;LA LEOON D'ANVPSj 75 Couvents a Ypres m m www&m&wwwm Leurs griefs Echos de guerre SAUVONS ft OTPs E CO LOME Pensées Diverses L'éloquence des fails législation sociale da parti catholique is Vivent les Couvcnts Comparons Comment on remplit les po hes des curés Nous sommes tondus Ln défi relevé..., et accepté Elections Provinciales du 9 Juin 1912 vermeulen"benoni ,U«r digues religieuses, morales et sociales que notre catholique Belgique opposait victorieu- sement jusqu'ici aux funestes déoordements de la marée francaisc. La nation beige a sa personnalité vigou- reuse, que la diversité des langues el des caractères est incapable d'effacer. Aussi, chez ceux de nos compatriotes oü l'une des carac- téristiques beiges est affaiblie ou dévoyée l'attachement a la Religion, par exemple, la personnalité nationale reste souvent assez puissante encore pour que le sentiment pa- triotique résiste victorieusement a toutes les influences contraires a ses intéréts vitaux. C'est pourquoi les ennemis beiges de la patrie échoueront, une fois de plus, dans leurs menées antipatriotiques lis auront beau réussir a entratner a leur suite une foule d'esprits peu réfléehis, égarés par la passion sectaire ou par un vil intérêt personnel, la masse ne perdra pas la tramon tane, et le bon sens national comptera une victoire de plus, au bénéfice de la patrie. Car c'est bien moins a une lutte politique que la nation beige est conviée, pour le 2 Juin, qu'Ü une bataille défensive dont l'enjeu n'est rien moins que la patrie elle-même; non pas, sans son étendue territoriale pour le mo ment du moins mais dans ce qu elle a d'incomparablement plus précieux son esprit, ses moeurs, sa jeunesse, son avenir. Alerte, les patriotes if if. if*, if*, if* if. if. if if- if Pas Lui, mais Barrabas Qu'on soit croyant au non, qu'on fasse la connaissance de Jésus dans les Livres Saints ou dans les vies de Jésus de ses pires .ennemis, de ceux qui nient sa divinité et dé- naturent sa vie et ses enseignements, il est un fait qui échappe a toute contestation, C'est que le Christ passa en fa'sant le bien c'est que sa doctrine était toute de paix et de .charité; c'est qu'Il consola toutes les douleurs et guérit toutes les misères morales et physi ques c'est que, jusqu'a la veille de sa mort, les foules se pressaient avides sur ses pas, Le fiénissant et L'acclamant. Aussi reste-t-on confondu au récit de l'at- titude de cette foule la nuit de la condemna tion du Christ, lorsqu'elle Le voua au sup- plice et Lui préféra Barrabas, le précurseur des modernes bandits. Cependant, s'étonner de cela c'est mal con- nartre la psychologie des foules. La versati- lité et l'ingratitude de l'ême humaine, surtout chez le vulgaire, sont choses déconcertantes mais réelles. La foule subit avec une rare facilité l'ascendant des meneurs. une poignée de prêtres et de fonctioonaires qui se croyaient mrnacés dans leur situation, et quelques pharisiens auxquels sa morale portait ombrage. Mais cette poignée d'ennemis sut mettre assez d'ardeur dans ses menées hostiles et prendre assez d'empire sur la foule pour l'en- trainer a sa suite et la pousser a la plus noire ingratitude. Ainsi en va-t-il dans notre politique beige. La nation, dans son ensemble, le pcuple surtout, reconnait et apprécie hautement les bienfaits du gouvernement catholique. Mais il suffit de quelques milliers de francs-ma gons et de juifs, de fibres penseurs et de pharisiens que gêne la morale de l'Eglise, il suffit de leurs intrigues et de leurs calomnies intensives pour dérouter l'opinion publique et rallier a leurs visées une foule de bénéfi- ciaires de la sage et féconde gestion catholi que. Entre le gouvernement catholique qui, en l'espace d'un quart de siècle, a fait de la Belgique le pays le plus prospère et le plus heureux du monde, objet de l'admiration ja- louse de tous ses grands voisins, et, d'au- tre part, les libéraux unis aux collectivistes, véritables Barrabas politiques, l'hésitation n'est pas possible, un seul instant, pour tout esprit doué du bon sens beige. Et pourtant, chose incrovable mais cer- laine, vous verrez, le 2 Juin, une foule de Beiges imiter les Juifs de Jérusalem et crier, eux aussi PAS LCI, MAIS BARRABAS •f *f jf if* sf iff if. if if \if Quand on veut se défalre de son chien, on trouve toujour s un baton pour 1'abattre. Nos adversaires, acharcés a la perte du gouvernement catholique, trouvent jusque dans ses meilleurs actes matière A critique. 11 n'est pas jusqu'a ses faveurset largesses, d'ailleurs guidees par l'impartiaiité non moins qu'inspirées par le patriotisme, qui ne soient dénaturées, travesties et blamées. Tout récemment le gouvernement accor- dait aux officiers de la garde civique des reductions de tarif de 50 sur le chemin de fer, dont ils étaient fort désireux de jouir. Maintenant que c'est chose faite, vous croyez apparemment qu'ils y sont allés d'un petit merci Erreur profonde Lisez plutöt le Progrès d'Ypres, con- f fident préférédes officiers citoyens. Ges der- niers ne se montrent évidemment pas faches du tout de pouvoir parachever économique- ment leur instruction militaire, dans la capitale ou ailleui'S, et aller voir, en pas- s>nt, la Muette de Porticiou la Belle Vivandière question de retremper leur patriotisme, menacé d'anémie dans les pe- tits tious de province dép>urvus de Stand. Malgré tout, ils en veulent au gouverne- 5 ment catholique de cette générosité. S'il sont content?, pour leur part, ces da- mes, elles, ne sauraient l'être. Elles ne sont pasen repos quand lei.rs époux, leurs fils, j leur amants (sic) se balladent dans la capi- tale. Loin des yeux... Décidément, le fabuliste a raison. II est difficile de confeuter tout le monde et sa temme... ou sa maitresse. if if sf if »f; sf sf sf sf sf J La conclusion in exit emus 5 du cartel anticlerical, a Anvers, dans les conditions humiliantes j i 011 les libéraux le contractèrent avec laminoritésocialiste, achève de prouver a toute évidence, et conformément a l'aveu de la Chronique», que le partilibéral n'existe plus que pour sa liquida- tion, et que le jour oü les anticle- 1 ricaux deviendraient les maftres i du pays, ce seraient également les dans la parlie en jeu que cesoDt elles qui 1 socialistes oui dirip-eraient la do- e'coPe!ont sartout si h* ennemis de la fa- sociallsres Qlu airigeiaient ia po l'éducation chrétienne arnvent a dire t'irréligioo obligatoire de 1 école, la criminalité juvéoile a plus que doublé. Oq a vainement quadruplé le nombre des j agents de l'ordre publique. On sapsrcoit, j trop tard, qu'nn seul curé, armé de son ca- téchüme, remplaga.it avantsgeusement dix gendarmes, armés de carabines a répétition. if 'sf 'if. if if if sf sf ïf sf De tous cotés nous arrivent les meilleures nou vel les au sujet des prodomes de la grande batsfile. Les indices de victoire dépassent, toutes nos espérances. Sur le turf électoial, les bookmakers don- nent maintenant a CENT CON1RE UN le team libéro-révolutionnaire Hymans- Vandervelde. Décidément, la Belgique n'est pas encore prête a. courir !es folies aventures et a te/, ter le saut dans l'incoccu. Elle n'est pas encore fatiguée ni de son Dieu, ni de son Roi, ni des héros ni des hércïoes de la charité chrétienr e. Elle s'est rendu compte que Iheurecst grave et quo ses intéréts vitaux sont en jeu. On ne badfi e pas avec ccs chose -la. if if if if .if. if if .if if -if 11 faut qu'elles s'en mêlent Une des propagandes le3 plus nécessaires a faire par nos amis, c'est da convaincre leurs parentes de 1 intérêt qu'elLs ont a apporter leur coup de main, leur coup de Jangue si elles prélère.-t a la bataille du 2 Juin. Nos amis leur feroat comprendre sans peine qu'elles soot les grandes intéressées en jeu litique gouvernementale. ifififififififififif L'avênement des franc-wagonsen nemis des misssonnaires, entraverait et comprometterait le développement du Congo, mettrait en péril sa position effective et fer ait perdre it la Belgique lc fruit de ses sacrifices de sang et d'argent. if if if if -sf «f sf rf gf jaf Pour remplacer le Christ, symbole poi- gnant de tant idéal, on peut dresser l'écha- j faud en permanence devant chaque école, ou en a' mais Jus(lu'a ne réussit qua cultiver la lAchetéet la ruse, terous I a modifier les formes de la criminalité, a ac- ^es recenseurs croitre surtout la formidable réserve de violence virtuelle, et a préparer un grand soir, dont frémirait d'épouvante le naif et timide Ravacho). Lc fibre peuseur G. Deherme. Si le drapeau rouge porte une pique au bout de la hampe, c'est pour traverser les j rangs de la réaction et arriver, en culbutant les hordes des capitalistes et des réaction- naires, a la lévolution sociale. Le journal socialiste Le Peuple Derrière les révolutionnaires triomphants et satisfait8, on entend tout de suite rugir la béte populaire dont on a excité les appétits gloutons. 11 faut lui donner a manger. Mange du religieux J'ai faim enco re Mange du prêtre, mange l'Eg'ise J'ai faim Mange la justice J'ai faim! Mange la force protectrice du droit- J'ai faim I Mange du bourgeois Toujours faim C'est fini, il n'y a plus rien Eh bien, c'est vous que nous allocs manger I Et la béte mange, jusqu'a ce que Dieu arrive et dise A mon tour Monsabré. Le tigre qui déchire fait son métier le vrai coupable est celui qui le démusèle et le lance sur la société. J. de Maislre. if if if. if. if if if. if. if 1$ Le Progrès se plaint d'un dessiu fort avggestif, paru, y a quelques semaines, dans l'excellent journal sitirique Le Sif- flet II y a plus suggestif et plus éloquent que ce dessin, et la France entière s'en plaint et s'en alarme, mais tardivement. C'est le ta bleau de la statistique judiciaire et France. II montre que depuis la mise en exécution de la loi scoJaire, prescrivant la la'icité c'e»t if if if if 'if if if if sf if. Témoignages d'adversaires ^Nous nou? trouvons en présecce du plus complet effort législatif dont l'histoire puisse, en aucun pays, nous cffrir l'exem- ple. (Le publiciste fraugais F Fayen.) Le parti catholique peut avoir la fierté d'avoir élaboré la p'uparf de ces lois. (Destiée, député socialiste.) Nos lois ouvrières, de loin supérieures a celles des autres pays, placent a ce point do vue, la Belgique au premier rang des nations de l'Europe. (Hollevoet, bourgmestre libéral de Molenbeek.) Les réformes en faveur des ouvriers ont été faites par le ministère catholique. (Vooruit, de Qand.) Et dire, que par ces temps d'élection les journaux de l'opposition s'attacheiit a déni- gret- cette magnifique oeuvre sociale, dont jadis ils reconnaissaient l'incontestable effi- cacité. X. I au pouvoir. I Pour les mères de la classe pauvre no- tammeni.il y a en jeu une question de liberté de conscience qu'elles ont intérêt a défendre de toutes leurs larmes et de tout leur coeur, car c'est avec des larmes de sang qu'elles en déploreraient un jour la perte. II faut que les femmes s'en mê'ent. Ce que femme veut, Dieu le veut 1 jf' jf' f' f' f' f' lis se sont trompés de vicgt cicq mille, au ba.s mot, les statisticiens cartellistes chargés de dénombrer les repaires de la vermine noire en Belgique. Rien qu'a Ypres, ce n'est pas 20 qu'il y tï*ois quor- du cartel ont oublié, en fffet, les nombreuses maisons oü séjournent des re igieux pour y soigner des malades libéraux, socialistes ou catholiques. Et de ces couvents-!a, comme de la maison oü Clémenceau et Léonard viennent de se faire soigner par des religieuses, s'élève le cri unanitae Les athénées de Selgique regoivent an- nuellement de l'Etat et de la commune 2,599,358 frs. (en 1909) et ils sont exemptés de payer l impöt. lis donnent 1 instruction a 6 073 élèves. Chaque élève coüte done aux contribuables environ 430 fr. par an. Les Colléges des Jésuites ne recoivent pas un centime ni de 1 Etat ni de la commune mais ils paient au fisc comme impots, 15 fr. par élève soit 90.000 fr. Différence 2 599.358 90.000 2 689.358 fr. qu'ils économisont chaque anriée a l'Etat. •SP ïf ïf tf ïf if if ^f if ïf En vertu du Concordat et titre d'indem- nité pour les bi ns d'Eglise expropriés par l'Etat lors de ia Révolution Franqaise, le Gouvernement prévoit annuelleirjent pour le clergé un budget. En 1865,avec une population de 4 98't,351 habitants le budget des cultes éfant de 5,454,000 fr. soit 1.09 par habitant. En 1911 ,avec uce population de 7,516.000 habitants, le budget était de 7.409,800 fr., soit 0.98 fr. par habitaut. Alors que tou< les autres budgets de l'Etat out augmenté en ces cinquante dei- nières années le budget des cultes a dimiuué de 10 °/o, en égard au chiffre de la popula tion. Voila comment on gave les curés et les couvents •f if if, if if. if. if if- if- if Les cartellistes n'en veulent pas a la religion C'est ce que. chantent. Jsur tous lesHns les journaux de l'opposition, qui, en previ sion de3 élections, essayent de tromper la masse des électeurs. Le Peuple, la Bernière Heure, I'Etoile, la Flandre libérale (a laquelle le Progrès va prendre ses articles de polémique) touteB ses feufiles, dont la rage apticléricale est notoire et le fanatisme antireligieux est des plus accentués, toutes entonnent le refrain de la tolérance religieuse. Pour se convaincre du contraire il suffit de jeter uu seul co.up d'oeil sur les affiches qui s'étalent partout dans toutes les grandes villes depuis la série de la carte des cou- vints jusqu'aux affiches représentant un moiie s'empiflrant de victuailles et se ver- sant de copieuses casades. Lrs sceurs, les curé3, les moines y sont représëntés de fagon grotesque palpant les gros dividendes au nez des prolétaires dé- confits, vendant leur dévouemeut et leur charité contre des espèces sonnantes, ex ploitant daDs les écoles les fi lettes et les garcons 11! Non, ils n'en veulent pas a la religion et a ses représentants. Mais dans letirs feuiilt? ils fêtent les cartes aux couveLts et se livrent sous le titre de la Tache none dts calculs et a des constaiions les plus fantai- sistes. Ils n'en veulent pas a la religion, i'avènc- ment du régime blocard irsaugurera une ère de paix morale et de quiétude religieuse. Voila ce qu'ils disent. Et dans les meetings, dans leurs manifes tations, dans la rue, dans leurs discours revient toujours lecri «A bas les couvents», qui est l'unique terrain d'entente de la coa lition libéro-socialiste. ÉLECTEURS, détrompez-vous. C'est a l'assaut de l'Eglise que Be lancent nos adversaires c'est a la destruction de la morale et de la religion que s'attellent les partis de l'opposition. Ils font lejeu des Loges et des sociétés secrètes, ils veulent instaurer dans noire pays, amoureux de la liberté, un régime de persécution religieuse ct le régime de la morale laïque. Le triomphe cartelliste sera 1 introduction d'un régime de vexations sans nombre et ..'oppression systématique. Lame de vos enfants, toutes nos libeités constitutionnelles sont en jeu, électeurs, souvenez vous en. sf sf sfsf sf. sfsfsfsfsf Voila ce que clame le Progrès en expo sant, sans s'appuyer sur la moindre statisti que, la politique douanière du gouverne ment. Ce dédain des chiffres est une des caracté- ristiques essentielles de la polémique du Progrè3 et pour cause les chiffres dé- truisant toujours de fond en comble ses assertions les plus gratuites. Sommes-nous tondus Nou. Les statisti» ques suivantes le piouveront de fa^on pé- remptoire et éclatante. M. Hector Denis, a reconnu, a la Oham- bre que chaque Beige paie quotidiennement sur sa consommation utile la somme énorme de 1 centime et demi, et qu'aucwt pays ne prélève une taxe aussi réduite sur la con sommation. En France, ou le régime blocard, l'idcal je nos partis d'opposition, est au pouvoir, les droits de douanes sont autrement élevés. Qu'on en juge Marchandises Taxes par 100 k. en France en Belgique frs. frs. Grains 2.50 a 11 0 Riz 8 0 Farines 4 k 16 2 a 4 Pain 7 0 Pates aliment. 16 4 Lait 2 50 Fromages 15 0 (Buis 6 0 Pommes de terre 0.40 3 0 Légumes secs 3 k 5 0 Café non torréfié 136 0 Ubicorée 3 A 8 0 Cacao en i'êves 104 0 Thé 208 0 Sel 3-30 0 Taureaux, boeufs vacbe8, vcaux j 20 a 25 3 q 5 Moutons, agneaux 25 1 a 2 Porcs 15 0 Viandes fraiches 2u a 35 15 ou 30 Coi, serves 2 0 Lard 35 0 Saindoux 30 0 Poissons 5 a 48 0 En 1909, les droits sur les boissong et produitsalimentaires ont prodqit 19,359 5",9 francs. Quoique ce faux paruft considérable (soit 16 p e.) en examinant le détail on remarque qu il s applique aux consommations de luxe. Eu y ajoutant les 3 millions pertjus sur les avoines, on a 16 millions de droits n'inté- ressant aucunement la masse des consom. mateurs. Est-ce assez concluant Le Progrès a le triomphe facile paree qu'un certain M. Cnudde, alléché par les 25,000 francs offerts par la Ligue anti- magonDique, s'est fait fort de prouver la véracité de la légen ie des 20 millions au? couvents. Pour tenir nos lecteurs au courant de cette palpitante affaire, nous reproduisons la leitre enveyée a M. Cnudde par la Ligue t anti-magoDnique Un défi a M. Cnudde M. le président de la »l.igue antimagonni- que» ne lache pas le piésomptueux M, Cnudde, qui avait parié 20.000 francs de prouver que la projet de Broqueville attri- bue20 millions aux couvents. Voici la lettre qu'il vient de lui adresser Bruxclles, le 17 mai 1912. Monsieur Cnudde, Instituteur, SyDgem. En réponee a votre nouvel express,je voue ai envoyé le télégramme suivant Cnudde, Instituteur, Syngem. Ne pou- vons admettre nouveau retard. Produisez dccuments, arbitres trancheront. Si mémoire conclusions documents justifict n tifs reguB avocat Andié Bruxelies lundi soir et consignation 5 000 fr. frais éven- tuels procés, défi sera considéré comme non relevé d'après conditions afflehé. Signé Comte de Renesse et Brifaut. En voici !e complément. L- s anticléricaux du pays tout entier avec ur,e mauvaise f'oi insigne, prétendent que equs ecu3 dérobons au débat propoBé par vcus. Il faut que les retards et les discussions préjudicif-lles de documents, preDnent fin immédiatement pour faire place une mar- che réguhère conforme a la procédure ordinaire en somblable matière Les arbitres désignés auront a apprécier la valeur de vos sources en même temps que vos conclusions. Dans ces conditions il faut qu'au milieu delasemaine procbaine, le débat ait pus fia et qu'en temp3 vouluavant les élections, nous puissions en publier le réaultat. 11 serait trop facile d'avoir atténué l'efïet du défi par une manoeuvre qui ne serait qu'un dérivatif et un expédient, Recevez, Monsieur, mes salutations dis- tinguéei Quant a M. Cnudde, nous croyons volon- tiers qu'il se dérobera a la démonstration de sa thèae et que, malgré toute sa sollicitude a soulager la sort des victimes de la loi scolaire cléricale de 1884, il en sera pour ses frais. lis sont bien trop verts. f* if* if if* if if* if* if. if ARRONDISSEMENT DYPRES Les Candidats suivants ont été présentés lr Canton D'HUVETTERE IWEINS d'EECKHOUTTE Catholiques. Candidat isolé. VERMEULEN RENÉ, libéral. 9 S BB 2e Canton BIEBUYCK de THIBAULT de BOESINGHE. VANNESTE, Catholiques. DECOENE GEORGES, libéral Mi Loo aoulo onnomi c qnVAt 1 t* Chriftt, c etait .imi i r--

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 2