Téléphone Téléplione 52 e m p- Pi tg -ie >g ne ns n@ Samedi 23 Déccmbre I 11 Ie N° 10 centimes 46 Année !V 4713 Koel Un devoir impérieux Le suffrage féniinin Conseil Communal ifSFJ: On s'abonne rue au Beurre, 36, A Ypres, et Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine, Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. A tons les bureaux de poste du royaume. Les annonces coütent i5 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les auméros supplémentfcires coüteyt 10 francs les cent .exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adresser a VAfi&t&c Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Uue crèche d'étable II11 nouveau-né couché sur la paille Et voila. ce qui u'a cessé, dix-neuf siècles durant, d'attirer et de séduire l'humanité; même incrédule Le chrétien se rit du sommeil, de la neige, de l'apre bise, et court se prosterner, a minuit, devant la miserable couchette de eet enfant Et le iche, même sceptique, que les joies du père de familie laissèrent toujours indif férent, jette soa or au pied de cette crèche, a la suite des rois Mages, et fait garnir un opulent arbre de Noè'l qui rappellera a de nombreux enfants les largesses de 1'Enfant- Dieu Noël, c'est la fête de l'Eufant-Roi c'est celle de la royauté de l'eufance. Cette royauté, l'enfant ne la garde pas seulement dans l'intimité du foyeril !a revendique même dans les preoccupations du formn. Car l'enfant, c'est la familie, c'est la société entière de demain. Sorgeons y, chrétiens, en nous proster- nant devant la crèche du Roi dos siècles. Songeons que, dans cinq mois, un assaut formidable nous sera livré, d'oü dépendra le sort de l'enfance beige. Le vainqueur décidera s'il vc-ut on non que la vieille chanson de Noël berce encore le jeune üge. Ce sera un nouveau 1879, plus violent et plusodieux encore que le sinistraprécorseur; ou ee sera le lever d'une nouvelle ère de paix. Alerte, chrétiens Tcus a la messe de minuit pour y jurer, au pied de la crèche, d'y aller de toute notre bonne volonté, de toute notre ardeur pour que demain l'hymne de paix résonne encore dans le ciel de notre clière Patrie, comme il remplissait jadis le ciel de Judée. Ainsi nous garderons a la fois et la paix de nos ames et celle de tous les foyers chré tieus. Pax hoininibus honm voluntatis Pi V- PP Pi Pi DES Al LES! (Conté de Noël) «Gloria in excelsis Deo Ainsi chantaient les anges, descendus des cieux a grands batte- ments d'ailes, pour donner leur aubade au Dieu fait homme. Et l'Enfant-Dieu qui reposait dans la crèche entendait leurs concerts, et son regard, percent le chaume de l'e'table, admirait ces nausiciens célestes,aux ailes saupoudrées d'or, planaient dans la nuit saupoudrée d'étoiles. Etle souvenir vivace de cette nuit enchan- 'eresse alimenta les rêves de Jésus durant 'out son jeune age. II hanta même souvent s°n esprit au cours de ses jeux. Jésus rêva de lonner des ailes a tous les anges de Ia terre. Fout jeune encore, dans l'atdier de son père n°urricier, il s'essaya même a confectionner des ailes. Mais ses parents étaient trop Pauvres pour lui permettre de poursuivre Pratiquement ses recherches. Et II se re'signa 3 abandonner les naïves tentatives de ses mains pour ne plus chercber qu'a faire sortir toutes pièces de son imagination l'objet de Sesj«unes rêves. II devait y parvenir bientöt. attendant, II scruta l'avenir et s'arrêta a tegarder e'voluer, dans le ciel,du vingtième s"ele, ces hommes-oiseaux, pleins de te'mé r'té> qui s'essayaient a conquérir l'espace. Et II percevait déja ce Gloria nouveau science orgueilleuse j-espace s'cst einpli de grands oiseaux étranges ans le couclianl qui met h leur blanclieur des franges h'une pourpre ardente de sang IIrai|)ce et rigide A l'horizon teudue, s Slissen! enfoncant au coeui' de l'étendue Leur hélice au rytlime puissant de la ïuand lu T erre ayant épuisésesannées ®ra senti la Mort glacer ses profondeurs, erouler pour toujours sous les Uiers déeliatnées Les vestiges de nos splendenrs. j D'un coup d'aile peut-être, échappé du désasti'e, I.'Homme, continuant l'essor originel, lra féconder l'Ombre et tracer d'astre en ast re Un sillon de vie éternel Le bon Jésus eut pitié de cette science (ollement ambitieuse mais II n'en continua pas moins de caresser son rêve de donner des ailes aux cceurs purs... Des ailes pour volei' jusqu'au palais des anges, l)ans l'infini, partout, dans le firmament bleu. Des ailes pour quitter cc monde plein des fanges Des ailes pour voler plus prés de vous, mon Dieu Des ailes pour voler aux horizons de dammes De eélestes amours désaltérer nos cceurs Des ailes pour revoir le berceau de nos ames, Vague et clier souvenir d'inefi'ables bonheurs Des ailes pour quitter nos misères profondes Des ailes pour aller oii finit la douleur Des ailes pour aller au deiii de nos mondes Des ailes pour savoir oil poser notre cosur Des ailes pour voler vers l'étendue immense Oii déja sont montés lant de 11101 ts bien-aimés. Des ailes puur voler oii s'enfuit l'espérance, Oil germent les bonheurs sur la lerre semés Des ailes pour aller a la plage hénie, Oil pour jamais enfin la tempéte s'endort Des ailes pour voler au-dessus de la vie Des ailes pour voler au ilela de la mort (i.ouis Veuillot) Jésus était encore enfant, que déja II avait trouvé la solution de sou rêve. Mais son heure n'était pas encore|venue.|[Ce ne fut que bien des années plus tard qull révéla au monde sa geniale invention. Ce fut d'abord sur la rive du lie de Génézareth qu'Il apprit a ses disciples a se soustraire aux lois de la pesan- teur et a fröler d'un pas ailé la surface des eaux. Ce fut ensuite en maint sermon fait a la multitude qui Le suivait, lorsqu'Il lui apprit a s'élever a tout instant, sur l'aile de la prière, au dessus des misères de cette vallée de lar- mes et a prendre son essor vers le tröne du Père éternel. Enfin, la veille de sa mort, Jésus ajouta un suprème et triomphant perfectiormement a son invention II cre'a le Pain des anges, le viatique du chrétien en route versl'Infini. Et voyez la folie du scientiste rnécréant 1 II dédaigne l'instrument divin qui lui per- mettrait de réaliser son rêve et de satisfaire ce désir de géant Bondir jusqu'a ce Ciel, éuigme inviolée, Et peut-étre y trouver sar la page étoilée Un autre mot que lte-tWant. Tandisque le chrétien s'empresse.a la messe de minuit et,, au son de Gloria jioyeux, y monte, avec les anges de Judée, du tröne de la creche au tröne céleste, le pautvre rnécré ant achève de s'alourdir et de se river a la terre par les chaïnes du péché et par les boulets de forcat he'rités du paganisme Et ses avions eux mêmes, dont'il est si fier, servent surtout a l'aider dans son retour vers la barbarie Parfois sur la bataille, ainsique des rapaces, Nos grands oiseaux de guerre obscurciront les cieux Pour qu'en bas dans la lutte implacable des races On puisse eneor s'étreindre niieux. Au lieu de l'hymne de paix que chantaient les anges de Bethléem, l'homme-ailé moder.ne pousse des clameurs de haine et de mort, tandisque sa main lance des grenades meur- trières sur l'humanité qu'il survole Jésus en pleura souvent, tandisqu'il cares- sait son rêve... Voici l'époque des abonnemaats. Et voici entamé un semestre qui ne slachèvera pas sans que soit décidé le sort du gouvernement catholique et avec lui 1'aveBÏr de la Patrie. Ce sort dépendra en majeure- partie de la Presse, de l'importance et de la vtiillance respectives de ses deux grandes fractions. Au fond, la situation du gouvernement est excellente le pays se i:®nd compte qu'il n» saurait être inieux gouvercé. Mais cela ne Buffit pas. La presse hostile est la,puissante et astucieuse, pour dérouter l'opinion pu- hlique et elle arrivora a ses fins si les catholiques de principe ne mettent pas a sou- teuir leur presse toute i'ardeur et toute la générosité qui s'imposent. Qu'ils en croient leurs chefs autorisés qu'ils entendent cette déclaration episcopale laite au congrès de la Presse, a iSarragosse et qu'a reprise pour son compte notre émi nent Cardinal Mercier pour la fondation ou le soutien d'uu kon journal, je retarde- rais la construction d'une église. j C'est,en effet, la loi de la génération future qui se trouvera en jeu dans la grande bataille de Mai prochain. Quel catholique digoede ce nom oserait assumer la part de respon- sabilité qu'il aurait dans la destruction de la l'oi catholique en Belgique, faute d'avoir soutenu, dans la mesure de ses rnoyens, la presse qui pent.mieux que uulle autre force, contiibuer a écarter cette terrible éventua- lité i L'histoire s'est partagée en deux parts aux pieds du berceau du Sauveur elle a replié devant Lui tous les siècles qui L'ont précédé.elle a rommé de son Nom tous ceux qui L'ont suivi. II estdevenu ainsi le joint des deux feuillets de l'histoire et l'éternel objet de l'amour ou de Ia haine des hommes. H. Perreyve. i 1 Le Christ seul sauvera la société moderne. Voila mon roi, voila mon Dieu Chateaubriand. L'école est le champ de bataille oh se dé cidera la question de savoir si, ouiounon, la société restera chrétienne. Léon XIII. i I Ifiaise a Dieu que nous ayons pour la bonne cause la passion que nos ennernis ont pour le mal Rappelons-nous la parole du juif Crémieux en 1842C'onsidérez, disait- il a ses frères en judaïsme, les hommes comme rien,l'argent comme rien... La Presse avant tout. Ayons la Presse, et avec la Presse nous aurons tout le reste.» Les Juifs, les francs-masons, les libres-penseurs ont trouvé que le conseil était excellent et ils l'ont suivi. Et aujourd'hui la presse leur ap- partient pour les neuf dixièmes, et avec la presse, selon la prophétie de Crémieux, ils ont tout le reste. La mauvaise presse empoi- sonne la nation. A nous de lui opposer la bonne presse. Mgr Gibier. «7IT asr UP GT GF (JF GGr fBT (W C® Quand cette question n'aurait pour abou- tissantjque de de'montrer l'illogisme anticlé- rical, ce serait déja un résultat trés sortable. Lorsque nos adversaires crient d'enthou- siasme Un homme un vote et que nous leur répondons Soit, mais si vous demandez cela au nom de l'e'galite', etendez logiquement cette égalilé et faites en béné- ficier les femmes nous ne les trouvons plus au logis. Les femmes sont sous la férule du clergé ce sont des sentimentales qui ne com- prennent rien aux choses de la politique ce n'est pas leur róle voila en résumé les réponses que Ton nous fait. Et, pour terminer on ajouteD'ailleurs vous n'êtes pas partisans vous-même du suf frage féminin, et vous n'agitez cela que com me un épouvantail, pour nous dégouter du suffrage universel pur et simple. Comme le dit excellemment un confrère, la femme n'a pas toujours été considére'e, dans les nations chrétiennes, comme un être sans droits. Avant "la Révolution francaise, l'électorat était 'rarement pratiqué,*mais les femmes en jouissaient commejlesdiommes. Elles l'exer^aient dans les corporations, et pouvaient'même être nomnfées a des charges ou offices. En matière communale surtout, les femmes, chefs de familie, étaient géné- ralement admises a voter, soit en personne, soit par procuration. En somme, pendant toute la durée du Moyen-Age, la femme était investie d'une capacité civile compléte. Même mariée, elle conservait cette capacité, qu'elle fut noble, marchande, ou serve. La Révolution a fait table rase des droits de)la femme. Toutefois, la dépendance com pléte a laquelle le droit) re'volutionnaire et le Code civil ont réduit la femme, a recu maints accrocs depuis quelquesjannées. Les condi tions économiques actuelles dissolvent avec rapidité .la conception jacobine. Confinée autrefois au), foyer domestique, la femme a envahi, dans le cours du [XlX^Siècle, un trés grand nombre'de professions."Les inté réts spéciaux qu'il lui faut défendre sont trés différents de ceux jque)défendent les hom mes. Partout surgissent des associations feminities, tant parmi la population rurale que [dans]slesj villes. Au seimfmême de la familleda'situation de la'Jemme s'est (modi- fiée. Les conjonctures sociales (nouvelles, en éloignant [l'homme du foyer, ,font peser de plus en plus sur la femme le fardeau des responsabilite's domestiques. Et son role moral, dans l'ordre admini- stratif communal, apparait immédiatement comme devantj'rendre^de trèsy grands servi ces. Dans l'état actuel des choses, les bars et les maisons de debauches a étiquettes va- riées, pullulent de plus en plus. Cela devient une lèpre or, qui est inté- ressée a la disparition de ces saletés, sinon la femme, gardienne du foyer, qui voit sou mari rentrer chez lui après une nuit d'orgie, délesté de son) argentjjet lesté parfois d'une chose que nous ne nommerons pas 1 Les femmes conseiilers communaux auraientjvite fait de voter un reglement qui mettrait une fois pour toutes bon ordre A eet état de chose. Voila un exemple de ce qu'elles pourront faire, et ce résultat nej)serait déja pas banal dans une ville oh la Kotjesplaag prend des proportions inusitées)partoutIailleurs. saP s# s# s# 'saP s0. 'saP. '*JP Bal Ville d'Ypres se Séance publique du Samedi 16 Décembre. Sont présents: MM. Colaert, bourg- mestre, présidentFraeijs de Veubeke et Vandenboogaerde, échevinsFiers, Van- derghote, D'Huvettere, Bouquet, Sobry, Iweias d'Eeckhoutte, Lemahieu, Biebuyck, Begerem, Bauset Seys, conseiilers; Boudry, ff. de secrétaire communal. Lecture est donnée du procés-verbal de la dernière séance, qui est approuvé. En comité secret, le Conseil a nommé M. Taek eu quafité de membre dê la Commission administrative de la Bibliothèque, en rem placement de M. l'abbé Bonte, qui a quitté la ville, ainsi que MM. Tyberghein A. et Tack comme membres de Ia Commission administrative du Musée, en remplacement de MM. Boone etBoedt, décédés. Finances communales .- Budget 1912 dépót. M. le Président annonce que le projet de budget pour 1912 sera prochaine- ment remis aux conseiilers et fixe jour au Samedi prochain a 3 heures pour la discus sion en sections, de fa^on a pouvoir voter le budget arant le nouvel an. Instruction publique dédoublement d'une classe d lécole primaire pay ante. M. le Président. Nous avions été saisis d'une demande émanant d'un certain noihbrc de parents pourobtenir le dédoublement d'une classe. Nous nous sommes adressés a la directrice qui nous a fait rapport sur la question. II résulte de ce rapport, dont M. le Président donne lecture, que 61 £élèves fréquentent la classe de MmeéVan E°cke et 33 celle de.Me"e VerhaeghefiM™* Van Eecke est surcharges de besogne et demande le dédoublement de sa classe. Dans plusieurs reunions, nous nous som mes occupés de la question et nous pouvons donner des détails précis. La question de de'pensedoit être prise en considération. En 1910, l'intervention de la ville a été. de 1177 fr. Par'contre, pour cette année„'Ja ville réaliserait un bénéfice de 108 fr. Si on prenait en) considération 1'entretien des locaux, nous serions)en déficit.Nous sommes done loin de réaliser de gros benefices comme l'ajjdit un journal. Si no'is )décidocs de créer une nouvelle place dïnstitutrice. rnoiss arrivons a cette consequence qu'il faut augmenter le miner- val et le porter de 15 a 18 fr. par trimestre. De la sorte nous Jarriverons a nouer les deux bouts a la flu de l'année. La proposition fdu collége consiste done dans le dédoublement d'une classe et la nomination d'une sous-institutrice au traite- ment de 1100 fr., suivant le barême de 1884. Mise aux voix, la proposition est adoptée a l'unanimité. M.Sobry donüe lecture d'une lettre qu'il a rer,ue du Vlaamsche Arrondissementsbond» exprimaut le vceu.que le flamand devienne la laDgue véhiculaire de cette école. M. le Président. Cette question est trop importante pour ne pas être examinée au préalable. Il convient même de con- naltre a ce sujet l'opinion du public. Le frangais doit être enseigué dans nos écoles, non comme une langue étrangère, mais comme la seconde laBgue de notre pays. L'enseignement doit être dirigé de telle sorte que les enfants soient en posses sion de la langue francaise>utant que de la langue flamande. Tout changement au cours de l'année scolaire ne peut qu'amener des perturba tions dang les études et entrainer a des dépenses d'achat de nouveaux livres. Je crois qu'après un examen approfondi de la question, nous pourrions prendre une dé- cision avant le lr Octobre prochain. Si ators le conseil trouve que l'état actuel doit être maintenu, on le maintiendra si, par contre, le conseil décide uu changement, on l'appli- quera. En principe, M. Sobry a raison. C'est le désir du gouvernemént et d'un grand nom- bre d'habitants.Je lui demanderai 8eulement de retirer sa proposition pour cette année. M. Sobry. Dependant la lettre demande 1'application immédiate... On pourraitcom- mencer ce nouveau cours en langue flaman de. M. le Président. Vous n'examinez qu'un cöté de la question. La titulaire qui sera nommée devra connaltre les deux lan- gues. II ne faut pas que les enfants en changeant d'institutrioe changent de livres. M. Begerem. Je ne crois pas qu'il exiBte une loi ou un arrêté ministériel prescrivant la langue flamande comme obli gatoire. En enseignant le flamand dans la nouvelle classe, on arriverait a ce résultat qu'une catégorie d'enfants serait élevée en flamand et une autre en francais, ce qui est inadmissible. Les parents ne diront-ile pas Nous préférons que nes enfants connaissent 500 mots en franQais et 500 mots en flamand plutöt que 1000 mots en flamand. M. D'Huvettere appuye la manière de voir de M. Begerem. Ennommant une nouvelle iustitutrice, on ne nomine pas de nouveaux élèves. La question doit être d'abord incre ment examinée. M. Sobry démontre Terreur de ses col- lègues qui contestant qu'il y ait un texte de loi prescrivant le flamand. M. Biebuyck. L'acbat des livres,comint JOURNAL TPRES s Organe Gatholique de l'Arrondissement Pensees Uiverses l fpjf. TQbL TStiL >9iiL 35 f*i f

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1911 | | pagina 1