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Téléplione 52
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Samedi 4 Mars 1911
10 centimes le IV
46 An ée
N 4671
Ëtrennes Pontificales
Sermons Francais
Cercle «Excelsior
Cercle Catholique
Pietas
Le grand Concert de Ia
Fanfare Royale
Laïcisation
Conférence sur le Katanga
mm
On s'abonne rue au Beurre, 36, A
Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine.
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Liste préeédente fr. 621.00
E. H. E. Da Bair, pastor te Kemmel 20 00
Jufvrouw Amelie Vermeersch, 10 00
Mr Me Evr. Huys-Depuydt, 5.00
Coleta Davooght, 5 00
Eudoxie Van Hoeke 2 00
ijL':
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par le Rév. Père GODTSCHALCK, S. J.
Le Jeudi 2 Mars, et tous les Jeudis suivts,
jusqu'au Jeudi Saint, 13 Avril inclus, eu
l'église de St Nicolas, au salutde 5 1/2 h.
Sujet Les passions humaines contre
Jésus (Conférences Evangéliques).
«9 59 13 59 59 8 99 59 59
SALLE 1 WE INS
Mardi 7 Mars, a 5 heures (au lieu de la
date du Mercredi 8 Mars précédemment an-
noncée).
Conférence de
M. Joseph Casier, conseiller communal
a Gand
Sujet
Rembrandt et son oeuvre (avec
projections lumineuses).
Entréi1 fr. par conférence pour les non
abonnés
Quel est le mortel qui puissa se passer
d'appui au milieu des choses décevantes
qui l'environnent
I II faufc l'homme uu cceur généreux, un
esprit ferme auquel il se confie et qui, se
lirrant a lui a son tour, l'aide a porter sa
propre misère. Plus son sentiment pénètre
I au fond des chose3, plus il se sent désen-
chanté plus il étudie les foules, plus il les
j trouve lrivoles. La grandeur de son espi it et
l'exubérance de sen cceur ne lui font que
1 plus vivement sentir 1'immense froideur oü
I il se meurt. En élargissant le cercle de son
f observation, il ne fait qu'embrasser une plus
grande part des douleurs humaines. Sa bien-
veillance et sa curiosité charitable épuisent
son coeur. A sa propre souffrance, il a ajouté
toutes celles que Bon esprit a découvertes ou
f que son imagination a pressenties. II se voit
avec tout son savoir comme un abandonné
qu'attriste sans cesse le sentiment de sa
j solitude. Tout s ecroule, se disperse, s'éva-
pore autour de lui. La nature, hélas, il peut
la contempler il peut, amusemèut d'esprit,
en définir les expressions multiples et voir
I ses sentiments s'y traduire a sa guise, mais
il ne lui livrera jamais tout son coeur. L'im-
mensité matérielle ne comble point l'abime
spirituel 1'ame seuie peut combler Fame.
Elles sont odorantes les fleurs des champs,
il est majestueux l'orme de la forêt, il est
altier le roc dressé vers le ciel mais que
font a la eréature désespérée le parfum, la
beauté etla majestéd'un monde inconscieut? pignon flanqué de deux élégantes tourelles et
mieux que la froide raison, il y a mieux que
la muette abnégation, il y a la pitié, la cha-
rité et l'amour avec bcs divines défaillances.
Le Christ lui-même, comme pour nous
laisser un éternel exemple de compassion,
pleure 1'ami qu'il doit pourtant ressusciter.
Il n'y a que les arbres morts qui re^oivent
des blessures sans répandre de leur sève.
II n'a été bruit cette semaine, que des
importants travaux de restauration du cloitre
annoncés officiellement samedi en séance du
du Conseil communal. Un air de carillon eüt
été de circonstance pour un événement de
cette importance, ne fut-ce qu a l'honneur de
ceux qui ont su mcner a bonne fin cette em
treprise.
Le public a appris également avec satis
faction que sa curiosité trés legitime et
souvent fort efficace par suite des discussions
qu'elle entraine sera entièrement satisfaite
par l'acccs qui lui sera permis aux locaux
avant la restauration et par l'affichage des
plans.
Plus d'un visiteur sera surpris en bien
a la vue des plans. L'aile orientale du
XI11« siècle, que nous avons sommairement
décrite dimanche dernier, sera prolongée de
6 mètres et arrivera a peu prés jusqu'au bord
du trottoir actuel. Elie seta- terminée par un
Soirée-Tabagie le Lundi 6 mars a i
précises.
1/2 b.
ProgbammE
1« Partie
1. Wilhelmina, marche. E. Wesly.
2. La Normafantaisie. Bellini.
Solistes MM. L. Dewanckere et M. Gouwy.
3. Weverslied tiré de la cantate
Klokke Roeland E. Tinei,
cbantépar M. K. Boslyn.
4. Majestygavotte. R. Berger.
5. Téléphone, polka. J. Lafitte.
2e Partie
1. Suite campagnarde, airs de ballet,
arr. en suite d'orchestre M. Gracey.
a) Joyeuse entrée.
B) HistorieUe.
c) Pas de la Coquette-Scherzettiao.
D) Les flutiaux danse pastorale.
E) Finale.
•1. Moederspraak, chanté par
M. K. Bostyn P. Benoit.
8. Aubade, sentimentale L. Ganue.
4. MondaineValse-berceuse. A. Rose.
IBS 'fi ys if ff
Quelques reflexions sur Inflection
Quelque grand que soit uc homme,quellcs
q.'te sd.ient son indépendance et sa fierté, il
est ,un esc'éivage auquel il ne pourra jamais
se sOUstraire t celui des affections. Ni
l'estiimv, ui respect, ni l'admiration
d'autrui, ne peuvent faire taire en lui ce
désir d'êti'e ai mé qu'il a puisé aux plus
nobles soui'ces de la vie et qui le rattache
k toute l'bu tnanité. II cherchera toujours
avec inquiétuile dans la foule indifférente
ceux qui pouri'Ont le comprendre et le
chérir des ames' soeurs qui lui font cortège
dans le pélerinaee de la terre, et lui soient
une consolation iux <£>urs oü le décourage- sagesse approuve «a - -
une consolation aux rfou b tionnslle par 1 itlnéraire s-mtimental. II y a
ment envabira son cceur.
Elle n'y trouve qu'intérêt ou agrément. Sou
instinct d'affection rêve un autre bien,
l'amitié d'un être dans lequel se marient a
un esprit élevé un coeur généreux et uue
volontéqui puisse raffermir lasienneen ses
délaillances.
Le coeur ne peut pas davantage toujours
fixer du regard le mystère invisible. L 'in-
timité perpétuelle avec Dieu qui enfante le
mysticisme, et l'intimité absolue avec la
nature qui engendre la méthaphysique, dó-
robent a l'homme de son humanité. La mé-
lancolie de l'orgueil trouble les vertus so
litaires.
La eréature s'attribue une gloire et des
forces qui lui sont étraugères. U'eBt par une
pente favorable que, s'bumanisant dans la
réalité, elle peut chérir des êtres mortels.
Les volontéB les plus saintes, les coeurs les
plus fiers, les esprits les plus dépouillés de
convoitises n'ont pu vivre dans le mépris des
affections. L'ascète perdu dans le désert
aride, le chartreux en ses murs de pierre,
les pères de l'Eglise occupés de la culture
des lettres et si vaillants dans le renonce-
ment au monde, n'ont pu entièrement dé-
tourner leur regard de ces corps de cendres
oü les ames viennent un instant séjourner.
lis se sont lassés de leurs purs dialogues
avec les esprits invisibles il leur a fallu
trouver sur cette terre un appui, tendre une
main amie a un mortel qui püt les estimer
en les aimant.
Tous ils sepencbent vers quelque passager
du monde, comme pour affirmer, par cette
l'aiblesse, leur humanité. Ils veulent le pro-
téger, le défendre, 1 environner de leurs
propres pensées, et leur affliction s'épanche
en paroles douloureuses si eet être est fauché
par le perpétuel moiseonneur. Ces accents
de douleur des grandes ames qui se sont
reposées sur des sommets auxquels nous
n'atteindrons jamais, s'exaltent a la fiamme
spirituelle oü jamais l'infidélité ne peut
répandre des ombres.
Les savants et les sages,ces graves viveurs
de la pensee, ont leurs heures de tendresse
etéprouvent de ces désespoirs que leur phi
losophic ne peut calmer. Toute cette philo
sophic peut se fondre en larmes quand le
ceeur est profondément blessé. La réflexion
bien qu'accordée a la raison óternelle doit
s'incliner devant les élans d'un coeur affec-
tueux. Les courants chauds de la vie font
cbavirer maintes volon.és fermes que la
sagesse approuve et réferment la ligne ra
orné d'une rosace et de fenêtres ogivales. Cet
avant-corps rompra la monotonie de la fa
cade Renaissance, mais ce n'est point la le
but pour lequel il sera érigé. Soucieux avant
tout de l'exactitude archéologique, le savant
restaurateur, M. Coomans, s'est basé, pour
décider cet agrandissement, tant sur les do
cuments lapidaires que sur les documents im-
primés, e'est-a-dire que les fouilles qui ont
mis a nu les substructions primitives, sont
venues corroborer le plan d'Ypres a vol d'oi-
seau du XVR siècle indiquant une aile fai-
sant saillie sur la facade principale.
Par suite de cet agrandissement qui la ré-
tablira dans son état primitif, cette salie du
XI Ie siècle deviendra l'une des plus impor-
tantes du pays, après celles des Halles, et ne
sera dépassée en longueur que par la salie de
la même époque de l'hópital de la Byloque a
Gand. Nous entendons parler de la salie de
l'étage, car nous ne croyons pas qu'il soit dé
cidé jusqu'ici de rétablir dans son intégrité le
rez-de-chaussée actuellemcnt a l'usage de
sacristie.
Ce riche avant-corps est destiné un jour a
s'ériger parallèlement a la salie de spectacle
dont la facade est également du XIIR siècle.
Si, comme il y a lieu de l'espérer, les maisons
enserrées entre le cloitre et le theatre doivent
être expropriées pour rétablir un passage
entre les deux constructions, la fa9ade prin
cipale du cloitre érigé par Jansénius se dres-
sera entre deux constructions également im-
portantes du XI11« siècle.
Par suite du relèvement du sol tout autour
du cloitre, les colonnes du rez-de-chaussée
sont engagées de 75 centimètres environ dans
le sol. Le niveau ancien sera rétabli et sera
forcément en contre-bas de la rue. II nous
semble tout indiqué, dans ces conditions, de
clêturer le square qui précédera la facade,
d'une grille monumentale qui s'étendrait de
l'aile orientale prolongée jusqu'a l'extrémité
du bêtiment. Ce serait, croyons nous, d'un
effet monumental. Ce détail, comme peut-
être bien d'autres encore, pourra être décidé
après coup.
Journal de Roubaix
Les amateurs de bells musique, réunis
nombreux a la Salle Iweins a l'occasion du
grand Concert de Dimanche dernier, y ont
vécu deux heures de réelle jouissance.
Cette solennité musicale a été un grand
succes tant pour les organisateurs que pour
la pléiade d'artistes qui y prêtaient leur con
cours.
La Fanfare Royale se distingua surtout
par la brillante exécution de l'oeuvre gran
diose Zegemarsch du compositeur gantois
Oscar Roels. Nos félicitations au Directeur
méritant M. L. Arschodt, a ses musiciens et
notammentau trombone solo M.J Desramault
qui dans VAir Varié de Herman a oblenu
un succes bien mérité.
Une jeune Virtuose du piano, Mellc Ma-
riette Hill, ier prix du Conservatoire de
Gand, s'est re'vélée en excellente interprête
des maitres de la technique pianistique Schu
mann et Liszt. La célèbre Polonaise en mi
majeur de ce dernier, oeuvre d'une prodi-
gieuse difficulté, a couronné le grand succes
de la jeune artiste qui se prépare un brillant
avenir. Le public lui a fait une ovation aussi
enthousiaste que bien me'ritée.
Le précieux concours du célèbre Qualuor
Vocal Gantois donna a ce concert sa va-
leur artistique. L'art vocal y fut développé
dans toute sen ampleur par Mellc Mathilde
De Vos soprano, Melle Adolphine Beckers,
Alto M. Joseph Verniers ténor, et M. Louis
Arschodt baryton.Tour atour ils firenl valoir
leur beau talent personnel dans l'interpréta-
tion d'Airs d'opéras et oeuvres diverses toutes
exécute'es avec ce sentiment artistique qui
leur est propre.
Ce furent surtout les chants d'ensemble du
quatuor qui eurent le doa de charmer l'au-
ditoire.
Dans une série de iieder francais et fla-
mands des i5e, i6e, et i8e siècles, les quatre
artistes ont. développé la caractéristique et la
sentimentalité de ces délicieuses mélodies
anciennes, avec un ensemble admirable et
une diction parfaite que leur valurent le plus
vif succes.
Le célèbre Ave Verum de Mozart et le
Noël ancien de Gevaert chantés a capella,
ainsi que le quatuor de l'opéra o Rigoletto
ont provoqué chez l'auditoire ravi un triple
ban d'acclamations. N'oublions pas nos deux
pianistes Yprois Messieurs L. Van Houtte et
Wenes, qui ont tenu avec leur talent respec-
tif bien connu leur role délicat d'accompa-
gnateurs.
Nous félicitons bien sincèrement la com
mission de la Fanfare Royale pour le grand
succès de cette fête musicale. Nous adressons
ces meines félicitations aux artistes qui y
prêtèrent leur concours ennourrissantl'espoir j
de les revoir encore souvent a Ypres.
Les curés, en général, nous l'avons dit, ne
valent rien, pour les mécréants mais pra-
nez-en un en particulier, ils le trouvent
l'homme le plus charmant du monde et le
plus hoDnête. En général, on ne s'attaque
qu'a ceux que I on croit assez éloignés pour 1
ne pas pouvoir se défendre. Cependant au- j
jourd'bui, ceux qui sont pris a partie, même
a l'étranger.trouvent facilement des gens qui
prennent leur défense, parviennent a óclai- 1
rer la justice et faire reconnaitre leur inno-
cence par les tribunaux. Ainsi les calomnia-
teurs sont confondus et forcés de reconnai- i
tre qu ils en avaient menti.
Nombre de journalistes sectaires, dans
notre pays, l'ont appris a leurs dépens et ces
agitateurs de la mauvaise presse ont été dans
l'obligation d'insérer le jugement qui stigma-
tisait leur polémique.
Malbeureusement, le public ignore trop
ces faits qui, mis en lumière, discrédite-
raient, mieux que tous les arguments du
monde, les agissements des sectaires. C'est I
pour éclairer celui-ci qu'un excellent publi
ciste, M. Louis Nagant, vient de publier en
réponse a un infame pamphlet les Gloires de
l'Eglise une heureuse riposte qu'il intitule j
Les scandales cléricaux.
Cette brochure, nous la recommandons k
nos amis, nous la sigaalons aussi a nos ad-
versaires. Une lecture attentive leur mon-
trera, s'ils sont de bonne foi, la pauvreté des
attaques des ennemis de l'Eglise. A la fai-
1 lease des accusations, k la bassesse des
moyens mis en oeuvre, ils pourront compa
rer la noblesse et la dignité de ceux qu'on
accuse.
Tout serait a citer de ce livre nous n'en
voulons retenir qu'uue page, la plus typique
et qui se rapporte a notre clergé beige.
C'est cela, restons en Belgique
Eh bien 1 Monsieur, qu'avez vous k dire
contre la moralité du clergé beige
J'ai beau lire et relire vos trois brochures,
je n'y trouve que quatre noms beiges.
Ainsi, Monsieur, toute cette enquête,
poursuivie avec tant de haine, aboutit k dé-
couvrir trois prêtros beiges, coupables.
Trois, Monsieur, et pas quatre Car, sur
quatre histoires beiges, vous avez réussi a en
inventer une...
Mais la justice n'a pas dit son dernier mot;
vous ne perdez rien pour attendre.
C'est lk tout ce que vcus avez trouvé
La Belgique pourtant,comme vous le dites
avec tant de haine, est peuplée de soutanes,
de moines et nonnettes, et dans ces 30 k 40
mille prêtres, religieux et religieuses vous
avez découvert trois brebis galeuses 1
Eh bien bravo, Monsieur I vous avez
écrit la une superba pige d'apologie en fa
veur de notre clergé
Oui, bravo, Monsieur vous ne pouviez
pas mieux faire pour prouver a l'évidence la
vertu et la moralité du clergé
Qu'en pensent les honnêtes gens
Oui, alignez tant que vous voudrez 30 i
40,000 francs masons de quelque carrière
qu'il vou3 plaira... et avec moins de haine
que vous,nous fouillerons dans leurs affaires
privées, et nous verrons, Monsieur, de quel
cö'.éseiont la moralité, l'honneur et la ver
tu...
D'ailleurs, ne vous mettaz pas en peine
vertueux citoyen la statistique en est
faite... et partout le clergé vient en tête,
comme la eatégorie laplus morale...
La véritable raison de cette rage la'icisa-
trice autrement ditde l'expulsion des
religieux et religieuses, tient en ces lignes
du Peuple
II n'est rien de plus terrible que la tyran
nic du dévousmentc'est la seule, qui, d'or-
dinaire, saus lücheté, siuon sans faiblesse,
détermine l'abdication du sentiment de ré
volte il est si difficile de se rebel-
Ier contre la main qui panse la
blessure ou de s'insurger contre
la volx qui console l'ame.
C'est ainsi qu'opèrent les infir-
mières religieuses a l'hopltal et
les missionnaires n'usent pas
d'une autre méthode au Congo.
Vous entendez La Religion inspire un
dévouement surhumain. Ceux qui, par fana
tisme, ont juré deteindre Ia religion, Bont
done portés a supprimer le spectacle du dé
vouement religieux, même au détriment des
malheureux. Périssent les pauvreB, les fai-
bles, les malades 1 Avant tout le triomphe
de l'irréligion 1
Quel bel hommage a la Religion I Quelle
plus décisive démonstration du caractère
sataniquo de l'oeuvre laïcisatrice
II est rare qu'une conférence fasse salie
comble, surtout quand il s'agit d'une salie
aussi spacieuse qua celle du Volkshuis. Le
Les scandales cléricaux par M. NAGANT.
Dieltjens, éditeur, 2, rue des Cipres,
Bruxelles. 1
le mille 5o fr.
exc. 0,10 cent., le cent 7,5o,
JOURNAL
TPRES
Gatholique
de 1'Arrondissement
fr 1
La prévóté de Saint-Martin
Ml
Ahles curés