GHfiOMIQUE m m m m m m m m w m m m m M. iVolf et la manifestation du 15 aout Les manifestants libéraux de Bruges et de la West-Flandre, Conseil Communal Tuindag 1911 Nos rostauralions Exigences riouvelles Dédié a M m. m Bois, récoltfs et maisons en feu bruyères en Cam pine fhronique religieuse Nécrologie A ctes officials Tombola de l'Exposilion de Bruxelles 19! O Après, cesera l'< xpropriation de la bourgeoisie, plus de royauté, plus d'arniée permanente, plus de pa trie. Nos balles sont pour nospropres généraux Et vous étiez lèt, Hl. Nolf'! s® s® iS .s® s® i®. s® 's® U? m 'if* if. if if if 0.&fii&aESgiGSei§<i Elle a done eu lieu la grande manifestation socialiste a laquelle les libéraux ont prêté leur faible concours I Combien y a-t-il eu de manifestants A ioo.ooo prés les journauxsont d'accord !l Les socialistes ont cherché a mobiliser toutes leurs troupes les libéraux ont fait les mêmes efforts. Les uns et les autres ont éprouvé une véritabie déception. Dans ces conditions qu'ils discutent entre eux le chiffre des manifestants du 15 aoüt. 11 importe peu de savoir combien mais il est plus intéressant de constater dans quelle proportion respective socialistes et libéraux s'y sont rencontrés. En fait d'hommcs, de drapeaux, de cartels, de devises le libéralis me était noyé dans le socialisme. Le suffrage universel n'est pas le but. C'est le moyen ou le levicr pour conquérir le pouvoir. Les boulevards et les rues de Bruxelles ont retenti de ces clameurs et de ces vocifé- rations Eh bien, vous ne devez pas avoir éprouvé un sentiment de grande fierté. Vous devez avoir ri jaune car les Yprois que vous représente2 vous ont mal entouré. Elle était assez peu fournie votre musique des anciens Pompiers appelée pour y jouer 1'Internationale et la marche triomphale. Les vieux doctrinaires d'Ypres ont fait faux bond. lis ont tranquillement passé leur journée en dehors du brouhaha socialiste. Ont ils compris oü les Anseele et les Vandervelde veulent les mener Est-ce que leur abstention est une pro testation contre la tyrannie des nouveaux mattres S'il en est ainsic'est qu'ils savent encore apprécier le loyalisme et nous les en félici- tons Ou bien peut être, M. Noll, les aviez-vous engagés vous-même, trés discrètement saus doute, a ne pas se noyer dans eet océan dont vous connaissez l'étendue et la profondeur. Alors vous aurez estimé, qu'a part un menu fretin, il suffisait de votre personne comme grande victime. l;-ai,o tmno plaignons Verax. Voici ce qu'en dit le Journal de Bruges Les manifestants venu de la West-Flan- dre s'étaient réunis l'emplacement indiqué, Quai au Foin. En tête marchaient les Brugeois précédés du faisceau de drapeaux du Liberale Vlaam- sche Bond, du Van Gheluwe's Genootschap et de ses sections et de la Jeune Garde Libérale. Les vice présidents de la Fédération, MM. Frans Retsin et Joseph Mamet, le sécrétaire M.Paul Matthys et les membres du comité conduisaient la délégation dans laquelle nous remarquons également M. Aimé Delanote, ancien conseiller communal, M. l'avocat Moulaert et plusieurs membres du Comité de l'Association Libérale, M, Joseph Lauwers, président de la Jeune Garde Libérale, la plupart des membres du comité du Van Gheluwes Genootschap, etc. Les Brugeois marchaient immédiatement derrière le groupe des démocrates-chrétlens et purent voir durant tout le parcours le grand succès qui alia l'abbé Fonteyne dont le public applaudit beaucoup la présence dans cette manifestation. Les différentes villes de la Flandre occi dentale étaient bien représentées dans Je cortege. Les libéraux de Roulers avaient a leur tête M. Gustave De Laere, ceux de Dixmude, M. Willy van Sieleghem, ceux d Ypres, M. Brunfaut a?ec l'excellente musique des An ciens Pompiers ceux de Courtrai, M. Ver- beke ceux de Thielt, M. Michot etc. Nous ne pouvans évidemment songer citer tous les groupes. n Les socialistes de leur coté étaient en nombre considérable, tout particulièrement ceux de Menin qui étaient arrivés par milliers. A titre documentaire simplement. Les noms de ces héros qui fièrement ont marché derrière le drapeau rouge méri- tent d'etre portés a l'ordre du jour. V1LLE D'YPRES. Séance publique ii du Samedi 5 Aout iqii. V La séance publique est ouverte a 5 h. 3o m. Sont pre's.nts MM.Colaeit, Bourgmestre- Président Fraeijs de Veubeke et Vanden- bogaerde, Echevins Fiers, Vanderghote, D'Huvettere, Bouquet, Sobry, Lemahieu et j Biebuyck, conseiliers N. Boudry, ff. de secrétaire. Absents excusées MM. Iweius d'Eeck- houtte et Begerem. Le procés-/erbal de la dernière séance est déposé sur le bureau. 1. Propriétés communales rente de ter rain. M. le Président. La ville a rrcu une demande d'achat de 23 m. c. de terrain sis au milieu des propriétés des boulevards Malou et de la Station. Ce terrain sera adjugé a raison de i5 fr. le m. c. et la vente sera faite de la main a la main, ce terrain ne pou- vant s'.rvir qu'a un propriétaire. Approuvé. 2. Plans d'aménagement de la Salie de Spectacle devis crédit. M. Colaert. Nous avons rtiju le plan des transformations a apporter a la Salle de Spectacle, ainsi que le devis. II y aura lieu de voter un crédit pour permettre l'exécution de ces travaux. Le Collége estime que le devis n est pas complet et bien qu'il soit de tradition de ne pas avoir de réunion du Conseil en Aoüt et Septembre, nous tien- drons séance le 19 Aoüt, afin d'approuver eet objet, car je tiens a ce qu'on mette au plus tot la main a l'oeuvre. Adhésion. DU M. le Président demande l'urgence pour le vote dun crédit de 75 francs pour l'excur- sion du corps de Pompiers a Poperinghe, le 20 courant. L'harmonie communale accompagnera également, mais on ne sait encore si elle devra avoir un subside. L'urgence est votée et ie crédit approuvé. La séance publique est levée a 5 h. 38 m. La Tuindag 1911 vient de disparaitre.nous iaissant un souvenir inoubliable celui d'une „vi,0 ue journees tres belles mais torrides (depuissix semaines la pluie nous est incon- nue) avec une température presque continue de 28° a 3o° minima a l'ombre. II n'en faut pas autant chez nos voisins a Poperinghe pour qu'en temps de Ker- messe on se mette bien l'aise. Mais icï, dans la petite capitale.nous avons vu le courageux père de la cité, présidant les multiples céré monies officielles, eudosser malgré tout le lourd habit brode. C'est bien le cas de dire pas d'honneurs sans charges. La procession traditionneile de N. D. de Tuine a fait son parcours habitué!, au milieu de Tadmiration générale. C'est toujours une grande joie pour les Yprois d'assister a cette manifestation religieuse qui ouvreles festivi- tés de la Tuindag en i'honneur de l'suguste patronne de la cité, Nous sommes d'accord avec notre confrère l'Ypersche Volk n qui préconise pour l'avenir le concours des quatre patoisses, a l'instar de ce qui se fait a Bruges pour la procession du St Sang. On pourrait rendre j de ainsi, sans grands frais, une partie de son sion du balion s'es? effectué dans les meiileu- res conditions, et le feu d'artifice traditionnel a clöturé les fêtes qui comme toutes leurs devancières, seront bientöt tombées dans l'oubli. Dans une quinzaine de jours aura lieu l'adjudication publique des travaux de res- tauration extérieure des retours du l ransept meridional de r.otre cathédrale. Le montant du devis s'élève i 26.699,33 francs. Cette entreprise intéressante comprend a) la restauration des garde-corps a la naissance des toitures. b) ia restauration des ardoises el voliges des bas-cötés. cla restauration des larmiers sculptés autour des arcades du triforium. Nousespérons que l'on conservera reli- gieusement toutes les parties existantes encore en bon état. II nous seinble qu'il y a encore nombre de têtes, culs de lampe, cor- niches et dessous arc-boutant bien conservés. Ces anciennes sculptures sont en général trés belles. Si l'on admiie k juste titre la magnifique restauration du portail sud, on n'admire nullement le retard apporté aux aerniers petits travaux A y effectuer. Voila prés de deux ans que les 4 nouvel es portes du pignon sont placées et on n'a pas encore songé a y placer les vitrages nécessaires. Nous estimons que les petits détails ont aussi leur importance. Avis a qui dc droit. Un dernier voeu, c'est celui de voir con- struire sans retard, avant la mauvaise saison, la petitte sacristie qui promet d'etre un petit joyau artistique digue du superbe monument religieux qu'est la cathédrale de St-Martin. i mpte nous assure-t on,a Bruxelles même, j cendie. Quatre, pores et quatre vaches ont squ'il s'aperqut qu'il n'y avait pas un seul pén. Deux autres vaches quon avait réussi a sauver ont dü etre abattues. Mardi, a 2 heures du matin, un cycliste apercut des Hammes dévorant la toiture de com lorsqu'il s'apergut qu drapeau tricolore dans le fameux cortege, rien que des drapeaux rouges et bleus lors qu'il entendit chanter et jouer a cöté de lui l'Internationale, pas une seule Braban- (jonne lorsque la canaille étala d ignobles cartels avec des inscriptions impies et réve- lutionnaires, mena^ant les capitalistes, les prêtres, les généraux et le tyran (le Roi) lui- même. II y a dix ans, M. Nolf eut rougi de se trouver en pareille société. Aujourd hui il rougit peut être encore, mais il s'y troisve, ll suit en souriant, sourire force, ayant l'air de dire Je fais comme les autres. C'est ce que nous reprochons a M. Nolf, II ne devrait pas faire comme les aulres. S'il ne veut pas du suffrage universel a 21 ans, qu'il ne se commette pas avec ceux qui l'exi- gent s'il veut le maintien de la Royauté et de nos institutions, qu'il se sépare de ceux j qui voient dans le S. U. un moyen de con quérir la République. Ecoutez-nous, M. le Depute, vous irez la maison occupée par un cabaretier, M J.-B. Michaux. II donna l'alarme. Les ha bitants n'eurent que le temps de fuiv pré- cipitamment. Le plafond s'effondra peu après leur depart. La maison a été détruite. Mardi. vers midi et demi, le feu s'es declare dans un groupe de maisons de la rue des Trieux (Bassée), portant les riuméros it, i3, 1517, et occupées par MM. F. Bariet, J. Abandonee, Z Leclercq et J. Hirsoux. Un violent incendic a détruit lundi, la maison occupée par Pierre Sbraet, au ha- meau des Bruyères. Les pompiers de Wel- kenraedt et de Herbesthal, ont contribué au sauvetage. Le feu a détruit lundi, le rnoulin Zim- mermann, piés de la Vesdre a Eupen, ainsi que trois maisons contiguè's. L eau faisait défaut. toujours plus loin. Al fondo, comme disent les Italiens. Et quand vous serez lè, vous -- incendie de mille hectares de nous prierez, nous catholiques, de vous sau- ver. Car vous savez que seuls nous sommes capables d'opposer une digue efficace a la Revolution mens9ante. Et si vous le savez, comment pouvez-vous conspirer avec elle, sans en être le complice volontaire »i Au moment de mettre sous presse nous apprenons que M. Nolf n'assistait pas a la manifestation du i5 Aoüt. Et pourtant nous l'y avons vu. II n'y a pas moyen de confondre M. Nolf avec M. Brunfaut ou tout autre radical ou socialiste Yprois. Le Proqrès nous renscignera. Un confrère liégeois donne ce b.lan Les ravages que les incendies ont exercés dans le bois de Kinkempois sont considéra- bles comme étendues, sans compter évidem- «A peine les politiciens libéraux avaien- os capitulé sur le suffrage universel que les so- j cialistes produisent des exigences nouvelles. ment la partie qui se trouve sur le territoire Interrogé l'autre jour par la Revue de d'Ougre'e. Belgique M. Vandervelde a sigoilié sècke- meut aux libéraux qu'il est hostile au Sénat, et partisan de la législation directe. Ces certains vieux renards de la Doctrine avaient imagine de rem placer par uu Sénat fort6- ment organisé lo frein du vote plural. Mais M. Vandervelde ne veut pas. Devant son veto B, aucun libéral ne s'est cal ré. Vous verrez qu'ils avaleront tout, le S. U. a 21 ails après le S. U. a 25 ans, le referendum nprio m e- u.rta suppression au oeuax apres le referendum. Et justement, c'est cette servilité qui est écoeurante et dangereuse. Le parti qui se flatte de défendre contre Fabsolutisme romain - cimmedit eu son pathos M. l'israélite Wiener les droits de la con science libre en vient a brüler, sur l'ordre de M. Vandervelde, les dieux qu'il adorait hier. Le suffrage universal pur et simple, hier encore décrit par M. Hymans, par M Dupont, par les radicaux eux-mêmes, qui parlaient de livrer combat pour le double vote du père de familie, est acclamé aujourd'hui par ces Messieurs, a qui la cra- vache de M. Vandervelde a ouvert les yeux, probablement, sur la justice et la nécessité de ce dogme politique... Quand M. Vander velde cessera d'avancer, ces Messieurs ces- seront de reculer. Quand M. Vandervcdde cessera de commander, ils cesseront d'obéir. Voila le péril. II faudrait plaindre les gens qui n'en comprendraiont pas la gravité. Ce n'est pas des actuelles opinions de cette Giroade, si bizarres, si incoliérentes qu'elles soient que le piys a sujet de s'alarmerc'est la Gironditierie des politiciens libé raux, nous voulons dire ce lüche opportu- ancienne splendeur la procession de la nisme, rerouvelé des Girondins de 1792, qui Tuindag. les pousse a s'affubler, par peur des loups, Les divers concerts donnés par l'llarmonie j June peau de loup, a hurler avec les loups, communale et la Fanfare Royale out eu leur f et plus fort qu'eux, sans s'apercevoir, les succès habituel. j malheureux, qu'ils prennerrt tout juste le "ant a Camille Viaene. Une mention spéciale pour l'audition mu- plus court cbemin de l'abattoir 1 A Hnlste. le fen a Le feu a rasé les points dont nous allons préciser les emplacements Le flanc de la crête rocheuse, couronnée d'une sapinière et qui domine la route a Sauneid le tai'lis entourant la ferme Re- nard, qui surplombe la gare d'Angleur le taillis sis a droite de la route et précédant immédiatement les prairies du Sart-Tilman, puis tout le vaste quadrilatère compris entre le chemin du Sart-TUmau a la sablonnière, f ia luuic üu 3art- i urnan a Renory. le funi- j culaire de la sablonnière et les psairies de j Beiiory. Heureusement, ce n'est guère que du j taillis d'un ou de deux ans. Un incendie a éclaté, dimanche, a Has selt, rue du Beek, dans la maison habitée par la veuve Rogiers. Un prompt secours a maitrisé les Hammes. A Diepenbeek, le feu a détruit une par tie de la ferme exploitée par la familie Steegmans. Un train allant d'Aerschot a Hasselt a incendié une parcelle d'herbages et quelques sapins situés la borne kilométrique 5 1 entre Diest et Sichem, sur les propriétés de M. Peeters, de Diest. Après le passage du train 822,allant de Hasselt Achel, un incendie a éclaté Cu- range-lez Hasselt, dans la propriété de M. l'avocat Bellefroid 23 ares de sapinières sont détruits. A Wachtebeke, le feu s'est déclaré dans une mcule de bois de la ferme Noël, hameau Papdijk. Les flammes gagnèrent la maison qui fut mise en cendres avec tout son con- 1 tenu. A Hansbeke, un violent incendie a dé truit de fond en comble le moulin a vent de M. Deprez. A Thielt, un incendie a complètement détruit six grandes meules de blé, apparte- Un nouveau foyer Les pompiers et les colons de Merxplas, sous la surveillance du personnel de la colo- nie, gardent en ce moment la contrée incen- diée. Le feu s'est déclaré mardi avant midi en plusieurs endroitsil a pu être éteint sur le champ. A midi,les pompiers de Turnhout furent derechef réquisilionnésun nouvel iucendie de bois et de bruyère était signalé entre Turnhout et Thielen oü se trouvent de grandes étendues de bruyères et de sapiniè res. Ou envoya deux éclaireurs sur les lieux du sinistre pour constater si la présence des soldats y serait nécessaire.Les éclaireurs revinrent une demi-heure plus tard, avec-la bonne nouvelle que le nouveau foyer avait été éteint par h s habitants. Le R. P. Devos, de la Compagnie de Jé- sus, aucien provincial en Belgique, est nommé supérieur de la residence du Gésu, a i Bruxelles, en remplacement du R. P Schur- mans, appelé k d'autres fonctions. sicale aux Halles, de l'Ecole de musique. C'est un succès dont nous félicitons la Direc tion et ses collaborateurs. mu Affluence trés considérable pour les festi- vités du Jeudi Jour d'aviation avec passage du Tour de Belgique. On attendait six monoplans et biplans.Nousen avons vu deux le même soir, et l'Yprois trés matinal en a vu encore deux le surlendemain. Nos braves gens des environs, arrivés en si grand nom bre, prétendent que s'ils n'ont pas vu voler ils l'ont été. Que voulez-vous 1 Avec les aviateurs il ne faut jamais dire on vole mais bien on volera Dimanche passé, 2a de la Tuindag, a été encore une journée de grande affluence. Les employés de chemin de fer Yprois,mem bres de la mutualité chrétienne, inauguraient leur magnifique drapeau, au milieu d'une grande affluence de sociétés similaires accou- rues de tous les points du pays. L'ascen- Ces lignes sont extraites du XX' siècle. Nous les dédions a M. Nolf. Qu'en pense- t-ii f Suivra-t il toujours le citoyen Vander velde En 1906.il vote contre le suffrage universej a 21 ans. II voulait 2S ans et le double vote du père de familie a 35 ans. Nous lui avons dit alors Vous irez plus loin. Aujourd'hui, il répudie le vote du père de familie Demain nous le jurons il se ralliera aux 21 ans. Plus on descend la pente, plus on dégringole. Et si les socialistes exigent la République, M. Nolf finira par la voter. Oh ce ne sera pas en un acte, mais en deux ou trois. C'est l'inévitable aboutissement des lücheurs. Et dire qu'il y a des libéraux assez na'ifs pour croire qu'on arrêtera, s'il le faut, le courant, en lui opposant une digue de sable Et dire que M. Nolf ne sait que trop bien qu'il suit le drapeau rouge. II sen est rendu A Hulste, le feu a détruit le cabaret au Toil de chaume de M.Rich.Verhelle. On dut sauver, a travers les flammes, les cinq en- fants, qui étaient déja couchés. A Meldert, une grande étendue de bois a pris feu. A Welle, le feu a dévoré la maison de Daniel Van Mol, Mardi matin, trois meules de foin ap- partenant a M. Colle, rue de l'Escaut, a iV.ont-Saint-Amand, ont pris feu. Malgré 1 intervention des pompiers de Gand, les meules ont été détruites; le foin qui reste est gaté. II y en avait 25.000 kilos. Un incendie, allumé par une étincelle e'chappée d'une locomotive,a détruit a Wies mes, entre Houyet et Beauraing, 35 hectares de bois. Mardi soir, trois meules de blé, appar- tenant au cultivateur Vanheeren, de Marcke lez-Courtrai, ont été détruites par le feu. On attribue ce sinistre a la malveillance. A Wichelen, la ferme du cultivateur Luyckx a été détruite lundi soir par un in- On annonce la mort presque snbite a Paris j du professeur Dieulafoy, président de l'Aca- démie de médecine. Le prince Henri XVIII de Reuss, branche cadette, est mort l'avant-dernière nuit, d'une attaque d'apoplexie dans le train qui l'emporlait de Kissingen, oü il venait de faire une cure. II était aaé de 65 ans. Par arrêté royal du 9 Aoüt, M' Beesau, docteur en médecine a Ypres, est nommé Chevalier de lOrdre de Leopold. Nos cordiaies felicitations a notre conci- toyen dont les mérites scientifiques et profes- sionnels sont bien dignes de eet honncur. La date du tirage qui est proche, sera fixée incessamment. Avis aux amateurs désirant gagner le gros lots de 5oo 000 francs ou l'un des 25 gros lots d'une valeur de 100.000 fr. a 5ooo fr. BURGERSTAND VAN YPER. Verklaringen van den i\ lot den 18 Oogst 1911 Geboorten Pannekoucke Walthor, Boomgaardstraat. Didier Ivonne, Langemeerschstraat. Vandatnme Emiüenne, Bragsehesteenweg Glarysse Eliane. Pennestraat. Masselus Elza, Boomgaarristraat. Dongenaere Leonie, üroote Markt Desramault Elisabeth, St-Jacobskerldiof. Toussaert Rose, Korte Meerrchslraat. Coffyi Ferdinand, Dixinudestraat. Moreau Roger, Slaehthuisstraat. Van Eisen Jules, Pennestraat Vandewynckel Gustave, Zonnebekesteenweg. Huwelijken Maertm Victor, mekaniekwerker, Burg- graeve Marie, diens'meid, te Yper. Vandamrr e Medard, bakkersgast, Allenion Flavie, z b te Yper. Dewaceker Achilla, peerdengelcider, A Alls- man Feücie, dagloonster, le Y per. Coffyn Julien, paveerder, Deliollander Ju ie> z. b. te Yper. Delvaux Rodolphe, brigadier hoefsmid, leeraar van hoefsmederij in de Rijschool, Ivonne Renier, z. b. te Yper. Sterfgevallen Clauw Albe t. 2 m., Zaalhof. Michiel Ivonne, 1 m., Zaalhof. Deweerdt Roger, l j.. Klaverstraat. Catteeuw Alphonse, 61 j., z. b. ongehuwd. Dixmudestraat. Kerrinckx Daniel, 4 m., Hoornwerk. Delcroix Julie, to m., Basculostrc-at. Vanderghote Cecile, 8 m., Dickebuschste1311' weg. Maertens Charles, 44 j., z. b. O' gehnwd, Lang13 Thouroutstraat. Bollaert Sidonie, 27 j., z. b. echtgte CapoeB Florimond, Poperinghesieenweg.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2