m im m m m m m. mm# m m w m m m m mmmmm mmmm mmmmm jyème (]ongr£s International m ai m m m m m a* m s# mm föfc' 1» m m m Au patronage St-Pierre Encore un Congres a Ypres Le Congrès international de l'Art public a Ypres d'Art Public Programme des voyages et Festivités Actes officiels imbre argentia, que la mort a fait un pas vers nous, et que nous nous enfoncons d'au- tant dans las ténèbres de la terre.La nature, moins cruelle, procédé par nuance et nous mène par gradations insensibles de l'aube au crépuscule. C'est nous-même qui avons ac- 1 oentué la marche du temps, ea imaginant, arec notre esprit mathématique, ses divi sions et ses subdivisions. Au palais aussi bien qu'a la cbaumière, l'horloge mesure a chacun les plaisirs et les peines. Cet effray- ant meuble, debout dans un angle de la chambre, comme un intendant de la mort, tieat compagnie aux enfants et aui vieilles geas qui ne songent guère a sa fatalité. Beaucoup portent sur leur poitrine une petite montre de métal qui fait entendre son froid tic tac, non loin de ce coeur de chair et de sang autre mesureur de la vie agité de nos joies et de nos chagrins. Mais, d'une part, c'est le temps inexorable con$ue par notre pensée de l'autre, le temps modifia ble qui vit en nous et forme une qualité de notre être. Nous pouvons retarder ou préci- piter les pulsations de notre coeur mais ses ressorts seront un jour brisés, en présen- ce d'un balancier insensible. Entretemps, nous vivons de confiance, étourdis que nous sommes par le tourbillon des choses passa- gères qui nous enveloppent. Notre corps est avide de jouissances notre coeur est avide demotions notre es prit est avide de gloire. Nature insatiable, l'homme voudrait a, lui seul absorber la vie du monde, et tel est son aveuglement, que dans cette succession de sentiments si di vers, il ne reconnait pas l'aiguillon de la mort et ne daigne pas prêter l'oreille a l'hor loge du temps qui bat au fond de sa poitrine. Ce condamné a mort croit échapper a sa peine et il oublie la terrible parole In pulverem rerertem.Grandissant sans educa tion spirituelle, il n'a jamais réfléchi a l'étrange accouplement de Fesprit et de la matière, du jour et de la nuitc'est avec irréflexion que son 9me »e livre a ce corps qui l'opprime, et quelle s'ingénie a lui plai- re. Et elle ne recueille que troubles et malaises; preuve que nous sommes nés pour une vie autre que celle que nous vivons ici- bas. Pensons y bien l'homme n'est jamais plus grand que lorsqu'il s'agenouille devant l'lufini, car, un jour la sollicitude jrègnera autour de chaque créature qui vivaitenchan- té dans le cercle de ses admirateurs. Homo pulvis est. Et quand l'heure suprème aura sonné.eera seul heureux celui qui évoquant son passé y trouvera un motif d'espérance, que dis-je, de certitude d'un bonheur sans fin. L'éducation du jeune ouvrier est loin d'etre accomplie lorsqu ils quitte les bancs de l'e'cole elle exige cette époque des soins particulier». En general les parents ne sont pas a même de suffire a cette tache. Au moyen-age, l'Eglise y a travaillé par l'organisation de l'apprentissage dans les corporations de mé tiers. De nos jours, Elle y pourvoit par la création d'autres institutions d education et notamment par l'organisation de patronages. A cöté du but récréatif, ces patronages ont done pour mission de développer l'intel- ligence et de former le caractère, e'est-a-dire, de préparer les jeunes gens, tant au point de vue du corps que de l'esprit, a la vie reli- gieuse, morale et sociale. L'oeuvre des patronages existe a Ypres de- puis de longues anne'es. Elle groupe l'élite de notre jeunesse ouvrière en deux cercles floris sants, pourvus de locaux spacieux et pour- tant trop peu connus et trop peu encouragés. Ses membres, les plus agés et les plus dignes sont congréganistes de la Sainte Vierge, c'est pourquoi on les dénomme communément «Congrégations de St-Maitinet de St-Pierre». C'était, dimanche dernier, grande fête au Patronage St-Pierre. La jeunesse chrétienne de cette populeuse paroisse y célébrait la fête patronale de son dévoué directeur, M. le Vicaire Leys, au milieu d'un nombreux con cours d'amis et d'anciens congréganistes. Quelques autorités religieuses et civiles avaient fait acte de présence pour prouver toute leur sympathie au vaillant prêtre et a ses jeunes collaborateurs. C'est a la chapelle, devant l'autel de la Ste-Vierge, brillamment illuminé, qu'eüt lieu la touchante cérémonie en l'honneur du héros de la fête. C'était de la part de cette jeunesse sincere, un hommage de reconnaissante amitié envers celui qui se dévoue tout entier a leur bonheur. Les festivités continuèrent a la grande salie de récréation bien ornée et transformée en salie de théatre. Une soirée musicale et dramatique, trés bien ordonnée, fit la joie des nombreux assistants. Musique instrumentale et chants d'une virilité toute flamande furent trés bien exécutés. La comédie, inspirée par la lutte contre l'alcoolisme, eüt un vif succes tant pour sa haute portée morale que pour son interprétation. Nous félicitons cordialement les congré ganistes de St-Pierre pour le grand succes de leur fête. Puissent-ils se grouper de plus en plus nombreux autour de leur digne Direc teur et se préparer ainsi aux devoirs impor tants qu'ils auront a remplir plus tard comme chrétiens et honnêtes concitoyens. A. 'J*. 'Jï> Conseil communal Séance du samedi 24 septembre La séance est ouverte a 5 heures et quart. Présents M. Colaert, bourgmesire, prési dent; MM. Fraeijs et Vandenboogaerde, éche- vinsFiers, Vanderghote, D'Huvettere, Iweins d'Eeckhoutte, Lemahieu, Biebuyck, Begerem, conseillers Vanderdonckt, secré taire. Absent M. Sobry. Le proces-verbal de la séance précédente est lu et approuvé. En comité secret de cette séance, le Conseil a nommé M. Arthur Gar- rein comme sous-instituteur a l'école primaire adoptée. j. Propriétés communales procés-verbal de vente de noix. Le produit de cette vente ne s'est élevé qu a 5*5 frs il avait atteint 863 frs en 1909. Le chiffre de cette année est inférieur a celui des années précédentes et n'a pas été aussi bas depuis une quinzaine d'années, a l'ex- ception de l'annee 1908. La pénurie de noix en est la cause. Approuvé. 2. Propriétés communales Vente de terrain demande d'acquisiton de gré a gré. M.le président. II s'agit de deux terrains de forme triangulaire d'une contenance totale de 328 metres carrés, situés, l'un, chaussée de Poperinghe.et l'autre, boulevard de la Station, confinant tous deux a la pro- priété ayant appartenu a la familie Burgho, et récemment acquise par M.Jules Moncarey. Ces terrains ne peuvent convenir qua ce der nier il n'y a done pas lieu de procéder a une adjudication publique. Le prix de 7 fr. 5o le mètre carré, que nous proposons pour la vente de gré a gré, est supérieur a celui qui a été payé pour le terrain acheté a la familie Burgho. Approuvé. 3. Acquisition d'une machine pour le service de la distribution d'eau clause de garantie. Cet objet est retiré de l'ordre du jour paree qu'il nécessite un complément destruction. II en est de même pour le n° 5 Ecoles gar diennes budjet pour igu et pour le n° iJ Hospices civils cession de droits de co-propriété a un passage donnant acces a l'asile La Bourse 4. Ecoles primaires budgets pour igu. Le budget de l'école communale de filles s'équilibre a la somme de 4075 fr celui de l'école communale gratuite pour garcons,dite Looye, a 14.675 fr. celui de l'école commu nale gratuite pour filles a 10.800 fr. et celui de l'école de garcons adoptée, dite de Saint- Louis de Gonzague, a 12.400 fr. au lieu de 12.600, chiffre de l'année dernière. Approuvé. 5. Culte Travaux de reslauration et d'exhaussement de la tour de l'église St-Jacquesprocés-verbal d'adjudication. La députation permanente n'a pas approu vé la délibération par laquelle la fabrique de l'église Saint-Jacques avait déclaré adjudica- taire M. Vandekerkhove, d'Ingelmunster. La fabrique d'église a dü s'incliner et dans une nouvelle délibération elle déclare adju- dicataire M. Victor Caron, entrepreneur a Ardoye. M. Begerem. Nous n'avons qu'a sou- haiter que ce nouvel adjudicataire exécute aussi bien son travail que celui qui avait été choisi en premier lieu. Avisé favorable- ment. 6. Culte Buget ign de la fabrique déglise de St Martin. M. le Président. Ce buget s'équilibre a 144,692 fr. 31Les dépenses extraordinaires, occasionnées par les travaux de restauration, s'élèvent 132,745 fr. 92. Nous espérons que nous pourrons bientöt commencer la restau ration de l'ancien couvent des Pauvres Clai res. Les congressistes, qui ont dernièrement visité ce monument, ont tous été unanimes a reconnaitre son importancearchéologique.Le Congrès international d'Art public fera une excursion a Ypres,le 11 octobre prochain, et j'espère que M. Beernaert, qui préside ce congrès, accompagnera les congressistes. Approuvé. 7. Culte budget de ign de la fabrique d'église de Saint-Nicolas. Ce budget s'élève en recettes et en dépen ses a 7.7175 fr. 06. Approuvé. 8. Ecole ménagére budget igiz. M. le Président. Les recettes et les dé penses s'élèvent a 5.220 fr. Une demande d'augmentation de traitement d'une institu- trice nous étant parvenue, je demande de re- mettre le vote après la réunion a huis clos. g. Bureau de bienfaisance Répartilion de sa contribution dans I'instruction gratuite, année igog-igio. La part d'intervention du bureau de bien faisance dans les frais d'écolage des enfants ayant droit a l'instruction gratuite s'élève a 11.960 fr. Le nombre des enfants ndmis gra- tuitement se répartit comme suit Ecole communale de garcons, i83. Communale de filles, 189. Ecole St-Louis de Gonzagne,357. Ecole St-Michel, 148. Ecole de filles de Ste Marie, 324. Ecole de N.-D. de Thuyne, 128. Ecole St-Joseph, 68. Ecole du Verlorenhoek, 98. Au total 1.475 élèves. Approuvé. 10. Messageries Service entre Courtrai et Ypres. Une demande a été faite par MM. Henri Beghein et Henri Desplanches. Ce service se ferait par Bisseghem, Menin et Gheluwe. La députation permanente statuera. Ap prouvé. 11. Hospices civils Location de biens ruraux. Les Hospices sollicitant l'autorisation de mettre en location publique une pêture gras- se que le locataire actuel ne désire plus occu- per. La location de différents biens ruraux a donné une augmentation assez sensible. Les prix anciens étaient de 27.623 fr. 19 les prix nouveaux ont atteint 29.163 fr. Approuvé. La séance publique est levée a 6 heures. Notre ville a eu le privilege et la bonne fortune d'être honorée cette année de la visite de plusieurs congrès. Après le congrès de droit pénal ce fut celui de l'éducation fa miliale, qui tous deux en amenant a Ypres leurs adhérents avaient principalement en vue de leur faire voir l'Ecole de bienfaisance de l'Etat. Plus modeste, mais non moins in téressante pour les yprois, fut ensuite l'assem- blée générale que le Cercle des études historiques de Bruges tint au milieu de nous il y a quelpues semaines. Mais a tous égards le plus important de tous sera le IV8 congrès international d'Art public qui tiendra ses assises aux Halles le mardi n octobre, sous la présidence de M. Aug. Beernaert, ministre d'Etat. Ce congrès est placé sous le haut patronage du Gouvernement beige et de 22 Etats d'Eu- rope et d'Amérique. Le comité organisateur se compose de MM. Eugène Broerman, di recteur de la Revue internationale d'Art public, Cyr. Van Overbergh, directeur gé- néral au ministère des sciences et des arts, H. Carton de Wiart, député, Frans Cour- tens, artiste peintre, Jules Le Jeune, ministre d'Etat, le lieutenant général Nioitte, Mgr le due d'Arenberg, Alexandre Braun, sénateur de Bruxelles, Vimjotte, sculpteur, etc. C'est avec raison que les organisateurs du Congrès écrivent que cette journée du 11 octobre est réservée a un voyage et a une séance qui laisserent une empressioa profon- de, surtout chez ceux des congressistes qui n'ont pas encore vu les Halles d'Ypres, mo nument unique du XlIIème siècle. C'est ajoutent-ils, la première et la plus belle ar chitecture civile de l'Europe Occidentale et elle constitue en son émouvante simplicité le plus grand enseignement d'Art public dont nous puissions offrir le spectacle a nos botes et amis des divers pays. Le programme de cette journée comporte: la réception a l'hotel de ville, la visite des Halles, de l'église et du cloitre Saint-Martin, l'assemblée générale et le déjeüner dans la salie Pauwels, enfin uu concert de carillon. A l'ordre. du jour de l'assemblée générale se trouve la question suivante la sauvegar- de l'Enseignement d'art public du passé et les devoirs qu'il impose aux pouvoirs publics. Dès a présent nous souhaitons la bien- venue aux nombreux hommes d'Etat, arché- ologues, savants, artistes et hommes de lettres qui seront nos hötes pour quelques heures et viendront vénérer les merveilleuses reliques d'art que nous a léguées la passé. i s i -i él J Sol- Mus par la même pensée qui a fait repré- senter des tragédies antiques dans des ruines grecques ou romaines, ou des drames histo riques dans les vestiges d'une abbaye du moyen-êge, les organisateurs de ce Congrès ont décidé de tenir leurs séances dans le cadre d'exemples pour chacun des grands sujets de ses délibérations. C'est ainsi que pour traiter de la Sauvegar- de des Patrimoines d'art, la Commission n'a pas hésité a tenir une séance dans les Halles d'Ypres, le specimen a, la fois le plus ancien et le plus accompli de l'architecture civile de l'Europe Occidentale. En son émouvante simplicité, ce monument unique offrira aux congressistes le plus grand enseignement d'art public. La réunion de la veille aura lieu dans la grande salie du chateau des Comtes de Flandre a Gand, qui, par lui-même et par sa restauration, est d'un exemple merveilleux. On se souvient que ce précieux morceau d'architecture du XI8 siècle était voué a la démolition, et que c'est grace aux démarches incessantes des artistes et dis archéologues, comme aussi par les polémiques soulcvées par la presse, que le plus ancien chateau de Belgique et le plus vénérable par son histoire fut sauvé de la destruction. On est ému quand on songe que de tels vandalismes ont été sur le point d'être commis a une époque aussi ré cente, et pourraient encore être consommés si, un peu partout, des hommes éclairés et de'voués ne venaient entraver Faction néfaste des démolisseurs. Ce souvenir que nous venons de rappeler a fait songer qu'il importait non-seulement de régénérer esthétiquement nos moeurs et d'in- fuser a l'enfant des notions d'art autant que de sciences ou de littérature, mais aussi de renforcer la compétence artistique de nos administrateurs. Alors on ne verra plus, comme le fait vient de se produire a Mont- chauvet, dans le département de Seine-et- Oise, une municipalité, d'accord avec le pré- fet, ordonner le dynamitage d'un clocher roman du XII8 siècle, dynamitage qui pro- voqua la ruine de l'église entière. Nos concitoyens, que les questions d'art ne laissent généralement pas indifférents, verront avec fierté notre palais municipal servir momentanément de centre de réunion de l'QEuvre de l'Art public. L'internationalité du congrès élargit la portée sociale de cette oeuvre, et les mémoires qui y seront présen- tés, comme les voeux qui y seront émis, attireront l'attention des esthètes du monde entier. La notoriété, déja mondiale de nos Halles, s'accroit encore par de telles assemblées, et nos autres monuments, moins connus a l'etranger, quoique trés remarquables, seront de plus en plus visités. Après les excursions précédentes du congrès de droit pénal et du congrès de l'éducation familiale, la journée du 11 octobre prochain viendra encore ajouter son appoint considerable a la réputation ar tistique déja si considérable de notre cité. Laissons les esprits mesquins critiquer les dépenses que peuvent occasionner de telles réunions. La semencejetée maintenant ger- mera plus tard et portera de beaux fruits. On s'étonnera peut-être un jour, comme a Bruges on s'en est déja étonné, du chiffre élevé des visiteurs, et alors on se réjouira en constatant le fruit qui en résulte. Les deux villes soeurs, Bruges et Ypres, ont été dé- crites dans un même ouvrage par un critique éminent, M. Henri Hymans, en même temps qu'il les classait en tête de la collection dite des Villes d'art célèbres. Depuis ce mo ment, 1 evolution artistique de notre cité a fait un grand pas, et notre administration a fait plus que n'importe laquelle du pays, pour soutenir cette réputation d'art. Les principaux monuments sont en voie de restauration, tandis que, pour d'autres, les projets sont a l'étude ou attendent seulement leur exécution. Dans un nombre d'années tres rapproché, notre ville pourra done se flatter de posséder des monuments de tout premier ordre dans un état de parfait entretien. Les sommes considérables qui auront été dépensées pour arriver a ce résultat constitueront le plus beau placement dargent possible pour une admi nistration, car ce seront les administrés eux- mêmes qui en toucheront les intéréts élevés. (8, 9, 10, ii et 12 octobre 1910) Programme des questions inscrites d l'ordre du jour LJ lil Ij Sauvegarde des Sites et des Patrimoines d'Art Conservation des cités, de quartiers et monuments du passé. La réclame profanatrice de la physionomie historique des villes. Conservation des monuments technique. RestaurationsDégagements. Conservation des patrimoines d'art mobi- liers. Organisation de musées historiques et leur enseignement national. Organisation de musees d'inventaires d'ait public et leur enseignement national. Conservation des traditions d'art populaire, moeurs, costumes, musique, chants. CAMPAGNES Conservation des beautés naturelles et des architectures du passé. Conservation des patrimoines d'art mobi- liers. La mutilation des sites par les lignes et stations vicinales, les ponts, les exploi tations industrielles, les constructions modernes, les installations télégraphiques, la réclame. Moyens d'empêcher ces mutilations. Evolution artistique Créations et transformations cités, quar tiers, boulevards, jardins, places, rues. Edifications monumentales nouvelleshotels de ville, églises, höpitaux, gares de che- mins de fer, musées, écoles, services publics, commémorations, etc. Objets d'utilité publique décorant la rue. Installation des progrès de la science et de l'industrie par les services publics. Ameublement de décoration des monuments publics. Maisons de commerce, magasins, maisons ouvrières. La réclame enlaidissant les villes. Le théatre populaire, des spectacles et des fêtes de plein air. La mode et le costume moderne, les véhi- culesantomobiles, etc. Les nouvelles communes rurales, plans réalisations. Cités-jardins, routes, ponts, établissements industriels, chateaux, villas, fermes, babi- tations ouvrières, au point de vue de leur physionomie artistique homogène dans le paysage. Culture esthétique Hygiène artistique et esthétique de l'ensei- gnement général aux divers degrés. Le dessin a la base des matières scolaires. Exercices physiques et manuels. Les projec tions lumineuses la cinématographie la décoration temporaire des classes plantes, estampes, etc 1 illustration des livres et des cahiers les devoirs les excursions scolaires les jeux scolaires les fêtes et les cérémonies scolaires. L'Ecole dans la Nature. Education artistique professionnelle. Moyens. Ecoles professionnelles corpora- tives brevets de maitrise. ire jour. Samedi 8 octobre. Le matin visite de l'Exposition d'art public Séance solennelle d'ouverture du Congrès. l'Après-midi excursion Groenendael et a la forêt de Soignes. 2eme jour. Dimanche g octobre. Le matin visite de l'Hötel de ville de Bruxelles et du marché de la Grand'Place. Voyage a Gand séance au Chateau des Comtes, réception a l'hotel de ville, visite des principaux monuments. 3eme jour. Lundi 10 Octobre. Voyage a Anversvisite de la cathédrale et du musée Plantin réception k l'Hötel de ville et séance en la Salle Leys. Raout a l'hotel de ville. Concert de carillon par Jef Denyn. qerae jour# Mardi 11 octobre. Voyage a Ypres réception a l'hotel de ville visite des Halles, de l'église et du cloitre Saint-Martin assemblée générale et déjeüner aux Halles concert de carillon. 5cme jour. Mercredi 12 octobre. Visite de l'Exposition d'art ancien au Palais du Cinquantenaire assemblée géné rale et banquet de cloture au nouvel hotel de Saint-Gilles. (Bruxelles) Renseignements La cotisation est de 10 fr. pour les Mes> sieurs et de 5 fr. pour les Dames. Elle doit être adressée par mandat postal a» lieutenant-ge'néral Ninitte, chaussée de Vleur gat in, Bruxelles. La cotisation de 5 fr. ne donne pas droil aux rapports, et compte-rendu du congrès. Décoration civique. La médaille de 1" classe a été décernée, par arr. r. du 19 sept a M. Hillewaere (A.), membre du bureau de bienfaisance de Merckem par arr. r. du 1 sept., aM. Proot (H.), bourgmestre d'Hoog" staede. Travaux. La restauration des feuêtre' de 1 église de Dickebusch est autorisée PaI arr. r. du 6 sept. Des subsides sou' allouée8 aux communes suivantes, P"0' l'exécution de travaux de voiiie viciu^ (arr. r. 30 aoüt) Moorslede, 30,000. Watou, 10,000. Dranoutre, 2,000. Wei'vicq, 3,000. Moorslede, 150,000. Armée. Promotions. Par arr. Lja 26 sept sont nommés Lieutenant, le s0llS lieutenant Verspreet (J.), du 3* de lig»6 Bous-lieutenants, les sergents-majors zen (J.), et Toussaint (L.), du 3e de lig»0' Armée. Par arr. r. du lr Octobre, déchargé des fonctions d'officier d'armei»^1 le capitaine en second Jones, F.-J.'^" 2' régiment de lanciers, chargé de 1 nistration de l'escadron des subsistaoceS l'école d'équitatien. ■SU 1 'JÜJ LSU S) i JSilJ -3XJ •^8É Wel Wat imk Wa lom WlÉ I"SECTION VILLES 2* SECTION VILLES CAMPAGNE Les édifkations nouvelles et les travaux de l'Etat et des communes préservation des sites. 3e SECTION L'ECOLE ET L'ENSEIGNEMENT Emplacement des écoles architecture dis- positif et aménagement des locaux mobi- lier et décoration permanente.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1910 | | pagina 2