m m 2* si m iff sff m m m m m m m m m m m m b mm m m m m. m. Le tour de Bt Igique en Aeroplanes On ne chöme pas Le Jardin public Le nouveau rêseau téléphoniquo pour Ypres. A la Chambre Le Sénal Salie St-Sébasiien Hepos dominical PHARMACIEN DE SERVICE du conseil. Deux autres tables, plus petites, étaient présidées par les secrétaires du con seil, MM. Goethals, Firmin de Thibault de Boesinghe, Ronse et Emm. d'Ydewalle. Inutile, sans nul doute, d'affirmer que dès le début de ces agapes fraternelles, la plus franche cordialité régnait parmi les convi ves II en est toujours ainsi parmi les con- seillers de la West-Flandre, qu'ils soient en séance officielle ou/en séance gastronomique. Le menu avait été gracieusement dessiné par M. Flor. Van Acker, directeur de notre Académie des Beaux-Arts. C'est dire que le bristol, de grand format constituera pour les participants un souvenir de réelle valeur esthétique. En haut, les portraits de Léo- pold I, qui signa la loi provinciale, et d'Al bert I, sous le règne duquel on commémore le 75 anniversaire de cette loi., Comme figure d'avant plan, dominant le sujet, la pucelle de la West-Flandre, armée du glaive de la loi et élevant la table de la loi du 3o avril 1836. La pucelle est placée sur une tribune dont la balustrade ajourée ouvre une pers pective sur l'hótel du gouvernement provin cial. Voila l'enseigne. Elle n'était pas trom- peuse. Le banquet exclusivement maigre comme il convenait en ce vendredt, même jour de fête nationale, était un petit chef d'oeuvre de conception, de préparation et d'exécution. II fait honneur, de même que les vins, a M. Van den Berghe, propriétaire du Grand Hötel du Commerce. Officiellement, un seul toast serait pronon- cé. C'est M. le président Van Hee qui le porta en des termes, comme toujours, heu- reusement choisis. Le manque de place nous empêche de le reproduire ici. La gauche a l'air de s'en étonner. Elle a cru ou fait semblant de croire que la retraite du ministère Schollaert était l'en- terrement du projet scolaire. On a même vendu a Bruxelles et dans certaines villes de province des manifestes sous forme de lettre mortuaire et annoucant la mort du bon scolaire. A la réunion de l'Association catholique de Bruxelles, MM. Wauwermans et Van- Cauwelaert ont engage' vivement leur amis a commencer aussitót la compagne électorale. La Gazette s'en étonne et avertit ses amis. Attention aux manoeuvres cléricales Cette compagne électorale s'annonce bien. Elle commencera par la manifestation Schollaert dont Louvain sera le théatre le dimanche 17 aoüt prochain. La circulaire lancée a cette intention dit Les catholiques de l'arrondissement de Louvain ont pensé qu'il était de leur de voir d'organiser une manifestation en l'hon- neur de leur représentant M. Schollaert, qui depuis tant d'années, défend au Parle ment les intéréts du pays, et qui devant l'histoire, aura le mérite d'avoir proposé une loi scolaire, inspirée des idéés de liber- té, de justice, et de progrès. De toutes parts cependant, le désir a été exprimé qu'un caractère plus général füt donné a cette manifestation. Nous invitons done les autres arrondis- sements de Belgique, et toutes les sociétés catholiques du pays, a se faire représenter a Louvain, le dimanche 27 aoüt prochain. Tous nos amis auront a cceur de témoigner laur gratitude a M. Schollaert pour les servi ces éminents qu'il a, comme ministre, rendus au pays, et des milliers de voix feront écho aux acclamations de la droite, saluant naguè- red'une ovation inoubliable, notre chef trés aimé. En même temps, le pays catholique affir- mera sa volonté ferme d'obtenir justice en matière scolaire. Nous voulons la liberté pour le pauvre comme pourle riche. Nous voulons que chaque père de familie puisse choisir, en toute indépendance, l'école oü il fera donner a ses enfants l'instruction qu'il leur doit. Nous voulons l'instruction gratuite pour tous les écoüers. Nous voulons que les instituteurs aient une situation en rapport avec l'importance de leur mission. Nous voulons enfin organiser l'enseigne- ment populaire sur des bases telles, qu'en ce domaine comme en tant d'autres, la Belgi que soit a la tête des nations. La paix scolaire, par la justice et par la liberté, tel est notre programme. Les catho liques du pays entier l'acclameront avec nous. Orddbe du jour A 10 1/2 lieures, M. Schollaert et plusieurs orateurs catholiques du pays adresseront la parole aux manifestants les lieux de réu nion seront indiqués ultérieurement. A 14 heures cortege, manifestation, et remise aM. Schollaert de li médaille frap- pée en son honneur. Nos amis répondront de tout cceur A eet appel. Nous ignoron8 les proportions que pren- dra la manifestation Schollaert. En tous cas elle prouvera que nos amis ne chóment pas. Du reste, nos adversaires et en premier lieu les socialistes ne sont pas enciins a laisser sans signification la fête du 15 aoüt qu'ils préparent a Bruxelles. Avec une délicatesse rare, un a propos exquis que tous ses alliés cartellistes goüte- ront, le Peuple d'hier s'adressant a la Reine de Ilollande, notre auguste hotesse. écrit Albert fera tout pour vous faire oublier cette mauvaise pensée. La Brabanconne ne vous apprendra pas que la mitraille a brisé l'Orange sur l'arbre de la liberté Et l'on évitera soigneusement de vous faire passer par la place des Barricades, la rue de la Révolution, les rues du Gouvernement-Pro visoire, du Congrès, la place Rogier, voire la place des Martyrs, i Et cependant, quel fier service on vous j rendrait en vous donnant eet enseignement par l'aspect. Une reine doit savoir qu'il y a eu chex nous des révolutionnaires qui ODt organise des bagarres dans la rue, cassé des carreaux, rossé la police, attaqué les gendarmes, dressé des barricades, mis le feu aux demeures de leurs ministres, tiré sur les officiers de leur roi légitime et finalement jeté celui-ci a la porte. Elle doit savoir aussi que ces émeutiers n'ont pas été traités de racaille des rues, de voyous, emprison- nés, condamués, voués a l'exécration qui enveloppe les anarchistes, mais qu'ils ont été décorés, pensioDnés, comblés d'honneurs et de titres et que tout le monde ea Belgi que, k commencer par le roi Albert lui- même, les proclame des héros. Méditez eet exemple, Madame, quand ce ne serait que pour préserver votre époux de la contagion allemande et l'empêcher de croire qu'un Kaiser, dont le tróne est miné par quatre millons de socialistes, n est pas de la même race que le roi du Portugal, le sultan Abdul-Hamid, l'empereur Dom Pe dro et Louis XVI, ce Capet qui avait perdu la tête. Alors settlement ce voyage n'aura pas été entierement inutile. Ce qui ne veut pas dire qu'il sera amusant pous vous.. ni pour nous. L'organe socialiste conclut par ce cri imprimé en tres gros caractères et placé par hasard en dessous de cette lettre Tous a Bruxelles le iS aoüt Le gouvernement est averti. Le parti li- béral aussi. A ce dernier les événements di sent Attention II pourait être entrainé dans des manifestations dont la nuance rouge l'effrayera 1 On mettra cela sur le dos de l'entbousiasme des foules. La responsabilité en retombera sur le dos de ceux qui l'auronl suscité. Car eet article, Ia reine de Ilollande ne le lira pas, il est érit pour les socialistes bei ges en y parle des rois qui ont perdu la tête et on le termine par ces mots Tous d Bruxelles le 15 aoüt Allons, ga va bien. Le conseil communal est d'avis, nous ont relaté les journaux, de supprimer la grille du pare. En ne partageant pas eet avis, on ne verra certainement aucune intention, pensons-nous,de poser un jalon quelconque, avant de briguer, au mois d'Octobre, un fauteuil de eonseiller. II est élémentaire, en effet, pour qui veut arriver, h chercher a prouver qu'on est capable de faire mieux que ses devanciers ou ses contemporains .On s'abuserait cependant si l'on croyait trouver en nous l'étoffe d'un eonseiller.Tout au plus consentirions-nous, comme nous le faisons aujourd'hui, a jouer le modeste róle de con- seilleur. Parlons-en done de cette grille, froide- ment, sans parti pris et sans intention aucune de mettre le conseil sur le gril. D'abord, nous e&tiaions que démolir sans nécessité est presque toujours une faute. On met généralement plus de bate, et moins de reflexion, a démolir qu'a édifier. Le conseil n'a certainement pas songé que notre jardin public n'a nullement le caractère d'un Bquare, mais bien plutót celui d'un pare. Or ceux-ci sont gécéralement clofurés. Une autre considération, qui parait avoir été perdue de vue, c'est que notre jardin public futjadis le jardin del'évêché, propriété pri. vée clöturée d'un mur. Le souvenir de cette destination mérite certainement d'etre con- servé, et rien ne peut naieux le rappeler qu'une cloture. II s'en fallut de peu, en 1841, que le ter rain de l'ancien jardin épiscopal ne tut aliéné. Le cahier des charges avait déja été arrêté et la vente publique était imminente. Le 28 septembre 1841, sousla pression de l'opinion publique, le conseil revint, heureu- sement sur sa décision précédente, et décida de transformer ce jardin en pare public. II 8'embellit de parterres fleuris, d® statues, d'un kiosque oü se donnaieni des concerts le Dimanche. Depuis queiques années, nous assist-jns a une déchéacce lente mais progressive du jardin public. Nous i'avons signalée dans notre numéro du 25 Janvier dernier, en même temps que nous préconisions un agrandissement qui sera rendu possible un jour par l'évacuation des locaux de la Bibliothèque. Ce projet. comme nous I'avons d>t en- trainerait uue dépense considérable et ne serait que difficilement réalisable. Nous serions déja trés heureux de voir la partie existante c-mbellie et mieux enfretenue qu'elle k® le fut jusqu'ici. M. Buyssens, l'ar- chitecte des jardins de la ville de Bruxelles, consulté au sujet de notre pare, a ordonaé les plantations nouvelles qui out faites eet hiver. A-t il ordouné éga'ement la sup pression des grilles, nous en doutons fort. Et même l'eüt-il fait,nous nous permettriorss encore de penser auirement que lui. Nous attacherions, du reste, autant de valeur, si pas plus, a l'avis d'un arcfeitecte de jaich'ns d'Ypres. Le nouveau réseau téléphonique pour Ypres, comprendra les bureaux suivants Ypres, Comines, Couckelaere, Courtrai, Dixmude, Furnes, Handzaeme, Iseghem, La Panne, Menin, Middelkerke, Mouscron) Nieupoort, Ostende, Poperinghe, Rou- lers, Staden en Thourout. Mercredi igjuillet. La Chambre consacre la séance du matin a la discussion de la convention conclue par le gouvernement avec la compagnie du Kasaï. Le projet est combattu par MM. Vandervelde, Franck et Royer il est défen- du par MM. Woeste, Tibbautet Renkin. L'après m;di M. Vandervelde interpelle M. le ministre de la guerre sur de préten- dues irrégularitós qui se seraient produites dans des marebés de fournitures pour l'armée. Après un bref écbange de vues, la Chani bre vote sans le modifier le projet Carton de Wiart étendant jusqu'a 600 fr. la compé- tence générale des juges de paix. M. Mabille interpelle le ministre du tra vail au eujst de l'application de la loi iimi. tant la durée du travail dans les mines. Un incident surgit entrale socialiste Pepin etM. le ministre Hubert. Jeudi 20 Juillet. Budget de l'agriculture. MM. Buyl et Monville critiquent certaines nominations. M. Daens et plusieurs autres membres demandeut des augmentations de eal&ire et de traitement. MM. Boval et Hoyois s'occupent de l'amélioration des étables, du logement du personnel des fermes et de l'alimentalion des populations rurales. Divers membres proposent de porter de 250.000 fr. a 1 million le crédit destiné a servir d'indemnité aux cultivateurs dont le bétail futatfeint par la stomatite aohteuse. On passe au vote des divers budgets et projets qui ont été discutés au cours des dernières séances. sff sff sff sff sff sff sff sff sff ssS Mardi 18 juillet MM. Simonis et Peltzer plaident la cause de la ville de Spa, et après eux MM.Ooppie- ters et Van der Heyde celle d'Ostende. M0 le ministre Berryer répond des sym pathies du gouvernement en faveur d'Osten de et de Spa. La creation du palais des Thermes a Ostende sera une chose excellen te. Mais il n'en sera que plus, vrai que Spa a été saerifié. Le département de l'intérieur étudiera de système de la Kur-taxe ainsi que le moyeu de subsidier Spa pour les travaux de captage d'o.-u. Pour Ostende, a co té des dépenses de luxe la gouvernement songera aux habitations ouvrières. Dans la discussion du budjet de l'intérieur, M. Vandervelde s'occupe de la po'ice des giandes villes, M. Goblet d'Alveillades con ventions entre communes pour l'éclairage I public. Mgr Koesen parlo d9 la morta- j lité infantile et demande au ministre d'aug- mentor le crédit en faveur des Gouttes de j lait et consultations de nourrissons Mercredi ig juillet Mle minister Berryer se declare tout disposé a discuter une proposition de loi, notamment celle de M. Furnémont, concer nant les traités et associations de communes. Eventuellement il déposerait lui-même nn projet sur la matière. 11 rappelle qu'il a porté de 10.000 a f 25.000 frs le crédit en faveur de l'oeuvre des nourrissons. Si ce sacrifice n'est pas suffi- sant, le subside sera augmenté. Au point de vue de l'eau potable la situa tion est déplerable. Sur 2.600 communes il en est seulement un tiers qui disposent d'une eau potable irréprochabie. M. Georges Vereruysse, rapporteur, re- mercie le ministre pour l'espoir qu'il a laissé en c« qui concerne les subsides de l'Ëtat pour construire des maisons communales dans les pecits communes. 1! y a la un abus qu'il faut faire disparaitre. II n'y a qu'un seul moyen de le iaire eu respectant i'initialive communale c'est de venir a son concours comme l'Etat le fait quand il s'agit de la construction d'égüses, ou de certaines mesures d'intérêt sccial il iutervieut même pour ainélioier le materiel d'incendie. Pourquoi faut-il que les citoyens allant consulter les actes soient obiigés de passer au cabaret Que doivent penser les étran gers qui traversent notie pays, iorsqu'ils voient des enseignes comme cell@s-ciIn den Koning van Beyeren Gemeentehuis», et ailleurs l'avis Hier vei koopt men drank suivaut l'indication de Gemeen tehuis i) J'espère que le ministre examinera la question dans un esprit viaiment large. Ici le petit cótó de la question c'est le cöté financier. Au point de vue communal, les dépenses facultatives ne sont pas les moins imporfar.- tes. Et, au point de vue de l'Etat, celui-ci n'a rien a craindre ce n'est pas du jour au lendemain que toutes les communes qui n'en ont pas vont se mettre a construire des mai- sons cornmuaales. Le mouvem mt ne se fera que peu a peu. Ja suis persuadé qu'un faible ciédit inscrit au budget suffirait a l'encourager. Ce serait un mouvement excellent, tant au point de vue de la digaité des communes, qu'au point de vue antialcoolique, car nous devons évi- j ter par tous les moyens que les citoyens i soient poussés vers le cabaret. Trés bien a droite). M. Berryer, ministre de l'intérieur. Si les provinces accordent leur intervention, Se gouvernement pourra faire sa part dans les subsides pour la construction des maisons communales, mais il y a une tnssure a gar- der. L'Etat nedoit pa3 être la providence de toutes les communes. M. de Lanier. Au unoins doit-il l'être pour celles qui n'ont pas de ressources. M. Berryer, ministre de Linté ieur. Je ne me refuse pas a examiner les situations intéres3antes mais je ne veux pas subsidier des communes qui ne remplissent pas leur devoir. M. Dufrane. Le subside aurait pour conséquence d'empêcher que les maisons communales soient installées dans un caba ret. M. Berryer, ministre de l'intérieur. Cette situation existe surtoutdansla Flandre occidentale mais, je le repète, je ne veux pas recompenser les communes qui ne font pas leur devoir. s*s Jeudi 20 juillet Interpellation de M. Hanrez sur les me sures a prendre pour assurer la défense na tionale. M. Hanrez, libéral, soutient que les efftc- tifs sont insuffisants, et que le système d'un tils par familie est injuste. II est appuyé quant au premier point par M. Wiener. Mgr Keesen combat la dot des femmes d'officiers. M.Jules Vandenpeereboom répond a MM. Wiener et Hanrez. Depuis vingt sept ans que nous sommes au pouvoir, nous avons beaucoi p fait pour l'armée. Si j'avais eu le temps de me prepa rer, j'apporterai des chiffres a I'appui de cette affirmation. Rappelez-vous les grandes oeuvres que nous avons réalisées la vieille citadelle d'Anvers rasée et transformée en une forteresse de premier ordre les fortifi cations de la Meuse qui out entrainé plus de 80 millions francs de dépenses. M. Keesen.Et les mesures que vous avez réalisées vous-mêmes M. J. Vandenpeereboom. Veuillez me permettre de faire moi-même mon discours. [On rit). Notre artillerie da campagne était démodée elle a été renouvelée complète- ment, et cela nous a couté 22 millions Nous n'avons rien fait Mais tout 1'ar- mement des différents corps d'armée a été renouvelé et a entrainé une dépense de 20 millions. Voila les dépenses générales. Mais si l'on i en arrive aux mesures pour le person nel, que I de choses ont été faites Le ministre de la guerre ne vient il pas de déposer encore I cinq projets de loi en faveur du personuel jj Pendant mon passage au pouvoir, j'ai dé- I pensé 40 millions pour améliorer les caser- 3 nes Ce que le pays veut éviter, ce sont les exagérations. Vouloir étabiir dans le pays deux grands camps et une armée de 600,000 t hommes, c'est évidemraent de l'exagération. S Jel'ai ditjadis, M. Hanrez vient de le rap- i peler. Nous ne refuserons rien de ce qui peut servir la défense nationale M jour oü surgiront des projets exagérés &no '6 les repousserons. Us Un appel aux clubs cyclistes. L'Aéro Club de Belgique, dans le bm d'organiser un service d'estafettes durant 1, prochain Tour de Belgique, fait un appd aux clubs cyclistes. Ces clubs devraient envoyer un certain nombre de leur membres avec mission de rayonner sur le parcours des diverses étape^ de se porter au secours des aviateurs devan' atterrir pour une cause quelconque, de pren! die le numéro des appareils, et de se rendrc au téléphone le plus voisin afin de téléphoner ces incidents au controle le plus proche. Les Presidents de clubs qui voudraient apporter leur aide aux organisateurs d« Tour de Belgique en Aéropianes sont priel d'écrire en désignant le nombre de leurs membres qui participeraient au service d'es. tafettes, a M. ie Président de l'Aéro-Club d« Belgique, Avenue Harnix. a Bruxelles, et faisant figurer sur l'enveloppe de leu, demande les mots Service d'Estafettes 1 Le Président ce l'Aéro-Club fera parvenii en temps aux intéressés les brassards néces saires ainsi qu'une splendide médaille com mémorative. Al occasion du Tour de Belgique, l'Aéro.| Club tentera une innovation dont elle a pass! a la Maison Englebert. II s'agit de housses.) baches imperméables destinées a recou/rij entierement les monoplans et a les préserve! des intempéries. Cette nouvelle housse, dont l'essai a donrl entière satisfaction, est réellement pratique et de l'avis de tous ceux a qui elle a eis soumise, elle est appelée a rendre les plu graods services aux hommes oiseaux. Nous avons donné hier les dernier: renseignements au sujet du Tour d! Belgique Aéropianes itinéraires qui si disputera prochainement. Nous annoncioES de nouveaux engage ments, entr'autres celui de René, Cozic Aujourd'hui la liste descriptions vient de se grossir d'unités importantes. Parmi les nouveau inscrits, signalons Védrines la' héros de Paris-Madrid et du Circuit Eu! ropéen, le merveilleux pilote de mono' plan qui nous réserve des émotions conside rables. Signalons aussi les noms des pilotes Francaii j Gaubert et Contenet sur biplans, Leprin- ce, sur monoplan et Parisot, qui s'est par- ticulièrement distingué au meeting dJ j Liége. j Voila certes de rudes adversaires qui feront la vie dure a 110s compatriotes. De nouveaux engagements sont encort annoncés, et telle qu'elle est composée actuellement, la liste des inscriptions seta- I blit comme suit 1. Olieslagers Jean, (Beige) Mon. Blériot. 2. Olieslagers Max, (Bslge) Mon. Blériot. 3. Tyck Jules, (Beige) Mon Blériot. I 4. Vasseur, (Frangais) Mon. Vasseur. 5. Crombez, (Belgej Mon. Sommer. j 6. Gaubert, (Francais) Bip. Wright, Soe Avia, j 7. Contenet, (Frangais) Bip. Wright, Soc. Avia 8. Lescarts Fernand, (Beige) Bip. Farman. 9. Haneiau Paul, (Beige) Bip. De Brouckère. j 10. Lanser Alfred, (Beige) Mon. Deperdcssin. i il. Comte d'Hespel, (Belgo) Mon Deperdussin.. 12. Cozic René, (Beige) Bip. Vi'.liame 13. Leptince Paul, fFrancais) Mon. Nieuport. 14. Védrines, (Frangaisj Mon. Borel-Morane. 15. X. (Frangais) Mon. Borel-Morane. 16. Parisot Francais) Bip. X Rue de la Station a° S3 et Esplanade n° 18 j Demaia Dimanche 30 Juillet 1911 ou verture du Sporting-Palace Ricking patinage a roulettes oü Mesdames et Mfi sieurs les amateurs de Sport viendront si divertir. BURGERSTAND van YPER Verklaringen van den 21 tot den 28 Juli 1911- Geboorten Viaene Germaine, St-Jacobstraat, Soete Joseph, Kalfvaart. Vandevivere Simonne, Kalfvaart. Geeraard Louise, Meenensteenweg. Libberecht Madeleine, Neerstraat V( rschrore Blanche, Kanonstraat. Malfait Ivonne, Zonnebakesteeriweg Huwelijken Lebbe Maurice, pasteibakker enLeupe Marie- z. b. te Yper. De Clercq Héliodore, brigardier der Gecdar merie te Genten Cornillie Eugénie, k'eerri)»' ster te Yper. Sterfgevallen Deman Irma, 2 maanden, Kaai (West). Aernout Adèlo, 87 jaren, z. b. onge Mondstraat. Decaesteker Charles, 62 jaren, z b. echtgeno' Bebarelle Alix, Lange Thoüroutstraat. CoffjjnTbéophile, 56 jaren, daglooner, n"'1' genoot Doolaeghe Marie, Neerstraat. Tresy Jeanne, 3 maanden, Doorgangstraat Parein Ignace, 82 jaren, z. b. weduwaar 1 derheyde Virginie, echtgenoot Chercbye MaI Beluikstraat. Lamote Corneille, 89 jaren, z. b. wedufB M pgot Amólie, echtgenoot Touriouse Herffl"1 Goude Konijnstraat. Vermeulen Marie, 21 jaren kantenwerkste' echtg. Minnekeer Cyrille, Zonnebekesteenw^ Deschodt .'ules, 39 jaren, z. b. echtg. W" I.ouise, Lange Thouroutstraat. Vanmaekelbergh Alphonsina, 22 dagen kerstraat. Bo"' Dimanche 23 Juillet E. GAIMANT, rue de Menin, 6. fc-r BK r— Va»

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2