stssasw ',écessi,és qu'" 1 Déclaration de guerre de Ia Franc-Maconnerie A propos de Ferrer. BW WWWW.BWWWWW® Hevue de Ia Presse Autour de Ferrer Cue expedition anglaise au Congo beige Willen Kannen Repos dominical LUrdL^0Vembre {Toussa^ c(ps officiels VandenfeKeenn29°Ctob fhiwelijksciankcndigingd l es grands rnalades Au Peuple Beige La maconnerie se dtimène paree qu'elle a été toucLée. j iA. sSt Sift ïJ& 20 fi# Les Manifestos du Hiand Orient ftSfspwpippspi A Ia Ch^mbre PHARMACIEN DE SERVic f/s'n.'t 1 Aux Jecteurs f,vousêtesïov-ds,i IL! a?"®'8' V0US Souffrez de* es P nt"°r?UX Ua PrÓCie,,X toni1ue LesPi: 1 - Xf araien'"efies que cela qu'il faudn es considérer comme un excellent médicamf J est inconfestable que les Pilules Pinki mieux, beaucoup mioux. Elles ont rendu laf te,cela a été maintes fois dómontró, aux peri nes es plus épuisées,è celles qui par axeiai viennent d'échapper a une des maladiesép: miques, :erreur detout le monde, qui laist organisme si dópourvu de force, si i; i ésistar.ce, que Ion est lè, jour et nuiU douter un retour ofl'ensif de la maladie, itcliutte k laquelle le malade ne survivrait e sont ces malades, ces grands maNes, es Pilules Pink aiment secourir. 'Ines to.de notorióté, dans le monde médiralj' les t ilules Pink peuvent guórir ces grand!1 lades, avec beaucoup d'autres módica® tnoins puissants, on iraitau dovant d'ur étf Eh bien il n'y a pas que les grands taa'1' il y a surtout les malades ordinaires qui 1 vent devenir de grande malades. Aux pre® sym tómes de faiblesse, au raoindre indie trouble de l'organisme, faites attention gnez-v ius. Pris b temps, le mat est d vamcu les Pilules Pink feront la reste sont souveraines pour combattre l'anómi®1 cliioro e des jeunes fllles, la fatigue, dexcèsde tous gonres. Les Pilules Pinli nerd d< bonnes digestions, des forces, W Elles guórlssent l'epuisement nerveux, rasthónie. Lors de son élévation au siège archiépis- copal, S. E. prit la devise Apostolus Jesu- Christi. Ces mots sont empruntés aux épitres de St Paul dont la plupart débutent ainsi. St Paul est le modèle que suit le cardinal-ar- chevêque dont l'activité et tout l'homme du reste reproduit la caractère du grand Apótre. Les livres de S. E. seront entre les mains de tous les'prêtres ils leur seront des exer- cices spirituels parmi les plus précieux de même ces livres trouveront leur place natu relle et nécessaire dans' les bibliothèques de tousles catholiques intelligents. F. I. LB GRAND ORIENT DE BELGIQUE Le Grand Orient de Belgique, partageant les nobles sentiments qui ont inspiré la proclamation du Grand Orient de France s'associe au nora des Loges Beiges a la protestation indignée que celui-ci a adressée a la Maqonnerie Universelle et au monde civilisé contre la sentence inique,pronoi;cée et impitoyablement exécutée a l'égard du Frère Francisco Ferrer. Voue au mépris de l'humanité les noms des juges, qui ont prononcó et des autorités, qui ont sanctionné un arrêt de.mort ius firé par un fanatisme éhonté et non par l'esprit de justice et d'impartialité qui doit toujours animer des hommes revêtus du pouroir de juger leurs semblables. L'assassinat juridique du Frère Ferrer, après l'application d'une procédure, digne des temps barbares, qui permet aux partis politiques de supprimer leurs adversaires sous les apparences de légalité, restera une flétrissure éternelle pour ceux qui l'ont consommé. Puissejle>8aBg de ce nouveau Martyr ié- conder le sol de la malheureuse Espagne et y faire germer et se développer les idécs de Liberté et de Tolérance, seuls capables d'ar- rê-ter dans ce pays les entreprises, chaque jour plus audacieuses, d'un clergé, goigé de richesses et avide de domination. Puisse la Peuple Beige, en presence d'un événement aussi déplorable, se rcndre eompte des périls auxquels s'exposent les nations qui conlient leurs* destinées a des hommes asservis aux ordres de l'F.glise. Le nom du Frère Ferrer restera dans l'Histoire glorieusement associé aux noms des nombreux Martyrs (de la liberté de conscience. Gloire a Ferrer. Honte a ses bourreaux. Pour le Grand Orient de Belgique Le Grand Maltre National, Docteur J. DescAmp. Nous lisons dans le Progrès de Samedi dernier Un honorable- abonné,' socialiste con- vaincu, nous demande pourquoi nou3 n'a- vons rien dit au sujet de la condamnation et de l'exécution de Ferrer, joignant, a son in terpellation, Particle de protestation qui a paru dans le Soir. Nous nous sommesjjabstenu de parler de cette affaire pour plusieurs raisons que nous estimons toutes bonnes. Mais puisqu'on désire que nous en par- lions, nous le ferons en reproduisant, non l'article du <i Soir mais celui du Journal des Débats qui nous parait plus raisonnable, plus proche d'une saine appreciation, plus prés de la vérité et de la justice. Déja, la Gazette l'a reproduit. Voici done Le gouveinement espagnol a eu le grand tort de ne pas tenir assez compte de i'opi- nion, moins peut-être en refusant de com- muer la peine prononcée il pouvait avoir de bonnes raisons de ne pas le faire qu'en négligeant de donner toute la publi- cité possible aux charges réunies contre le condamné. Il ne pouvait pas ne pas savoir le parti que ses ennemis allaient tirer con tre lui, contre l'Etat Espagnol lui-même, de l'exécution de l'ami des révolutionnaires européens. II aurait dü chercher k nréve- nir le mouvement. Dans 1'intervalle de la condamnation et de l'exécution, il aurait .dü publier les pièces du procés de nature a justifier sa conduite. Mais, jusqu'a la preuve du contraire, nous croyons que c'est la sa seule faute. Le respect de lajvie hu- maine, dont on parle tant depuis avant- hier, ne doit pas s'appliquer seulement aux membres de certaines Associations. Nous ne savons pas aujourd'hui s'il y a lieu de mettre en doute la justice de l'exécution de M. Ferrer. Mais nous sommes sürs que les victimes de Barcelone et de l'émeute d'avant-hier étaient des 'innocents, et c'est 4 elles avant tout que nous réservons notre piété. ...Nous ne prétendons point porter un Jugement surl'affaire elle-même. II est ini- que, criminel dans certainesjcirconstances, vouloir se substituer aux juges quand on n'a pas assisté d'un bout k l'autre au procés, quaud on n'est pas en possession de tous les éléments d'information, sans exception, qui peuvent servir A formerila conviction. Si 1 Hccusé de Montjuich a été condamné sans preuve, son exécution est un crime inexcusable. Si sou innocence vient a être reconnue, nucune consideration ne dous empêchera de flétrir ses exécuteurs. Mais pourquoi condemnor les juges avant de connaitre leurs raisons? Pourquoi cette bri.sque explosion de colère, de menaces, de la part de personnes chez qui le sentiment de la justice sornmeilLL quand n'étaient pas e cause des victimes affiliées a certaires sectos A cette appréciation du grand journal francais, partagée par d'autres journaux liberoux, nous n'ajouterons qu'une observa tion c'est que vouloir qu'on prenne, com me preuve.de i'iunocence au célèbre anarchiste, leg affirmations de son defense ur, l'honora- ble Capitaine Galceran, c'est pousser un peu loin l'abus du mépris de la logique. A ce compte, quel accuse pourrait done être trouvé coupable et quels/juges pourraient. condamner encore Un bon point au Progrès qui, pour une lois, tourne..,. le dos au Grand-Maitre National du Grand Orient, de Belgique. Mais.... attendons la fin 1 Nous l'avons dit dès le premier jour, et i cela a fait hurlerYtous les scribes franc- masons comme des chiens écorchés tout vifsla franc-ma^onnerio a été touchée k Barcelone ekc'est pour cette raison que tous les fils d'Hiram sont en proie a un acces d'hystérie révolutionnaire. M. Georges Thiébaud, dans la Libre Parole fait la même constatation Que la maconnerie ait été touchée a Barcelone, cela n'est pas douteux. Elle y a été découverte, tirée de l'ombre oü elle se tient. Le Journal des Débats dans un article trés remrrqué, a osé parler de la Maconnerie c'est de'jè un symptóme. Jusqu'Y présent, elle faisait fusiiler les prolétaires, en leur suggéranl contre les couvents et les prêtres des histoires de bri gands absolument stup'des; et les prolétaires, une fois fusillés sans phrases et enterrés de même, la maconnerie rentrait sans plus de fanfares dans ses repaires, pour y compter ses profits, A Barcelone, on a osé mettre la main au collet d'un de ses diguitaires et l'on a eu cette justice égalitaire de ne pas ie treiter en privilégié. C'est un coup fort sensible, dont la Maconnerie c'est ttouvée directement et inopinément atteinte. Elle a régimbé, elle a voulu marquer sa puissance, en soulevant simultanément les miliers.jde comparscs et figurants révolutionnaires sur lesquels ses cadres ont la main. Elle s'est encore plus découverte. II est probable, si ce n'est déja fait, que les emballés du Grand-Orient recavront de Londres,?a moins que ce ne soit de Berlin, une réprimande et un rappel a l'ordre. La politique anglaise surtout a besoin de plus de sang froid et de relenue, dans ses oiganis- mes internationaux. Regardez done si les ouvriers anglais et les ouvriers allemands ont été mobilises pour L errer. A peine quelques meetings ont-ila été signales, probablement provoqués par des franc-tireurs mal diciplinés. II faut arriver a ce que nos ouvriers voient aussi clair que leurs camarades anglais et Allemands qu'ils soient faconnés a recber cher la raison des choses et a pénétrer la portée des actes politiques auquels on pic- tend les associer. up?; Le Grand Orient de Belgique communi- quera sans doutc sans tarder a sa presse un document concu dans ce goüt-ci Pour répondre aux inventions calom- nieuses des hommes asservis aux ordres de 1 Eglise romaine, le Grand Orient de Belgi que fait savoir a tous les FF.:, qu'il n'a jamais songé a solliciter leur inJignation et leur pitié pour le sort fait par ie sultan du Maroc au Roghi. Encore que le texte de loi cn vertu duquel le Roghi fut exposé et promené dans une cage, soit inconnu du Grand Orient et qu'il ne semble pas qu'avant de livrer le Roghi aux carnassiers, le sultan du Maroc ait donné la parole a un défenseur même militaire, la Magonnerie universelle a néan- moins le devoir stoïque de se désintéresser du Roghi, lequel a l'encontre du F.:. Ferrer, n'était inscrit dans aucun de nos ateliers. En ce qui regarde d'autre part les cxécu- tions de Vieux Turcs a Constantinople, nous prévenons les F.:, de n'avoir point k tomber dans le piège d'une vaine sensiblerie ce furent des actes de justice dont le carac tère sommaire s'imposait; ces actes d'ailleurs furent ordonnés et accnmplis par des FF ils doivent dès lors être couverts par le tablier mac.:. Tel est ou doit être le second mani feste du Grand Orient de Belgique. II peimet de juger avec quelle impartialité, quelle süreté de logique et quel désintéres- sement la Maconnerie catalogue ses sym pathies. L'Agence Reuter a recu, dit le Daily Telegraph des détails sur les travaux de l'importante expedition que le B.itish Mu seum a envoyée, il y a deux ans au Congo, pour étudier les indigenes du Bassin du Kasaï, dont plusieurs parties sont encore figurées en blanc sur les cart, s beiges. L'espédition était eomposée de M. Tor- day, qui a déja fait des études sur le Congo, et de M. Hilton-Simpson, voyageur et ex- plorateur connu. Ils viennent de rentrer en Europe. Leurs recherches ont abouti a des résultats trés importants. Lorsqu'ils atteig- nirent la cöte.leurarrivée y causa une grande surprise on les croyait tués et mangés par les tribus cannibales au sein desqueiles ils j avaient vécu. L'objet de leur mission étail de réunir, pour le département ethnogt'aphiqre du British Museum, des données concernant les intéressantes populations de cette region del Etatlndépendant.d'en pénétrer l'histoire, les coutumes et les traditions. Ils ont passé prés de deux ansdansles, forêts, piaines et rivières au coeur de Kasa'i. Pendant quaire mois, ils ont travaillé dans le domain privé du roi des Beiges. Ils déclarent que,pendant tout leur séjour, ils n'ont jamais vu d'acte de brutalité com- mis par les officiers de l'Etat ou les agents des Sociétés. lis n'ont jamais eu, non plus, des difficultés avec les hommes de kur escoite.bien que dix-huit de leurs vingt-cinq porteurs fussent des cannibales de la rivière Kwiiu. M. Hilton-Simpson pretend que ceux-ci sont les meilleurs nègres qu'il ait jamais rencontrés, doux,obligeants,honnêtes et industrieux. Les explorateurs ne pénétraient jamais dans un village, sans demander aux n .firs l'au'orisation d'y séjourner. Les noirs, ras- surés, la leur accordaient et les deux An glais commencaient alors a tdcher de se mettre bien avec les enfants et avec le chef. Autant que possible, ils se faisaient une règle de séjourner dans les villages p'uiot que dans les postes et leur attitude coufi- ante et amicale leur épargnait les difficultés. lis n'eurent pas a tirer un seul coup de fusil, si se n'est pour chasser et ils n'eurent jamais a ouvtir les deux caisses de fusils qu'ils avaient emportées pour se défen- dre au besoin. Ils demandèrenttous leurs renseignements directement aux indigènes, et n'acceptèrent aucune information des blancs sans qu'elle fut corroborée par les noirs. Ils étudièrent neuf tribus principales avec leurs sous-tribus et s'enquirent autant que possible de leur bistoire, de leur genre de vie, de leurs habi tations, de leur organisation sociale, etc. La seule apparence d'agitation causée par leur passage fut chez les Tukongo, dont le territoire n'avait jamais été traversé par les blancs. C'est une jolie race, qui travaiile artistement le bois. Les Tukongo commen- cèrent par leur refuser l'autorisation de sé jour, puis s'apprivoisérent et leur témoignè- rent beaucoup de complaisance. Les deux explorateurs avaient tmporté I rempliicer a son désa van'a ge. Un bravo to.it spécial pour les deux acteurs a°cotn >lis M G. F. et J. R. qui ont iuterprêté avec un art parfait les deux röles désoptlants de Jolivet et Blountre porters franQnis et anglais. Le beau röle de Michel Strogoff a été rempli briilamment par Facteur d'élite qu'est M. Ch B., et le röle ingrat do Sangar a eu en M. J. M. un interprête de grand talent. Des applaudissements cha leureux et fréquenfs ont salué leur beau jeu dans les passage ómouvants du drame. La pariie tnusicale, confié a nes jeunes amateurs symphonisfes, sous !a direction de M. G. D. a fait le p'us grind plaisir. Nos corc'iales felicitations a tous ceux qui ont oont.ibué au succés de cette soirée intéressante, et spécialetnent .eux chefs de sa bo ne organisation, le dévoué M. Neu- ville et on b»-as droit M. Gh. Bostyn. Un nouveau c a b i n e t d e n t a i r e est ouvert chez le Docteur DIERYCK, rue des chiens, 25, a Ypres. La session extraordinaire s'est ouverte le 19 octobre pour la discussion du pro jet militaire. Les amis söcialistes de Ferrer au- raient voulu pour l'ouverture une1 ma nifestation ferreriste, mais la chambre a trouvé bon de passer Y l'ordre du jour estimant avec raison qu'il n'y avait pas lieu d'impliquer le Parlement beige dans cette affaire anarchiste espagnole. La discussion s'est continuée la se- maine durant, devanl un audi Loire trés clairsemé. Notons specialement le dis cours du Président du conseil, celui de M. Verhaeghen trés disposé a la conci liation paree que ce seront les seuls ca tholiques qui auront Y résoudre la ques tion. MAR Dl 26 OCTOBRE. - C'est avec une certaine impatience qu'on attendait le discours de M. Woeste qui, retenu au Palais, n'avait pu assister le matin Y la réunioa de la droite. Encore sous Y la réunion de la droite. Encore sous l'influence du mal qui Ie mine, Immi nent homme d'Etat n'a tenu aucun avec eux un joujou qui causa, dans toutes les tribus, une admiration et une surprise non extMptes de frayeur. C'était un petit éléphant hutomatique, remuant la trompe et les jambes. Tous les nègres voulaient voir le sorcier mais ils avaient soin de ne pas trop s'en approcher. Dans un village oü on n'avait jamais vu de pap:er, ce produit parut tellement mer- veiilettx quon paya un gros prix aux voya- geurs une simple page d'un journal anglais. ii Notre vaillante section dramatique Willen is Kunnen a donné, diatanche dernier au Volkshuis, une soirée qui marquera dans ses annales. Si nos dévoués amateurs avaient payé d'audace en mettant au programme le di atne réputó de Jules Yerne, le succès a été tel qu'on peut leur appliquer le fameux héiri stiche deVirgile: «Audaces fortunat Jurat- Public atteutif, nombreux et choisi parmi lequel nous remarquons nombre de families des membres du clergé et les autorités sous la présidf nee de Messieurs le député-b ur"- mestre Colaert et l'écbevin Fraeijs. i Bonne mise en scène, décors trés réussis ballet d la tartare, rien n'a manqué pou;' donner a ce drame empoiguant touto son ampleur. Seul, maitre Aliboron s'était fait compte de sa souffrance et a donné un nouvel et bon exemple de vaillance dont ses adversaires eux-mêmes ont sen- ti toute la grandeur. Quant au discours, il fut ce qu'on prévoyait. Adversaire de la réforme militaire, M. Woeste a donné les raisons principales pour lesquelles dn pouvait se rallier Y la loi de 1902 et lui faire sortir tous ses effets avant d'al ler jdus avant. Nous autres aussi nous avons eu cette manière de voir et en pré- sence des divergences de vues qui ont encore signalé la réunion de la droite d'hier, nous nous demandons si la sa- gesse n'est pas du cöté de M. Woeste qui, sans parti pris cette fois, mais avec la clairvoyance que lui ont donnée tant d'années de vie politique, nous crie le danger qu'il y a a nous désunir sur une question après tout secondaire. Car, bien entendu, il ne s'agit pas de la défense nationale que tous nous som mes d accord Y maintenir et renforcer, si c est nécessaire, mais d'une question de tactique que nous croyons inoppor tune. C est devant une assez nombreuse as semble, qui lui prête la plus vive atten tion, que M. Woeste a prononcé son discours. MERCREDI 27 OCTOBRE. - La Chambre a repris ensuite la dis cussion générale de la loi militaire oü M. De Bunne a pris la parole pour com- battre le tirage au sort, le remplacement et le projet déposé par le gouvernement. Quand M. le ministre de la guerre s'est levé un mouvement d'attention s'est pro- c mt. M. le général Hellebaut a donné les les explications qu'on attendait avec im patience. Au fait, son discours, 'trés longuement documenté, tend Y prouver comment le Projet actuel déposé par le gouverne ment est conforme aux déclarations qu'il a 1 ait es en noventbre dernier. Et c'est la ratson pour laquelle il lui a donné son approbation. Pour lui, il demeure partisan du service ralisé. amendé par la section centra^ rant que le gouvernement apport' modifications qui permettront W droite de le voter. °bte)s En somme jusqu'ici, la Chaffibr. ble se trouyer gênée par un t Seb. problème. lr°«blar; le Congo. Au cours de la séance, M. le des colonies dépose sur le b 'lunis'tt rapport sur la situation du Conlj budget de la colonie pour 19io Dimanche 3i Octobre C. LI BOTTE, Marché au Beurre 2 C. MAY, Grand'Place, 35 royal du Der. Un arrêté iUyai au i2 Octoh autorise le conseil communal de C '901 percevoir des cotisations personneC"0 BURGERSTAND van YPFk Bourgois Joanna, Vflurnestaanwi Pynoo Adnana, Neêrstraat g' Dealy Demse, Lombaardstraat. Huwelijken: Legroe Leo, regenschermmaker in Alphonsina, strijkster, beidon te Yoer le*8( Kerrinkx Theodoor scbriintt «,XP U.bania, z. b. beiden te YpeT ker' Sterfgevallen lenaere Romanie, CrooteMarkt' g eme: Amelia, L. Thouroutstraat' dr Verll#i Stampei Maui lts, 1 jaar, L. Thouroutstrao andamme Joanna, 5 i|2 jaar, Hukkerstraatl Ei nes Lehaitlv niivAraon 1, „I Ei -ebaiily njjyeraar, a kaise, si vousótes stipationsou d un mat quelconque prew IPs da pas affata 1 (v. una boitesaffit pourdi personnel et géné- Les piluies Pink, vous le savez, guér'se facnemeut l'anémie a son début.Les jeuaoig<| esbeun-s fiiies peuvent, grSee elles,i la fatigue provoquée par la croissance; p pgó.es trouvant dans le traiteman! tonal 1,1 sressoilrc0s d'énergie vitalel On peut se las procurer dans toutes macies st au dépótPharmacie Derne' boulevard de Waterloo, B uxelles Prix la boite; 17 fr. 50 les 6 boites, franco. Dépot a Ypres G. LIBOTTE. son tour, M. Seghers a le projet du stitue le Point par point i'orateur a montré la concordance de la réforme militaire I U'S DalpitaUOMS nf"K A son torn M. ^egners a combattu gouvernement qui sub- principe du service général du volontariat. JEUDI 28 OCTOBRE. - M. Seghers continue son discours, déclaranl qu'il prefere la solution de la section centrale Ze le Projet n'est pas amendé,' leputés d'Anvers M. Mélot, dement guóris par la Pilule Ferrugi"6' Raphaël qui se vend fr. 1,75 dans k3' pliarmacios. t-e Dentistc M. MEIER a l'honn et les_ députés d'Anvers ne le voteront pas. rapporteur, dans un dis cours bien documenté, défend le projet curl former sa nombreuse clientèle qu il pins se rendre provisoirement a Y Pre51 y être consulté et qu'il n'y sera rempla'j| personne. Les clients qui auraient cup5': le désir de le consulter, sont priés G® s^| fire a sa maison ai Courtrai, coin de a j Mouscron, 2, de la prison. maison a porte-cocUrC|

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1909 | | pagina 2