Mise au point Au Volkshuis A la Chanibre ('onseil Communal Adjudication U tes officiels Nécrologie Ilepos dominical PHARMACIEN DE SERVICE Bibliographic Huwelijksaankondigingen Mais le Progrès a tort de le blaguer sur tout en y mêlant le Stand. M'est avis, en effet, que si les tireurs doivent être gratifies dun stand, c'est un peu au nouveau carillon qu'ils le devront. Je m'explique. On a dit avec raison que le propriétaire des Halles et de St-Martin était un milliardaire qui devrait se payer la fantaisie dun carillon de premier ordre. On peut même ajouter qu'il devait se la payer, paree que le carillon est le complément nécessaire de notre admi rable beffroi. Seulement, tout comme le pauvre ne pardonne au riche un peu de faste que s'il le sait charitable et généreux, le contribuable ne pardonne a ses édiles les dépenses de luxe que s'il constate chez eux un souci correspon dent d'assurer le nécessaire et l'utile. Nos édiles ont tenu a' ce qu'un orchestre aérien célèbre leur 'puissance, c'est bien. Mais il importe qu'a la voix des clochettes réponde celle qui, d'en bas, chantera plutöt leur sagesse et leur activité féconde. On aura beau faire intervenir^nos spécialistes les plus compétents, le carillon choquera quelque temps encore l'oreille'du contribuable qui estime «jjqu'on vitode bonne(soupe et non£de7beau)langage. Et les partisans du Stand, notamment, tout comme ceux du Ring, auront incon- testablement le droit d'agiteró plus fort qu'auparavant le carillon de (leurs doléances et de leurs vceux. Pour ce qui est des Stan- distes.le moment me parart particulièrement favorable pour faire triompher leurs revendi- cations. Mais, puisqu'ils le mettent sur le pied de patriotisme, il convient pour cela que notre député Ernest et ses amis du Parlement se joignent patriotiquement a nous pour faire aboutir une réforme militaire qui, sans augmenter les charges, nous dotera d'une meilleure armée. Nous n'avons que faire de la quantité, mais nous tenons d'autant plus a la qualité et nous reconnaissons bien volontiers que la qualité c'est'un peu la mission desiStands de nous la procurer. Les partisans du Ring surtout applau diront aux concerts du nouveau carillon. II ne serait pas admissible, en effet, que 1'on transforme en bruit quarante billets de mille et que 1'on n'ait plus le sou, après cela, pour transformer un égoüt découvert, dé- plaisant autant que délétère, en un digne tronen complémentaire de ce Ring qui détröne, a certains égards, ceux de Vienne et de Cologne. Le carillon, c'est la voix de la Ville notre mère selon la loi qui célèbre, a l'instar des cloches de notre Mère selon la foi, les grands événements de la vie civile c'est la voix d'une mère qui console et qui berce ses enfants, sans les berner jamais qui aime d'un égal amour ceux qui ont pignon sur le boulevard Malou et ceux qui hantent le Wieltjegracht malodorant, et qui sait partager équitablement entre tous ses faveurs et ses cadeauxfüt-ce une vile motte de terre, si ca peut faire leur bonheur. F. Dans un précédent numéro, nous avons exprimé le regret de voir fixer a une date bien tardive la conférence avec projections ciné- matographiques relatives au Congo, orga nisée par les soins du cercle Excelsior Telle quelle était formulée, sans les distinctions nécessaires, notre critique était trop sévère paree que trop absolue. En ce qui concerne la date, il y a lieu de prendre en considération que si le mois est précisé, le jour ne l'est pas. Au surplus, il nous revient que le mois lui même n'est pas arrêté ne varietur si bien que nous aurons peut-être, dès le début de l'année, la trés intéressante soirée que nous avions craint devoir altendre jusque fin Février. Et d'une. II faut ajouter ensuite que la conférence annoncée se rapporte au Congo en général La partie relative au voyage du Prince Albert et a celui du Ministre des colonies pourra done seule perdre un peu en actualilé, quoique nullement en nouveauté pour les Yprois Mais nous apprenons que ce léger détriment sera largement compensé par la haute nouveauté des véritables primeurs qui nous arriveront du fin fond du Congo, et précisément de cette région du Katanga, qui doit probablement concentrer l'intérêt prin cipal du Congo, comme colon:e de peuple- ment et comme source de richesse. Car des vues du Katanga sont encore attendues. Elles ne sauraient perdre de leur nouveauté avant d'avoir vu le jour en Bel- gique. Nous sommes heureux de pouvoir de la sorte atténuer nos critiques dans une si large mesure, qu'il en reste bien peu de chose. Demain, Dimanche 24 Octobre, la société dramatique Willen is Kunnen interprê tera la célèbre pièce de Jules Verne MICHELSTROGOFF On commence a 7 heures Comme on pouvait s'y attendre, le groupe turbulent des iuterpellateurs d'extrême gauche èi fait uq beau tapage a cette séance de reprise des travaux parlementaires et a prétendu avec force insolences interpeller le gouvernement au sujet des événements d'Espagne. Le procédé n'est point neuf et la violence de langage deces orateurs n'est point fait pour nous surprendre. M. le ministre des affaires étrangères a cependant cru devoir piotester contre les injures qui visaient un gouverneinen avec lequel nous sommes en relations d'amitié. C'est sans dome au fond i'avis de tout ie monde même en Belgiqim, car a la fin de la discu.-sion, M. Furnémont lui-même a déclaré i.e pas insister sur l'urgence. Mais dans l'eutretempa sa motion a pris la moitié de la séance et a donné l'occasion au dit citoyen Furnémont de regarder M. Maura comme le cliel d'une bande d'assassins. Elle a permis a M. Vandervelde des s'éle ver co ütre le crime abominable qui a été commis d'entendre le citoyen Pepincrier A bas le Roi d'Espagne et rappeler les sou venirs de Philippe II et du due d Albe. Enfin elle a été pour tous les énergumènes de l'extrême-gauche, qui ne procédent qua coups d'invectives et d'injures le prétexte du plus incohérent des charivaris, Aussi de- vant pareille attitude, on ne pouvait rien faire que se conformer a la décision p i 0 en juillet, d'exclure toute interpellation pendant cette fin de session. De commuu accord, l'interpellation, ïu- troduite au sujet de l'affaire Ferrer a été alors placéa a la suite de celles inscrites a l'ordre du jour. Ensuite l'assemblée a abordé le débat militaire mais auparavant elle a procédé a la vérification des pouvoirs de MCocq, qui succèdea M. Lepage, décédé le 10 octobre dernier. Au début de la séance, tour a tour le président de la Chambre, M. Scbollaert.au nom de la droite, MM. Jauson et Denis, au nom des gauches, ont rendu hommage au député dispara. M. Cocq, dontles pouvoirs ont été validés, a prêté serment, M. le ministre Schollaert a pris alors la parole et a exposé dans ses grandes lignes le projet militaire et son économie générale. II lit une note donnant l'indication du système actuel et des modifications qui lui seront apportées par le nouveau projet. L'honorable ministre examine le rende ment du projet au point de vue du nombre d'hommes appelés sous les drapeaux en vertu du système proposé et refait longumer.t les calculs déja soumis a la section centrale et dont nous avons indiqué les conclusions. II traite ensuite de la constitutionna'ité du projet et soutient cette thèse que le mot «contingent» dont parle l'article 119 de la Constitution ne vise pas la levés annuelle Cela füt il même inexact, il ne faudrait pas, pour respecter le principe constitutioneel, que le contingent soit déterminépar cüiffres. L'honorable ministre, pour démontrer sa ihése, fait l'analyse minutieuse des textes législatit's antérieurs a l'article 199 et des discussions du Congres. II démontre que le constituant a exigé que le contigeut füt iixé paree qu'il ne voulait p s que le gouverne ment disposal de forces excessives. (Inter ruption de M. Woeste). Je vous prouverai, monsieur Woeste, par vos propres paroles au cours d'une discus sion avec Frère Orban que ma thèse est la seule plausible. Le contingent, quoi qu'on en dise, n'est pas lalevée. L'orateur invoque encore, a l'appui de sa thèse, de nombreux exemples empruntés a cos lois financières. La Constitution, de même prescrit le vote annuel des impöts, mais jamais cette disposition n'a été iuter- prétée en ce sens que les impöts devaient êtres fixés daus la loi, par francs et par cen times. La loi établit des principes et sa tis- fait ainsi au prescrit de la Constitution. Un article au sujet de la retraite pastorale estremis au prochain numéro. VILLE D'YPRES Séance publique du Samedi 16 Octobre. Sont présents MM. Colaert, bourgmes- tre, président; Fraeijs et Vandenboogaerde, échevins; Fiers, Vanderghote, D'Huvettere, Bouquet, Sobry, Iweins d'Eeckhoutte, Le- mahieu, Biebuyck, Begerrm, Boone, con- seillersVanderdonckt, secrétaire. M. Struye s'est excusé. La séance est ouverte a 5 h. du soir. Le proces-ver: al de la séance précédente n'a donné lieu a aucune observation. M. le bourgmestre remet a MM. Van Elslander, Coffyn Eugène, Coppin Maurice et a l'agent Witterbecq les médailles civi- ques et la mention honorable qui leur ont été octroyées par le Roi et leur adresse ses felicitations. Administration communale Rapport sur j l'exercice 1908. Le rappo-t est depose a l'examen de MM. les conseillers. Propriétés communales Procés-verbal de vente de noix. La recette a atteint i cette année 865 francs, le double de 1 année dernière430 francs. MuséeCompte 1908. Les recettes s'élèveut a 1.367 fr. 68 et les dépenses a 489 fr. 85. Excédeut 1.147 fr. 81. Somme qui sera utilirée en partie, a la restauration des tableaux qui sera entreprise dès 1 année prochaine. Bureau de bienfaisance Repartition de sa contribution dans les frais de instruction primaire gratuite pour 1908-1909. Cette contribution a été fixée k 8 fr. par tête, ce qui fait pour un total de 1452 élèves, la somme de 11.616 fr. que le Bureau de bien faisance decide d'allouer. approuvé. Ecoles primaires Budgets 1910 a) école pay ante b) écoles gratuites. Le budget de l'école payante est de 4 075 fr. en recettes et dépenses Le budget des écoles gratuites est réservé, uue demande d'augmentation de traitement devant être examinee en comité secret. Ecoles gardiennes Budgets 1910 écoles payantes b) écoles gratuites. Le budget des écoles payantes est réservé pour le même motif que ci-dessus. Le budget des éccles gratuites s'élevant a 8.000 fr. est s pprouvé Ecole menagère.- Budget 1910. Réservé pour le même motif que ci-dessus. Propriétés communalesVente de terrain. Une demande d'achat est faite d'un ter rain rectangu'aire de 70 m. c. (14 m. sur une profoEtdeur de 5 ui.) situé derrière les maisons de MM. Mortreu et Legon, boule vard Malou La mise-a-prix de 15 fr. le m. c. fixée par le collége a été acceptée par l'amateur. Hospices civils Partage de biens immeu- bles. 11 s'agit de deux teirains indivis situés k LeysMe et Stavele, dependant de la succession de Mile Delmotte. Ce partage est approuvé. Hospices civils Vente d'une pature. Un terrain a labour d Ui. 86 a-. 10 c., situé a Ypres. section C, numéro 1642, apparte nant aux ilospices, se trouve enclavé dans des terrains appartenant a MM. Claeyssens a Wambrechies, et Autoine Poupart. Ces trois propriétés sont contigues et les liospi ces devraient faire la dépense de la con struction d'un abreuvoir. M. Claeyssens propose d'acheter la parcelle. Elle a été estimée par M. Desagher a 11.707 lr., prix accepté par M. Claeyssens. Cette veute est autorisée. Culte budget 1910 de l'église Saint-Ni colas. En recettes et dépenses 6958 fr. '28 Approuvé. Culte vente de sapins appartenant d la fabrique d'églisede Saint Pierre Le Conseil approuvé la vente de sapins pouvant être coupés avec avautage au lieu dit Passchendaele-veld Zillebeke. Culte restauration d un troisième con trefort de l'église Saint-Martin. La fabri que d'église, après avoir pris la décision de restaurer les deux premiers contreforts du cöté méridienal, estime qu'il y a urgence de restaurer encore le troisième et iait valoir qu'il y aurait utiiité do conserver l'échafau dage. Elle formule la réserve que sa part d intervention serait d un sixième. M. Boone. Combien de contreforts y a-t il encore (Rires M. le Président. De ce cöté-la il n'y en a plus. J'estime que nous ne pouvons plus, comme précédemment, invoquer la néces sité d'urgence. Le, pnx total est de 7.930 fr. Je tiens k faire observer également que si les travées ne sont pas restaurées, le travail sera a rccommencer dans quelques années. Les créneaux sont en trés mauvais état. La part de la ville pour le contrefort serait également d'un sixième. Approuvé. Finances communales compte de la ville de 1908. L'excédent général est de 51 120 fr. 27. Deux subsides, de l'Etat et de la province, ne sont pas encore régies. M. Boone. Les travaux de Zillebeke sont ils terminés M. le Président. Oui, sauf que d'uu cöté, M. ringérieur Froidure treuye cer tains travaux défectuoux. II estime égale ment que les vanues n'ont pas la qualité voulue. M. Sobry (en fiamaud) fait observer que le mur, du cöté Sud du cimetière n'est pas encore exécuté. Une somme de 2.500 fr. a été prévue a eet effet. 11 demande l'exécuffon de ce travail au plus vite. II constate aussi une diminution de toutes les ree ttes des marehés. Le marché au beurre, a lui seul, accuse une baisse de 1 302 fr. M. le Président. Les laiteries établies dans toutes les communes sont la cause de la baisse du marché au beurre. Le controle des oeufs et des poniets se fait comme jadis et est trés sévère. J'examinerai s il y a des raisons spéciales, mais pour le marché au beurre il est certain qu'il n'y a rien a faire. M. D'Huvettere (en flamand) s'étonne qu'un compte si important n'ait pas été soumis a la Commission spéciale pour exa men. M. le Président. Je demanderais dans ce cas, a la Commission de se réunir au plus tot. II sera tenu couapte de votre observatiou mais vous avez perdu de vue que eet oubli est imputable a l'absence de secretaire. M le secrétaire-adjoint était absent egalement. Jesaisis cette occasion pour le remercier d'avoir rempli les fonctions de secretaire si bien et gratuitement, Le traitement lui a été offert et il l'a décliné. Bureau de bienfaisancecession dun La veuve Vasseur, a Voormezeele, bail. Cat- cède son exploitation agricole a Oscar La cession de son teau, de Wytschaete bail est autoiisée. Fondations destination des primes oc troyées aux enfants des écoles communales. - Dans son rapport, M. D'Huvettere avait, primitivement, proposée d'affecter les trois premiers francs la caisse de retraite et le restant a la caisse d'ép-rgne. II propose actue'lement d'affecter le tout a la caisse de retraite, afin d'assurer un moyen hounête d'existence a 1'ê.ge mür. Adopté. M. D'Huvettere. Je désire interpeller sur le point de savoir quelle* mesures ont été prises par 1'Administration communale en vue du cholera, suivant les prescriptions du gouvernement. M. Ie Président. Nous avons adressé uce demande aux hospices et nous sommes a la veil le d'une solution. Pendant les vacan- ces, j'ai convoqué la commission d'hygiène, alaquelle j'ai adjoint tous les médecins de la viile. Tous ont répondu k mon appel pour donner leurs consails. lis sa ;oat rn s d ac cord pour exprimer le voeu de voir établir en ordre principal, un nouvel hópital, en dehors de la ville en ordre subsidiaire, une succursale de l'höpital pour les maladies contagieuses, et, au besoin, un baraquement construire immédiateinent au besoin. L'höpital demandé, en ordre principal, est done condamné paree qu'il est situé l'iutérieiu' de la ville et en pleine place Mais il n'y a pas lieu pour ce'a de recourir a un moyeti ijkdical. Cet hópital peut suffiie pour les niafei,qs ordinaires, pour les victimes d'accidents mais pour les maladies conta gieuses, notamment pour le typhus et aussi la phtisie, il serait désirable qu'une succur sale füt construite en dehors de la ville. Nos hospices sont en mesure d'en construire une. Nous aurions, du reste, des subsides trés considérables du gouvernement. Plusieurs conseillers se sont déja occupés de la goutte de lait et des questions d'hy giène publique. On pourrait lormuler un règlement qui ne soit pas contraire aux iois générales. On fait usage ici, peut-être plus qu'ailleurs encore, de biberons a longs tuy- aux. Ce système, contraire a l'hygiène, a déja été prohibé par différentes villes, par Gand entc'autres. Eu l'absence de M. leche- vin de 1 etat-civil, j'ai signalé ce danger a j ici pa?. i Les tuyaux fatiguent-iis la poitriue de 1 enfant? Oui, disent les médecins. J'ai demande au directeur de l'abattoir un rapport sur toutes les étables de la vide. Beaucoup manquent d'air. Le terrain que j'avais iudiqué aux Hos pices pour la construction d'un lazaret ne convenait pas. J'en ai indiqué un autre. J'espère que nous ne nous arrêterons pas sur une question de terrain. Etes vous aatis- faitisfait M. D'Huvettere M. D'Huvettere. A moitié. A cóté de la construction de lazarets, la circulaire du gouvernement prescrit des mesures preven tives. 11 yj a lieu de s'occuper des petits L'Yperlée, a sa sortie de la MSobry (en flamand) signale 1'état du fosse' des remparts prés de la maison de santé. M. le Président répond que les eaux mé- nagères de la maison de santé ne seront plus déversées dans le Wieltjegracht Celui-ci sera nettoyé et on y amènera alors l'eau de Zillebeke, aussitöt les travaux de l'étang terminés. La séance publique est suspendue a 6 h. et demie et est reprise a 7 heures. Le budget de l'école gardienne payante a été fixé, en comité secret, a 5.995 fr., et celui de l'école de musique a 8.3oo fr. II a été procédé ensuite k la nomination de M. Prosper I)egroote,maitre décorateur a Ypres, comme professeur a l'école industrielle (cours de peinturc de bois) en remplacement de feu M, Doolaeghe. Samedi a eu lieu l'adjudication des travaux de rechargement d'une partie des chaussées empierrées d'Elsendamme a Ypres, d'Ypres a Rousbrugge et d Ypres a Menin, estim, 44,763—21 Ont soumissionnéMM. C. Monbalieu, Zee-Bruges, 40.500 fr. J. Leenaerts, Oost- camp, 41.770 et 40.000 (condition spéciale)- rt nu..„u nu it' H. Gheyle et Ch. Dejonghe, 44.600; H Braet, Nieuport, 45.55o. Un arrêté royal du 12 Octobre autorise la commission administrative des hospices ci vils d'Ypres a accepter la donation que lui fait M. H. Goethals, sans profession, de meurant a Schaerbeek, de ie Treize obligations de la Société du Crédit communal, 3 p. c.. sans prime, au capital nominal de 1,000 francs chacune 2e Quatre obligations de la même société, 3 p. c., sans prime, au capital nominal de 100 francs chacune, portant les coupons d'intérêt a compter du i«r janvier 1909. Cette donation est faite a charge de fonder a perpétuite' un lit a l'hospice des vieillards nommé Notre Dame de Nazareth a Ypres, ou a tout autre hospice, qui pourrait le remplacer par la suite. Le donateur se réserve, sa vie durant, L droit de présenter les indigents qui occupe ront le lit fondé. Ce matin ont eu lieu en l'église St-Martin au milieu d'une grande affluence, les funé- railles de Madame Ligy-Degels, décédré dans sa quatre-vingt-unième année. La vénérable défunte était la mère du Gé néral Ligy, commandant la garde-civique de Gand et du Major Albert Ligy, chef de notre garde Yproise. Nous présentons a la famiile Ligy nos chrétiennes condoléances. cours 1 eau. Dimanche 24 Octobre 1909 E. GAlMANT, rue de Menin, 6. En vente au Bureau du Journal Almanach des Families Chrétiennes o 5o Almanach de N.-I). du Sacré Coeur o 5o Almanak van O. L. V. van 't H. Hert o 5o Mercier (Mgr.). Retraite pastorale. Hubert (R. P Conférences. Le Ga- ractère che\ la femme chrétienne. 0.60 Gyp. Le Mariage de Chiffon. 3 5o Liebrecht (Henri).Histoire de la Lit ter ature Beige dexpression franqaise. ville, laisse énormement a désirer. Le cura- ge entre dans les moyens préventifs visés par le gouverneur. II y a lieu de prendre des mesures immédiates il y a du danger pour les maisons büties proximité. Une questi ,u pendante aussi depuis longtemps est celle de la fermes des boues. Ce sout la des mesures générales k prendre. M. le Président. Le curage de l'Yperlée n'a jamais été fait au complet sous l'admini- stration précédente ni maintenant. Cepen dant, a la sortie de la ville, il y a deux ans, un curage a été fait. Tous les jours, je re$ois un rapport de la police sur los égoüts et les regards d'égoüts. Cette mesure n'est pas provisoire, mais a été prise pour être conti- nuée. La question du déversement des ordu res est a l'examen, de même que celle des vidanges. M. Sobry a demandé dans le temps, de lairc des vidanges autouiatique j ment Nous examinerons aussi la question I de brüler les immondices. Nous aurons sous peu un terrain convenable. On met a désin- fecter et a détruire les décombres tous les soins voulus. M. D'Huvettere. Vous avez promis d'aller visiter l'usine de Haeren M. le Président. Aucune ville de l'im- portance d'Ypres, ou même plus importante, ne pratique un système différent du notre. OstenJe expose les immondices en plein air et les odeurs sont chassées vers la mer. M. D Huvettere. Oa pourrait examiner ces questions a une autre séance. M. le Précident. Puisque vous avez des compétences spéciales en ceite matière, vous pourrez nous aider de vos bons conseils. (Rires.) Guilliolmus Verduyn, sergant majoor bij het derde linie regement, en Pelagie Huyghebaer' z. b. beiden van Yper. Canaille Verhooye z. b. gehuisvest te Yper. en Sylvie Victor werkvrouw gehuisvest te St Ja11- Theodore Kerrinkx schr(jnwerker,en Urbani® i'arroo z. b. beiden van Yper. Petrus Dossche mynwerk'T.en Sidonie Visage dienstmeid, beiden van Yper. tfl Julien Dedrie, teekennaar gehuisvest te Oostende, en Elvira Bartholomeus, z. b. gelui1»' vest te Oostende vroeger te Yper. t Henri Dumoulin, werkman aan den tclegraa gehuisvest te Yper, en Maria Vandamme dien» meid gehuisvest te Zillebeke. ne. Jules Maes mekaniekwerker, en Maria caesteker z. b. beiden van Yper. l occasion de plusieurs mariages, et je prio j l'échevin da faire des recommandations dans ce sens. En France, il existe une loi, i' ii>b 3.00 '00 BURGERSTAND VAN YPER Geboorten: van den 15 den 22 October 1909. Minnekeer BerthaZonnebekest. Sercu Adolpbe, Drie Zottenstraat. Gesquière Marcel, Rijsselstraat. I.ussaert Antonia, Studentenstraat. Van Maelderen Elisabeth, Mondstraat. Huwelijken: Pringiergs Renatus, handelsreiziger S Valentine. Kleermaakster te Yper. Pype Marcelinus, peerdengeleider Doü gbe Victorine, kantenwerkster te Yper. Sterfgevallen: Depuydt Valerie, 38 j. winkelierster, Vye Roose Isidoor, L. Thouroutstr. Degraeve Cyrille, 38 j kleermaker ongeil 'b t)ickebusch8teenweg. Berghman Adelaide, 75 j. z. b. ongehuwd, Kauwekynstraat Mahieu Ludovicus, 69 j schoenmaker, ecli'gt- Florentyn Adelia. Oe Haernestraat. Berten Romania, 57 j. herbergierster Vt'we Vansteenkisto Adolpbe en Pauwels Desiderui»*! Meenenstraat. Vandevelde Raymond, 3m. Doorgangstraat. Pylyser Maria, 89j. ongehuwd, Weninnrksti'- Desclirijvere Leonard, 47 j. vlaszwjjngelaaL eebtgt. Debaere Maria, L. Thouroutstraat. Degels Eraerenee, 80 j. z. b. Wwe Ligy Felix. Boterstraat. Houttek'et, Pelicie, 51 j. z.b. ongehuwi', 6°'' ling,straat- Vancattendyck Carolus,49 j. daglooner, eMigt, Vlamynck Maria, Tegelstraa't. Craye Clementine, 0 j. Gust. de Steurstraat.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2