CONCERT FAILLITE FARINE s NESTLÉ m m w m La fête jubilaire du 3e régiment de ligne Audition ïlsendel et Mozart mentée de tö.000 fr. L'augmentation des annuités n'est relative qua ces sommes nou velles. M. D'Huvettere rappelle le projet de ligne Ypres-Poelcapelle. M. le Président. Nous avons eu des difficultés avec deux communes, celle de Langemarcket deSaint-Jean. Si nousaviocs joint le petit projet Ypres-Poelcapelle a celui d'Ypres a Bailleul, nous aurions pu compro- mettre le tout. Le conseil approuve ces majorations. Hospices Civils location de la chasse a Lampernisse.— La délibération des Hospi ces énonce que la chasse d'une pature a Lampernisse est dennée en location a M. Yan Haute, vétérinaire a Nieupert, au prix de 8 fr. 501'an. Approuve. Hospices civils cession d'un droit de chasse a Passchendaele. M. Bayart, bourgmestre a Passchendaele, sollicite l'au- torisatiön de céder a MBouquey, le droit de chasse sur un bois en régie et labour a Passchendaele, au prix de 8 Ir. 1'an. Approuvé. Instruction publique demande de creation d'une'place dej sous-institutrice.M. le Président annonce que cette question est encore a l'examen et qu'il faudra quelques jours encere avant de pouvoir prendre une décision. II proteste contre certains articles de journaux qui on dit que nous sommes des des escrocs. Qu'on ~nous aénoace alors au Parquet M. Fraeijs deVeubeke. Te ne m'emeus pas de cela. Instruction publique j budjets ipi 2, des écoles primair es~. a) pay ante b) técoles gratuites. Cet objet est remis'h une pro- chaine séance, étant surbordonné a 1 examen de la question précédente. Culte procés-verbal deyestauration des retours du transept ^Sud dó l'église Saint Martin. M. le PrésidentLa somme prévue au devis était de 26.699 fr. 39. La part d'intervention de la ville'était d'un sixième, II a'y eut/.qu'une soumission celle de M Albéric Vandekerkhove, entrepreneur i Ingelmunster, Le chiffre du devis s y trouve augmenté etporté ta 28.037^^". 90. Nous n'avons pas hésité a approuver cette sou' mission qui a déja. recu l'approbation du Conseil de fabrique. Approuvé. Classe ménagère de Vécole de Marie compte ipiobudjet ign-igi2.Le compte, en recettes et en dépenseB se chiffrant a 1.940 fr. est voté. Le budjet, en recettes et en dépenses, a 2.069 fr. n'est pas encore voté, cette ^augmentation demandant un examen préalable. Propriétés communales vente d'une le President: J'ai annoncé k la séance précé dente que la deputation permanente avait décidó que notre evaluation de 10 fr. le m. c. était insufSsante, et qu'il y avait lieu de l'augmenter d'un tiers. Nous at ons arrondi le chiffre et porté a 15 francs le mètre carré. Nous devons tacher d'obtenir la vente de la main a la main A raison du peu d'importan- ce de cette parcelle. Approuvé. Bibliothèque communale budjet igia. En recettes et en dépenses a 1.750 fr. Approuvé. M. Biebuyck. Samedi dernier a eu lieu a la salie de spectacle une representation de la troupe du Chat Noir de Paris. D'après des articles de journaux et des conversations de personnes qui assistaient a la representa tion, c® spectacle était d'une grivoiserie peu commune. La^fa^on trés énergique dont il a été apprécié par la Presse et par le public m'engage A prier le Collége de prendre una mesure pour que pareil scandale ne se re- produise plus. M. le Président. Le Collége s'est ému également de la chose, et je croisjque nous aurons l'opinion fpublique avec nous en cherchant a eviter ajl'avenir le retour de tels faits. II n'est„pas possible de froi9ser ainsi l'honnêteté.,Tout_en n'étant pas:partisan de la censure, j'estime qu'il ne faut pas que le public s'insurge contre de telles pièces. Nous prendrons done des mesures, et au besoin nous examinerons les pièces ou nous nous adresserons aux localités oü ces re presentations; ont déja été données. Les troupes qui dépasseraient les bornes de la convenance, n'auraient plus la permission de revenir. On^pourrait aussi leur refuser l'allocation ordinaire. M. Fraeijs de Veubeke. II serait bon de ne payer le non la veille. M. Biebuyck. -- On ne paye qu'en sor- f tant. M. le Président. Ceseraitdifficile, paree 'j qu'on obligeraitj quelqu'un a retarder son i départ. Un bourgmestre ou un échevin sé- jj vère pourrait toujoursylire Votre piece ne eonvient pas, nous ne payons pas avons plutöt a être plus prudents et a pren dre des mesures preventives. M.' D'Huvettere a constaté que la voie menant a l'étang de Zillebeke est actuelle- ment en parfait état. mais il existe une so lution de continuitédel'école de bienfaisance jusqu'i la maison éclusière. II y aurait lieu de prévoir au prochain budjet la continua tion de ce chemin. M. le Président. II y aurait lieu de s'entendre avec les Hospices, le Bureau de bienfaisance et le propriétaire de la pature située piés de la berge. Ce chemin est mainterant en règle. J'ai recu de l'Etat une demande de supprimer l'autra petit sentier. M. Vanderghot8 demande la remise en état du trottoir poste de la station, trottoir abtmé par suite de la canalisation d'eau. 9es tassements se sont produits de ce trot toir est ianpraticable. MM. Sobry, Baus et Bouquet sigca- lent, a leur tour, des trottoirs défectueux. M. le Président dit, a cette occasion, que l'alignement prévu pour la chaussée de Dickebusch portera celle-cl plus tard a IS metres de largeur. M. Bouquet a constaté que le réverbères étaient étemts a partir de 1 höpital jusqu'a la gare a l'heure du premier tiain. M. le Président. Nous enverrons a la société concessionnaire du gaz des observa tions sur la mauvftise observation de certai- nes clauses du contrat. Nous joindrons les vótres. Nous' donnerons également tout 1® texte de la discussion qui a eu lieu a ce su jet a la séance précédente. La séance publique est levée a six heu- res. cette heureuse situation, ou plutót qu il me soit permis d'exprimer un voeu Cest que, lors des noces d'or du 3C de ligne, avec la population Yproise, la garnison d infante rie, que vous aurez a fèter, soit plus nom- breuse encore qu'aujourd'hui, comme con- séquence des améliorations que, d'ici la, les mandataires de la nation n'auront pas man- qué d'apporter aux conditions de la défense de notre chère patrie. Ce discours est chaleureusement applaudi et une dernière coupe de champagne est vidée. M. le bourgmestre et MM.les conseillers, en se retirant de la salie échevinaie, furent salués des acclamations répétées de Vive le Bourgmestre §Vive le conseil commu nal A la caserne la fête se poursuivit par un plantureux banquet et de copieux supple ments furent accordé3 a tous les soldats a l'ocoasion de cette belle fête. $3 p. p. p. p. P La constipation et toutes ses conséquences -vertices migraines, éblouissements, lourtleuis, mauvaises digestions, maux de reinsetc Usont tou,jours rapidement guóries par la Pilule ai.t glaireiise Waltbóry. i Fr. la boite. $2- TP 8* La Chambre P C'est un quart de siècle de garnison a Ypres que le 3« de ligne a fêté le 26 Novem- bre dernier, et cette manifestation, toute d'allégresse, par l'association intime de l'élément civil avec 1 élément militaire, dont 1'union fut de tout temps si cordiale, avait je ne sais quel air de noces dargent. Dès le lever du soleil, une sonnerie de clairons suivie aussitöt d'une vibrante bra- banoonne annocQait la fête du jour.Ce réveil en musique était une surprise pour tout le monde, et bientót on entendit la marche du régiment et même tout un concert de 8 a 9 heures. Cette musique improvisée était due a l'beureuse initiative de M. l'adjudant Mahieu qui avait su en trouver les éléments dans la caserne même. La fête, commencée aux cris patriotiques de Vive le Roi conserva toute la jour- née ce noble caractêre de patriotisme. A 10 heures, les troupes, en grande tenue, se rendirent a la Grand'Place, oü, après une revue passée par M. le major Daune, elles défilèrent par plusieurs rues pour revenir ensuite a la place. Officiers et sous-officiers se rendirent a midi au Te Deum solennel chanté en tronale du Roi. Meilleure date ne pouvait être choisie quecelle-la pour un anniversaire militaire, et le nom de notre Roi bien aimé fut associé au cours de toute cette fête aux noms des chefs et A certainB noms rappelant l'événement du jour. A Tissue du Te Deum officiers et sous- officiers se rendirent a l'Hótel de Ville, pré- cédés de l'Harmonie et du Conseil communal 1 et encadrés par le corps des pompiers.|Dans la salie échevirale eut* lieu une reception cfficielle qui, malgré une certaine soIeDnité, n'exclut nullement la plus grande cordialité. M. le bourgmestre Colaert, entouré des membres du conseil, but dabord a la santé du roi Albert. Après quelques instants pen dant lesquels le joyeux cliquetis des verras se confondait avtc les congratulations sym- patliiques, M. Colaert pronon$a un toast en Thonneur du 3* régiment de ligne qui fêtait son anniversaire. La ville d'Vpres, dit il, a toujours été trés accueillante pour l'élé ment militaire. En aucun temps les rapports les plus amicaux n'ont cessé d'exister entre la garnison et l'élément civil. Nous espérons que vous resterez encore longtemps ici avec un corps d'officiers encore plus étendu. M. le bourgmestre exprime la grande estime dans laquelle il tient M. le major Daune et boit a sa santé. II salue en particu lier le capitaine commandant Willaime qui est presqu'un Yprois par son long séjour A YpreB comme par ses relations de familie le capitaine Pascal, qu'il a connu encore enfant le sergent facteur Nicolas, le seul de toute l'assistance qui était présent lors de Tarrivée du bataillon k Ypres, et enfin le premier sergent maïtre d'armes Meysliens, dont l'excellent enseignement et la carrière ubsiie quo le lendemaiQ el l sa»s ,lafe rat touSou" <té S' de I ses chels. Une médaille commémorative,avec légen de spéciale, est remise ensuite k tous les officiers et sous-officiers présents a cette cérémonie. M. le major Daune remercie M. le bourg- mestre de la touchante manifestation de Nous sympathie dont les officiers et jsous-officiers I ont été l'objet de la part de la ville d'Ypres. Citq lustres de relations courtoises et agréa- bles,dit-il, c'est un événement a enregistrer, et nous ne saurions trop remercier les autorités communales d'avoir saisi cette occasion de nous manifester ses bons senti ments. De notre cóté, soyez assurés, Messieurs, de notre grand désir de voir se maintenir P p p Le retour de M. Ripet Le vainqueur du military de New-York n'a pas encore annoncé jusqu'ici la datede son retour, mais il est a présumerquou pourra célébrcr Lundi en buit son éclatante victoire. Rien ne sera négligé pour faire de son retour une veritable solenuité. Bouquets et congratulations l'attendront a son arrivée, et le héros du jour, monté sur le cheval vainqueur, entrei a en ville escorté par les cavalierB de l'école. Harmonie communale en tête, il sera conduit k l'hötel de ville oü une reception lui sera faite par le Conseil communal. Pendant ce temps, le carillon annoncera au loin la fête. sü# 'ïP iP iP 'J$ tP tP Après les concerts tant réputés a Tournai, l'audition annuelle de musique classique du Cercle symphonique Yprois mérite d'etre classée parmi les événements artistiques les plus importants de nos regions. La réputation de cette société est déja si bien établie que de nombreux étrangers viennent, chaque année, assister a cette audition. II n'y aurait pas de témérité excessive, croyons-uous, de la part du Cer cle symphonique, de chercher a étendre encore le cadre de ses executions et, si les circonstances deraient être telles qu'une société chorale put s'y adjoindre, les ama teurs de grands oratorios n'auraient qu'a se féliciter de ca changement. Les appréci&tions los plus flatteuses ont accueilli l'audition du 26 Novembre consa et de Mozart. C'était chose méritée, et nous voudrions renchérir encore, si c'était possi ble, sur ces éloges. MM. Van Egroo et Vanhoutte po:-sèdent en leurs talents respectifs de violoniste et de pianiste toute la souplesse, l'élégance et la force indispensables a l'exécution desoeuvres classiques. De plus, leur virtuosité tracscen- dante leur parmet de se jouer des plus grandes difficultés. Analyser le programme dc cette soirée, ce serait devoir appliauer a chaque morceau les éloges qui sont dévolus a l'ensemble de cette execution. Chaque artiste en particu lier mériterait même sa part d'éloges, car c'est par le talent spécial d'un chacun et par le goüt inné de la musique qui existe chez tous ces fervents amateurs que Ton arrive a constituer des ensembles aussi parfaits. 'tP tP zP iP tP ïP sP sP iP iP HARMONIE COMMUNALE A UX HALLESSalle Pampels Dinianche 17 DëcemSyre 1911 k 5 heures. 5B 1. Marche des Sauveteurs L. Gautier. 2. Jubel-Ouverture von W'eber. 3. Un jour d'étê en Norvège, fantaisie pastorale Wilmers. 4. Brises d'Automne Ed. Missa. 5. Ballet d'Isoline A. Messager. 'P 'P 'P sP tP .iP ïP 'iP tP iP Nominations Le Conseil communal a nommé en sa séance de samedi,en comité secret, M.Daniel Tack, en qualité de membre de la commis sion administrative de la Bibliothèque com munale, et MM. Alfred Tyberghein et Daniel Tack, comme membres de la commission administrative du Musée. ÏP tP 'P 'P P P P. P P P La Sainle-Barbe a été fêtée Dimanche, par le corps des sapeurs-pompiers. Une revue et un défilé a la Grand'Place, out eu lieu a Tissue de la messe de 11 1/2 heures, a laquelle le corps assistait, comme d'usage. A 1 beure 1/2, un banquet, auquel assistaient la plupart des membres du Conseil communal, a été servi dans la Salle Iweins. A cöté des toasts tradi tioneels, ily a lieu de mentionner spéciale- ment celui qui fut porté par M. le comman dant Baus, k M. Isidore Ducorney, adju dant honoraire,entré au corps il y a soixante ans exactement. Mardi 5 Décembrè Séance sensationnelle s'il en lut Le so- cialiste Vandervelde avait annoncé^ une interpellation sur Tapplication des décrets en vigueur au Congo; en attendant qu elle vint en ordre utile, la presse socialiste se propose de mener campagne contre le mi- nistre des colonies et contre les mission- naires cathohques. Deja, Samedi et Diman che, Le Peuplo était rempli d'accusations contra les missionnaires. M. Renkin voulut déjouer cette tactique et au début de la séance de Mardi il de- manda la parole pour faire une communi cation a la Chambre. Un a uu il réfuta chacun des griefs articulés par M. Vander velde, montrant qu'ils ne résistaient pas a l'examen et que le dossier de M. Vander velde n'était constitué que de quelques copies de pieces habillement choisics par Tun ou l'autre agent pour les communiquer directement ou indirectement au dóputé socialiste. Or, ces fragments de dossiers sont contredits ou par d'autres pièces ou par l'ensemble du dossier. M. Vandervelde prétend que Taction des lois, même des lois péaales, s'arrête au seuil des missions catholiques 1 L'accusation n'est pas sérieuse 1 Un décret de 1890interdisait la possession d'appareils distillatoires, mais une tolérance exista toujours pour ceux qui ne traüquaient pas des boissons alcooliques. Mais pour éviter mèrre une apparence d'abus, le mi- nistre a ordonné récemment au Parquet d« mettre fin a cette tolérance. On prétend que le ministre des colonies aurait arrêté le cours des poursuites contre un missionnaire pour actes d intolerance il n'en est rien c'est le Parquet lui-même qui a estimé que les faits ne devraient pas être poursuivis. Et le cas du Père Dalle, car M.Vander velde E6 s'est pas gêné pour mettre en cause un grand de tiers. Au cours d'un com bat et d'une fusillade, ce missionnaire, qui était accompagné d'un agent de 1 Etat, tua un nègre il fut poursuivi et acquitté comme irresponsable le P. Dalle était atteint de la malactie du sommeille tribunal estima qu raison des troubles nerveux graves dont il souffrait et des circonstances de la cause, 11 ny avait pas ae reBponsaDuue peuaie. Le P. Dalle rentra en Belgique, il y fit un séjour de deux ans et rentra au Congo complètement guéri. M. Vandervelde estime que ce missionnaire aurait dü être expulsé M. Vandervelde s'en prend aux Jésuites k propos des fermes chapelles. On ne peut pas méconnaitre les bienfaits rendus a la civili sation par cette institution néanmoins, les Jésuites eux mêmes, ont renoncéau recrute- ment des enfants qui donnait lieu a des abus de la part de sous-ordres indigènes. M. Vandervelde s'est basé sur Tun ou l'autre rapport de M. le substitut Leclercq, mais ce magistrat est extrêmement jeune, un de se.8cbefs lui reproche de manquer de par- tialité et lui-même daus une lettre adressée au P. Allard rend hommage a Taction bien- faisante de3 Jésuites. M. Vandervelde a eu torfc d'agir comme il Ta fait; ayant recu des documents de la part de fonctionnaires, il devait venir me purler et me demander des explications qu'il n'eüt pae manqué de recevoir complètes. Mais il lui fallait un défeat public qui devait dans sa pensee tuer politiquement M Renkiu. Ce n'est done pas l'intérêt des indigènes qui Ta faitagir. M. Vandervelde a nui aux tiers qu'il a mis en cause,, a l'ceuvre coloDialo et au pays lui-même il a préféré faire passer les intéréts de son paiti avant ceux du pays. (Tous les membres de la droitevont serrer la main au ministre. Seul de toute la gauche, M. Delvaux, député libéral d'An- vers, applaudit M. Renkin.) nombre d'actes d'indigènes et d Européens en contact avec ces populations non encore dépouillées de leur férocité primitive. J'ai été 1 articul.èrernent ému des att qU63 centre les missionnaires. Quicorque a une connaissancemême superficielle de Thistoire sait que les religieux ont largement contri- bué a doter TEurope et l'Amérique de notre civilisation, et que celle-ci est de loin supé rieure a la civilisation islamique, bouddhi- que ou chinoise. Et ce qui est vrai pour le passé Test encore pour le présent et le sera dans l'avenir. Les missionnaires emploient les méthodes qu'ils croient les meilleures pour civiliser les noirs ils peurent se tromper mais il est vraiment extraordinaire de voir des cri tiques bénévoles róprouver toutes les métho des alors qu'ils n'en suggèrent aucune. M. Woeste propose un ordre du jour approuvant la conduite du gouvernement et vengeant la colonie et les missions catho liques des attaques dirigées contre elles. MM. Hymans, Tibbaut, Masson et Van dervelde prennent encore la parole a propos de la même interpellation. L'ordre du jour Vandervelde est repoussé par 80 voix contre 66 et 1 abstention. Celui de M. Woeste est voté par assis et levé. De la Soeur Supérieure de St-9ermain Veuil- lez m'envoyer encore dix boites de Pastilles Pectorales Walthéry.Je les trouve exceilentes et supérieures A tous les autres remèdes contre la toux et les maux de gorge. 1 Fr. la boite. BURGERSTAND VAN YPER Verklaringen van den l tot den 8 Dec. 1-911. ,Geboorten Mylle Paul, Rijselslraat. Derous Charles, Zaal hof. Wolters André, Paddepoeislraat. Di-hollander Roger, Kiaverstraat. Ollevier Julie, Kanonstraat. Wolters Firmin, Almoezenierstraal. Eggermont Ivoune, Dickebuschsteenweg, Cooren Celesta, Schuttelaereslraat. Vandenbilcke Albert,Zaalhof. Piommel Lydie, Bruggesteenweg. Ravau Roger, Oude Houtmarktstraat. Huwelijk Vanderhelst Alphonse, handelsagent, te Brus sel en Simoens Laura, z. b. te Yptr. Sterfgevallen Deboeuf Leon, A jKorte Thouroutstraat. Mylle Paul, 1 dag, Rijselstraat. Lapere Matbilde, 33 j., z. b. echtgte Mylle Camille, Rijselslraat. Kilsdonk Marie, 83 j., z. b. ongehuwd, Diksmuidestraat. Smagghe Rosalie, 75 j-, z. b. echtgte Room Francois, Beluikstraat. Dervaux Prudence, 78 j., z. b. ongehuwd, Wenniuckstraat. Verminck Camille, 2 m., Veemarkt. Beke Firmin, i m., Poperinghesteenweg. Beeie Ilenrielte, -4 j., Diksmuidesteenweg. Lange Thouioutstraat. ÉTAT-CIVIL DE COMINES-BELGIQUE. Naissances Germaine Deman, rue de Zantvoorde. Daniel Deseamps, Ïen-Brielen, place. Maria De- clercq, Godshuis. Emile Huyghebaert, route de Ton Bnelen. Henri Vaye, Cruiseecke. Dócès Decroix Léontino, 28 ans, rue de la Gare. - Deleu Louis, 46 ans, Cour St-Paul. Par jugement du 8 déc. 1911,1e Tribunal d'Ypres a mis en faillite, Camille UZEEL-MONCAREY,négo- ciant a Poperinghe. Les créances doivent être déclarées avant le 29 courant, vérifiées le 10 janvier 1912 et contestées au besoin le 23 suivant. M. le Juge H. Veys, est nommé commissaire et M. H. Sobry avocat- avoué k Ypres, curateur. H. SOBRY. W' P". Pi P' P* Pi P P P UNE RECETTE Mercredi 6 Décembre M. Vandervelde développe les diflérentes parties de son interpellation et a l'aide de nombreuses pièces il essaie d'en établir le bien foadé.Il s'attaque surtout aux Jésuites sur la foi de rapports tendancieux et cela tout en prétendant rendre hommage a leur dévouement et a leur absolu désintéresse- ment M. Renkin répond k nouveau a M. Van dervelde et maintient toutes les explications qu'il a données la veille. Jeudi y Décembre M. Woeste. L'acte d'accusation de M. Vandervelde est un acte antipatriotique, paree qu'il n'a en vue que d'amender i'opi- nion publique contre le Congo beige il est in juste paree qu'il generalise des faits pour pouvoir conclure que le gouvernement forfait a toutes ses promessesle Congo est encore un pays barbare et ainsi s'expliquent avoir pour robustes et bien portants, c est de les nourrir avec la LACTÉE le meilleur succédané du lait maternel. ENU0I GRATUIT m.FepnanilDsny, IS, rue du Grand Hospice BRUXELLES Almanach HACHETTE, vente, k la Libraine Ca vvaert-De Meulenaere, Rue au t> re, k Ypres, au prix de 1.50 n^gliotf XTJlGBi wxxj. v«vw«.v- 1 LI OD CALXUOXf VUUVXIV HUA CVUIACU UW XliLUUCU Uuj'gbobaot-i Ivoc, 79 j., a. h ongöbua'4 simple et facile des ENFANTS d'un» boite échantillon sur demands adressée a

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 2