Le Gouvernement Calholique CATHÓUQUES songez y t m m m m m La Sainte Enfance A bas les Couvents Et vivent les Loges d» m s* m SBR SÊ sst 'étÊ sA Pensées Diverses veot sssurer d'une manière progressive '*J* M ';JL •-* A court d'argumenfs, ne votez pas pour les libé raux et socialistes qui vou- draient installer chez nous L'école Neutre Ouyriers, votez pour les S.a guerre scolaire d'oü sortiraienl des Bonnot, des Gamierdes Carronyy des Vatet et autres bandits de la pire espèce. ils n'en veulent pas a la religion Tcrribles Besponsabilitès De 1884 d 191 '1, le cleryé et les couvents ont épar- gnêaux contribuables bei ges une dépense de prés de millards. Sociélé Chorale «L'Orphéon» Nécrologie L'église Saint Jacques, depuis qu'elle a changé de flèche, n'a plus un faux air de pa gode. Mais les enfants du groupe de la S" Enfance y restent toujours coiffés du chapeau chinois, et, pour les voir, lafoule sejpressera, cette année encore, dans les nefs, oü se dé- C'est au cri de «A bas les Couvents 1 que libcraux et socialistes, assoiffés de do mination e' momentane'ment unis dans un même sentiment de haine, montent a las- saut du gouvernement beige. roulera, aujourd'hui la procession des petits j De programme commun pour l'admini- Chinois. stration des afiaires publiques, ces singu- Mais elle ne s'en tiendra pas a eet innocent iier8 aiije's n'eu ont point ils ne nourissent plaisir des yeux. Elle ira a St Jacques, paree 1 qU'une liaine commune contra l'Eglise et qu'elle s'intéresse a cette|belle oeuvre de la Sle I des appétits identiques. Or, cela ne suffit Enfance; parcequ'elle voudra entendre lek pas pour conquéiir et occuper le pouvoir père Van Sevenant lui eu parler et plaider la J dans un Pays lionnête de suffrage univeisel. cause des petites victimes de lajjbarbarie, que Et le 2 juin procbain la nation prouvera nos braves missionnaires s'en vont arracher a la mort ou aux rrauvais traitements, par- fois a la dent des pourceaux. Mais tandisque le P. Van Sevenant remu- era sans peine, le coeur des mères, nous vou- drions de notre coté, en un petit prêche laïc, secouer un peu le coeur des hommes, en leur rappelant qu'il est en Belgique de vrais Chinois, plus barbares encore que ceux d'Extrcme-Orient, et de petites victimes de ces barbares qu'il leur importe d'arracher a a un sort pire que l'ignorance, pire que la dent des brutes porcines, pire que la mort physique qui nous attend d'ailleurs tous iré- luctablement. Y songent-ils assez. les hommes, que dans quinze jours, lorsqu'ils auront en main leur bulletin de vote, ils tiendront en réalité un décret de vie ou de mort pour l'êmc de milliers d'enfants beiges? Songent-ils assez que livrer la Belgique aux entreprises de la Libre-Pensée, que con- fier le pouvoir aux Francs-Masons, aux col- lectivistes et "aux républicains, c'est vouer l'enfance, la progéniture du peuple surtout, aux pircs misères morales Neparlons pas de pourceaux affamés dechair innocente il en 5r6de en tous temps, par ici comme en Chine. Un fléau plus redoutable que celui-la c'est cet enseignement neutre dontou nous menace et dont les moins clair voyants eux-mêmes peuvent apprécier le dan ger par les funestes résultats qu'il donne la oü il sévit. Les aveux forcés des mécréants abordent depuis qu'il n'est plus possible de nier le développement parallèlede l'enseigne- ment neutre, d'une part, et, d'autre part, de la criminalité juvenile, parmi nombred'autres signes manifestes de décadence morale. C'est pourquoi les Flamands ne se bornent pas a donner aujourd'hui leurobole al'oeuvre de la Su Enfance, pour la re'demption des petits Chinois. II auront l'oeil fixé sur la cieux de lui épargner le sort des enfants de Chine et surtout de France, ils se jureront de déposer, le 2 Juin, un bulletin de vote, qui traduira le fier rugissement Zij zullen haar niet hebben De schooneziel van 'tkind, Zoolang men nog in Vlaandren Een enkel Vlaming vindt. Dans les pays oü la religion est en lutte aveo la barbarie, c'est la religion qui triom- phemais dans le pays oü la barbarie est aux prises avec la philosophie, c'est la barbarie qui prévaut. Rivarol. La religion a toujours été le premier fon dement des sociétés. L'étude méthodique des sociétés européennes m'a appris que le bon- heur individuel et la prospérilé publique y sont en proportion de Ténergie et de la pure- té des convictions religieuses. Le Play. L'enseignement religieux, est selon moi, p'us nécessaire aujourd'hui que jamais. Plus une fois de plus que l'amour de la liberté est plus fort que la haine de la vérité 1 En 1857, M. Frère-Orban réussita escala- derle pouvoir au cri haiueux da bas les couvents C'était au temps du censitaris- me, regretté par les doctrinaires, oü la vie politique toute de surface, était peu déve- loppée, la pre8se peu répandue, et oü les bourgeois, électeurs 42 francs, fils d ac- quéreurs de biens nationaux, aspiraient par atavisme, a s'engraisser de nouveau des dé- pouilles monacales. Ce temps la est passé et l'histoire ne se recommence pasla bour geoisie jacobine est devenue impuissante, en attendant que l'ogre populaire, déchaite, la dévore enfin elle-même. Mais si cos adversaires marchentau com bat au cri d'a bas les couvents 1 Nous y mai- chons, nous, au cri de vive la liberté 1 Vive la liberté en tout et pour tous pour les curés comme pour les franc ma sons Ainsi le veulent notre tempérament national et la Constitution beige qui garan- tit a tous les citoyens la liberté de la pensée et la taculté d'association. Et nous, qui ab- horrons les principes mafonniques, qui rions des simagrées de farceurs se grattant dans la main et s'eDfermant dans une loge pour jouir de la lumière du 33® apparte ment, nous protestenons contre quiconque menacerait leur droit d'association. Nous tolérocs les loges car ainsi le veut le droit public d'un Pays oü les divergences de prin cipes empêchent l'union des citoyens dans la confession des mêmes vérités. Etpourtant, mieux que personne, nous connaissons la malfaisance, la perversité des principes maQonniques. Nous avons vécu les années de 1878 a 1884, alors que le pays rülait sous le joug de sept trancs magons. Nous savons le mépris dédaigneux qu ils professent pour les droits de ceux qui BejLartagenipasJeursidées. Et noos aCon- maQons de France, proscripteurs, inventeurs de fiches, rongeurs de budgets. Et, nonob- stant, nous nous ferions scrupule d'entraver la liberté d'association des ces gens-la car le droit d'association est on droit naturel au même titre que la liber té des opinions ga- ranti par la constitution. L'bonnêteté tradi- tionnelle des beiges saura toujours réprimer les abus et arrêter les méfaits et les injus tices d'une secte malfaisante. A bas les couvents dites vous. Mais les religieux n'ont ils done pas le droit, de même que les commer^rnts, les financiers, les ouvriers et toutes les autres catégories i de citoyens, de s'associer pour la conduite de leur vie et le succès de leurs entreprises Comment Nous associons nos capitaux et notre aclivité pour accroitre notre fortune dans des entreprises commerciales, et les religieux ne pourraient pas unir leurs facul- tés pour la réussite de leurs oeuvres de cha- rité, d'enseignement, de piété L'homme ne vit pas seulement de pain 1 Et les catholi- q ïes sont-ils done des parias en ce pays et les fibres penseurs, seuls, jouissent ils des droits de l'homme et de citoyen Eb bieu francs-ma^ons, juif's, gueux de toutes ïaces et de tout pelage, marchez done au combat sous l'égide de votre haineux et l'homme grandit, plus il doit croire. II y a Hbertlcide cri de guerre A bas le* cou- un malheur dans notre tempsje dirai pres- j vents 1 Nous ^terous, nous, sous les plis que il n'y a qu'un malheur. C'est une cer- taine tendance a tout mettre dans cette vie, En donnant a l'homme pour fin et pour but la vie terrestre, la vie matérielle, on aggrave toutes les misères pour la négation qui est au bout on ajoute A baccablement du mal- heureux, le poids insupportable du néant, et de ce qui n'est que la souffrance, c'est A dire une loi de Dieu, on fait le désespoir, c'est a dire la loi de 1'enfer.jDe la, de profondes con. f vulsions sociales. Victor Hugo. •r Toutes les pensées irrégulières sont des pensées impolitiques. Fontanes. Le bien-être du peuple. La sécurité des tra vailleurs. Les pensions de vieillesse. QU'ONT FAIT LES LIBÉRAUX en faveur du peuple lorsqu ils étaient au pouvoir 1 Kien Rien Kien Rien en cas de maladie Rien en cas d'accident 1 Rien en cas de vieillesse C'était le régime odieux du laisser faire de 1' advienne que pourra Et ce sont ces gens qui osent solliciter les suffrages des trav&illeurs Oui, ils ont vraiment toutes les audaces. Arrière les sans cceur Les libêraux ont voté contre ou se sont abstenus aux votes de toutes nos grandes lots sociales. En 1889, Et ces gens osent se dire les amis du peuple A bas les libéraux A bas le Cartel 1 Tous les libéraux VOTENT CONTRE OU S'ABSTIENNENT. Les libéraux, notamment M. Bara, prodi- guent M. Nyssens toutes les diatribes et tous les sarcasmes. l'école parfaite et la guerre a été déclarée a toutes les écoles particulières La neutralité est avant tout uno arme net- tement antireligieuse elle est une fourberie facile a démasquer dans la théorie comme dans la pratique. Pour s'en convaincre, il suffit de songer aux ravages de l'école neutre dans le Hai- nant, aux désastres de l'inflitration perma nente du virus anticlérical par l'enseignement soi-disant neutre :',il y aurait ici un si lamen table inventaire a dresser au point de vue de la moralité que nous nous refusons a le met tre sous les yeux de nos lecteurs. Et qu'ils ne disent pas que les catholiques pourront avoir 'des écoles fibres a coté des écoles neutres offidelles. Tous les moyens sont bons pour la franc- maconnerie dans son oeuvre de déchristiani- sation, pression, surveillance, controle, fiches, menaces, refus ou suppression d'em- plois, injustice dans la repartition des vête- ments et soupes scolaires, rcfus de secours du bureau de bienfaisance, etc., etc. PARENTS Songez a l'avenir de vo3 enfants. Songez que plus un emploi de chemin de Lr ou autre service public ne serait accordé a vos enfants a moins de les faire passer par l'école neutre et athée. Arrière les sectaires A bas Ia franc-maconnerie A bas le cartel de la partialité La neutralité scolaire est une im- possibüité et uo niensonge. les libéraux et socialistes s'eu vont déclarer que les cath< liques ruinent l'enseignement. Ils en ont menti Oui, ils en ont meuti les chiffres de f883 et de 1910 le démontrent a eux seuis. En 1883 il y avait 4,797 écoles primair., s avec 346,012 élèves. Au 31 décembre 1910 il existait 7.525 écoles primaires avec 929.347 élèves. Voila comment les catholiques ruinent l'enseionement. Les catholiques ont lavorise ïenseiguc- ment plus qu'aucun parti ue saurait le faire. Et gr&ce aux écoles fibres, les catholiques fout réaliser l'Etat une colossale éc- nomie. 'tt$ 3# 'st$ .'s# JÖ# SflP «flP du vieux drapeau beige de la liberté en tout et pour tous. Et nous avons la conviction profonde que la Belgique honnête suivra, le 2 Juin prochain. notre cri de ralliement. Vive la liberté I M.G. •J$ ït$ ':j# est un grossier mensonge L'école neutre est l'école matérialiste et athée La franc-maconnerie n'a eu qu'un mot a dire et tous les parlementaires libéraux ou socialistes, qui déclaraient nettement il y a Le moine est un héros, et Pon ne peut me- <luel(Jues mois e^ore que l'école neutre était surer la taille de cet homme. irréafisable, trouvent qu'elle est devenue du Firmin Sue a C0UP '^co'e idéale, qu'il faut imposer a tous g les Beiges directement ou indirectement. Le mot d'ordre a été donné par les Loges, et en même temps l'école neutre, quoique DIFFICILE A RÉALISER selon M. Hymans, quoique CHIMERE pour M. catholiques. le véritables dé- fj Lorand' quoiqueirréalisable pour - x i M. Vandervelde,quoique IMPOSSIBLE lenseurs de VOS intérêls pour M. Lafontaire et autres est devenue rWfc aÜ 'ft* A» A* Mfc üift Am AS' Ceux qui se souviennent de la loi de mal heur, des souffrances et des privations qu'elle fit endurer des odieuses partialités qui en furent la conséquence, ne toléreront pas que notre patrie retombe sous le jong d'un Gou vernement anticle'rical et sectaire. Nous voulons la liberté du pauvre comme du riche. Nous voulons la liberté de conscience pour tous. Nous dénongons cette situation cruelle oü furent mis les pères de familie, qui eurent a choisir entre le pain et lame de leurs en fants. Notre terre' de liberté ne doit plus connai- tre de semblables erreurs et cependant, le cartel ose dire que c'est la loi de 79 qui a leurs préférences. Arrière les fanatiques de la gauche Votez pour les défenseurs de la liberté de conscience, pour les candidats de l'Associa- tion Catholique SEN AT: MM. VERCRUYSSE FRAEIJSde VEUBEKE VAN DEN PEEREBOOM Suppléant LANDAS CHAMBRE .- MM. COLAERT VAN MERRIS BEGEREM Nous ne cberchons pa3 le contester, ouic'est l'Eglise catholique que nous com- battons. (Extrait du jourr al La Flandre Libérale.) G'est un des plus grands devoirs du so cialisme d'unéantir le christianisme. Nous ne pouvons donner a Dieu que notre mépris et notre malediction. Notre devoir e3t de débarrasser le monde au plus tot de sa san- glante domination. (Extrait du journal Le Peuple) Vous dépensez beaucoup d'argent pour vos églises, nous en ferons des salles de mee ting le jour oü nous serons leB maitres. (Demblon la Chambre.) Et c'est sans douto par respect pour le Christianisme et amour de la religion que vous invitez Les maigres et les venfrrs creux, qui veulent vivre un jour de paradis sur la terre et aller a l'enfer la pense bien garnie, a prendre part a un banquet gras le 5 avril, jour de vendredi saint 1 Journal de Charleroi, avril 1912.) On pourrait multiplier ces cxemples! Mais a quoi bon Le bon sens beige ue sera pas dupe de la fourberie et de la duplicité des énergumènes du cartel. ARRIÈRE LES TARTUFES 1 ARRIÈRE LES HIBOUX 5$ ïi$. !J$ tt$. 's# j>' pi pi- pi pi pi pi pi, Parbleu 1 a la veille des éleclions ils s'eu diraient presque les défenseurs 11! Les hypocrites du cartel connaissent trop bien combien sont profondes les racines de la foi dans l'ame beige pour oser l'attaquer de face au moment d'une consultation élec- torale. Ils vont au peuple couverts de leur four berie coutumière, chercbant a rassurer nos populations. A bas les masques Prenons les Francs-Masons sur le vif, s'il vous plait. Électeurs, lisez et réfléchissez Les croyanis de n'importe quelle espèce ne peuvent plus exister. Les églises, les cou vents, les chapelles doivent ètre démolis et réduits en poussières. (Extrait du Vooruit.) Etre libéral, eest vivre en hostilité avec la foi. (Extrait du journal La Chronique.) Les catholiques d'age rnür u'oublie- ront jamais la cuisante lec;on de 1879. Rappelons-la 'aux nouvelles couches électorales. G'est un seul CATHOLIQUE brugeois mauvais catholique a l'heure du scrutin qui porte la responsabilité de celte nefaste LÓI DE MALHEUR que son vole permit 'au «gouvernement des 7 ma?onsde faire sévir dans notre catholique Belgique. Cette loi ne fut votée, en effet, qu'a 1 seule voix de majorité, celle de M. Boyaval, sénateur libéral pour Bruges, élu lui-même a 1 seule voix de majorité 1 On fréinit la pensée des conséquen- ces que peut entrainer le vote d'un seul électeur la responsabilité effroyable qu'encourt un catholique qui se laisse guilder dans son vote par de viles con siderations d'ordre personnel, peut-être même seulement par le souci de satis- faire une rancune, une antipathie, un léger froissement 1 Eh bien 1 celte fois, c'est cha'cun des catholiques yprois qui se trouve en face d'une responsabilité beaucoup plus grande encore. Le parti libéral a bien évolué, en ef fet, depuis 1878. Son ideal, aujourd'hui, c'est la politique sectaire et jacobine qui sévit en France. Cette politique se ra inslaur'ée deinain en Belgique si nous livrons, le pouvoir au bloc anticlérical beige. C'est notre vole qui décidera si Dieu doit être mis a la porte de nos prétoi- res, de nos liöpitaux, de nos hospices, de nos écoles,de nos églises même, vouées a la spoliation et la ruine et transformées en salles de meeting Nous n'exagérons rien les1 fails et la logique imposenl cette conclusion ri- goureuse. II n'est pas permis un es prit droit de le rejeter, une conscien ce catholique de s'affranchir du devoir impérieux qu'elle leur trace. Que tout chrétien qui ne veut pas romp re avec sa Foi pèse bien Jou te la gravilé de l'acte qu'il posera dimanche 2 juin. j f i Ij. (II 'I: pi)'pi pi p-, jf. pi pi pi pi 'pi La soirée musicale, au local de la société, offerte avec le bienveillant concours du Cer- cle Symphonique sous la direction de M. Albert Van Egroo, d'abord flxée a Jeudi der nier, est remise a ce jour, Samedi 18 Mai, a 8 1/2 h. du soir. On annonce la mort de Messire Camille de Gbeus d'Elzenwalle, décédé a Bruxelles le 12 Mai 1912. D'après le désir du défunt, il n'y a pas eu de lettres de faire part. LOI SUR. LES HABITATIONS OUVRIÈRES. En 1889 encore, LOI SUR LE TRAVAIL DES FEMMES ET DES ENFANTS. En 1895, le Gouvernement institue LE MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE ET DU TRAVAIL ET ORGANISE L INSPECTION DU TRAVAIL. En 1898, LOI SUR LES UNIONS PROFES- SIONNELLES En 1900, LOI SUR LES PENSIONS DE VIEIL LESSE. En 1903, LOI SUR LA REPARATION DES ACCIDENTS DU TRAVAIL. En 1905, LOI SUR LE REPOS DU DIMANCHE. VOTE HOSTILE OU ABSTENTION DES LIBÉ RAUX. VOTE HOSTILE OU ABSTENTION DES LIBÉ RAUX. VOTE HOSTILE OU ABSTENTION DES LIBÉ RAUX. ABSTENTION DES LIBÉRAUX. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 2