w Ju. A u dition Meet hoven Au Volkshuis Conseil Communal ggV wêêèSëêL ygf I v? 'jf> jf pi' if if if, if 2. Bureau de Bienfaisance; comp- te 1908 budget 1910. 32.463.78 1. Propriétés communalespro- eès-verbal de vente d'arbres. 3. Hospices civils: compte 1908 budget 1910. 1909. 5. Corps des pompiers compte 1909. 6. Caisse de secours des pompiers: compte 1909. 4UO.OO cessa- 7. Bureau de bienfaisance tion de bail. Renouvellement. 9. Finances communales. Percep tion de taxes sur les chevaux. Renouvellement. Al au Urgence. Vente de terrain Boulevard Malou. if if If if if if if if A la (^hambre -.2^1- •*S I "Hl» III eon énergie de flamand, et vous aurez la clef du merveilleux ascendant,de lafascimation, qu'il exerce dans tous les milieux oil il va porter la bonne parole. L'auditoire compact qui remplissait la salie était compose suitout d'ouvriers, d un boa nombre de petits bourgeois et de b:au- coup de notables de la ville, de membres du dergé et de jeuoes gens. C'cst plus directe- nUnt a l'élément ouvrier que le R. P.Rutten adresse sa lfgon sur 'a question sociale; mais son enseignement présentait autaut d'intérêt et d'utilité pour l'élément bour geois celui-ci, du reste, l'accueillit avec enthousiasme et en tirera, espéroDs-le, un abondant profit. Résumer la conférence du Père Rutten nous est impossible Son exposé a touché trop de points, se» idéés, qui forment tout un programme, dont la base est toujouss la mémorable encyclique Rerum Novarum sur la condition des ouvriers nécessite- ront trop de déveleppement et trop de dé- cision, pour que nous puissions songer a les a border daus un simple cornptc-rendu. Nous y reviendrons plu3tard d'une faeon lui pen détaillée. S. i Aliens, Monsieur Bostvn, vous que dous apprécions haufement, a l'ceuvr en ce sens. S >yez un réformateur et vous aurez bien mériió de vos coiicitoycus. C'est une haute manifestation dart a laquelle il nous a été donné d'assister, Guillaume TellSchiller Noms qui iéveillent l'idée d'une représentati n théa trale féérique et grandiose Que tela furent les caractères de la repré- sentation qui fut donr.óe lo 6 de ce mois, au Volkshu's, il siérait de le d're, bi quelques changemeats do décor a vue ne setaient opérés trop visibleinent. Cette critique faite, nous croyons être l'interprète des nombreux spcctateu-s pour exprimer toute la joie que nous avons res- sentie et tout le charme qui nous a rempli i'ame au cours dc cette représentation. Les acteurs furent a la hauteur de leur tache parfois trés difficile et trés ingrateles ca ractères si varies des divers personnages furent trés bien rendus et la laDgue flamande contribua a rendre, a maints endroits du drame, toute la force de caractère, toute la vigueur d'Sme(et toute l'ónergie d'un peuple en révolution. Aussi e»t-ce avec reconnaissance que nous adressons nos viveB félicitations a tous ceux qui ont contribué au succès de cette belle et bonme soiree. Oh 1 qu'il serait réconfortant de voir le théatre se transformer partout et entrer résoluraent dans la voie de la moralité, creative de chefs-d'oeuvre. Combien l'huma- nité y profiterait II est incontestable, en effet, que le thé&tre peut être la meilleure des écoles la vie réelle devrait y être dé- peinte avec toutes ses joies, mais aussi avcc ses détresses, avec ses heurtset ses cahots; qu'une bonne fois, on comprenne qu'ii ne faut pas se borner a exhiber des situations oü tout est décrit comme Bi 1 homme n'avait a songer, ici-bas, qu a ses seuls plaisirs. II ne peut être méconnu que tant des troupes théatrales constituées au sein de sociétés privées que des troupes qui figurent sur de grandes scènes lyriques, représentent des scènes qui ridiculisent la vertu, exaltent le vice, toument en dérision les sentiments religieux et détruisent tout sentiment moral. A nous catholiques d'user de tous nos moyens, pourréaliser la réforme de l'art scénique. Nous avoDS pour nous le nombre et le droit. Ecartons décidément toute com. promi88ion avec les adversaires de tout ce qui noustientle plus a coeur notre foi et notre morale. Que nos écrivains catholi ques se mettent k l'étude de l'art scénique. Pourquoi, en parlant aux sentiments élevés du coeur, ne pourraient-ils pas produirc ce que d'autres ont réalisé jusqu'ici, en fiattant les plus basses passions et les instincts les plus vils. Nul doute qu'en peu de tempg, leurs oeuvre» seraient goütées, appréciées, louées, et détróneraient par leur force p ire toutesces oeuvres, tous ces spectacles, dont l'exhibition ne laisse au coeur que le vide, souvent même le plus profond décourage- ment. Tout cela nous l'obtiendrons si nous le voulons. Et alors, d'accord en cela avec les plus grandes autorités religieuses, nous introduiroas la femme sur toutes nos scènes catholiques. Ce que le thé&tre doit représen- ter, c'est le reflet de la vie de tous les jours, vle oü la femme tout comme l'homme re-m- plit ton róle. La femme apporte dans l'existence la lumière et la vie, la joie au milieu du travail,le baume dans la souffran- ce. Comment peut-on sans désavantage l'écarter de la scène Conqoit-on une société sans mères, sans sceurS, sans épouses Qu'elie est done futile Ja crainte qui semble nous arrêter encoreRedoute-t on le contact sur la scène et dans les coulisses des personnes de sexes différents? On ne le peut. II y aurait uni quement k veiller a ce que acteurs et actri ces soient tous d'une réelle moralité. Nos filles et nos scours n'auraient-elles pas a coeur de remplir ces röles, qui rempli» aujourd'hui,on ne sait comment,ne revêteot, en aucune manière le caractère dans lequel ls furent cougus. lundi soir, grace a l'ingénièuse initiati ve de M. Albert Van Egroo et au travail opiniatre de toute une année de son ('ercle symphonique. Une audition d'oeuvres de IJodwig van Beethoven de- vait cönstituer un puissant attrait pour les dilettanti yprois, un peu blasés des salmigondis musicaux habituels des con certs. Le toüt-Ypres amateur s'était donné rendez-vous au Théatre pour jou- ir du délicemusical, du Genüss comme 011 dit a Bayreuth, et c'est la un nombre considérable, puisque les orga- nisateurs ont eu le regret de devoir re fuser du monde. I Un silence qui faisait penser au dicton italien In piu grand omaggio alla mu- sica sta nel silenzio», fut observe dès les premiers accords du Quatuor n° 3 en ut pour cordes et piano. Cette oeuvre d'adolescence de Beethoven, regut une interpretation des plus artistiques par MM. Albert et Georges Van Egroo, Eir- min Ilarteel et Louis Vanlioutte. De mê me pour le Quatuor a cordes n° 3 en ré, exéCuté par MM. A et G. Van Egroo, Ilarteel et Alfred Valcke. La Sonate n° 7 en do mineur (oeuvre 30) pour violon et piano, mit en presence deux talents transcendants celui de M. Van Egroo, lout entier de délicatesse et de sentiment exquis, et celui de Al. Vanlioutte, dont la remarquable virtuosité fait un accompa- gnateur de premier ordre, deux talents clont 1'intime combinaison procure une ómotion sans pareille. La deuxième symphonie en ré (oeuvre 36), datée comme la sonate précédente, de 1802, était la pièce de résistance de la soirée. M. Van Egroo avait réduit les parties d'instruments a vent pour har monium et piano. II en résultait une trés grande douceur, sauf peut-être dans la partie finale, qui manquait un peu de brillant. On s'étonnait a juste titre d en tendre exécuter d'une manière aussi re remarquable cette grande1 symphonie. Nlous l'avons dit, c'est grace au travail incessant d'une année entière que le jeune Cercle est arrivé a ce résultat inespéré. Une grande part de ce succès revient toutefois A M. Van Egroo, qui a !su conduire son orchestre de fagon telle qu'il pourrait assumer la direction des plus grandes masses instrumentale®; II est regrettable que, par suite de la prompte succession de l'allegro con brio a l'adagio molto, le public ait, en gran de partie, compté erronément los diffé- rentes parties, en sorte que l'allegro final étant terminé, on attendait encore l'exé^ cution d'une partie. Ce malentendu a fait que les artistes n'ont pas récolté l'ample moisson d'applaudissements auxquels ils avaient droit en terminant. lieureusement qu'ils avaient été large- ment dédommagés après chacune des parties précédentes. Un vceu formulé par tout le monde, c'est de voir se renouveler encore de telles solennités artistiques qui peuvent soutenir la comparaison avec les con certs composés d'éléfnents étrangers toujours dispendieux. Séance publique du 12 Février 1910, a 5 heures du soir. la somme totale de 5877 5o fr Ils ont pro duit 6832.00 fr soit 954 5o fr. de plus qu'on avait espéré. II y a lieu de se féliciter de eet excellent résulut. Le procés verbal de cette vente est ap prouvé. M le conseiller D'Huvettere demande que ('entrepreneur des travaux de restauration de 1'e'gHse St-Martin soit invité a nettoyerles abords ck ses chantiers. L*j Le compte de 1908 suivduts Recettes ordin .ires l)cpei.s°s ordin.ures Recettes extraord. Dépenses extraord. fr. 32.137.02 66.600.80 accusse les chiffres fr 103.500.69 fr. 100.399.79 ExcéJent 3 100.90 Recettes xtraordinaires 17 595.23 Dépenses extraordinaires 20.567.65 Déficit 2.982.42 Soit un excédent géoéral de fr. 128,08. Approuvé. Le budget pour 1910 est établi comme suit Recettes ordinaires fr. 10438876 Dépenses ordinaires fr. 104,354 28 Excédent fr. Recettes extraordinaires Dépenses extraordinaires a l'aide tlesquels il essaie' ü'établir que depuis 25 ans le gouvernement a travail- lé a la dechéance de renseignement pu blic', tandis qu'il réserve toutes ses fa veurs a l'enscignement catholique libre. En terminant il déclare que l'éoole con- fessionnelle a pour but de produire des générations de crétins, des êtres soumis et veules, victimes passives de toutes les exploitations matérielies 'et morales. M. Woeste oppose victorieusement d'autres chiffres h ceux de M. Bertrand. Rien qu'en 1'espaCe de 8 années, de 1900 A 1908, le nombre des ëcoles publiques a passé de 4,424 A 4,629, et Celui des élèves de ces écoles a monté dei 480 000 A 514.800 Quand M. Bertrand parle du nombre des écoles publiques en 1884, il oublie de dire que beaucoup de ces écoles étaient vides et sans autres élèves que les enfants de ï'instituteur! En 1900, les dépenses scolaires s'éle- vaient A 40 millions de francs en 1908, elles étaient de 53 millions C'est done vainement qu'on tenterail d'ameuter l'opinion contre le gouver nement catholique en disant qu'il com bat l'enseignement. II y a deux politiques scolaires en presence: une politique de liberté, pra- 4. Harmonie Communale eompte I tiquée par le gouvernement catholique, Déficit Saus excéJeut général. M. le Pré-ident, tout en formulant see réserves sur le maintien de l'höpital actnel, constate avec Satislactiou que ie Budget corap a te u .e somme de 13.GO f.pour la con-ti uc ion d'un lazaret. M. DTT11 vetteresouhuite quilts Hos pices et le Bureau de Bienfuisance s'appb- queut a rendre plus accessible aux petites geDs l'acquisition d'immeubleset deterrains. La main mrrte et lVrnpbytéose, en retiraHt de la circulation un grand nombre de biens, enlèvent au pay3 une source de recettes et diminue notre crédit. Le prix de vente de ces terrains, placé en rente be'ge,donn"raii un 1 evenu supérieur au prix actuel de loca tion. M. ie Buurgmestre, adopte la manié.e de voir de l'honorable membre, miis fait re- marquer que les Hospices sunt dója entrés daus cette voie, pour ce qui concerne h legs Godtschalck. Le Conseil approuvs successivemeut le compte des Hospic.es, le compte de la fonds- tion Godtschalck. Ie budget des Hospices jt le budget de 'a f-jndation G"dtscbülck. 34.48 Ir. 27,725. fr. 27,759.48 34 48 Présents: MM. R. Colaert, bourgmest'e-- présidentFraeijs et Vandenboogaerde, éche- vinsVan lerghote, Fiers, D'lluvettere, Bouquet, Sobry, Iweins d'Eeckhoutte, Le- mahieu, Biebuyck, Begerem,Boone, conseil- lers Van der Donckt, secrétaire communal. M. Stiuye, indispose, d'est fait excuser. M. le secrétaire donne lecture du texte des resolutions prises a la dernière séance. En comité secret il a été accordé un sub side de too fr. a Mel!" Madeleine Lauwers, poor suivre les cours de l'école des sages-fem- nvsil Bruges. DvS concessions de sépultures ont été Couoyées aux families Ponlus de Posch, No: ot et Vaogeenberghe. Le traitemeut de M!e Dekcerle, sous insti- lut.ice intérimaire est fixé a 1.000 fr. M. le B"urgmestre donne lecture d'une Icttrc de remerriements lui adressée par M. le ministre des trauvaux publics a la date du 28 janvier. M. le ministre s'y dédare trés sensible a l'attention dont il a été l'objet de la part du conseil communal d'Ypres a l'o- cassion de l'adjudication des travaux d'achè- vement du Canal de la Lys a l'Yperlée. Les arbres récemment vendus au cimetière t le long de 1 Yperlée avaient été évalués a Déficit fr. S-ins exédent général. M. D Huveltere Au cours d'une des réunions de la 3me comission. a éié agitée la question de savoir s il n'y aurait pas beu d'accocdtr aux malades secourus par le bu reau de bienfaisance, une plus grande liberté dans le choix de leur médecin. M. le PiésidentLa question est déli cate et difficile a résoudre. Dans le dernier congres du Nord de la France, il a été juge' préférable de laisser les choses en état. Le budget pour 19:0 est adopté. L#J La parole est a Monsieur Iweins d'Eeck houtte, rapporteur. L'honorable membre rend hommage au zèle et au désintéressement de MM. les ad ministrateurs. II constate avec satisfaction qu'il a été tenu compte de ses observations de l'an dernier relatives aux economies a réaliser sur la généralité des dépenses. Mais regrette qu'en fait ces économies soient re- portées uniquement sur l'extraoruinaire en sorte qu'elies enlravent certains projets que ['administration eut voulu voir réaliser. Ainsi la construction d'un nouvel höpital que Ton écaite dès l'abord la restauration des faca des appartenant aux Hospices, rue de Lille et rue de Menin. Spécialement quant a ce dernier point le rapporteur estime qu'après les sacrifices énorm-s que nous nous impo- sons pour la restauration de tous nos monu- ménts publics, nous sommes en droit d'in- sister auprès de l'administration des Hospices pour qu'elie prenne a coeur de contribuer pour sa part a l'embellissement de la ville. Le compte de rgo8 de la mcison d'aliénés se cloture par un excédent de 17. 166.00 fr. Certains postes du compte de la fondation Godtschalck en particulier pourraient être réduits, oü se révèle un confoit matériel trop grand. Le compte des tlosp ces po ir 1908 seta- blit ainsi qu'il suit Recettes ordinaires Dépenses ordinaires Recettes Dépenses ExcéJent fr. 5.812.87 5.801.86 11.01 Approuvé. Recettt s Depenses fr. 3.735.17 3.725.22 Excédent 9.95 Approuvé. une politique d'oppression, préconisée par les gauches unis. Quand on parle des largesses gou- vernementales pour renseignement ca tholique, qu'on cite done les chiffres; les subsides sont de 2.492.754 francs pour 1.211 écoles subsidiées, soil 258 francs par école. La gauche veut la destruction de nos écoles, la laïcité absolue de 1'école. Nos populations, en immense majo- rité, veulent que la religion soit ensei- gnée A l'école; cela ne suffit même pas, elles veulent des écoles plus imprégnées encore de l'idée religieuse. Libéraux et socialistes se sont donné la main pour combattre nos libertés et en particulier la liberté d'enseignement; mais nous ferons la garde et Ie pays sera A nos cötés. (Appl. A droite.) MERCREDI 16 EEVBIER ,M. Verbaegen répond au discours de M. Bertrand. L opposition, dit-il, veut l'instruction obligatoire, renseignement laïc et neu- tre, et que l'école libre soit ignorée des pouvoirs publics. Si elle se bornait A demander que les parents soient tenus de donneir l'instruc- tion A leurs enfants, dans une école con forme A leurs convictions religieuses ou philosophiques, elle se trouverait d ac cord avec bon nombre de catholiques. Mais, en réalité, l'opposition réclame 1 école neutre et laïque obligatoire. Comme l'a écrit M. Frick dans Ia Chronique ce régime conserverait sans doute la liberté aux riches, mais il pri- 8. Finances communales. Pereep- I verait les pauvres du droit d envoyer tion de centimes additionnels. I leurs enfants dans l'école de leur choix. Recettes fr. 7.4.86 Dépeuses Excédent 322 86 Approuvé. La veuve Verliack-WMerblcydédrecéder, pour Ie tenue de 9 années a courir depuis le lr octobre dernier, aux époux Devos- Waterbley, a Ypres, son droit de bail.ur ui.e terre, pAture et fonds bfui »is a Ypres, cadastrés section A, n"8 241, 246,247 et 285, pour une contenance de 3 hectares, 28 area, 44 centiares. Le prix de location est de 60J fr. Appiouvé. 1-r. 412,356.23 406,765.96 Excédeut 5.590.27 Recedes extraordinaires fr. 85.519 66 Dépenses extraordinaires 60 422.61 Excédent 25.097 05 Soit un excédeut total de fr. 30.687.32. Compte de la Fondation Godtschalck 1908. Recettes ordinaires fr. 120.229 89 Dépenses ordinair s 78.985.40 Excédsnt 41.244.49 Dépenses extraordinaires ir. 90 159.84 Recettes extr.ord aaire 48.997.37 Déficit 41.162.47 Excédent géaéral fr. 82.02. II s'agit du renouvellement, pour un ter- me de 15 années, du droit de perception de centimes additionnels extraordinaires a la contribution f mcière et A la contribution personnels. Cette taxa n'a pas été modifié depuis 1S80, oü elle fut établie par i'adunuistration 1 bó- rale a l'occasion de la canafsation de l'eau potable. M. le Président fait remarquer que l'ad ministration actualle n'a voté aucune aug mentation d'impöts, malgré les nombreux travaux en cours et ia charge de l'emprunt a couvrir. Approuvé. II y a iieu de solhcitor aussi le renouvel lement, pour un periode de 15 an3, du droit depercevoir des taxes sur les chevaux de luxe et sur les chevaux mixtes. Ces taxes sont respectivement de 10 et 5 fr. Approuvé. Budget des tlospicss pour 1910. Recettes ordinaires Dépenses ordinaires Excédent Recettes extraord. Dépenses extraord. fr. fr Déficit Excédent total fr. 423.5 '5.50 423 121.89 173/51 166 832.22 167.U02.98 170.76 2.85. Fondation Godtschalck. Budget 1910 Recettes ordinair-s fr. 112 724 50 Dépenses ordinair- s 80 260 72 Excédent 32 463.78 Mademoiselle Moriiou demande a acqué- lir degré a gróeu supplément a un terrain de 7 111. 50 acquis l'au duraier, une band" de 0 5j m. sur une profonieur de 30 m. Le Conseil décide de demander l'autorisa- tion nécessaire a la Députation permanente. La séance rub'ique est levée ir 6 heures. Mardi 75 février. ^interpellation de MM. Bertrand tet Masson sur la politique scolaire du gou vernement et les prétendus retards ap- portés A l'approbation des projets de Construction, d'agrandissement el d a- meublement d'écoles. M. Bertrand cite de nombreux chiffres Du reste, la neutralité rêvée n'a ja mais existé et elle existera de moins èn moins, car voici les institeurs socialistes qui déclarent qu'il 11e peut être question dans les écoles d'histoire ni d'économie politique. Au dogme libéral, Dieu hors de l'é oole nous en opposons un autre «Dieu dans l'école D'accord avec bon nombre de catholi ques 100.000 personnes majeures ont pétitionné en ce sens nous demandons 1111e plus grande justice dans la repar tition des subsides. - Le budget du Congo est voté par /9 voix contre 40 et 13 abstentions ön vote également le budget du ministère des colonies. Après quelques observations de M. Carton de Wiart, la Chambre adopte A l unanimilé le projet de loi amnistiant les réfractaires, les retardataires et les déserteurs de l'armée. Jeudi 17 Février. M. Wauters, socialiste, traite Surtout des retards apportés A l'approbation des projets de restauration et d'agrandisse ment d'écoles. M. Carton de Wiart, en réponse aux injures qu on prodigue aux catholiques', met en évidence les sacrifices que ceux- ci s imposent pour leur enseignement. tl rappelle la politique suivie par M. t ombes. N avez-vous pas regretté aussi, dit-il, que nous n'ayons pas un Combes en Belgique M. Berloz (socialiste). J 'ai approuvé Al. Combes et je l'approuve encore au- jourd'hui. oa^a ^'°'aerh Eit la suppression de 20.000 écoles libres par M. Combes 1 approuvez-vous aussi M. Carton de Wiart montre que la con currence de renseignement libre profile a renseignement public et que le con- trainte scolaire ne se congoit pas sans l'é- galité devant les subsides ou sans écoles imprégnées de l'esprit religieux. Vend red i 18 Février.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1910 | | pagina 2