (4 fr Leterme, Wytschaete. 4 pr., prime de 12 fr., Delaplace Jules, Ypres. 5 pr., prime de 5.1'r., Lecluse Cyr., St-Jean. VI. Vaches, (16 conc.) O* pr-, méd. de vermeil et 20 fr., Dehem, enf., Voormezeele 2 pr. méd. en argent et IS fr., Bekaert Cyrille, Dickebuscb. 3 i r., méd. de br. et 16 fr., Vereecke Henri, Vlamertinghe 4 pr., prime de 14 fr Ghaorardyn-Lemahieu, Noord schoote. 5 pr., prime de <2 fr.. Casteleyn Isidore, Reningbelst. 6 pr., orime de 10 fr., Limmerant i'enri, Dickebuscb. 7 pr prime de 5 fr., Van Hecke, Boesinghe. 8 pr., prime de 5 fr.. Samyn Fid., Boesingbe. Par arr. r. du 15 Jui 1 let 1909, la décoration spéciale de prévoyance de i* classe aétéac cordée a M. Oappeen F., domicilié a Lange- marek, membre du comité de patronage des habitations ouvrières et des institutions de prévoyance de l'arrondissement d'Ypres. Subside.Par arr. du Ministre de la Jus tice du 27 Juillet 1909, unsubside de i5oo fr. est accordé au comité d'inspection et de sur veillance da l'école de bienfaisance de l'Etat, a Ypres, pour lui permettre de remplir sa mission de patronage a l'égard des élèves sor- tis de cette école. Subside. Par arr. r. du i5 Juillet 1900, un subside de 17.500 fr. est alloué a la fabri- que del' église de St Martin a Ypres, pour l'éxécution de travaux artistiques. Dimanche i5 A out 1909 L. AERTSENS, Marché au Beurre, 9. i) La sitiation des classes laborieuses est hautement digne d'iutérêt et ce Bera le devoir de la législature de chercher, avec un suroroit de sollicitude a l'améliorei'. Peut-être a-t-on trop compté sur le soul effet des priucipes, d'ailleurs sl fé- couds, de liberie. II est juste que la loi entoure d'uoe protection plus spécia'e les faibies et les uialheureux. Mon gouvernement a cru devoir faire étudier, duns un esprit d'ensemble, les vastes questions qui se rattachent a la législatioa du travail, et il a institué daus ce but une commission tout a la fois d't-nquê'e et d'examen. Eclairé par ses travaux, mon gouverne ment aura a vous saisir de projets de réformes importantes. 11 convient notam ment de favoriser la libre formation de groupes professionalsd'établir entre les chefs d'industrie et les ouvriers dos liens nouveaux sous la forme de conseils d'arbitrage et de conciliation, de régle- menter le travail des famines et des en fants, Je réprimer les abus qui se produisent dans le paiement des salaires, de faciliter la construction d'habita- tions ouvrières convenables, d'aider au développement des institutions de pré voyantde secours, d'assurances et do pensions et de chercher a combattre les ravages de l'ivrognerie et de 1 immoralité. II sera égalenient nécessaire de prendre des mesures plus efficaces pour mettre un frein a la falsification des denrées alimen- taires. Non moins éprouvée que lïndustrie, l'agricultuie, dont le code vient d'etre voté, peut aussi compter sur tout le dévouement du gouvernement. II s'appli- quera h développer l'enseignement agn- cole, a multiplier, par l'établissement de champs de demonstration et de conféren ces, eet autre enseignement, non moins Dimanche 15 Aoüt, a 2 1/2 h., grandes COURSES internationales de vitesse, fond, primes, pour vélos et tandems Profess'8. Parmi les engage's Buysse M., vainqueur de la course de 24 h., de Zurenborg. Vandenberghe R., gagnant de la ire élape du tour de Belgique. Marcelli J., champion du Nord. Meurger H., champion de Picardiè. Denissel, Carpentier, Bruneel, Defraye„ Rogge, Barendse, Kersbitck, Legrand, Van Eecke. Course Je vitesse pour débutant», en séries. Prix des Places: Réservées, 2 5o; tribunes, 2 frs; premières, i-5o; virages, 1 fr.; gradins populaires, o-5o. —- AKS» Rl>» BURGERSTAND VAN YPER van den 6 tot dan 13 Augusti 190J Geboorten Six Joannes, Botarstraat Vangheluwe fimile, Lombaard.-draat. De Gryze Esther, Pennestraat. La pauw Gabriela, Poperingliesteenweg. I.epercq Genoveva, Lombaardstraal. Vinken Andreas, Rousselarestraat. Dieryek Maria, Vandenpeerebooruplaats. Huwelijken: I.apanw Gustaaf, dag'ooner, en Declereq Hei- mania, z. b. heiden te te Yper, Berg hm an Maurits, paardengeleider en Hara! to Irma, naaister beiden te Yper. Sterfgevallen; De vos Er gel, 68 jaar, langzager, eeiitgl Kerc! bof Maria, Nêsrstad. Gillioeu Christina, 9 ra. Diekebusehsteenwej; Sancty Philomena. 69 jaar, werkvrouw, un- gehuwd, Vandenpeereboomj I rats. Vandepeereboom Felicia, 69 jaar, z. b, Wwe van Lambin Adolphe, tfondstraat. Braem Desideer, 83 jaar, wascher, Wil'van Iiebrnyne Natalie, Neerstraat. Desmarez Petrius, 50 jaar, z. b. ongehuwd, ban. ge Thouroulstraat Des adjudications publiques: pour la fournitures des denrées fourragè- res auront lieu i° le 14 AOUT, a 9 heures, dans les bureaux du directeur du nouveau magasin de fourrages de Bruges, Chaussée de Maele, a Ste-Croix-lez- Bruges. 20 Le 18 AOUT, a 14 heures, au Ministère de la Guerre. Le Cahier des charges relatif a ces entreprises est déposé dans les bureaux des magasin de fourrages oü il peut être consulté. ld v. Wateringue da Nord de Farnes. La Régie de la Wateringue du Nord de Furnes a l'honneur de con- voquer les propriétaires possédant TRENTE HECTARES de terrain dans la dite Wateringue, pour l'as- semblée générale qui aura lieu a l'Hö- tel-de-Ville de Furnes, le MARDI 7 SEPTEMBRE prochain, a 10 heures du matin. Furnes, le Aoüt 1909. Le Président de Ia Régie, D. De Haene, Les Membres, R. de Spot, L. Bieswal, H. de Spot. llplnnr ll'nup LH» dames d'un certain iiciuui u ages sont certaines de conserver la santé !a plus parfaite et d'éviter tout danger, pourvu qu'elles aient soin de se purifier de temps en temps le corps avec les Pi lules du Dr Waltbéry. 1 fr. la boïte pour un an. importaut, qui est destiné a vulgariser los n méthodes nouvelles et a reprimer les frau des trop uombreuses auquelles donnent lieu les engrais et les semeaces II conti- uuera a étendre le réseau des routes et d( s chemins de fer vicinaux et a favoriser les transports agricoles. Ce vaste programme, il n'a pas fallu 25 années pour Ie réaüser. Ras uue des nom- breu8e3 questions qu'il prévoit n'est de meurée sans solution pas une des lacunes signalées non comblée; pas une plaie restée ouverte Et ce travail a été l'ceuvre du parti catho lique. (Longs bravos). Le parti libéral, qui se prétend un parti de gouvernement, ne nous a prêté son concours en aucune circon- stance. Comment, dès lors, pourrait-il pour- suivre a notre place l'oeuvre inaugurée en 1886, et qui doit grandir encore Car notre tache n'est pas terminée. Elle ne le sera ja mais, paree qu'un progrès en appelle un autre, paree que les choses humaines ne sont pas éternelles et qu'elles doivent marcher sous peine de recuier. (Applaud.) Je dis que le parti libéral ne nous a jamais prêté son concours; nous le prêtera-t-il l'avenir Et quelles lois sociales pourrait il bien nous proposer, lui qui s'est abstenu ou qui a voté contre ioutes celles que le gouverne ment catholique a présentées Loi de 1889 sur les habitations ouvrières, loi éminemment favorable a la classe ouvriè re tous les libéraux votent contre ou s'abs- tiennent 1 Travail des femmes et des enfants vote hostile ou abstention des libéraux Loi de 1898 sur les unions protessionelles: encore vote hostile ou abstention. Loi de 1900 sur les pensions de vieillesse. Toujours vote hostile ou abstention. Loi de tyo3 sur la réparation des acci dents de travail abstention des libéraux sur loute la ligne Georges Casier, bloemist, en Odila Vercru.vssu, 7.. b. beiden van Yper. 4 iiY s' vous enfants sont fai- *1UA UI LUIS bl0S_ pa)0g( ebétjfSi 8j leur croissanee e2t lente ou trop balive, donnez leur la Pilule Frotugineuse Raphael et vous aurez la joie de les voir devenir forts et vigou- i'eux. r'r. i.75 dans les bonnes pharmacies. Les médieaments qu'on vous a conseillés oni- ils échoué? N'fiésitez pas, prenez aujourd'hui les Pilules Pink, elles ne vous désappoiateront pas. Elles purifient et enrichissent le sang, donnent des fo.'ces, stimulant l'appótit, tonifiant l'esto- mac, régularisent et facilitent les digestions' Elles sont elf.caces et sont de ci fait uil méJica inent I on marché. G'est le medicament ayant la plus grande régularité dans les résultats. 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Et pourtant, je voudrais dire quelques mots encore au sujet de quelques questions qui intéressent voire arrondissement autant que le mien, et dont le libéralisme uni au socialisme n'aurait pas cure, si jamais il revenait au pouvoir. Parmi ces questions, il en est qui soar presque oubliées, paree que leur solution* date de quelques années déja. Qui songe encore aujourd'hui aux efto-rts que nous avons dü nous donner pour faire abolir ce droit d'accise >ur le tabac introduit par le gouvernement libéral 21/2 centimes par plant Nous avons obtenu du gouverne ment catholique des réductions consécutives, et enfin, en 1895, l'abolition compléte d> droit et la disparition de cette mesure, com laquelle j'ai bataillé taut de fois et qui c n|] sistait a exiger la destruction des plants qu'en cas de grêle le tabac avait endonr et qu'on voulait obtenir la restitution décharge du droit payé? (Applaudisr WIS' Qui songe encore a la loi étab' droit d'cntrée surle bétail étrange jemenlt1 lissant u' r et 1'avoiP1 exotique, que nous avons dé' u 1 i l lendue nff acharnement contre les libre- e'est-a dire contre tous les eC aD8lsles prétendaient que nous vot peuple. Cette loi, vous r .ie la devez pasi' Gouvernement cutholiqu' r ,x -, eil est vrai, mi» aux deputes de la Droi te qui 1 ont propos? et votee et qui ont ren? r. Ju ainsi a 1 agriciito' un immense service. au moment ou el» penclitait, A suivre. libéranx q) ilions affarner I'

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2