m w s* m t» m ci m Inexcommuniables yotre Harmonie royale II riétaü pas franc-magon PENSÉt-.SDl VERSES Conseil provincial de la Flandre Occidentale EXAME1SS sflwfasusoo® La rage Actes officiels core plus considérable que celui des fous et des mal ad es. Le remède n'existe pas dans 1 inter vention de la loi c'est l'instituteur, ainsi que l'a dit 1'éminent orateur qu'est S. Em le cardinal Mercier, qui pétrit lame de l'enfant, c'est la femme, la mere, la soeur qui peuvent le plus sur lame de l'enfant, les officiers R l'ar- n??e' jouissent d'une influence con- S1 efa sur ^es so'datSi Ge triple con coins est capable d'armer l'homme pour la lutte contre l'alcool. or^teur remercie le Roi de s'être mis a la tête du mouvement sa; pre sence ic[ portera de grands fruits et era plus pour la croisade contre l'al- coolistae que les plus beaux discours. L aleoolisme, voila l'ennehii. Ce soir, qua net le Roi Albert% rentré chez lui. songeru au grand acte qu'il a accompli aujourd'hui, il pourra dire comme l'em- pereur romainj «Je n'ai pas perdu ma journé'e Quant a volts, Mesdames et Messieurs, vous avez fait beaucoup, en venant ici, pour Favenir, la grandeur et la prospé- rité de la patrie. Le Hoi a donné le signal des applati- dissements qui ont marqué cette péro- raison, et la séance a pris fin, tandis que Sn: Majesté se retirait |au milieu d'acclamations répétées. II ai été question, dernièrement, au Conseil communal, du changement de 1'heur© de sortie de la Procession Jde Notre-Dame de Tuine. A ce propos, M. le conseiller Sobry s'est posé en champion de l'autorité re- ligieuse, M. le bourgmestre en défen- seur ties prerogatives du pouvoir civil. Si, par impossible, on s'avisiait de me demand er la-dessus iuon humble a> is, je dirais sans détours que M. Sobry a rai- son, en un siècle oü l'on ne respecte plus rien ni personne, de revendiquer hautenient le respect de 1'autorité reli- gieuse; mais que M. le Bourgmestre, de son co té, n'a pas eu tort, cette fois, de faire sonner sou indépendance. Et nous la lui concédons d'autant plus' volon- liers, en l'occurence, que nous tous, ses administrés, nous la partageons avec lui et que c'est du Saint Père lui-même que nous la tenons. Nous possédons, en éffet, dans nos archives (Layette 19, n. 15) une bulle du Pape Innocent IV qui nous concè- de une véritable immunité contre les excommunications que nous pourrions encourir. Par cette bulle, donnée a Lyon le lle des calendes de mai, an quatrième 0® son 'pontificat (21 avril 1247), le pape Innocent accorde aux ëchevins et iaux habitants de la ville d'Ypres, qu'ils ne pourraient jamais être excommuniés sans mandat spécial du Saint Siège fai- Sant mention expresse de cette indulgen ce. C'est dire que nous ne risquons rien 5 de petits conflits, Rome ne se mëttant pas en branie pour des vétilles. Nous aurions tort de ne pas en prof iter. Fixons done hardiment a l'heure qui nous plait la sortie de la procession communale, fixons de même R la sai- son qui nous convient la première com munion des enfants d'Ypres. Décré- tons aussi 1'abolition de la taxe sur les prie-Dieu ordinaires. Et, sans tenir compte des difficultés et de certains inconvénients de la chose, réclattions même, R l'intention de nos concitoyens Nvallons et de tous ceux qui ne sont moedertaliens que tout Juste, une messe dominicale, sur 36, agrémentée d'un Sir mon francais. Po urquoi nous 'géner Nous sommes inexcommuniables. I F, La CHRONIQUE, dans son compte- rendiia des fètes du centenaire de Ls. Y an Houtte, a commis un joli lapsus, cu parlant de notre musique commu nale, qu'elle a appelée l'Harmonie royaie d'Ypres. Après tout, pourquoi pas Et qui done n'estime, avec la Chro niqu© que notre brillante Harmonie méri te de tous points la qualification de royale et que si notre Roi la gra- tifie, un jour, de ce titre, a l'occasion de sa. visite officielle a Ypres, par ex empt e, il ne fera que conserver la vé- rital>le royauté qu'elle exerce, dans le dom._iine de l'harmonie, parmi toutes les phalanges musicales de la conlrée Le lapsus de l'organe bruxéllgis s'ex- pllque done tout naturellement. De fait, notre musique communale a fait sen sation, et nous nous en félicitons vive- ment, en même temps que nous la fé licitons. Car sa royauté a grandement ajouté a la majesté du char allégori- que de notre antique cité, sur lequel trönait la Reine d'Ypres. Cela diminue notre regret de n'avoir pas fait nous-mêtnes, sur place, ce que la commune de Gentbrugge a fait, avec notre concours, pour honorer la mé- knoire de notre illustre conci'.oyen. Certes, nous ne possédons pas les ressources floralis dont dispose le grand centre horticole beige. N'empêche que, sans nous ruiner, nous pouvions orga niser un cortège fleuri fort décent. La ville, nos' deux sociétés d horticulture, j le commerce horlicole, les particuliere, auraient certainement fourni un en- semble de groupes et de chars, pré- jcédés de six corps de musique et agré- mentës d'une reine, capables de glo- rifier dignement Van 'Houtte et, par ri cochet, de procurer une bonne journée au commerce local. On se rappelle du joli tintamarre fait par la presse magonnique R propos de l'exécution de Ferrer. La justice espagnole fut elle assez malmenée pour avoir fait expier ce professeur d'anarchie sa complicité pré- pondérante dans' les excès révolutionuai- res dont Barcelone avail été le théatre, peu auparavantLe fusillé de Monjuicli est inscrit aujourd'hui au martyrologe de la Franc-maconnerie et se verra 'éri- ger des statues, même en Belgique, jpn guise de protestation contre l'erreur jii- diciaire dont il aurait prétendüment été victime Ferrer était un coryphée da la Franc- Maponnerie. L'aulre jour, on a exécuté Liabeuf, coupable d'homicide volontaire, sans doute, maiS dans des conditions d'exas peration telles et apparamnïent si lé- gitime, que le refus de grace est coffl- menté trés' sévèrement par la généra- lité du public. Un geste des Loges eüt suffi pour- tant pour que le président de la Répu- blique maconnique graciat le condarn- né a mort. Mais Liabeuf n'en voulait pas, comine Ferrer, aux prêtres et aux reiigieux, mais seulem'ent aux pp'iciers qui l'avaient fait condamner, en le fai- sant passer pour un souteneur. Dès lors, les doux humanitaires de la Loge ne se souciaient plus de la défense des droits de l'homme. .mais le président FallièreS pouvait librement Satisfaire les exigences du chef de la police pari- sienne. t Cette différence de traitement méri-< tait d'être actée. Elle jette un singulier jour sur l'humanitarisme des Frèris et sur la valeur des protestations dont ils nous assourdirent a l'époque de rexécution de Ferrer. ip if1 if' If* 1?' Le catholique modéré n'est souvent qu'un homme modérément catholique. Barthélemv Du Mortier. II ne faut pas marchander avec Jé- sus-Christ. S'il demande 1'échantillon, donnons-lui la pièce toute entière. M«e Barat. i Y a-t-il rien de plus ingrat que de vivre contre la volonté de Dieu, qui nous a donné la vie, et de refuser d'obéir a celui qui ne demande que pour avoir sujet de récompenser notre obéissance? St-Jean Crysostome. Nous consacrons h la folie le temps que nous aeons, et nous destinons a la slagesse le temps qu,e nous espérons Lessing. S!QBi9i9linf90fi Séance du 5 juillet. Monsieur le gouverneur prononce le discours d'usage, consacré aux caisses de chómage (vifs applaudissements). Note de la rédaction. (Ce remarquable discours sera publié (dans un numéro prochain). II est procédé ensuite k la; constitu tion du bureau définitif. M, Van Hee obtient runaniinité de§ vpix comme président du conscil pro- vincial M. René Fraeijs est nommé vice-pré- sident, par 62 voix sur 65 volants; MM. Goethals, Firmin de Boesinghe, M. Boutens fait rapport sur une 0e- imlanjde tendant a ce que le conseil pu- torise la liquidation charge de l'arti- cle 23 du budget de l'exercice en cours, d une somme de... 9 fr. réclamée tar- Em. d'Ydewalle et Ronse sont désignés divement par le cantonnier Van Her- respectivement comme secrétaires et se- j zeele, du chef de débours fails en 1908. crétaires-adjoints. (Applaudissements) Le Baron Pierre de Coninck de Merc- kem, conseiller: suppleant, remplacanl M. Maes, élu membre de la Chambre des Représenlants, prête serment en fla- mand. (Applaudissements). M. Carlier propose de ne pas sieger le mercredi pendant la session, 5 caul se de la bourse de Bruxelles. Sa propo sition, mise aux voix, est rejetée par 34 voix contre 17 et 6 abstentions'. La seance est levee a 12.15,: SEANCE DU 6 JUILLET Présidence de M. René FRAEIJS, vi- ee-président. La séance est ouverte a 11.10, M. Firmin de Thibault de Boesinghe, Secrétaire, fait lecture des résolutions prises a la dernière seance. M. Goethals, secrétaire, procédé k l'appel nominal. COMMUNICATION. M. le président donne lecture d'un té- légramme de M'. Van Hee, remerciant vivement le conseil de la nouvelle mar que de sympathie qui lui a été donrïée en l'élisant comme président et des vosux formés pour son rétablissement, VQEU. Sur la proposition de M. le président et vu, dit-il, l'impoirtance de la som- me engagée (sourires), le conseil vote d'urgence les conclusions 'favorables du rapport. M. Iweins d Eeckhoutte 'fait rapport sur a) le compte de 1909 du fonds commun institué par la loi du 14 mars 1876, sur le domicile de secours, et b) sur le compte de 1909 du fonds commun institué par la loi du 27 novembre 1891 sur l'assistance publique. Les conclusions favorables des deux rapports sont adoptées. M. Firmin de Thibault de Boesinghe fait rapport sur Tallocation a charge de la province d'une pension revenant k M. David Séraphin, ancien èclusier du canal de Loo. M. Ernest Fra:eijs fait rapport au su jet de l'inscription, au budget d'un cré dit de 4,000 fr. destiné couvrir, a con currence d'un tiers, les dépenses des conseils de prud'hommes ainsi que les frais des conseils d'appel. (Loi nouvel le orgaqique des conseils de prud'hom mes.) 1 Ces deux rapports seront discutés h la suite de l'ordre du jour. M. Bruneel de Montpellier fait rap- j M. Firmin de Thili'uit de Boesinghe, P«" sur une demande de la seciété j 'e i Bloemen-, Moes- en Fruitteelt de Rou- secrétaire, donne lecture du vceu suh „„K«.wa vant, signé par MM. Clarpentier, baron Gilles, Goethals, baron de Bethune, Flor. De Brabandere et Maselis Le Conseil provincial, Considérant que les débordements de la Mandel, qui provoquent de multi ples et désastreuses inondations, sont duS k la non-exéculion des travaux pré- vuS depuis 1898, dans le projet de JVI. l'inspecteur Troost, et approuvés par le conseil Considérant que les 'travaux jprojt;- tés et approuvés ont pour but une plus rapide évacuation des eaux d'aniont de la Mandel, mais qu'ils ne peuvent être Iers, tendant a obtenir un subside de fr. 300, pour l'organisation d'un cours temporaire de culture maraichère. La 3® commission propose le renvoi de cette question a la 2e commission, en faisant toiitefois observer 1° que l'oc- troi de pared subside pourrait consti- tuer un précédent2° se demandant si c'est le cours ou le subside qui sera temporaire. Le conseil ordonne le renvoi a la 2e commission. M. J, Pollet fait rapixirt sur les de- mandes de subside en faveur des tra vaux de voirie secondaire dans l'arron- dissement de Courtrai M. de Limbourg-Stirum présente un exécutéS que conséciitivement on con curremment avec les' travaux de recti T o pnlre Vive rapport identique en ce qui concerna 'sSwetle ran-ondissement Thielt.Ro„,OT Considérant que jusqu'a present c«s derniers travaux n'ont regu aucun com mencement d'exécution Exprime le voeu de voir le gouver nement ordonner sans retard l'exécution deS travaux de rectification de la L'ys entre Vive-St-Eloi et le pont-rail de Grammene Charge la députation permanente de transmettre ce voeu a 1 autorité com pétente et prie l'honorable commissai- re du Roi de bien vouloir ï'appuyer.» Sur la proposition de M. le président, ce voeu sera dévelöppé a la suite de l'ordre du jour. RAPPORTS DES COMMISSIONS. M. Maselis, en flamand, au nom de la lre commission, fait rapport sur une communication au conseil des résolu- M. D'Huvettere en fait autant en ce qui concerne celui d'Ypres. LeS conclusions tendant a déclarer recevables, les demandes énumérées dans ces rapports, sont adoptées. Sur la proposition de M. le président, le conseil décide de décharger la 2e com mission de 1'examen de cerlaines af faires concernant les edifices du culte. pour les renvoyer la lre commission. INONDATION DE LA MANDEL. M. Carpentier développe le voeu qu'il a déposé concernant la Mandel. II n'est pas nécessaire, dit-il, pour justifier ce voeu, d'opposer aux débordements de la Mandel, un débordement de paroles. Quel est l'objet de notre motion Nous demandons la mise Rexécution des travaux approuvés il y a plus ide tionS prises par les délégués des dé- ,qouze ans pulations permanentes du pays, dans i pa nécessité de ce travail ne peut être leS réunions provoqüées par le collége mjse en doute par personne. Dans lle provincial du Brabant, a la suite de cours de la Mandel, il se produit des vceux émis par le conseil de cette pro- obstructions, caus'ées par les affouille- vince 'et tendant 1° a la revision jde mentS- ce sont IR des obstacles qui ac- la loi et des statuts de la Société Na- centuent encore les inondations. En temps, de crüe, les inondations, n'affligent pas seulement les terres ri- tionale des chemins de fer vicinaux 2» R la constitution d'une Société Na tionale d'électricité. La commission, se ralliant R l'avis des délégués de la West-Flandre laux réunions' visées, eslime que cette dou- lement vrai que 'tantót encore notre ble question n'est pas du domaine d'une j norable collègue, M. Goethals, lx délibération collective des conseils pro- vinciaux chaque conseil doit exami ner isolément pared voeu. Le conseil adopte d'urgence les con clusions de ce rapport. M. Quatannens fait rapport sur le budget du fonds provincial d'agricul- ture pour l'exercice 1911. Ce rapport sera discuté R la suite de l'ordre du jour. M. Carpentier, au nom de la 3° com mission, fait rapport sur la proposition d'inscrire, au budget provincial, un cré dit qui permette d'encourager les cais ses de prévoyance contre le chómage Involontaire, L'honorable rapporteur félicite d'avoir été un des signataires de cette proposition, qui a obtenu le puis sant appui de M. le gouverneur et la bienveillance de la députation perma nente. Celle-ci propose Tinscription d'un crédit de 3.000 fr£ La commission con- clut R l'adoption de cette proposition. Ce rapport sera discuté R la suite de l'ordre du jour. M. Masureel fait rapport sur le coïnR- te general des1 fonds provinciaux de l'exercice 1908. Ce cempte est appreuvé, f a veraines même les riverains des ruis- seaux, tributaires de la Mandel, en éprouvent les inconvénients. C'est tel- ho- bour- mestre de Meulebeke, me disait que le Deeve-Beek, qui se jette dans la Mandel, occasionnait des inondations. Le remède R ce mal est indiqué. De puis 1898, M. Troost, ancien directeur général des pohts et chaussées, l'a fait connaitre. II consiste dans 1'abaissement du plan d'eau de la Mandel. Seulement, eet abaissement ne peut être obtenu que si, préalablement, le plan d'eau de Ja Lys est également pbaissé. M. Troost préconise cette solution et le gouver nement promet la rectification du cours d'eau. Chaque année il s'élève au con seil des voix pour réclamer l'exécution de ce travail. Et quand la députation permanente pressait le gouvernement, celui-ci se disait animé des meilleures intentions. Seulement, depuis 1905, il fait la sourde oreille, Les circonstances m'engagent R de- mander R la députation permanente Une nouvelle démarche, que, je n'en doute pas, M. le gouverneur appuyera avec sa bienveillance lfabituelle. [Trés bien! trés bien!) M. le gouverneur. La Mandel et l'Es- pierre ont Souvent provoqué ici des re criminations justifiées. Je m'en souv- viens du temps que je faisais partie de votre assemblee, presque chaque an née. ,M. le baron Frédéric de Crombrug- ghe se plaignait des débordements de ia Mandei et M. le baron del Fossett'Es- pierre de l'infection de l'Espierre. Ces deux questions sont done aussi désolan- tes qu'anciennes. II y a cependant une différence la question de la Mandel a un avantage elle est plus facile R ré- soudre, puisque le remède est connu. Le remède connu, ce n'est plus qu'iine question d argent. Le gouvernement a pour devoir de la résoudre le plus tót possible. Je crois pouvoir me dire l'in- terprète de la députation permanente tont entière, en promettant R votre re clamation l'appui le plus dévoué du col lége, y compris celui de son président. M. Carpentier remercie M£ le gouver neur de sa rénonse. Ainsi appuyë, nous pouvonS espérer voir aboutir bientót une revendicalion si légitime et obtenin une satisfaction qui ne souffre plus de remise. I (La suite au prochain numéro.) jP fP ff fP AU BON MARCHÉ, Rue Neuve, BRUXELLES. Les nombreuses demandes que nous avons revues de notre clientèle de Bruxelles et de Province, nous ont décidés de pro- longer notre mise en vente jusqu'au jeudi 14 courant. M A* subis par les anciens élèves du Collége St Vincent a Ypres. Session de Juillet. M. Mauiiee Decaestecker d'Ypres, a subi avec succès l'examen de caadidat en scien ces DRturelles préparatoire a la médecine (lr« éprtuve. M. Georges Cuvelie d'Ypres, a subi avec uccès le deuxièine examen de candidat en p'atlosrphie et lettres préparatoire au droit. M. Prosper Beheyt de Moorsl de, a Bubi avec succesje deuxième examen de candidat ea sciences naturelles préparatoire a la médecine. M. Maurice De Jaegere d'Ypres, a passé, avec distinction, le premier exameu de can didat en philosophic et lettres préparatoire au droit. M. Léon Morel de Houthem lez-Comines, a passé avec grande distinctionla première épreuve de l'examen de lici-ució en sciences comm rciales et consulaires. EXPOSITION DE BRUXELLES. TOMBOLA. Gros lot 200,000 francs, con- vertissable en espèces. Tirage prochain. Prix du billet 1 franc. i Les chiens viennent a peine d être délivrés de leurs muselières, quand nous arrivent coup sur coup la nouvelle d'un détès dü a la rageR Bruges et l'annonce d'un nouveau cas de rage canine a Gheluvelt. Le chien du fermier Keslelyn, de Ghelu velt, qui présentait des symptómes alarmant, fut abattu après qu'il eüt mordu nombre de chiens de la region. 11 aurait même erré jus- que dans la banlieue de Courtrai. L'analyse fade d'abord par M. Caenepeel, directeur de l'abattoir, et ensuite par le personnel de l'in- stitut Pasteur, révéla tous les symptómes de la rage. La vie d'un homme vaut plus que celle d'une légion de chiens, et plutöt que de voir se reproduire encore la plus effrayante des morts par le fait de la rage, il serait temps de rendre obligatoire en tout temps le port de la muselière. Cette mesure, de toute prudence, puisqu'il est suffisamment prouvé que le chien est un animal dangereux, aurait peut- être aussi pour effet de fiire passer l'engoue- ment un p< u exagéré pour les chiens. La sécurité et l'hygiène publiques n'auraient qu'a gagner a voir diminuer considérable- ment le nombre de nos matous Par arrêté Royal du 28 Juin 19IO, Meersseman Edmond, est nommé sous- lieutenant au corps de sapeurs-pompier8 communaux d'Hoog'ede, en remplacement du fous-lieutenant Van Coillie, décédé. Par arrêté Royal du 29 Juin 1910. Costeur Henri est nommé vice président du conseil de prud'hommes d'Ypres. f* 11 flt Visitez dans la Section beige d'alinier® tation (Grand Palais) le Stand de la So ciété en nom colleetif ADQLPHE DEL- HAIZE et Cie (voir plus loin annónce-!' A v SU Mi Mi Mi Mi Mi

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1910 | | pagina 2