GRAND CONCERT
WILLEM TELL
Téléphone 53
CHROMQUE YPROISE
T
Téléplione 52
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Le dispositif de carême
Samedi 5 Février 191 9
10 centimes ie N°
45 Annéb N 4615
Chronique Religie use
Fanfare Royale
Ftrennes Pontificates
Nos Honorables
Clergé et politique
Encore la caserne
de gendarmerie
ëfi SS 3D 3D a
Willen is Runnen
O sa s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, et
Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine.
Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays
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tons les bureaux de poste du royaume,
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io francs les cent exemplaires.
Pour les annonces de France et de Belgique (exceptë les deux Flandres) s'adresser IV
Havas, Bruxelles, rue d'Argent; 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse.
Les sermons frangais du Carême seront
prêchés cette aimée par le R. P. LAMOTTE,
DomiDicain, en résidence k Lille, le Lundi
de chaque semaine, a partir du 14 Février,
a l'égliso de St-Nicolas, pendant le Salut de
5 heures et deraie.
Sujet
L'Eglise et sa mission dans le monde.
Fanfare Royale
Samedi 12 févriera 8 ija heures
Soiree Tabagie, la salie Iweins.
Dimanche 27 Fe'vrier 1910
a la SALLE IWEINS.
Vciei le dispositif de Carême pour 1910
En rertu des facultés apéciales que uous
avcns regues du Saint-Siège, nous accordons
durant le Carême de la présente anaée, les
dispenses suivantes
I. II est permis de faire usage de beurre
et d# laitage, tous les jours du Carême.
II. II estpermi de manger des oeufs tous
les jours, excepté le Mercredi des Cendres et
le Vendredi-Saint.
Les personnes tenues au jeüue ne peuvent
manger des oeufs qu'une seule fois le jour en
dehors des dimanches, et cela au repas prin
cipal, et non a la collation elle doivent ob
server cette même prescription les autres
jours de jeüne au cours de l'ancée.
II est permis de se servir d'oeufs pour pré-
parer d'autresmets tous les jours du Carême.
III. Nous permettoMs l'usage de la vianda
les dimanche, lundi, Mardi, jeudi et samedi
des Quatretemps (19 février) et le Samedi-
saint. Les personnes tenues au jeune ne
peuvent faire gras qu'une seule fois le jour
en dehors des dimanches, et cela au repas
principal et non a la collation; le bouillon,le
jus de viande sont interdits comme la viande
elle-même.
IV. Les fidèles sont obligés de reciter
trois n Pater et trois Ave et une fois les
Actes de Foi, d'Espéranc®, et de Charité et
de Contrition, chaque jour qu'ils font usage
des permissions ou dispenses accordées ci-
dessus. Ils pourront néanmoins se libérer
de cette obligation, en versant dans le tronc
du Carême une aumöneque chacun évaluera
selon sa dévotion.
V. Nous accordons aux militaires de tout
grade, a leurs femmes, enfants et domesti-
ques.ainsi qu'aux autres personnes attachées
de fait au service militaire, la permission de
faire gras tous les jours de l'année, excepté
le Vendredi-saint. L'usage des oeufs leur est
permis tous les jours sans exception.
Aux militaires nous assimllons les gendar
mes, les douaniers et les agents de la police
urbaine de service actif,les gardes forestiers,
Hes employés en service sur les trains des
chemins de fer et sur les trams, les employés
techniques de l'administration des telégra- j
phes et té'.éphones en service actif le long i
des lignes, les facteurs de la poste, les em-
ployés des accises en activité, les marins, les
bateliers et les ouvriers du port. j
Nous accordons la même dispense 1° a
ceux qui logent et nourrissent la troupe du- j
rant les manoeuvres ou en d'autres occasions
de ce genre 2° aux ouvriers occupés aux
hauts-fourneaux et aux fours des verreries,
dansles mines et dans les carrières. j
VI. Nous accordons a tous les curés et
confesseurs le pouvoir de dispenser dans les
cas particulier, en tout ou en partie, du
jtfite et de l'abstinence, ou de changer ces
obligations en d'auties oeuvres de piété, a
condition que la demande se justitie par
un motif raisonnable et ne provienna pas
uniquement de la ciainte qu'inspire la mor
tification chrétienne. Cette dispense ne peut
s'étendre au-dela d'un an.
Les malades et les personnes faibles de
ante se règlaront d'après les ordonnances
d'un médecin consciencieux.
VII. Ceux qui, en vertu du présent man
dement, usent de la permission de faire gras
ou qui, dans un cas particulier, obtiennent
la dispense du maigra, ne peuvent pas
manger de la viande et du poisson au même
repas. Cette interdiction s'étend a tous les
jours de jeüne au cours de l'année. Ces
jours de jeune, outre le Carême, sont les
mercredi, vendredi et samedi des Quatre
temps, les Vigiles de la Pentecote, de l'As-
somption de la SLe Vierge, de la Toussaint
et de Noël.
VIII. Tous les vendredis de l'année il est
dèfendu de manger de la viande, sauf iors-
que le vendre coincide ave?, la fête de Noël
ou celle de la circoncision (lr janvier).
IX. En vertu de pouvoirs spéciaux que N
S. F. le Pape nous a aceordés, nous permet-
tons a tous nos diocésains de faire, cette an-
née, usage de viande, même plusieurs fois,
les jours de S. Mare et des Rogations.
En vertu des mèmes pouvoirs, nous per-
mettons, jusqu'au Carême de l'année pro-
chaine, a tous nos diocésains de faire,
également usage de vianda, même plusieurs
foi le jour, tous les samedis qui tombent en
dehors du Carême et ne sont pas des jours
de jeüoe.
Nous conformant au désir du Souveraia
Pontife,nousengageons les fidèles,qui feront
usage de ces dispenses a multiplier leurs
bonnes ceuvres, otaurtout a observer exac-
tement les préceptes du jetme et de l'absti
nence.
X. Nous permettons de faire usage de
grai8se fondue, au lieu de beurre, tous les
jours de l'aunéa.
Ponné a Malines, sous notre seing, notre
sceau et Ie eontreseing de notre Secrétaire,
D.J., Card. Mercier, Archevêque de
Malines.
Liste précédente fr. 568.5o
De Congregatie der Leerlingen bij de
Rousbrugge-Damen
O Plus, Onze Vader,
Wij allen hier te gader
Wij wenschenU, uitgauscher hert,
Een jaar volkomen vrij van smert,
En smeeken uwen zegen af,
Opdat wij voort, tot aan het graf,
Volherden mogen, kloek en sterk,
In onze liefde voor Gods Kerk. 50.00
Heeren Baus, Broeders Zusters,
Yper 100.00
Onbekend Z 10.00
Jufvrouw Lenoir, Yper 20.00
De Jonge Dochters der Congregatie,
Boesinghe 65.00
Mijnheer Eugène Struy©, Yper 200.00
E. H. Feys, rustend pastor, Yper 5.00
J. C. 4.00
sSPrfe SS® fiSP
Sous ce titrc, le Progrès s'e'lève contre
la désinvolture de nos édiles a l'égard du
public et particulièrement a l'égard des re-
présentants de la presse, que le devoir pro-
fessionnel oblige a assister aux séances du
Conseil.
Notre confrère a parfaitement raison. Si
l'exactitude est la politesse des rois, il laut
bien dire que nos majestés communales n'y
vontguère royalement. Le premier citoyen
venu a ge'néralement plus de souci de sa
parole, et quand il donne un rendez vous
pour cinq heures, il ne se fait pas attendre
jusqu'a cinq heures et demie.
En tout cas, si nos honorables tiennent
absolument au quart d'heure de tolerance
yprois, ils devraient éviter d'attraper, a
l'occasion, le public par une exactitude trop
exceptionnelle. L'autre jour, cinq heures
venaient a peine de sonner que déja la séance
publique était ouverte... rideaux baissés et
porte close, comme dans la chanson.
Mais pourquoi siégent-ils a porte close
Est-ce, comme le Progrès le pense, pour
écarter la perfide froidure? Est-ce pourvexer
les lambins de la presse qui s'amènent a leur
poste en lambinant I Chi lo sa 1
Toujoursest il que cela ne va pas sans
inconvénients,les jours oü le zèle de la chose
publique dévore nos honorables. Et si l'on
se rappelle que ces messieurs n'aiment pas
que l'on écoute aux portes, l'on ne peut que
se rallier a la proposition du Progrès de
suspendre a l'entrée de la salie du Conseil
un écriteau avertisseur.
Parexemple, nous n'admettons pas l'idée
de notre confrère d'utiliser a eet effet l'écriteau
du bassin de natation portant Entrée 3o
centimes. 3o centimes a payer en sus de
la taxe vélocipédique pour le plaisir d'as-
sister aux complots d'édiles du XXe siècle
méditant la suppression de toutes les voies
cyclables Ah mais non la plaisanterie
serait mal gofitée pour les innombrables
amis de la noble monture que feu notre con-
citoyen Albert Nyssens appelait fort juste-
ment le cheval de la démocratie.
Si ces messieurs de la maison de verre
aiment tant siéger a huis clos, qu'ils veillent
aussi a munir de volets et de barreaux ces
fenêtres rendues célèbres par une défénestra-
tion historique.
Pour le reste, le Progrès exagère encore.
Les rayons X l'ont trompé quand ils lui ont
montré un conseiller endormi. Notre con
frère parle évidemment d'il y a un quart de
siècle. Et cette maladie du sommeil qui
sévissait plutot alors explique, sans les excu-
ser, bien de l'inaction administrative, bien
des votes irréfléchis et moutonniers, tel p.ex.
celui qui décréta la démolition de notre plus
beau bastion, aujourd'hui regretté par l'or
gane libéral lui-même.
Notre confrère a été mieux servi par son
flair quand il a senti le parfum d'un pur ha-
vane. Mais il convient d'être juste. Nos
honorables se privent de grogs et de blonde
durant leurs assoiffants palabres on peut
leur bien concéder le tabac, sous une forme
ou sous une autre.
Et puis, on est maitre a l'hfrtel de ville ou
on ne l'est pas. F.
A quoi reconnait-on, dans la presse
yproise, qu'une période électorale est ouver
te Car enfin, les coups de plume qui rem-
placent les coups de canon, ca se distribue
plus ou moins chaleureusement toute l'année
durant.
Qu'est ce done qui vient marquer l'enga-
gement decisif
La sagesse flamande nous indique le cri-
tère sür Als de vos de Passie predikt,
boeren wacht uw gangen
En période électorale, le Progrès ne se
contente plus de respecter, plus ou moins
sincèrement la foi de nos pères 11 devient
plus catholique que le Pape et regrette, dans
ïintérêt de la Religion même, que le clergé
s'intéresse a l'issue des consultations électo-
rales
Le bon berger On serait presque tenté
de le gober sans arrière-pensée. D'autant
qu'il invoque a l'appui de ses dires l'avis
d'un droitier du parlement francais, dont il
trouve le langage élevé et digne. Quel écla
tant hommage, ajoute-t-il, a la politique que
nous avons toujours suivie dénoncer l'atti -
tude arrogante de nos vicaires qui dirigent
nos batailles électorales, suscitent la haine
entre concitoyens, et sèment la discorde
jusque dans les families. Oui cela est dange-
reux au point de vue religieux.Cela dépouille
le prêtre de sa dignité.
Notre amis du clergé choisit trés mal son
moment pour chercher ses inspirations en
France. Les derniers débats du Parlement
francais et les révélations qui s'y sont pro
duces au sujet du but poursuivi par l'école
laïque ont pleinement justifié et démontré
comme nécessaire l'intervention de l'épis-
copat dans la question de l'enseignement pu
blic.
C'est précisément paree que nos libéraux
beiges poursuivent le même but que les
laicisateurs francais, qu'il est du devoir de
l'autorité religieuse de veiller au grain et de
rappeler aux chrétiens leur devoir, en privé
comme du haut de la chaire, et surtout aux
heures décisives.
Si les pouvoirs publics ne s'occupaient que
de nos intéréts matériels, nos prêtres borne-
raient certainement leur intervention dans
la vie publique a l'accomplissement de leurs
devoirs de citoyens. Mais quand les intéréts
supérieurs de la Foi et des mceurs, de la
Religion et de l'Eglise sont de toutes parts
liés a la gestion des affaires publiques, ils
manqueraient au premier de leurs devoirs et
trahiraient les intéréts dont ils sont chargés
en restant indifférents a l'issue des scrutins.
Que s'ils manifestent des velléités de
l'espèce, nous irons au devant pour les en
dissuader, paree qu'ils ne sont pas pour rien
nos chefs et directeurs autorisés et attitrés.
Pour le surplus, nous ne savons que trop
bien ce que vaut le scrupule pharisaïque de
nos adversaires.
Mais leurs craintes fussent-elles sincères et
fondées et en théorie nous ne les mécon-
naissons pas absolument il nous faut bien
tenir compte des faits et passer outre quand
ily a lieu.Entre deux maux il faut choisirle
moindre.
Aux laïques la bataille oui, sans
doute... a condition cependant que la ba
taille ne soit pas livrée directement contre
le clergé lui même et que le principal enjeu
n en soit pas la Foi et l'ême de nos enfants.
Faut-il, pour mieux convaincre notre
confrère, recourir a un exemple analogique
En votant l'accroissement de nos charges
militaires, notre député libéral n'aurait-il
done eu d'autre but que d'ennuyer tous les
pères de familie, d'arracher a plaisir des bras
a 1 agriculture et a l industrie, de contrarier
les vocations religieuses et autres, de gas-
piller nos finances, de nous doter enfin de
toutes les tristes consequences de l'encaserne-
ment intensif II s'en défendra bien. II pré-
tendra évidemment et on en prendra ce
qu'on voudraqu'il n'a fait, comme nom-
bre de catholiques, qu'envisager avant tout
les intéréts supérieurs de la de'fense nationale;
que, de bonne foi, comme eux, il a trouvé a
ces intéréts un poids prépondérant dans la
balance, et que, dès lors, il n'a pas hésité a
choisir le moindre mal.
Nos vicaires batailleurs s'inspirent de
la même sagesse que notre député libéral.
Que le Progrès commence par blamer le
militariste de son coeur
S «3 S3 S3 £3 S3 S3 S3 S3
Le Journal d'Ypres, dans son numéro du
Samedi 22 janvier dernier, expose sous une
forme succinte, les rétroactes de la question
de la nouvelle gendarmerie projetée en notre
ville.
L'auteur de l'article visé, après avoir exa-
miné le projet sous ses divers aspects, ap-
prouve la manière de voir des membres du
Conseil quiquoi qu'en disent certains con-
tradicteurs obéissant avant tout au mot d'or-
dre du clan de l'opposition auront contri-
bué, en se ralliant a la solution intervenue,
a la realisation d'un projet d'embellissement
de la ville.
Le sujet, qui a préoccupé l'opinion pu
blique, ne parait pas épuisé et nous en pro-
fitons pour vous communiquer notre appré-
ciation notamment en ce qui concerne la
bltisse.
La solution comporte deux parties bien
distinctes le batiment de la caserne propre-
ment dit et le site appelé a l'encadrer.
La seconde partie a fait l'objet d'une étude
attentive dont le résuJtat est généralement
bien apprécié. Quant a la première, elle mé-
ritait, eu égard a son importance, un examen
plus approfondi.
Rappelons d'abord ce qu'un homme de
goüt, d'une compétence reconnue, Monsieur
Buyssens, a communiqué l'administration
communale dans un rapport dont Monsieur
le Bourgmestre a donné lecture en séance du
Conseil.
La création de la nouvelle gendarmerie
n sur l'emplacement choisi, avec les aména-
gements des abords tels qu'ils sont congus,
constitueront un réel embellissement de
l'entrée de la ville d'Ypres pour l'étranger
qui débouche de la gare. Cela toutefois
dans la mesure oil la silhouette de la gen-
darmerie et le détail de ses facades sera
intéressant. C'est la pour l'heure la princi-
pale préoccupation qui subsiste.
Le projet, dressé sans doute par le dépar
tement de la Guerre, ne constitue probable-
ment qu'un avant-projet susceptible d'amé-
liorations ultérieures importantes aussi ne
nous proposons-nous pas de l'analyser dans
tous ses détails.
Mais néanmoins, il ne sera pas inopportun
d'émettre quelques considérations d'ensemble
qui tendent uniquement a attirer l'attention
sur un point de la question dont l'intérêt ne
semble pas, pour le moment tout au moini,
mis suffisamment en relief.
Disons franchement que nous verrions
avec plaisir passer a la refonte ce premier jet
d'une étude d'une elaboration complexe.
Nous trouvons cette même travée, du
reste fort étroite, répétée uniformément sur
un développement de plus de cent metres de
fagade, bien monotone, malgré la coloration
variée des matériaux qui seront employés. Le
pan coupé lui-même, ménagé a l'angle du
boulevard Malou et de la rue du Progrès,
avec ses deux tourelies un peu grêles, n'in-
terrompt pas suffisamment la longue ligne
horizontale qui se répète au niveau des seuils,
des linteaux de fenêtres, de Ia corniche et du
faïte du toit.
Pourquoi ne pas établir a l'ombre du beau
massif d'arbres qui sera maintenu, au haut
du bastion conservé, une construction artis-
tique, offrant par le jeu de ses masses, la va
riété de ses éléments et l'imprévu de ses
lignes un ensemble des plus pittoresquef
Le modèle de travée adopté, quoique
puisé dans notre intéressante architecture du
terroir, nous parait un peu vieux jeu l'on
n'y retrouve pas cette originalité de bon aloi
qui seule accuse la note artistique caractérisée
dans nos anciennes constructions.
Ne serait-ce pas le moment d'appliquer a
eet édifice le type d'architecture du Nieuw-
werek, de la maison adjacente, la concierge-
rie, et du couvent des Carmelites, rue St-
Jacques
Ou encore, ne parviendrait-on pas greffer
adroitement sur cette construction la jolie
tourelle disparrue de l'ancienne abbaye St*
Jean du Mont, rue St-Nicolas
L'édilité n'a pas se préoccuper du coüt
qu'entrainerait l'exécution d'une construc
tion, en pierre, de style Renaissance, l'Etat,
en effet, en compensation des avantages
consentis par la Ville, a prévu une majo-
ration de dépense considérable en vue de
donner aux batiments une décoration appro-
priée. Dès lors, il appartient a notre admini
stration de faire tout le nécessaire pour abou-
tir a une heureuse solution et de rappeler, Ie
cas échéant, au département de la Guerre les
engagements qui ont été söuscrits.
exécutera demain, au Volkshuis, le célèbre
drame de Schiller
On commence k 7 heures précises.
JOURNAL D'YPRES
©rgane Gatholique
de I'Rnrondissement
o
UN ABONNÉ.