oaamsa trêrtöêêSSSErs bb m mm.® mm.m Pilules Pink. GRAN j PRIX D JU DIC s m® B SMBM» rl- es LE CANAL Faire son avenir Le projet militaire en section centrale a Sol militaire L a phtisie est confagieu§e dennks four ra gères ce ir-y/A ment cie 1'Anéoiie. t'O remède sur. Leeleurs dts,i,ez que 'a joio' la VELOÖBOME D'YPRES ON. Ot M a s DEI BB BB ni i US u PHARMACÏEN DE SERVICE i'ïfiOU Ministère de la Guerre Cette dame l a attrappée de i soa mari. Kli" ava't al°J WÊm-jcstz Des adjudications publiques pour ia fourniture de auront lieu i° le 23 Septembre, a 16 heiirer, dans ies bureaux du Directeur du nouveau magasin de fourrages da Bruges, Chaussée de Maele, a Ste- CROIX-lez-Bruges 2° le même jour, a 9 heures, au Ministère de la Guerre. Le cahier des charges relatif a ces entreprises est déposé dans le bu reau des magasins de fourrages, ou il peut être consulté. DIMANCHE 26 SEPTEMBRE 1909 clÜTSNTS ACTIFS ft°nT£LU- Course de 100 kilometres Par tclcgramme. midi. L'es soumissions suivantes ont été ouvertes ce matin Bruges, pour l'adjudieation des travaux du canal de Comines a Ypres. G. Vanhatten, La Haye, 2,770,000. Délai trois ans, deuxième hypothèse. Victor Dumon, Uytkerke, pas prix global, deuxième hypothèse. v Decloedt, Bruges, 3,751,194 fr.trente-deux mois, deuxième hypothèse. L'. Monthoyer, Ixelles, 3,581,333 fr. Deu xième hypothèse, trente-deux mois. Smis-Valcke, Ostcnde, 5,977,472.72 fr. Six cents jours ouvrables, tout en tunnel, première hypothèse. iWiggerick, Schaarbeek, 1,952,560.68 fr. Trente-deux mois, première hypothèse. En vue de la rentree des classes, il nous parait opportun de reproduire ces paroles éloquentes, prononcées par le R. P. Garuel, le 31 Juillet dernier, au nouveau Collége Saint-Michel, boulevard Saint-Michel, a Et terbeek, a l'occasion de la distribution des prix Faire votre avenir, mes chers amis, c'est, parun travail énergique et persévérant, vous rendre capables d'occuper dignement dans la société le poste que Dieu vous y réserve. Faire votre avenir, c'est élever et féconaer votre intelligence, en la placant sous Taction directe et vivifiante du vrai et du beau en ne lui fermant aucune des grandes avenues du savoir humain, en l'accoutumant a dé- mêler tous les sophismes, a démasquer toutes les erreurs, afin que plus tard vous puissiez devenir les fermes et hardis cham pions de la vérité. Faire votre avenir, c'est familiariser votre volonté avec la lutte, c'est lui apprendre dés maintenant a se donner au bien sans réserve et sans calcul, a ne jamais transiger avec le mal, quel que soit le masque derrière lcquel 1 se dissimule a sacrifier tout a la conscience et de la conscience a rien. Faire votre avenir, c'est préserver votre coeur des séductions malsaines, des entraine- ments coupables c'est l'habitucr a n'aimer que ce qui est vraiment digne de son amour, Faire votre avenir, enfin, c'est transformer cette molle argile qui s'appelle une ame d'enfant en une ame d homme énergique et fiére. Mais c'est la Téducation tout entière, et cette éducation ne peut se faire en un jour. Ne diminuons pas trop, cédant aux impa tiences modernes, les années de collége ce sont des années précieuses et fécondes. Le grec et le latin, Tanglais et baliemand, l'his- toire et la géographie, les sciences mathéma- tiques, physiques et naturelles pourront peüt-être s'apprendre par des méthodes plus expéditives l'homme ne se faconnera pas plus rapidement qu'autrefois. L éducation, telle que nous la concevons, est oeuvre de patience et de durée. II s'agit pour nous, non pas de transformer en encyclopédies vivantes des cerveaux de quinze ans, mais de forger les hommes de l'avenir oui, de forger des hommes. L'expression n'est pas de moi, elle est de Tacite. Cet historiën recherchant le secret de la grandeur morale des hommes du passé, dont il présentait le souvenir com- me un reproche a ces contemporains, le trouvait dans l'austérité de Téducation qui les avait formés, dans les habitudes d'in- flexible discipline qu'ils avaient contractées dés leurs premières années. lis avaient été place's, nous dit-il, le mot mérite d'etre retenu sur l'enclume des études in stu diorum incude positi(i) Ne vous récriez pas, Mesdames, c'est simple méta- phore. L'öme humaine est comme le fer. Tel que la nature nous le fournit, il est im- propre aux usages de la paix et de la guerre; il n'a la valeur qu'après avoir été transformé par le feu et la frappe et les qualités de l'acier qu'il donne sont proportionne'es au poid du marteau qu'on laisse retomber sur lui. Ne pas essayer de vous dérober a cette frappe des Émes, douloureuse parfois, mais toujours salutaire, c est la, mes chers amis, votre premier devoir. Mais ce n'est pas le seul. Une attitude résignée et passive ne serait pas digne de vous. D'un enfant faire un homme et un chrétien, ce n'est pas tirer une statue partaite d'un bloc inaniméce n'est pas fixer, sur une toile inerte, les traits du divin modèle. S'il en était ainsi, la tache serait facile il suffirait de laisser agir en Vous Dieu et vos maitres. Mais le marbre, ce sont vos ames fibres et fières la toile, ce sont vos coeurs jeunes it ardents. Vous ês< vous aussi, les artistes dont le concpu s est indispensable a la réalisation du chef d'oeuvre. Dieu vous a mis entre les mains des ins truments précieux et délicats vous devez apprendre i les manier. Hommes de l'avenir, il vous faut acquérir a science. On en demande aujourd'hui. et beaucoup, et pour toutes les carrières voire instrument de conquête, c'est le travail. Travaillez done sans défaillance et sans découragement. Votre devise, a vous, doit être celle du grand apotre Si quis audet, audeo et ego, plus égo Que d'autres se montrent avides de connaissances nouvelles, nous le serons comme eux, nous le serons plus qu'eux. Ne faut-il pas que plus tard, quand de prétendus intellectuels viendront dire Si vous savicz ce que nous srvons, vo.us ne croiriez pas ce que vous croyez vous soyiez en état de leur répondre avec une ferme assurance Allons done Nous savons davantage. Nous voyons tout ce que vous voyez mais nous le voyons de plus haut et nous voyons plus loin Hommes de l'avenir, il faut que vous vous forgiez des caractères a toute épreuve, des ames d'une trempe supérieure, inébranlable- ment fixées dans le devoirvotre instrument, c'est Tacception loyale et généreuse de la discipline scolaire, avec ses multiples exi gences. Oui, la régie st, dans l'oeuvre édu- catrice, l'instrument le plus apte a faconner les volontés. Beaucoup ne veulent pas en convenir. Depuis des utopies de Jean-Jac- ques, qui pre'tendaifc proscrire du dictionnaire des écoliers les mots obéir et comman der combien de fois n'a-t-on pas reproché aux éducateurs religieux, a vous surtout, mes révérends Pères, d'exiger des enfants une obéissance aveugle et passive, d'enserrer les esprits et les corps dans des règlcments mesquins et tracassiers, d'amoindrir les caractères, de rapetisser les ames. de les - marquer toutes de la même empreinte, un peu effacée et vieillote, de former des hom mes sans autonomie, sans initiative, sans j vouioir personnel, pauvres esclaves, voués d'avance a toutes les tyrannies. Parler ainsi, Messieurs, c'est ne pas comprendre la régie,' c'est travestir notre méthode éducatrice. Qu'est-ce done que la régie Si j'interrogeais quelques élèves, les réponses seraient sans doute bien différentes. La régie, dirait celui ci il ne serait pas des votres, mes amis c'est chose odieuse au premier chef, inventée a coup sur pour tourmenter les pauvres écoliers». 11 n en considère jamais que le cóté triste, maussade, chagrin, re- strictif. C'est un boulet qu'il frame en mur- murant, et dont il se débarrasse sans scrupule toutes les fois qu'il le peut. Get élève se fait de la régie .une idéé absolument f iusse. Tel autre, esprit sjrieux et travailleur, philosophe en herbe, s'inciine, lui, devant le règlement du coliège. C'est un joug qui lui j pèse, sans doute, mais dont il a compris la j nécessité pour maintenir l'ordre dans un groupe de volontés diverses. II en conclut j qu'ü laut se soumettre a la régie toutes les fois que sa violation entrairierait un désordre extérieur, ni plus, ni moins. Cet élève se j fait de ia régie une idéé incomplète. Oui, ia régie est une barrière contre le i désordre, une protection pour le travail et la j vertu mais elle est plus et rrneux que cela. i Vous ne rn'en voudrez pas trop, mes chers amis, de le rappeier ici devant vos parents, f afin que jamais, cédant a vos pressantes soliicitations, iis ne viennent s'inteiposer entre la régie et vous. La régie, c'est avant tout i'apprentissage du devoir toujours res- pecté et de la continuelie maitrise de soi- même. Elle accoutume l enfant a résister au caprice, a ia tantaisie, a la moilesse, au iais ser aller elle lui apprend a se vaincre lui- même par de légers sacrifices qui, journeiie- ment répélés, üeviennent une sorte d'entrai- neraent progressif pour its circonstances ies plus graves de la vie. Mais pour acceptei ainsi ia régie, pour voir en elle autre chose qu'une force qui s'unpose a ia faiblesse, il faut élever son esprit et son coeur. Derrière l homme qui commande, il faut apercevoir Dieu qui ie couvre et i'investit de son auto rité. Voila, Messieurs, ce que nous ensei- gnons a vos enfants voila ce qui transformé le règlement scolaire, voila ce qui 1 élève a son vé itable niveau voila ce qui, dans l'obéissance, maintient la dignité humaine et sauvegarde la liberté. Un nest jamais esclave, quand on obéit a Dieu. Servir Dieu> c'est régner 1 (1) Tacite, Dialogus de Oratoribus. XX. Nous avons rendu compte samedi dernier des modifications qu'a subies le proje; gou- vernementalet ily alieu deconsidérer qu elies salisfont. Tout en maintenant les basses essentieiles de la réforme, on lui a enlevé ce qui eut pu lui donner un caractère excessif en contradiction avec les nécessités et les exigences présentes et en opposition avec nos traditions. D'autre part,on n'a pas hésité a supprimer ce que la loi actueile avait d'injustc et d'o- dieux. En dëcidant le vote annuel de la loi du contingent, en supprimant le tirage au sort, en réservant la question du remplace ment et en maintenant enfin le principe nou veau d'un fils par familie, la section centrale a voulou pos- r les bases du nouveau projet qui aura ainsi un cara :tère plus equitable et plus conforme a ce que nous devons exiger. Aussi dans Ia presse catholique y a-t-il pour ainsi dire unanimité a approuver les resolutions prises et la Métropole, entr'au- tres, donne la note qui exprime les vra s sentiments de nos amis. Elle écrit Le Handelsblad, avec lequel nous avons 1 été heureux de nous rencontrer dés 1 origine sur la formule transactionnelle qui pourra t rallier Timmense majorité des représentan s catholiques au projet Un fils par familie, se félicite des votes dc la section centrale. Celle- ci, on le sait, a admis le principe du nouveau projet, elle a maintenu le vo'ontariat a ia base du recrutemcnt, elle a aboli l'odieux tirage au sort et a decide que ie contingent serait fixé annueilement par les Chambres. Dans ces conditions, dit notre confrère flamand, nous espérons que, sur les bases adoptées par la section centrale, on arriver i a l'entente et que si les Bruxellois (ceci est sans doute un euphémisme pour designer ies brouillons en général, y compris ceux qu! habitent les rives de TEscaut. N. D. L- R.) veulent continuer a se chamailler, le pays catholique tout entier les sifflera si haut qu'ils en auront bien tot assez Dependant .ce n'est la qua 1 elaboration d'un projet st non ie projet lui-tnême et Ton ne peut pas oublivr que beaucoup de points seront a préciser Mais le plus impouant est fait puisque dit 1'Ami ds l'Ordre, on a 'oté le plus es- sentiel d s atnendem rits, celui par leque5 M. Mélot a fait décider ie vote annuel de la loi du contingent. Sans cette restriction, on re saurait plus oü Ton va. Que fóurnira la formule un fils par fr. mille Sera-jee iö 18 ou 20 mille jeune:', gens incorporablcs. ou même davantage La done se cachait un terrible incontiue et robableüicnt de trés importantes aggra vations de charges militaires. La sectio,; centrale ne rut pas cela. EII ne veut pas laisser peser sur le pays ce gro aléa Elle a bien fait. Le Bien public exprime de même son ap probation pour ie travaii accompli par 'ia section centrale puis il ajoute «D'aucuns regretteront que la question de ia reduction de Ja duree du service u'ait pas rëcueiili Tadhésion de ia section cent ale. La majorité de ia s.etioa a préférése rallier a un text© charpeant le Rbi de dé'ermine, annueilement p ui les diverses armes la durée du temps de service, dans les iimites compatibles avec i'instruction, et de mauiè- re que l'elïectif moyen prévu par la loi da contingent ne soit pas dépassé Pareiile dis position saccor:ü inieux, co effet, avec i'économie générale du sjstèuie proposé. Aussi iongteaips qu'on jugera nécessaire da determiner un effectif de paix moyen, tout reduction du temps de service doit afcoutiv a, une augmentation du contingent. C'est u i j grave inconvenient. Tachons d'obte- ir une reduction de lefïectif de paix moyen, ia réduéfioa du temps de service s'easuivra naturetlemeat. Toucbant a la question du remplacomen qui a été réservée, ie Uien public e?père que ies cat; oliques auront li bonne volonté qu ii faut et la sagesso nécessaire po r so rallier une decision qui satisfasse Ia ;ajo rité et il écrit La suppression du r .mplacement a. été écartée pat la section centrale. Sans doute, cette réforme sera derechef produite devant la ühambre. La gauch© y est unanimement ralliée. A droite, le principe du Service per sonnel compte aussi un certain nombre de déienseurs. Nous ne craignons pas, pendant que les partisans catholiques du service personnel fassent cause commune avec Top- position, et sacrifient l'union de leur parti a leurs próférences particuiières. Formons ie voeu que, dautre part, on fasse preuve du même esprit de conciliaiion. Le bloc catholique ne saurait se former qu'av- tour du projet ministeriel;: moyennant eer- taines concessions réciproques. Nous l'espérons aussi, L'Association Conservatrice del l'arroi - dissement d'Ypres, réimie au Volkshuis, aujourd liui a 2 1/2 h., sous la prési- dence de M. Ernest Fraeijs, conseiller provincial, et en presence de MM. les sénaleur et deputes de Tarroudissenieuï, a voté a Tunanimité l'ordre du jour sufvant Lés déléguês de 1'Association Calh - lique de l'arrondissement d'Ypres, réun's en assemblee générale le i 8 septemb a 1909, pour examiner la situation faite au parti eatliolique, a la suite du dépdt du projet de loi militaire, après un examen approfondi de Ia .question, ont exprimé le regret qu'on n'a it pu donner 5 la loi de 1902 tout ic développc- meut qu'elle comportait et qui aurait donné satisfaction a la Irès-grando majorité dc Ia population; Considérant que l'honorable chef du cabin t d'accord avec les auhes membres du Gou vernement, a exprimé sa volonté bien arrêti'e de ne matcher qu'a vee la droite; ce qui pennettra 5 la majorité de consacrer dans h loi le principe du remplacement, ainsi qu'une nouvelle et large extension du volonlarmt; Exprimcnt leur entièfe conliance dans leiu - mandataires, "déeidé.s, eux .aussi, 5 marcher avec leurs mandants, dont les dé idérata sonl. Suppression du tirage au soit 2° Service d'un fits par familie, temp éi par le remplacement; 3o Fixation annuelle de i'effeciif e'. du con tingent par les Chambres, sans cnuiges nou velles 4° Extension du volontariat et a-,nélo itiön de la situation des volontaires; 50 Mainticn dc Tindemnité aux miiiciejis; .6» diminution du temps de -service. ii - ooi Dimanche ig Septernbre igog MAY, vtiaud'Plsce, 35 CU pcrf'-moï naic brun, cortenant vlagt francü t deux adressep. dans la ue dansé- nius (coin de ia rue de Dixmude). 5 fr. de résompense il qui le rapportera P. Sik. rue J.msésius, r,° 7. SïüiffreDt d'anémie, dS p dpita.tjqns, e névral- gios oude bourdonueux-nts d'oreiiles, tölrouve- i'cat eu p;.u u-, .--jmps ut-. gasité pori'Mte, s'i.'s ont reeoui's la Pilule l'brrugiaèuso du i;' Rap hael. qui se v ad fr t,"<5 dans le» bo .ue» phai- j maeies. iiURüËRSTAND VAN YPBR van den 10 to. .:en 17 Sepi. i90y (jeboorton Rossèel Alicia, kanonstraat. Temper vii'te Julia, -liiv.R n: i den straat. Devos Ivotma, Hukkerstraat. Samoy ui .ts, L. 1 houront-' sat. Itevos Albert, Zon.-eb kest; cnweg. Crev.it Juier, :-rie Zottenstraat. uubois Agnes, Faiiu oelstraat. i'■esifiarêis Suzanna, Mcené :stoenweg.. Allecaon Georges oickebus -isteehweg. Lesage. Adriatia. Kanonstra»! i i luwefijkeD Daiie Soraphin, o -•nchh-r in 's staa'-weldidig- heidscriool, Priem Hortentia, z. b. beiden t j V per. Vando i'aekoio Joseph, bediende bij be: be stuur van bruggen en wegen, te Brugge, en Riancko IL, ca, z. b. teYpor. •Stvrtgevallen Coutelle- Paula, 11 in, .u -n Nêersfi aat. Lapauw abr. la, 1 maand Poperingh-.-: f -ei - w g. Vi.-rlr.'ie Dnsideer, 72;., leurder, e htgt Buys 1 Maria, Kaoonstraat Dègrjjse Henri, 48 jaardowerker, uchtgta 1 Malrieu Maria, Zommbekei-teoneg Mr. Marcelin Mels Stekene nous décla, 1 qui suit: 19 Ma fllle Emma avait épousé un qu'elle soignait jour et nuit avcxTpT''1!16' I entier dévouament. Après la mort de s0^ U8 elle fut atteinté de doub nrs la poitrlne viesd'une toux ópouvaiitable, avec exiióc|Slli" tion deglaires sanguinolentes. pé la phtisie de sou mari Elle 1 fqiblissait, avait.des actesde chaud et fro;^ montrait une mine maladi vement belle Ie plus aflirmatii ue la phtisie. La toux et les a ita- rité. go'ssessa'ccmtuèrent ate! pointqu'onavaiti'' prsssion qu'elle avait des déeliirements i nours, nous dit Mohsieur Mels. FinaiQment' elle uue ne pouvait plus faire uu pas sans sentir fatigue énorme; lorsqn'elle mo-tait les escalj"" son épuisement provoquait des palpitations J coeur terribies, Elle fut traitóe par deux 'in:,.8' eins et un spéciuliste, jtnais point de guériso6 trouvor. Son état s'empirait a tel point quo J1 a nous attendions a une mort prochaine. l9 verbeQuand le danger est au plus haut, le sam est tout prés, se vérifia encore cette fois lorsqu'.èlle était couchéo ia, mortellemsnt lade, un ami vint la voir. Celui- 01 avait été W I V Que ies acémiques obaogon't d' ir, rien de mfcïiteui naais cela n'est p-o sufflsant, ils do- vont rógénérer leur sang pauvre, et pour ce. i le traitementdes Pilules Pink 'impose. L'ané- mi<:,la cMorose, ne résistent pasé un traité'mei t par ies Pilules! Pink narce qu'elles toucher t dircctoment a la racirje du mafi e'est-a dire au sang. L'empioi des Pilule,' Pink transformé 1.) sang pauvi vicié, en u;. -sang pur, géaé ux. L'oiganisöese trouve iramédiatëment régénórê fortiflé par la circulation de ce sang riche Aus si tous los malades qui viennent de terminer ie traitementdes Pilules Pink disentNon seu tementje ne soufïre plus, mais je me porto rmeux que je ne me suis jamais porté. Pui ieur puissante action sur le sa;:g et sur les nerfs les Pilules Pluk sont souverames contre l'ané'mic la chlorose, la neurastüénie. i.es Pilules Pink sont en vente dans toutos les pharmacies et au dépotPharmacie Derneville 66, Boulevard de Waterloo, Bruxelles. 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Apiès avoir employé cinq bouteiiles, elle est complètement guérie, et elie est de nouveau en éta '-'e vaqa occupations habituellas Elle est en service chez le baron RarLvic j Hobokon tous ceux qui vofont uia filla s'occvi- per de son avaii ont peine a croire qu'elle a ófési prèsdu tomi-eau, p«»suPe de 1? terrible maladie dont elie souiïrait naguère encore l.a Jiiisie u'est toujours curablenéan- moins beaucoup de personnes en ont été guóries lorsqué la maladie n'était pas trop avancée -ar Je Sirop de 1 bbaye elle donne des forces nouvelles aux poumons, et tÓniflf leur d s de résistauee. Ku piusieurs cas l'empioi du Sirop di 1 Abbdve a luit totafoment disparaïtre les germes de la maladie. Pi ix de ia bouteiiie de 23o grammes, 2 fr.; de 350 grammes, 4 fr. et de iöOö grammes, 7 fr 4JOHO avantage rio prendre les grauues DouieiiJes Depót généralL. i. Anker, R Amrdam. Dépot principal pour la Belgique. O. de Beul Longue Rue Neuve, 57, Anvers. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2