Mise au point
Au Volkshuis
A la Chanibre
('onseil Communal
Adjudication
U tes officiels
Nécrologie
Ilepos dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
Bibliographic
Huwelijksaankondigingen
Mais le Progrès a tort de le blaguer sur
tout en y mêlant le Stand. M'est avis, en
effet, que si les tireurs doivent être gratifies
dun stand, c'est un peu au nouveau carillon
qu'ils le devront. Je m'explique.
On a dit avec raison que le propriétaire des
Halles et de St-Martin était un milliardaire
qui devrait se payer la fantaisie dun carillon
de premier ordre. On peut même ajouter
qu'il devait se la payer, paree que le carillon
est le complément nécessaire de notre admi
rable beffroi.
Seulement, tout comme le pauvre ne
pardonne au riche un peu de faste que s'il
le sait charitable et généreux, le contribuable
ne pardonne a ses édiles les dépenses de luxe
que s'il constate chez eux un souci correspon
dent d'assurer le nécessaire et l'utile.
Nos édiles ont tenu a' ce qu'un orchestre
aérien célèbre leur 'puissance, c'est bien.
Mais il importe qu'a la voix des clochettes
réponde celle qui, d'en bas, chantera plutöt
leur sagesse et leur activité féconde. On aura
beau faire intervenir^nos spécialistes les plus
compétents, le carillon choquera quelque
temps encore l'oreille'du contribuable qui
estime
«jjqu'on vitode bonne(soupe
et non£de7beau)langage.
Et les partisans du Stand, notamment,
tout comme ceux du Ring, auront incon-
testablement le droit d'agiteró plus fort
qu'auparavant le carillon de (leurs doléances
et de leurs vceux. Pour ce qui est des Stan-
distes.le moment me parart particulièrement
favorable pour faire triompher leurs revendi-
cations. Mais, puisqu'ils le mettent sur le
pied de patriotisme, il convient pour cela
que notre député Ernest et ses amis du
Parlement se joignent patriotiquement a
nous pour faire aboutir une réforme militaire
qui, sans augmenter les charges, nous dotera
d'une meilleure armée.
Nous n'avons que faire de la quantité,
mais nous tenons d'autant plus a la qualité
et nous reconnaissons bien volontiers que la
qualité c'est'un peu la mission desiStands de
nous la procurer.
Les partisans du Ring surtout applau
diront aux concerts du nouveau carillon.
II ne serait pas admissible, en effet, que
1'on transforme en bruit quarante billets de
mille et que 1'on n'ait plus le sou, après cela,
pour transformer un égoüt découvert, dé-
plaisant autant que délétère, en un digne
tronen complémentaire de ce Ring qui
détröne, a certains égards, ceux de Vienne
et de Cologne.
Le carillon, c'est la voix de la Ville
notre mère selon la loi qui célèbre, a
l'instar des cloches de notre Mère selon la
foi, les grands événements de la vie civile
c'est la voix d'une mère qui console et qui
berce ses enfants, sans les berner jamais
qui aime d'un égal amour ceux qui ont
pignon sur le boulevard Malou et ceux qui
hantent le Wieltjegracht malodorant, et qui
sait partager équitablement entre tous ses
faveurs et ses cadeauxfüt-ce une vile motte
de terre, si ca peut faire leur bonheur.
F.
Dans un précédent numéro, nous avons
exprimé le regret de voir fixer a une date bien
tardive la conférence avec projections ciné-
matographiques relatives au Congo, orga
nisée par les soins du cercle Excelsior
Telle quelle était formulée, sans les
distinctions nécessaires, notre critique était
trop sévère paree que trop absolue.
En ce qui concerne la date, il y a lieu de
prendre en considération que si le mois est
précisé, le jour ne l'est pas. Au surplus, il
nous revient que le mois lui même n'est pas
arrêté ne varietur si bien que nous aurons
peut-être, dès le début de l'année, la trés
intéressante soirée que nous avions craint
devoir altendre jusque fin Février. Et d'une.
II faut ajouter ensuite que la conférence
annoncée se rapporte au Congo en général
La partie relative au voyage du Prince Albert
et a celui du Ministre des colonies pourra
done seule perdre un peu en actualilé,
quoique nullement en nouveauté pour les
Yprois Mais nous apprenons que ce léger
détriment sera largement compensé par la
haute nouveauté des véritables primeurs qui
nous arriveront du fin fond du Congo, et
précisément de cette région du Katanga, qui
doit probablement concentrer l'intérêt prin
cipal du Congo, comme colon:e de peuple-
ment et comme source de richesse.
Car des vues du Katanga sont encore
attendues. Elles ne sauraient perdre de leur
nouveauté avant d'avoir vu le jour en Bel-
gique.
Nous sommes heureux de pouvoir de la
sorte atténuer nos critiques dans une si large
mesure, qu'il en reste bien peu de chose.
Demain, Dimanche 24 Octobre, la société
dramatique Willen is Kunnen interprê
tera la célèbre pièce de Jules Verne
MICHELSTROGOFF
On commence a 7 heures
Comme on pouvait s'y attendre, le groupe
turbulent des iuterpellateurs d'extrême
gauche èi fait uq beau tapage a cette séance
de reprise des travaux parlementaires et a
prétendu avec force insolences interpeller
le gouvernement au sujet des événements
d'Espagne. Le procédé n'est point neuf et
la violence de langage deces orateurs n'est
point fait pour nous surprendre.
M. le ministre des affaires étrangères a
cependant cru devoir piotester contre les
injures qui visaient un gouverneinen avec
lequel nous sommes en relations d'amitié.
C'est sans dome au fond i'avis de tout ie
monde même en Belgiqim, car a la fin de
la discu.-sion, M. Furnémont lui-même a
déclaré i.e pas insister sur l'urgence. Mais
dans l'eutretempa sa motion a pris la moitié
de la séance et a donné l'occasion au dit
citoyen Furnémont de regarder M. Maura
comme le cliel d'une bande d'assassins.
Elle a permis a M. Vandervelde des s'éle
ver co ütre le crime abominable qui a été
commis d'entendre le citoyen Pepincrier
A bas le Roi d'Espagne et rappeler les sou
venirs de Philippe II et du due d Albe.
Enfin elle a été pour tous les énergumènes
de l'extrême-gauche, qui ne procédent qua
coups d'invectives et d'injures le prétexte du
plus incohérent des charivaris, Aussi de-
vant pareille attitude, on ne pouvait rien
faire que se conformer a la décision p i 0
en juillet, d'exclure toute interpellation
pendant cette fin de session.
De commuu accord, l'interpellation, ïu-
troduite au sujet de l'affaire Ferrer a été
alors placéa a la suite de celles inscrites a
l'ordre du jour.
Ensuite l'assemblée a abordé le débat
militaire mais auparavant elle a procédé a
la vérification des pouvoirs de MCocq, qui
succèdea M. Lepage, décédé le 10 octobre
dernier.
Au début de la séance, tour a tour le
président de la Chambre, M. Scbollaert.au
nom de la droite, MM. Jauson et Denis, au
nom des gauches, ont rendu hommage au
député dispara. M. Cocq, dontles pouvoirs
ont été validés, a prêté serment,
M. le ministre Schollaert a pris alors la
parole et a exposé dans ses grandes lignes le
projet militaire et son économie générale. II
lit une note donnant l'indication du système
actuel et des modifications qui lui seront
apportées par le nouveau projet.
L'honorable ministre examine le rende
ment du projet au point de vue du nombre
d'hommes appelés sous les drapeaux en vertu
du système proposé et refait longumer.t les
calculs déja soumis a la section centrale et
dont nous avons indiqué les conclusions.
II traite ensuite de la constitutionna'ité
du projet et soutient cette thèse que le mot
«contingent» dont parle l'article 119 de la
Constitution ne vise pas la levés annuelle
Cela füt il même inexact, il ne faudrait pas,
pour respecter le principe constitutioneel,
que le contingent soit déterminépar cüiffres.
L'honorable ministre, pour démontrer sa
ihése, fait l'analyse minutieuse des textes
législatit's antérieurs a l'article 199 et des
discussions du Congres. II démontre que le
constituant a exigé que le contigeut füt iixé
paree qu'il ne voulait p s que le gouverne
ment disposal de forces excessives. (Inter
ruption de M. Woeste).
Je vous prouverai, monsieur Woeste, par
vos propres paroles au cours d'une discus
sion avec Frère Orban que ma thèse est
la seule plausible. Le contingent, quoi qu'on
en dise, n'est pas lalevée.
L'orateur invoque encore, a l'appui de sa
thèse, de nombreux exemples empruntés a
cos lois financières. La Constitution, de
même prescrit le vote annuel des impöts,
mais jamais cette disposition n'a été iuter-
prétée en ce sens que les impöts devaient
êtres fixés daus la loi, par francs et par cen
times. La loi établit des principes et sa tis-
fait ainsi au prescrit de la Constitution.
Un article au sujet de la retraite pastorale
estremis au prochain numéro.
VILLE D'YPRES
Séance publique du Samedi 16 Octobre.
Sont présents MM. Colaert, bourgmes-
tre, président; Fraeijs et Vandenboogaerde,
échevins; Fiers, Vanderghote, D'Huvettere,
Bouquet, Sobry, Iweins d'Eeckhoutte, Le-
mahieu, Biebuyck, Begerrm, Boone, con-
seillersVanderdonckt, secrétaire.
M. Struye s'est excusé.
La séance est ouverte a 5 h. du soir.
Le proces-ver: al de la séance précédente
n'a donné lieu a aucune observation.
M. le bourgmestre remet a MM. Van
Elslander, Coffyn Eugène, Coppin Maurice
et a l'agent Witterbecq les médailles civi-
ques et la mention honorable qui leur ont
été octroyées par le Roi et leur adresse ses
felicitations.
Administration communale Rapport sur j
l'exercice 1908. Le rappo-t est depose a
l'examen de MM. les conseillers.
Propriétés communales Procés-verbal
de vente de noix. La recette a atteint i
cette année 865 francs, le double de 1 année
dernière430 francs.
MuséeCompte 1908. Les recettes
s'élèveut a 1.367 fr. 68 et les dépenses a
489 fr. 85. Excédeut 1.147 fr. 81. Somme
qui sera utilirée en partie, a la restauration
des tableaux qui sera entreprise dès 1 année
prochaine.
Bureau de bienfaisance Repartition de
sa contribution dans les frais de instruction
primaire gratuite pour 1908-1909. Cette
contribution a été fixée k 8 fr. par tête, ce
qui fait pour un total de 1452 élèves, la
somme de 11.616 fr. que le Bureau de bien
faisance decide d'allouer. approuvé.
Ecoles primaires Budgets 1910 a) école
pay ante b) écoles gratuites. Le budget
de l'école payante est de 4 075 fr. en recettes
et dépenses Le budget des écoles gratuites
est réservé, uue demande d'augmentation
de traitement devant être examinee en
comité secret.
Ecoles gardiennes Budgets 1910
écoles payantes b) écoles gratuites. Le
budget des écoles payantes est réservé pour
le même motif que ci-dessus. Le budget des
éccles gratuites s'élevant a 8.000 fr. est
s pprouvé
Ecole menagère.- Budget 1910. Réservé
pour le même motif que ci-dessus.
Propriétés communalesVente de terrain.
Une demande d'achat est faite d'un ter
rain rectangu'aire de 70 m. c. (14 m. sur
une profoEtdeur de 5 ui.) situé derrière les
maisons de MM. Mortreu et Legon, boule
vard Malou La mise-a-prix de 15 fr. le m.
c. fixée par le collége a été acceptée par
l'amateur.
Hospices civils Partage de biens immeu-
bles. 11 s'agit de deux teirains indivis
situés k LeysMe et Stavele, dependant de
la succession de Mile Delmotte. Ce partage
est approuvé.
Hospices civils Vente d'une pature.
Un terrain a labour d Ui. 86 a-. 10 c., situé
a Ypres. section C, numéro 1642, apparte
nant aux ilospices, se trouve enclavé dans
des terrains appartenant a MM. Claeyssens
a Wambrechies, et Autoine Poupart. Ces
trois propriétés sont contigues et les liospi
ces devraient faire la dépense de la con
struction d'un abreuvoir. M. Claeyssens
propose d'acheter la parcelle. Elle a été
estimée par M. Desagher a 11.707 lr., prix
accepté par M. Claeyssens. Cette veute est
autorisée.
Culte budget 1910 de l'église Saint-Ni
colas. En recettes et dépenses 6958 fr. '28
Approuvé.
Culte vente de sapins appartenant d la
fabrique d'églisede Saint Pierre Le
Conseil approuvé la vente de sapins pouvant
être coupés avec avautage au lieu dit
Passchendaele-veld Zillebeke.
Culte restauration d un troisième con
trefort de l'église Saint-Martin. La fabri
que d'église, après avoir pris la décision de
restaurer les deux premiers contreforts du
cöté méridienal, estime qu'il y a urgence de
restaurer encore le troisième et iait valoir
qu'il y aurait utiiité do conserver l'échafau
dage. Elle formule la réserve que sa part
d intervention serait d un sixième.
M. Boone. Combien de contreforts
y a-t il encore (Rires
M. le Président. De ce cöté-la il n'y en
a plus. J'estime que nous ne pouvons plus,
comme précédemment, invoquer la néces
sité d'urgence. Le, pnx total est de 7.930 fr.
Je tiens k faire observer également que si
les travées ne sont pas restaurées, le travail
sera a rccommencer dans quelques années.
Les créneaux sont en trés mauvais état.
La part de la ville pour le contrefort serait
également d'un sixième. Approuvé.
Finances communales compte de la ville
de 1908. L'excédent général est de 51 120
fr. 27. Deux subsides, de l'Etat et de la
province, ne sont pas encore régies.
M. Boone. Les travaux de Zillebeke
sont ils terminés
M. le Président. Oui, sauf que d'uu
cöté, M. ringérieur Froidure treuye cer
tains travaux défectuoux. II estime égale
ment que les vanues n'ont pas la qualité
voulue.
M. Sobry (en fiamaud) fait observer que
le mur, du cöté Sud du cimetière n'est pas
encore exécuté. Une somme de 2.500 fr. a
été prévue a eet effet. 11 demande l'exécuffon
de ce travail au plus vite. II constate aussi
une diminution de toutes les ree ttes des
marehés. Le marché au beurre, a lui seul,
accuse une baisse de 1 302 fr.
M. le Président. Les laiteries établies
dans toutes les communes sont la cause de
la baisse du marché au beurre. Le controle
des oeufs et des poniets se fait comme jadis
et est trés sévère. J'examinerai s il y a des
raisons spéciales, mais pour le marché au
beurre il est certain qu'il n'y a rien a faire.
M. D'Huvettere (en flamand) s'étonne
qu'un compte si important n'ait pas été
soumis a la Commission spéciale pour exa
men.
M. le Président. Je demanderais dans
ce cas, a la Commission de se réunir au plus
tot. II sera tenu couapte de votre observatiou
mais vous avez perdu de vue que eet oubli
est imputable a l'absence de secretaire. M
le secrétaire-adjoint était absent egalement.
Jesaisis cette occasion pour le remercier
d'avoir rempli les fonctions de secretaire si
bien et gratuitement, Le traitement lui a
été offert et il l'a décliné.
Bureau de bienfaisancecession dun
La veuve Vasseur, a Voormezeele,
bail.
Cat-
cède son exploitation agricole a Oscar
La cession de son
teau, de Wytschaete
bail est autoiisée.
Fondations destination des primes oc
troyées aux enfants des écoles communales.
- Dans son rapport, M. D'Huvettere avait,
primitivement, proposée d'affecter les trois
premiers francs la caisse de retraite et le
restant a la caisse d'ép-rgne. II propose
actue'lement d'affecter le tout a la caisse de
retraite, afin d'assurer un moyen hounête
d'existence a 1'ê.ge mür. Adopté.
M. D'Huvettere. Je désire interpeller
sur le point de savoir quelle* mesures ont
été prises par 1'Administration communale
en vue du cholera, suivant les prescriptions
du gouvernement.
M. Ie Président. Nous avons adressé
uce demande aux hospices et nous sommes
a la veil le d'une solution. Pendant les vacan-
ces, j'ai convoqué la commission d'hygiène,
alaquelle j'ai adjoint tous les médecins de
la viile. Tous ont répondu k mon appel pour
donner leurs consails. lis sa ;oat rn s d ac
cord pour exprimer le voeu de voir établir
en ordre principal, un nouvel hópital, en
dehors de la ville en ordre subsidiaire, une
succursale de l'höpital pour les maladies
contagieuses, et, au besoin, un baraquement
construire immédiateinent au besoin.
L'höpital demandé, en ordre principal,
est done condamné paree qu'il est situé
l'iutérieiu' de la ville et en pleine place Mais
il n'y a pas lieu pour ce'a de recourir a un
moyeti ijkdical. Cet hópital peut suffiie pour
les niafei,qs ordinaires, pour les victimes
d'accidents mais pour les maladies conta
gieuses, notamment pour le typhus et aussi
la phtisie, il serait désirable qu'une succur
sale füt construite en dehors de la ville. Nos
hospices sont en mesure d'en construire une.
Nous aurions, du reste, des subsides trés
considérables du gouvernement.
Plusieurs conseillers se sont déja occupés
de la goutte de lait et des questions d'hy
giène publique. On pourrait lormuler un
règlement qui ne soit pas contraire aux iois
générales. On fait usage ici, peut-être plus
qu'ailleurs encore, de biberons a longs tuy-
aux. Ce système, contraire a l'hygiène, a
déja été prohibé par différentes villes, par
Gand entc'autres. Eu l'absence de M. leche-
vin de 1 etat-civil, j'ai signalé ce danger a j
ici pa?. i
Les tuyaux fatiguent-iis la poitriue de
1 enfant? Oui, disent les médecins.
J'ai demande au directeur de l'abattoir un
rapport sur toutes les étables de la vide.
Beaucoup manquent d'air.
Le terrain que j'avais iudiqué aux Hos
pices pour la construction d'un lazaret ne
convenait pas. J'en ai indiqué un autre.
J'espère que nous ne nous arrêterons pas
sur une question de terrain. Etes vous aatis-
faitisfait M. D'Huvettere
M. D'Huvettere. A moitié. A cóté de la
construction de lazarets, la circulaire du
gouvernement prescrit des mesures preven
tives. 11 yj a lieu de s'occuper des petits
L'Yperlée, a sa sortie de la
MSobry (en flamand) signale 1'état du
fosse' des remparts prés de la maison de santé.
M. le Président répond que les eaux mé-
nagères de la maison de santé ne seront plus
déversées dans le Wieltjegracht Celui-ci
sera nettoyé et on y amènera alors l'eau de
Zillebeke, aussitöt les travaux de l'étang
terminés.
La séance publique est suspendue a 6 h.
et demie et est reprise a 7 heures.
Le budget de l'école gardienne payante
a été fixé, en comité secret, a 5.995 fr., et
celui de l'école de musique a 8.3oo fr. II a
été procédé ensuite k la nomination de M.
Prosper I)egroote,maitre décorateur a Ypres,
comme professeur a l'école industrielle
(cours de peinturc de bois) en remplacement
de feu M, Doolaeghe.
Samedi a eu lieu l'adjudication des travaux
de rechargement d'une partie des chaussées
empierrées d'Elsendamme a Ypres, d'Ypres
a Rousbrugge et d Ypres a Menin, estim,
44,763—21
Ont soumissionnéMM. C. Monbalieu,
Zee-Bruges, 40.500 fr. J. Leenaerts, Oost-
camp, 41.770 et 40.000 (condition spéciale)-
rt nu..„u nu it'
H. Gheyle et Ch. Dejonghe, 44.600; H
Braet, Nieuport, 45.55o.
Un arrêté royal du 12 Octobre autorise la
commission administrative des hospices ci
vils d'Ypres a accepter la donation que lui
fait M. H. Goethals, sans profession, de
meurant a Schaerbeek, de
ie Treize obligations de la Société du
Crédit communal, 3 p. c.. sans prime, au
capital nominal de 1,000 francs chacune
2e Quatre obligations de la même société,
3 p. c., sans prime, au capital nominal de
100 francs chacune, portant les coupons
d'intérêt a compter du i«r janvier 1909.
Cette donation est faite a charge de fonder
a perpétuite' un lit a l'hospice des vieillards
nommé Notre Dame de Nazareth a
Ypres, ou a tout autre hospice, qui pourrait
le remplacer par la suite.
Le donateur se réserve, sa vie durant, L
droit de présenter les indigents qui occupe
ront le lit fondé.
Ce matin ont eu lieu en l'église St-Martin
au milieu d'une grande affluence, les funé-
railles de Madame Ligy-Degels, décédré
dans sa quatre-vingt-unième année.
La vénérable défunte était la mère du Gé
néral Ligy, commandant la garde-civique de
Gand et du Major Albert Ligy, chef de notre
garde Yproise.
Nous présentons a la famiile Ligy nos
chrétiennes condoléances.
cours
1 eau.
Dimanche 24 Octobre 1909
E. GAlMANT, rue de Menin, 6.
En vente au Bureau du Journal
Almanach des Families Chrétiennes o 5o
Almanach de N.-I). du Sacré Coeur o 5o
Almanak van O. L. V. van 't H. Hert o 5o
Mercier (Mgr.). Retraite pastorale.
Hubert (R. P Conférences. Le Ga-
ractère che\ la femme chrétienne. 0.60
Gyp. Le Mariage de Chiffon. 3 5o
Liebrecht (Henri).Histoire de la Lit
ter ature Beige dexpression franqaise.
ville, laisse énormement a désirer. Le cura-
ge entre dans les moyens préventifs visés
par le gouverneur. II y a lieu de prendre
des mesures immédiates il y a du danger
pour les maisons büties proximité. Une
questi ,u pendante aussi depuis longtemps
est celle de la fermes des boues. Ce sout la
des mesures générales k prendre.
M. le Président. Le curage de l'Yperlée
n'a jamais été fait au complet sous l'admini-
stration précédente ni maintenant. Cepen
dant, a la sortie de la ville, il y a deux ans,
un curage a été fait. Tous les jours, je re$ois
un rapport de la police sur los égoüts et les
regards d'égoüts. Cette mesure n'est pas
provisoire, mais a été prise pour être conti-
nuée. La question du déversement des ordu
res est a l'examen, de même que celle des
vidanges. M. Sobry a demandé dans le
temps, de lairc des vidanges autouiatique
j ment Nous examinerons aussi la question
I de brüler les immondices. Nous aurons sous
peu un terrain convenable. On met a désin-
fecter et a détruire les décombres tous les
soins voulus.
M. D'Huvettere. Vous avez promis
d'aller visiter l'usine de Haeren
M. le Président. Aucune ville de l'im-
portance d'Ypres, ou même plus importante,
ne pratique un système différent du notre.
OstenJe expose les immondices en plein air
et les odeurs sont chassées vers la mer.
M. D Huvettere. Oa pourrait examiner
ces questions a une autre séance.
M. le Précident. Puisque vous avez des
compétences spéciales en ceite matière, vous
pourrez nous aider de vos bons conseils.
(Rires.)
Guilliolmus Verduyn, sergant majoor bij het
derde linie regement, en Pelagie Huyghebaer'
z. b. beiden van Yper.
Canaille Verhooye z. b. gehuisvest te Yper. en
Sylvie Victor werkvrouw gehuisvest te St Ja11-
Theodore Kerrinkx schr(jnwerker,en Urbani®
i'arroo z. b. beiden van Yper.
Petrus Dossche mynwerk'T.en Sidonie Visage
dienstmeid, beiden van Yper. tfl
Julien Dedrie, teekennaar gehuisvest te
Oostende, en Elvira Bartholomeus, z. b. gelui1»'
vest te Oostende vroeger te Yper. t
Henri Dumoulin, werkman aan den tclegraa
gehuisvest te Yper, en Maria Vandamme dien»
meid gehuisvest te Zillebeke. ne.
Jules Maes mekaniekwerker, en Maria
caesteker z. b. beiden van Yper.
l occasion de plusieurs mariages, et je prio j
l'échevin da faire des recommandations
dans ce sens. En France, il existe une loi,
i'
ii>b
3.00
'00
BURGERSTAND VAN YPER
Geboorten:
van den 15 den 22 October 1909.
Minnekeer BerthaZonnebekest.
Sercu Adolpbe, Drie Zottenstraat.
Gesquière Marcel, Rijsselstraat.
I.ussaert Antonia, Studentenstraat.
Van Maelderen Elisabeth, Mondstraat.
Huwelijken:
Pringiergs Renatus, handelsreiziger S
Valentine. Kleermaakster te Yper.
Pype Marcelinus, peerdengeleider Doü
gbe Victorine, kantenwerkster te Yper.
Sterfgevallen:
Depuydt Valerie, 38 j. winkelierster, Vye
Roose Isidoor, L. Thouroutstr.
Degraeve Cyrille, 38 j kleermaker ongeil 'b
t)ickebusch8teenweg.
Berghman Adelaide, 75 j. z. b. ongehuwd,
Kauwekynstraat
Mahieu Ludovicus, 69 j schoenmaker, ecli'gt-
Florentyn Adelia. Oe Haernestraat.
Berten Romania, 57 j. herbergierster Vt'we
Vansteenkisto Adolpbe en Pauwels Desiderui»*!
Meenenstraat.
Vandevelde Raymond, 3m. Doorgangstraat.
Pylyser Maria, 89j. ongehuwd, Weninnrksti'-
Desclirijvere Leonard, 47 j. vlaszwjjngelaaL
eebtgt. Debaere Maria, L. Thouroutstraat.
Degels Eraerenee, 80 j. z. b. Wwe Ligy Felix.
Boterstraat.
Houttek'et, Pelicie, 51 j. z.b. ongehuwi', 6°''
ling,straat-
Vancattendyck Carolus,49 j. daglooner, eMigt,
Vlamynck Maria, Tegelstraa't.
Craye Clementine, 0 j. Gust. de Steurstraat.