oiii Téléphone p Téléplione 52 I m m m m m m m Saniedi 18 Mars I Fit 10 centimes !e flï° 46 An.^ée N 4673 trennes Pontificates 1» m st Sermons Francais L'Ecole des Femmes [/instruction primaire I La prévóté de Sai U-Martin. On s'übouiie rue au Beurre, 36, A Ypres, Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr, 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. et A tons les bureaux de puste du royaume, Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal So ce&tSaöêS la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentisires coütSïM. 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adröïSCf 4 Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et k Paris, 3, Place de la Bourse. I.iste précédente fr. 663.00 Van wegens de Derde Orde van den Heiligen Franciscus te Ypar 63.77 par Ie Rév. Père GODTSCHALCKS. J. Le Jeudi 2 Mars, et tous les Jeudis suiïls, jusqu'au Teudi Saint, 13 Avril inclus, en l'église de St Nicolas, au salutde 5 1/2 b. Sujet Les passions humaines conire Jésas (Conférences Evangéliqurs). (Suite et fin). Pour bien commander, il importe de con- naitre le service, surtout, ajouterai-je, dans un temps oü les questions dome3tiques se compliquent et exigent du tact, de l'autorité, de Pesprit de conduite. On représentait, il y a quelques années, avec beaucoup de succès, une petite comédie le'gère sur la grève de l'office. Les cuisines désertes laissaient k toute la maison line impression de vide et de misère. On ne mangeait plus paree que per- sonne ne savait préparer un repas. Ces da mes, incompétentes, mesuraient tristement lts elfets de leur délachement. Stul, un vitil hommeconnu p3r sa gourmandise continuait tranquillement sa vie méthodique et bien nourrie il avait e'pousé sa cuisinièra. Voila une supériorité qu'il s'agit de con- quérir. Toute direction implique le savoir. II est encore une autre supériorité matérielle qui convient la femme celle des soins a donner aux malades. Les maux viennent si vite, surtout aux enfants, et les accidents sont sans nombre, II s'agit de ne pas perdre latête avant l'arrivée du médecin. A la cam pagne, il peut tarder longtemps Faire un bandage, arrêler le sang qui couie, deviner avec un Hair ma'ernel la potion utile, ce sont lades choses ou la femme se montre naturel- lement plus adroïle et plus rapide que l'hom- me. Encore faut-il qu'elle sache se servir de ses jolis doigts et que le moindre bobo ne l'affole pas. D'autant plus que ces soins la, elle les devra offrir non seulement aux siens, et par siens, j'cntendis aussi, selon la mode d'autrefois, le personeel, maia, a la cam pagne, aux fermiers, aux ouvriers agricoles, aux voisins, ot, partout, aux malheureux. Elle sera bien vite une petite providence, si on la sail habile et si elle a donné des preuves de saDg-froid. Mais n'en ont elles pas donné et d'une admirable fagon, lors desinondations dernières Je suis entré dans l'une ou l'autre dessalles organisées dans mon quartier par ia Croix-Rouge il y avait des fricots tenta- teurs et surtout il y avait des rescapés qui respiraient avec plaisir, et qui, pansés et nourris, regardaient avec gratitude leurs dames de charité. Je voudrais aussi qu'on enseignat aux femmes le souci de la térre. Une Mu,<3 de Sévigné connaissait les plantes de son potager et cueillait ses fleurs de ses propres mains. Cela ne l'empêchera ni de lire ni d'écrire, et assez joliment. Elle faisait elle même ses comptes de fermage. La campagne n'était pas pour elle ce qu'elle est en tram de deve- n'r aujourd'hui un changement de décor a vue. Aujourd'hui, on circule en automobile, on ne se fixe plus, on ne veut plus avoir de domaine. Bientöt il n'y aura plus aucun rap Port enlre les gens de la ville et les ruraux, eh pis encore, entre l'humanité qui jouit et ce!le qui travaille. Un des points de contact les plus précieux, c'était la vie a la campa gne. On lui prélère la viliégiature. Je crois que rien n'est plus malsain ni plus dange- reux. Car la campagne, c'était la possibility de se reconnaïtre, de se retrouver, de se ressaisir, de reprendre un peu de santé et de bon sens dans ses jugements et ses senti ments sans cesse faussés par les exemples d'une via artificielle. Un peu de droit complètera fort utilement cettc partie de l'éducation pratique de la femme. La connaissance du droit est un com plément indispensable destruction. Je n'ai jamais compris qu'on ne l'imposat pas. II est nécessaire de savoir ce que e'est qu'un bail, un contrat, le contrat de mariage, un testa ment, puisque tous les jours ou en a besoin. Ce n'est ni long ni difficile 11 n'est pas équi- table qu'un mari prennc des décisions graves pour les biens de la communauté sms con sulter sa femme. Une femme p ut devenir veuve avec des domaines importants. Rap- pelez vous cette effroyable piece d'Henry Bicque, les Corbeaux ou !a mort du père de familie livre sans defense la femme et les trois filles a la rapacité des homme3 de loi. Pourquoi sont-elles si dépourvues, si dé- nuées Pourquoi les a-t-on toujours trai- tées en incapables Pourquoi ne les a t-on jamais initées a des difficultés qui se ren- contrent courammeut dans Ia vie, dans la vie que la mort bouscule impitoyablement II y avait bien de l'injustice dans eet anti- féminisme d'autrefois, qui, impuissant a pro- téger la femme, la tenait a lecart de tout comme inapte a comprendre les affaires ma. térielles auxquelles, au contraire, un réalis me naturel la prépare. Autrefois C'est hier qu'il faudrait dire. Au moyen age, la femme recevait de son mari, souvent absent, la direction totale du patrimoine. Cette direc tion était parfois considérable. Or, elles y excellaient si bien que plusieurs d'entre elles furent appelées a des charges u.unicipales. La cité estimait qu'elles lui pouvaient ren- dre des services, puisqu'elles savaient gou- verner. Sur 1 instruction, je ne m'étendrai pas. A quoi bon N'est-il pas admis qu'une jeune filledoit tout savoir? c'est peut-ètre beau- coup. Elle doit surtout se préparer a son röle de femme même si elle ne se marie pas, n'est ce pas un róle de femme qu'elle rem- plira N'esl-ce pas d"elle que tant de malheu reux auendent une parole de grêce et de charité? Et n'est-elle pas capable d'enchan- ter le travail comme la maison Je lui sou- haite surtout une instruction simplifiée, har- i monieuse, dont les lignes générales ne soieat pasheurtées. II y a beaucoup de désordre j aujourd'hui dans les cerveaux. L'homtne essaye beaucoup d'ide'es, beaucoup d'erreurs, j II imagine bien des systèmes. La manie de I'abstraction l'asaisi, etil raisonne hors de j la réalité quotiJienne. Le résultat est que nous ne savons guère oü nous aÜons. La j femme, quand elle n'est pas dévoye'e, distin gue mieux que nous les points de repère, découvre naturellement sous ses pieds les fortes et süres racines de la tradition. N'a-t- elle pas 1 habitude de ranger Elle devine les mauvais chemins, les sentiers hasardeux. Elle voit dans notre nuit la veilleuse qui ne s'éteint pas. Que son instruction soit solide et la serve dans sa nature traditionncllc et refi- gieuse, surtout dans un lemps oü elle doit defendre s:s enfants et elle-même contre l'envahissement journalier, insinuant ou inso lent, de doctrines qui, remettant sans cesse en cause tout ce qui repose sur la raison des siècles, excellent a désorganiser et a détruire. Songez que c'est elle qui prépare lame des enfants. J'ajouterai, pour dire toute ma pensée, que j'aime assez qu'une femme ait un peu lu, avec choix. Les hommes se spécialisent de plus en plus ils n'ont, dit-on, pas le temps de faire autrement. C'est done a la f' mme a maintenir chez nous le goüt des idéés géné rales, ce goüt des lettres si compromis par tant de publications sottes ou malsaines, qui donne tant de charme aux jours et qui jette professioanel et assurer la fréquentation sur la réalité une importance nouvelle. Lire, j seolaire c'est une occasion de causer, de comprendre, de s'interesser. Surtout, enfin elle sera la paix du foyer. Pour qu'un hom me donne toute sa mesure, il lui faut la sécurité intérieure. Comment regarderait il en avant' s'il craint qu'on le poignarde dans le dos Et bien souvent ce sera lui qui demandera a sa femme le courage moral. Les capitulations de conscience, il arrivera quelqucfois a les envisage?, jentrainé par son ambition, sa soif du succès, sa crainte de l'échec, son mépris de la Providence, les déprimants milieux qu'il traverse. Elle saura l'avertir, lui montrer ce qu'il avait cessé de voir, le droit chemin. Des deux, lequel, ainsi, est le soutien Ce foyer qu'elle sauvegarde, il est un hote qu'elle ne doit pas manquer d'y attirer, et c'est la pauvreté, la pauvreté qu'il faut qu'on voie, car donner sans connaitre a qui Ton donne, c'est ne donner qu'a moitié. Savez vous oü un saint Francois de Sales par exem- ple, apprit a connaitre la pauvreté Mais chezlui, tout simplement. Les pauvresétaient regus a la cuisine. La cuisine était alors la 2° Améliorer la situation des traitements et pensions des instituteurs. Le projet réalise ce double but par un en semble de dispositions d'un caractère modé- ié, equitable et national. En 1884, il y avait 4,810 éeoles compre- nant 8,000 classes qui comptaient 324,000 élèves. Eu 1900, 5,527 écoles, 20.000 classes et 927,347 élèves. Le premier défaut de la situation aclutlle est que la fréquentation seolaire est insulïi- sante d'une partde l'autre, l'enfaut quitte généralement l'école après la première com munion, c'est-a-dire qu'il se met trop tót au travail. Lore de la discussion de la loi sur le tra vail des enfants lage da 12 ans comme limite d'entrée dans les ateliers paraissait exagéré. L'honorable ministro a alors donné lectu re de Bon projet. Donnons en ici les grandes ligue3 Le Souage des services des enfants agés de Un article règle l'institution du 4« degré, a tendances professionnelles, pour lequel il y aura lieu ds créer 2TOO classes nouvel'es. M. Schollaert a fait reraarquer de plus que le projet, tel qu'il est coiiqu, allèga les charges des bureaux de bienfaisance.Ceux-ci désormais ne devront plus subvenivqu'a l'or- ganisatiou des ceuvres de la soupe et du vête- ment scolaires, organisation qui fera l'objet d'une loi spéciale. La situation des instituteurs. r nioins de 14 ans n'est plus autorisé. p.us belle piece de la ma.srn, la plus confor- Peuvect ,oués )es se„ices table, la m.eux chauffee. On y venart avec I deg eafants pQrteurs du c6rtlficat (J-étudëS plaisir pour y trouver du bien-ètre. Les fermiers s'y asseyaient. On y mangeait, on y buvait. Les enfants y jouaient en contre- bande. Le maitrc et la dame s'y arrêtaient, s'infoimaient des nouvelles. II arrivait que les invités la traversaient, et ils pou/aient constater, a la vue des broches et des mar- mites, it l'odeur au;si, qu'ils seraient les bien venus. L'enfant vit la ses premiers piu- vres. II les intenc-gea, il hs toucha, et sa - mère lui apprit la joie divine de la charité. Cette charité qui corsiste avant tout dans la fréquentation du paavre, c'est le complément 1 indispensable d'un vjai foyer... j Henri BORDEAUX. Le nouveau projet seolaire dont les jour- j naux out publió les grandes lignes et dont nous résumons plus loin les conditions es- senticlles coastituera un progrès considera te.Ce sera la gloiredu gouvernement catbo- lique de l'avoir réalisé. La modération qui le caractéri.e tend néanmoins a la reconnaissance de droits longtemps ignores et a rendre justice aux catholiques. Consacrant sans distinction la liberté du père de familiequi aura désormais une compléte indépendance, oe projet ne peut manquer é'êlre bien accueilli. C'est avec raison qua nos adversaires qui combattront le projet quand même, h cause du sectarisme q d les aveugle lui trouvent un caractère qui pourrait séduire et jugent qu'il sera equitable et national. En effet,avec uu souci qui s'attache a tou tes les classes de la scciété.le nouveau projet au point de vue de renseignement, répond a un besoin, comble une lacune et donne satis- fac'ion aux désirs du pays. C'est avec raison que les droites du Sénat et de la Chambre ont été unanimes a l'acclamer. La loi seolaire Réunion des droites Les droites de la Chambre et du Sénat se sont réunis, mardi matin, sous la présidence de M. Cooreman, dans lasalle des séances du Sénat. La plupart des membres étiient présents." M. Scholiaert, rsquissant son projet, a tout d'abord exposé les raisons qui ont ame- né le gouvernement a déposer sou projet. Voici tout d'abord le but de celui-ci 1° Dé -elopper l'enseignement primaire en ajoutaut un quatrième degré d'un caractère t primaires completes, j L'ensoiguement est gratuit dans les écoles l communa'es adoptéés et adoptab'es qui ac- I eepteat la loi seolaire, c'est-a-dire que la loi I recounait une situation de fait les enfanls j fréquentant les écoles primaires ne paient, en réalité, aucun frais d'écolage. I Cbaque année radministrationcommunale j dólivre aux parents des enfants ègés de 0 a t 14 ans un bon seolaire. j Le 1 on devra être portéa domicile et remis au chef de familie qui eu donnera un réci- pissé. U ie fois détenteur du bon seolaire, le père en fera ca qu'il voudra. Les communes sont dtvisées en quatre catégorie3 pour la fixation de !a valeur dea bons scolaires. Cette valeur est d'un import de 30 francs pour la quatrième eatégoris, de 32 fraucs pour la troisième, de 34 francs pour la denx- ième et de 36 francs pour la prremière. Ce faux a été calculé sur ie minimum de traitement de l'instituteur augm9nté de 2 Races pour chaque gargon et de 3 francs pour chaque fi 11e. Le gouvernement a vou'u charger le ntoins possible les finances communales 70 p. c. environ des communes seront avanta- gées par le nouveau systèmo vis-a vis de l'ancien. L'Etat iutervient dans le paiemeat pour six dixièmes, la commune pour trois dixiè- mes, la province pour un dixième. II en résultera pour l'Etat une assez nota ble augmentation de charges msis, grace a sa bonne situation fiaancière, il pourra y pou voir sans recourir a de nouveaux im- pöts. La charge des provinces sera quelque psu augmentéeles communes verrou leurs charges allégées, mais elles devront consa- crer le bénéfice qu'elles trouveront dans ia loi a ramélioration de l'enseignement. Une commission sera instituée pour régler la répartition des bons. Elle sera composé de sapt membres, a savoir: deux noinmés par les communes, deux pat' les provinces, deux seront pris dans l'administration cen trale et le septième nommé par le Roi. Les classes étant souvent surpeuplées, le maximum de la populati >n seolaire de cha- cune sera fixé a 50 élèves, pour arriver par l i suite a 40. Cette question sera réglée par voie d'arrêté royal. II en sera de même pour les conditions d'éc lage des normaux, des in disciplines, des enfants habitant dans un périmètre trop éloigné, des enfants dont les parents exercent une profession ambulante. Le père de familie qui n'aura pas envoyé son enfant a l'école sera appelé devant le juge de paix qui lui donnera d'abord un avertissementen cas de récidiva, il y aura admonestaUon, puis rafficbage' j Les instituteurs de la lre et de la 2» cate gorie débuteront a 2,400 et 1,800 fr, respec- 1 tivement,plus 800 et 600 fr. a titre d'indem- nité de logement. Les sous-instituteurs et instituteurs de la 5Ucatégorie voient awélio- rer leur situation ils débuteront avec des traitements de 1,000 et 1,200 fr. respective- ment. Cette 5e catégorie est supprimée. s La 4e catégorie comprendra toutes les communes de 1 a 5,000 habitants les insti- s tuteurs de cette catégorie toucheraient 1,400 fr., plus 300 fr. d8 frais de logement, les I sous-instituleurs 1,500 fr., les sous-insütu- trices 1,200 fr. La 3° catégorie comprendra les communes de 5,000 a 40,000 habitants. 1 Les instituteurs de cette catégorie auraient f un minimum de 1,600 fr. j Comme en se plaiut de la pénurie d'insti- j tutours dans certaines regions, trois aug- mentations de 300 fr., plus 100 fr. d'indem- nité de logement, seraient prévues ea leur faveur, de telle fagon qu'ils na réclament leur mise a la pension que plus lard. j La loi entrera en vigueur au cours de i 1'année 1914; a partir du ler janvier 1917 ce seront plus admis comme instituteurs qua j les jsuces gens beiges et diplömés. La lecture de ces divirs articles du projet a été accueillie successivemsnt par les ap- plaudissemeuts de l'assistance. Le sujet nous est évidemment cher puis que nous y revenons si volontiers. On na nous en fera pas de reprocbe.espérons nous, la matière étant vaste comme la construction j elle-même. lis deviennent de plus en plus rares, du resto, ceux qui ne comprennent 1 pas la poésie des vieilles pierres ou qui ae s'intéressent pas aux événements historiques dont elles ont été témoins. On peut dire que c'est Victor Hugo qui a popularisé l'archéo- logie par Notre-Dame de Paris, et, de nos jours, le moindre potache voit en Huysmans I l'auteur de la Cathédrale, de même qu'en Mcrovac il connalt 1'homme des Cathe'irales. Pour quelqucs semaines encore, l'antique cloitre restera plongé dans le silence. Ses I pierres, que les folies herbes envahissent, i parleront encore a l'ame et charmeront l'ar- tiste. Puis, quand l'iieure de leur toilette aura sonnó, macons et sculpteurs viendront bruyamment envahir le monument pour nous le livrer enfin rajeuni et embelli. II y a des partisans acharnés des ruines mais le goüt du pittorcsque chez eux étouffele plus sou- vent la raison, et ils oublient que s'ils de'si- rent que leurs successeurs admirent comme I eux un monument, il faut commencer par l'empêeher de t,omber en ruines. j La restauration qui sera entammée d'ici peu de temps restituera au cloitre son aspect primitif, tel qu'il fut édifié sous le prévöt Christophe de Dixmudo, dont on voit encore les armes sculptées, et sous ses successeurs au commencement du XVe siècle, Schayes, dans son Histoire de l'architecture en Belgi- que, a donné jadis un dessin du cloitre tel qu'il était avant de subir des remaniements auXVIIe siècle. La facade du cote du Palais de Justice, élevée par Janséniu3 ne subira d'autre modi fication que l'ajoute d'une aile ou plutót d'une prolongation k l'importante construc tion du Xllle siècle. Des croissillons en JOURNAL D'YPRES ©rgane Satholique de I'Arrondissement n'/ict m n n nf/'nPfrtn /Je» Jo /•rtnVIM'ön rl ri» Oft A r 1

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 1