GRAND CONCERT
Téléphone 52
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Téléplione 52
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Samedi 17 Décembre 1910
10 centimes ie N°
45 Anaée
N 4660
par la Fanfare Royale
m M
t*. at at at 3Ê 2* s# Wi s«
Cercle Excelsior
La öouillère
Instructions Episcopales
La Lecture
Staodiana
Pensées diverses
Un Musée utile
WL-
Ni
On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, et
Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine.
Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays
pour l'étranger le port en sus.
Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre.
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10 francs les cent exemplaires.
Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adresser 1 l'AgtH&è
Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse.
SALLE I WE INS
offert aux Membres Honoraires
Dimanche 18 Décembre 1910
a 7 1/2 heures,
60US la direction de Monsieur ARSCH0DT
avec le bienveillant concours de
Mademoiselle VANDEN BERGH
Cantatrice, Professeur de Chant
Monsieur VERLINDEN
Baryton
Monsieur VAN HULLE
Flütiste
MM. VANH0UTTE WENES
Pianistes-accompagnateurs.
PROGRAMME
Première Partie
1. a) Modern-March Alb. Van Egroo.
b) Keizer Tiberius,
ouverture Jos. Yander Meulen
2. Rêve d'Elsa, par MeI1®
Van den Bergh Wagner
3. Concerto en sol pour fiüte,
par M.Van Hulle Mozart
4. Le Rêve du Prisonnier,
pour baryton, par
M. Vertinden Rubinstein.
b) Valse de la Veuve Joyeuse
pour Fanfare Franz I.eiiar
Deuxième Parlie
1. Fantaisie-Bullet
cour Fanfare L. Moeremans
2. L'Ombre, par M. Ver
baden Flotow
3. Fantaisie Pastorale Hon-
groise, pour flüte, par
M. Van Hulle Fr. Dopfler
4. a) Vers le Rêve Jane Vieu
b) Aut imne Gina de Aranjo
c) N'effrayons pas les
tourterelles, par Melle
Van den Bergh Mélant
Piano DERDEYN de Roulers.
SALLE IWEINS
Mercredi 28 Décambre
(au lieu de Mardi 27 Décembre)
conférence par M. J- Bouyaccompagnée
de projections lumineuses d'après les célè-
bres clichés de M. Marussiaux, ancien
président de l'Association Belg© de Pho
tographic.
concernant le Décret papal sur Vage oh
enfants doivent être admis h commu-
nier.
(Suite ét 'fin)
1° Le clergé paroissial organisera, Clia-
fiue atinée, a l'éppque óii avait beu jus-
rIu'a présent la première communion,
hitte communion générale des enfants.
Seul le clergé paroissial est autorisé
;i l'organiser dans les paroisses.
2° L!es supérieurs et supérieures des
hiaisOns d'education organiseront de taié-
chaque année, a l'intention de leurs
clèvesj uine communion Solennelle.
3° La cérémonie sera precedee d'une
^traite. 1
L'e jOufi de la solennité, les enfants
1 enOuvellerOnt publi'quement les pro
messes du baptême et se consacreront
'a Trés Sainte Vierge Marie.
4° L'e décret Quam singulari Chris
tus amorein'exige de 1'enfant, avant sa
première communion privée, qu'une in
struction religieuse rudimentaire. Mais
la religion chrétienne et FEglise impo
sent a tout hoinme l'obligaition grave de
cOnnaitre dans son ensemble et aussi
bien qu'il le peut la; doctrine chrétienne'.
L'enfant qui a étë admis a oommunier a
clointracté envers Notre-Scigneur Jésus-
Christ, qui a daigné se donner a lui
dalns la Sainte 'Communion, une obliga-
tioln nouvelle de reconnaissance et (Ta-
miour de mieux connaitre et de mieux
pratiquer ses divins enseignements.
Aussi le décret pontifical rappelle-t-il
ave'e instance a tous ceux a qui incOtm-
be la responsabilité de l'ëducatioon 'de
1'enfance, que e'est pour eux un devoir
trés grave de faire fréquenter par les
enfants qui ont dé ja communie en parti
culier, les lefoins publiques du catéchis
me. 1
Ein (consequence, les 'cur'ës ne pourront
admettre A la première communion $o-
incendie a demi éteint, que le moindre
souffle peut rallumer. On éveille cette passion
on lui donne un aliment, on endommage
l'ême a l'endroit le plus faible, Ie plus sen
sible, le plus facile a blesser.
En conscience on ne peut lire tel livre en
apparence honnête qui gradue avec un art
savant les émotions du mal, qui cache les in
trigues de la convoitise sous les charmes de
la littérature, qui sème quelques fleurs pu-
diques surlafange la plus impure.
Qu'importe que la coupe soit bien ciselée
si elle contient du poison... que le poignard
soit émaillé de pierreries, s'il doone la mort
Les livres débcatement immoraux sont sou
vent plus dangereux que les livres grossière-
ment obscènes. Cette jeune fille embelbs-
sait par son innocence la maison de son père.
Elle perd en un jour sa candeur, sa modestie,
sa gaieté, la grace de son sourire, le charme
de son Age. Qui lui a done ravi tous ces
biens Un mauvais livre que vous avez cru
inoffensif, et qui a ravagé son ame virginale
Ce jeune homme était l'espoir de sa fa
milie il en est devenu l'opprobre. Et de-
lönnelle, que les en fail Is qui auront 'fr'é- puis quand Depuis qu'une coupable curio-
sité lui a fait ouvrir un livre douteux qu'une
coupable insouciance d'un père avait laissé
entre ses mains. Cette jeune femme a mé-
connu ses devoirs les plus sacrés. Qui l'a
perdue Un livre tien écrit mais malsain, un
roman perfide bien qu'il soit a la mode, un
volume tombé de la plume élégante et legére
d'un écrivain non moins. homicide que
distingue.
En conscience on ne peut pas lire ce livre,
cette revue, ce journal qui distillent Virréli-
gion pire que l'immoralité.
Les écrits impies sont plus dangereux que
les écrits immoraux. Les écrits immoraux
corrompent les moeurs, mais les écrits impies
corrompent les idees. Le mal qu'ils font est
plus intense, plus profond, plus irrémé-
diable. I Is enseignent que Dieu n'est qu'un
mot, l'enfer une fable, la mort un saut dans
l'ombre, 1 éternité une chimère. Ils ébranleat
la religion, la familie, la propriété, la société.
Ils préconisent le divorce et ils tournent en
ridicule la fidélité de l'épouse. Ils vilipen-
dent nos sacrements et nos cérémonies, le
sacerdoce et la vie monastique. Ils disent sur
tous les tons que le grand et unique péril des
temps modernes, c'est le catholicisme, avec
ses miracles inventés a plaisir, sa morale
intransigeante, ses dogmes surannés, ses in
stitutions vieillies,... et que partant il faut
bannir le catholicisme de la société, ou tout
au moins l'enchalner, le murer dans ses sa
cristies oü ne pénètrent ni la lumière ni .'.air
de la liberté.
Telles sont les idéés bêtes et méchantes
que la presse irréligieuse jette dans l'ame de
la foule. Tout ce qui s'élabore de haine et de
mensonge au sein des hautes régions de la
littérature et de l'intellectuabsme contempo
rain est destine par le livre, par la revue, par
le journal, a se répandre partout, en suivant
les degrés moyens et les degrés inférieurs de
l'esprit publci. Aujourd'hui, nous trouvons
dans la langue populaire tous les sophismes
des beaux-esprits du i8m° et 19™® siècle. Au.
jourdhui, un commis-voyageur, un agent
electoral, argumente et blasphème avec assu
rance et avec la méthode d'un libre penseur
instruit. Qui a fait cela Qui détraque les
cervelles en y creusant des sillons violents et
en y semant des idéés fausses et antichré-
tiennes La presse, la presse irréligieuse.
On n'a done pas le droit de tout lire. Com-
me nous l'écrivons plus haut, de par le
simple droit naturel est interdit tout livre et
tout journal dont la lecture peut causer un
dommage a l'ame, tout livre et tout journal
dont la lecture peut détruire ou même sim-
plement altérer la vertu ou la foi. Qui aime
le péril, y périra.
Les prétextes ne manquent pas aux parti
sans de la liberté de tout lire. Mais quelle
fausse idéé ils se font de la liberté Ils s'ima-
ginent que la liberté est absolue, souveraine
mdépendante, qu'elle ne relève de rien ni de
personne, qu'au dessus d'elle il n'y a ni Dieu
ni maitre. C'est absurde. Au dessus de notre
queuté fdurant deux années Ru moins.
le catéchisme paroissial.
Chaque évêque déterminera, pour son
diocese, Tage auquel les enfants 'fréquen-
teront Ce catéchisme. "(1).
A l'intention des enfants qui ont atteint
DAge de discretion mais 11'ont pas encore
oommuirué, le clergé 'établira un Caté
chisme spécial.
A eet effet, tous les deux njois, h l'oc-
casion de la confession générale des 'jeu-
(nes enfants, il Hon nera durant trois
jours; un catéchisme sur les notions les
plus fondamenlales de la! religion chré
tienne et sur la Sainte Eucharistie.
A cette occasion, les parents, le caté-
chiste et le confesseur pourront plus
aisëment juger quels sont les enfants
admissibles a la communion priVée.
Le Décret Quam singulari Christus
amoresera lu aux fidèles cliaque an-
inëe, le 4P dimanche du 'Carême.
Et sera la présente lettre pastorale lue
en ehaire, a toutes les Messes, dans les
ëglises et oratoires publics de notre Dio
cese, en jdieux ïois les lr et 2'"c Diman-
ches de 1'AvCnt.
Dioinnë h Bruges, le '18 Novembre 1910.
t 'GUSTAVE-JOSEPH,
Evêque de Bruges.
Par ordonnance de Mgr. Vévêque.
A. C. DE SC REVEL, ChRn.-Secret,
C'est un fait notoire que la mauvaise presse
est chez nous, a l'heure présente, un instru
ment de corruption et d'irréligion. Cependant
il n'est pas rare d'entendre des hommes, des
femmes, des jeunes gens qui revendiquent
tout haut le droit de porter leurs lèvres a
cette coupe empoisonnée et qui disent sans
hésiter nepuis-je pas tout lire 1
Qu'il soit permis au correspondant
pieux du Journal d'Ypres, comme m'ap-
pelle le Progrès, de présenter quelques ré-
flexions sur ce grave sujet.
Ne puis-je pas tout lire Certes non
VOUS NE POUVEZ PAS TOUT LIRE.
De par le simple droit naturel, est interdit
tout livre et tout journal dont la lecture peut
causer un dommage a l'ame.
En conscience, vous ne pouvez lire ce
roman grossier et obscene qui n'est que
l'histoire et le tableau de toutes les infamies,
qui emprunte l'argot des mauvais lieux pour
se tenir a Ia hauteur des mauvaises moeurs,
qui ne réussit auprès du public que paree
qu'il flatte et encourage les inclinations dé-
pravées du coeur. Vous ne pouvez pas le lire,
cari® Vous vous procurez en le lisant le
plaisir le plus honteux qui soit et le plus
capable de faire rougir un chrétien et
2® la passion des sens sommeille comme un
liberté il y a notre devoir et il y a le droit de
Dieu. D.eu a des droits sur nous et II nous
impose des devoirs. II a dressé des barrières
aux évolutions de notre liberté, comme des
berges le long d'un fleuve pour le contenir.
Malheur a nous si nous renversons ces bar
rières Nous sommes responsables devant
Dieu et justiciables de sonautorité souveraine.
Quelque jour, nous examinerons en détail
les divers prétextes que Ton invoque. II ne
sera pas difficile d'établir qu'il n'est pas né
cessaire de marcher dans la boue pour savoir
qu'elle est salissante.
Ce qui precede aura déja prouvé suffisam-
ment que le mal a toujours une puissance
particulière pour séduire notre nature cor-
rompue, qu'il se glisse en traitre dans notre
esprit et dans notre coeur qui deviennent
bientöt ses complices, et qu'il y a lieu de
prendre garde.
Après quelque trente années d'attente,
voila done né administrativement ce
Stand qui... ce Stand que... ce Stand enfin,
objet de tant de rêves, et cause de tant de
déception.
Nous aurons assez l'occasion.d'ici a l'inau-
guration, d'en parler a divers points de vue.
Nous voudrions nous borner aujourd'hui a
accompagner les soupirs da soulagement,
d'un coup d'oeil rétrospectif et de quelques
réflexions suggérées par le vote du conseil
communal et les explications fourniespar M.
le Bourgmestre.
Remontons a l'origine de la question. Le
Stand était réclamé déja bies avant l'arrivée
de nos amis au pouvoir. Mais l'administra-
tion libérale refuse toujours de s'y décider,
a raison de la dépense,
Lorsque l'administration devint catholi-
que, la question fut forcément écartée pen
dant longtemps pour le même motif. Mais
nos amis se trouvaient en face de situations
financières et autres qu'ils n'avaient pas
créées, et leur devoir était de soigner arant
tout pour lëxécution de travaux d'utibté
publique plus urgents que 1'établissement
d'un stand, plus perfectionné que le stand
existant.
Entreteaaps, le Stand faisait couler beau-
coup d'encre dans la presse d'opposition. En
attendant la cible rêvée, on prit pour but la
tête du bourgmestre et oa l'honora de beau-
coup de brosses On visa même notre
maleur avec des balles prohibées on l'ac-
cusa faussement d'hostibté au Stand, alors
qu'il usaitdéja de toute son influence auprès
des membres du pouvoir supérieur, en vue
de rendre sa creation possible alors qu'il
étudiait et faisait ótudier la question,dresser
des projets, des devis, etc.
On Jeta mêma la suspicion sur son patrio-
tisme. Le patriotisme 1 mot sonore, sans
doute, qu'on ne se fit pas faute de faire re-
tentir.
Mais si l'on peut, avec du patriotisme et
dix centimes, obtenir un verre de bière, on
n'obtient pas précisément un stand de
125,000 francs.
Aujourdhui, heureusement, la situation
financière de la ville est bonne, et, sans né-
gliger les dépenses ds première nécessité.on f
peut songer A celles qui 'tiennent un peu du 1
luxe carillon, stand, theAtre, musees, etc. tie du genre humaia #t plus parfoi8) abrège
Le carillon, nous l'avons. Le stand est la durée de son existence par rusage d'un
vote et sera inauguré l'an prochain.
Le Progrès aura t-il maintenant la loyau-
té de rétracter toutes les attaques injustes et
toutes les fausses accusations auxquelles il
a prêté ses colonnes, h propos du Stand
Malgré le mauvais exemple qu'il nous
donna si longtemps, nous ne l'imiterons pas
en mettant cette loyauté en doute.
cienne prévoté de St Martin divers muséee,
notamment un musée du Folklore ypreis.
Ne pourrait-on pas réserver une petite
salie pour y installer un Musée de l'Anti-
alcoolisme
C'est fort bien d'apprendre au peuple a
distinguer une automobile d'une antique
chaise a porteurs. Cëst fort bien de lui mon-
trer que les jupes-entraves d'aujourd'hui
sont encore un peu plus ridicules que le»
crinolines de jadis trés intéressant de met-
tre en regard des chi-chis et des casseroles
dernier cri les dignes ornements cr&niens de
nos grand'mères.
Mais ce qui nous paratt plus utile et plus
urgent, c'est d'étaler aux yeux du peuple le»
méfaits divers de l'alcool. Pareils musées
existent ailleurs et sont des plus bienfai-
sants.
I 11 y a certes de nombreux moyens d'action
possibles coatre le fléau de l'alcoobsme il
j y a d'utiles mesures législatives a prendre
I telle la limitation du nombre des débits de
i boissons, actuellement élaborée au Sénat...
I franqais.
I Mais lorsqu'il s'agit de combattre des pas
sions, les moyens coercitifs sont toujours
plus ou moins inefficaces.
5 Le renaède souverain, c'est la raison. II
I faut convaincre; et le moyen de convaincre,
I eest de produire en foule des arguments ir-
réfutables qui intéressant directement l'indi-
vidu a convertir (données et attestations de
la statislique, de la Faculté, des sages de
tous les temps) et de les étaler aux regards
d'une manière permanente et sous une forme
tangible et impressionnante.
s II n'est pas sans intérêt de savoir com
ment vivaient nos pères trépassés mais il
est essentiel de savoir comment s'y prendre
pour vivre bien et longtemps de nos jours.
J Pour que le Musée du Folklore yprois
I nous fasse honneur en l'an 2010, il ne faut
pas qu'on y étale alors ces verres a schnik
et ces grandes pintes au fond desquels, un
i siècle auparavant, le peuple laissait sa rai-
l son, sa moralité et ses économies.
L'alcool a fait de nos jours plus de rava
ges que les trois fléaux historiques la fa
mine, la peste et la guerre. Plus que la
famine et la peste, il décime plus que la
guerre il tue il fait plus que tuer, il désho-
nore. Gladstone.
Les questions sociales dont la solution in-
quiète notre époque, nous enveloppent.Vous
n'arriverez pas a les résoudre avant d'avoir
vaincu l'alcoobsme. Par lui,toute» les réfor-
mes sont vouées d'avance a la stérilité.
Jules Le Jeune.
L'alcoobsme est un mal qui rouge le coeur
de la société et détruit le bonheur du foyer
domestique. Cardinal Manning.
VA
Parmi les oeuvres appelées oeuvres socia-
I les, il n'en est pas qu'il soit plus urgent de
promouvoir que la latte contre l'alcoolisme,
ce détestable fléau. Mgr Waffelaert.
En pleine civilisation,on est arrivé a cette
constatation effrayante que la neuvième par-
poison.
par ('usage
Dr Van Coil lie.
i
L'ivrogne boit les larmes, le sang, la vie
de sa femme et de ses enfants.
Lamennais.
L'alcool sou3 toutes ses formes ne donne
ni santé, ni force, ni chaleur, ni bonheur. 11
ne fait que du mal. Tolsto'i.
i Comme on a pu le lire dans notre dernier
numéro, l'on projette d'installer dans l'an-
L'alcool a éteint l'homme
la béte.
pour rallumer
Raoux.
F'
Ji
hpihiti miff"*'
-i i &■'-
JOURNA
TPRES
©rgane Gatholique
de l'Arrondissement
5 a) Férénada GABRIEL PlERNÉ.
j wuoiaiiauuu euravauiö que ia neuviome par-
71
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