CON GERT m m m m m m m m m m m ss sê sa m m m m *#s m ws m w* m w mm L'Enfer Plus que 22 ans 3t sÊ. M ëfll m sÊ SA s#: SS Pensées Diverges L'entente clérico-soeialiste dans l'arrondissement d'Ypres Le Progrès et le 2 Juin Les écoles de Cavalerie a Ypres Les élections en Flandre Occidentale *5 #5' Wi m tf: Incriminations après la défaite Le Beige, foncièrement chrétien, malgré teut, na pas été long k comprendre le jeu. Les file des Croisés se sont rangés en ma- jorité. Légalement, puisqu'on les consultait, ils ont fait entendre leur voix.Ils ont signifié aux pantins des Loges que leur Eglise, e est celle du Christ, et qu'ils n'entendent courber l'échine sous les Pontifes de l'Egïise de Satan. Et c'est ainsi que nous pouvons dire que le triomphe du 2 juin,si c'est celui des catho^ liques, eest aussi celui de l'Egïise de Dieu Ah 1 elle doit se faire de bien amères ré- flexionB, la Loge magonnique 1 C'est elle, on peut le dire, qui a organise la déroute des troupes i sa solde c'est elle la grande vaincue de 2 juin. Car elle a payé, la magonnerie. Les Loges frangaises ayaient envoyé de l'argent au Cartel beige en vue de la dernière campagne electorale. Ne fallait-il pas pourchasser les couvents frangais établis chez nous Les beiges n'ont aucun grief contre ces pauvres relieux et religieuses exilés de leur patrie par la haine maconniqne. Au contraire, économiquement parlant, nous n'avons qu'a nous féliciter de leur présence. Et puis, aussi haut que nous renditions dans notre histoire, nous nous sommes toujours distingués par nos qualités hospitalières. Voilapourquoi lepeuple beige s'est cabré devant la triste besogne que les Loges récla- maientde lui. II a signifié qu'il ne voulait pas prêter la main a un crime auquel on l'in- vltait a coopérersi bêtement. BêtementLe mot n'est pas trop fort 1 Nous savons qu'a Bruxelles, notamment, des gens qui ne sont pas des nötres crachaient, au sens materiel, leur mépris en voyant leshorrifiques affiches des moines étaient représentés en des at titudes grotesques et de tout point irréelles. Ici aussi,il nous a été donné de voir des anti- cléricaux hausser les' épaules en [passant devant les mêmes caricatures.Nous en avons même entendu dire tout hautC'est trop fort pour être vrai 1 Et la question scolairo 1 Elle fut pour beaucoup dans le nouveau 1884 de l'anticlé ricalisme. Le ministère l avait dit il y a un an Nous nous présenterons devant le Pays avec la plate-forme scolaire. Comme fut dit, fut fait. Et Et le Pays consulté a répondu Mar ches Nous vous donnons mandat de faire la loi que vous projetez Ecole obligatoire et gratuite soit 1 mais surtoutliberté pour leB pères de familie On peut dire que l'enjeu capital de la lutte était la question des écoles. N'a-t-on pas vu a Bruxelles, a l'entrée de chaque bureau de vote, des petites fïlles vêtues de blanc, postées la par les Loges et portant une écharpe oü s'étalait le crij.de guerre: Sauvez nos écoles laïques, s. v. p. Eux comme nous, done, les anticléricaux ont mis la question sur le terrain scolaire. Eux, ont été battusnous, nous avons triomphé. La legon qui se dégage de Tissue du com bat est done claire le programme scolaire catholique a regu l'approbation du peuple. Finissons-en la III le faut bien. Car notre] coeur débordant anrait encore beaucoup de choses a dire. Ce qui précède suffit k expliquer notre triomphe d'un coté un adversaire sans programme, n'ayant d'autre aspiration que de s'emparer du pouvoir pour donner libre cours a sa haine antireligieuss, a sa soit de persecution et d'oppression des consciences; de l'autre un gouvernement contre lequel nul n'avait un grief reelun gouvernement ami de la paix, de la liberté un gouverne ment sage, modéré, prudemment, mais sé- rieusement engagé depuis longtemps dans la voie des réformes sodales et respectueux de tous leB légitimes intéréts. ConBtitué juge entre les deux adversaires en présence, le bon sens populaire beige a continué sa confiance au gouvernement qui avait si bien fait les affaires du pays. II ne sera trompé, pas plus dans l'avenir que dans le paBsé. Avec l'aide de Dieu, k qui il nous plait, quoi qu'en puissent dire les fanatiqnes des Loges, de rapporter notre victoire, nos amis continueront a étonner le monde par leur modération, nons préparant ainsi de nou- veaux succes. Beigesvous avez donné un nouveau baptême au gouvernement issu des rangs oatholiques. L'avenir vous apprendre com- bien vous avez été sagement inspirés. Gloire a Dieu 1 Honneur aux Beiges Vive le Gouvernement On ne lit guère leB journaux dans les cou vents. Aussi bien, semblent-ils fort peu indiqués les journaux libéraux surtout pour ser- vir a la lecture spirituelle. C'est peut-être une erreur. Le fait est que, pour ma part, j'ai rare- ment fait une meilleure méditation sur l'enfer qu'en lisant les journaux cartellistes, au len- demain du «Sedan doctrinaire)) (cfr Picard). II fut accordé k quelques rares saints d'apercevoir, en vision, un coin de l'enfer le pale récit qu'ils parvinrent k en faire nous glace d'épouvante. LeB pleurs et les grincements de dents des cartellistes battus, leurs imprécations et leurs malédictions permettent de se faire quelque idéé de l'horrible vacarme que font les damnés,dans l'exaspération de leur haine et de leur désespoir. Et pourtant, est-ce bien la peine de s'ac- cabler ïnutuellement de la sorte pour quel ques sièges parlementaires, quelques porte feuilles ininistériels qui leur ont échappé II s'agira bien de l'assiette au beurre, en enfer Ce qui fera l'affreux désespoir des damnés, ce sera la privation de la vision béatifique. Ce Dieu dont ils avaient eu si peu de cure, en leur vie mortelle, qu'ils avaient brave, blasphémé, cherché a ravir a Tenfance, ils ne pourront plus alors s'en passerson absence, l'idée de ne jamais Le voir consti- tueront le plus intolerable de leurs supplices. Aussi la lecture de leurs journaux, ces der- niers jours, m'a-t-elle totalement fait chan ger de sentiments. Jusqu'ici, par charité, je n'aurais jamais souhaité le paradis a un libéral. A voir comme ces mauvais chrétiens se morfondent quand, d'aventure, ils ont a passer un quart d'heure a l'église, ils s'ennuieraient a mou- rir, bien certainement, s'il leur fallait passer l'éternité en la société du bon Dieu. Malgré tout, je ne me sens pas le courage de leur souhaiter eet enfer dont ils affectè- rent toujours de ne point s'effrayer, qu'ils appelaient même volontiers dans leurs bra- vades, leurs plaisanteries ou leurs jurons plus ou moins réfléchis. Ils auront beau s'être entraïnés aux rageuses male'dictions, ils seront loin d'etre en forme tout de même. Et toute l'horreur de l'enfer se bornht-elle a ces éructations de haine, qu'on ne souhai- terait a personne un perpétuel lendemain du 2 Juin, tel que l'ont vécu les battus de vraies soupes au lait. On sait que pendant trois mois le Peuple a publié en tête de ses colonnes un avis encore 120 jours, 119 jours, llSjours... pour la délivrance. II peut recommencer, en comptant maintenant^par année. C'est le libéral Pourquoi pas qui l'assure rattacheut a la gestion des affaires publi- ques, et je pense qu'il n'est ni le droit, ni la justice. Dupont, sénateur libéral de Liége (1803). Plaisante chose la justice des hommes Voyez la forme de leurB jugements il y a, disent-ils, tant de voix pour et tant de voix contre. Ils ont réduit la raison aux régies de Tarithmétique, et la vie et la mort dépeudent d'une soustraction. Peser, ce serait une affaire il est bien plus court de compter. C'est comme si l'on disa.it toutes les intelli gences sont également éclairées, également fortes, toutes les consciences également droites. On le sait mais enfin cela est plus commode. Calculez done, et jugez, et vivez, et mourez au gré de ceux dont vous ne vou- driez pas recavoir un conseil sur la moins importante de vos affaires. Lamennais. De la manière dont on regie le suffrage dépend la perte ou le salut deB Etats. Montesquieu. Les politiciens sont semblables aux arro- seurs publics, qui peuvent faire de la boue quand il y a du soleil, mais qui ne peuvent pas faire du soleil quand il y a de la boue. A. Dumas, fils. Quatre libéraux, consternés, le soir de la défaite, se]tcontemplaient autour d'une table de café et l'un d'eux dit Que faire maintenant, que faire Un éminent magistrat qui faisait partie du groupe répondit Attendre. Attendre quoi VoiciLorsque Frère-Orban, revenu au pouvoir eut préparé son projet de loi scolaire de 1879, il alia le soumettre a Van Praet. Celui-ei le lut avec la plus grande attention et, en le rendant a Frère, lui dit «Si ce projet passé,les cléricaux reviendront au pouvoir et y resteront cinquaute ans. Frère réponditC'est bien possible, et, pour ma part, je n'y contredis pas... mais je suis poussé par Topinion publique. Et le magistrat conclut Voila vingt-huit ans maintenant que les cléricaux ont repris les rênes du gouver nement nous n'avons plus que vingt-deux ans a attendre Ce n'est pas l'éternité, Ce ne sera pas non plus l'enfer d'ici la. L'Egïise et l'Etat sont unis comme Tdrne et le corps. Ce sont deux forces distinctes mais inséparables. Elles peuvent se combat- tre, se vaincre, se dominer réciproquement, mais elles ne peuvent se disjoindre que par la transformation de l'une ou par la destruc tion de l'une et de l'autre. II n'y a pas dans l'histoire un seul exem- ple, durable et sérieux, de cette neutralité, de cette indifference absolue de l'Etat. Ce n'est la qu'un de ces rêves tels que la fausse sagesse des modernes en a tant inventés. Cela pourrait être une vérité pour eet hom- me abstrait, pour cette nature de convention qu'on nous prêche depuis un siècle ce n'est qu'un mensonge pour Thomme vrai tel que Dieu Ta fait et tel que ia chute originelle Ta déformé. Montalembert. Je pense que le S. U. pur et simple estr dans l'état actuel de la société, un veritable péril. Je ne crois pas a l'aveugle souverainté du nombreje ne veux pas lui laisser la mission de décider de toutes les questions qui se m as ai Décidément faudra-t-il finir par le croire Le Progrès jure qua Ypres cléricaux et socialistes s'entendaient très-bien Bien plus, des membres du clergé et des cléricaux militants de notre arrondissement que nous connaissons, allaient trouver les électeurs libéraux pour les engager a voter pour la liste socialiste. Ainsi parle le Progrèsqui ment le mot n'est pas trop fort effrontémenfc. Outre qu il est un menteur, le Progrès est un lêche. Nous maintiendrons le mot tant qu il n a pas nommé ceux qu'z'/ connait et qui ont engagé des libéraux a voter pour les socialistes. Vous verrez que le Progrès ne répondra pas. 3s! «2! «af sjt Le Progrès se declare battu. Le moyen de faire autrement Le 2 Juin devait être le jour de la victoire, le jour du triomphe final. Notre confrère en était convaincu, autant si non plus que ses amis les radicaux, et ses allies les allies du cartel les socialistes. Et voila qu'il doit reconnaitre aujourd'hui que nous étions les vrais prophètes, quand nous annoncions un succès sans pared pour le parti catholique Le Progrès pleure toutes les larmes de ses yeux. II a raison, le naïf confrère. II pleu- rera des larmes plus amères dans quatre ans, quand nous lui enlèverons le troisième siège en même temps que ce qui lui reste d'iliu- sion8. Car, le Progrès peut en faire son deuil le parti auquel il appartient est un parti sans issue, sans aveniril a vécu, il est mort. Sa mort est du reste voulue, c'est un sui cide, et le Progrès n'est pas loin de le reconnaitre La crainte du cartel a été la cause pre mière de notre reculade, dit le Progrès, sans se douter qu'il lance ainsi un amer reproclie a tous ses amis qui,dans la plupart des arrondissements, ont fait le cartel, dont le corps électoral ne voulait pas. Que n'avez-vous fait ce roproche avant Tólection, cher confrère qua n'avez-vous dissuadé vos amis de contracter l'alliance de l'eau et du feu Vous avez laissé fairebien plus vous avez basé vos espoirs sur le cartel, dont vous ne vouliez pas pour vous-même II y a une seconde cause a la reculade du parti radical, et le Progrès le déclare ingé- nument La campagne que l'on a menée dans le pays au cri de A bas les couvents a détourné de nous nos populations et les a littéralement affolées, C'est encore trés vrai, confrère, eteela prouve que les couvents jouissent de plus de sympathie que voub ne croyez. Mais enfin, avez-vous eu un mot de blame pour Ja cam pagne menée contre les couvents Aujourd'hui vous déclarez ne pas vouloir d'une politique combiste. Vous avez raison mais quand done avez-vous, une seule fois,' désapprouvé le combisme frangais et ceux qui voulaient Timplanter en Belgique Pleurez, confrère pleurez les fautes de vos amis mais pleurez aussi les votres et, dans votre formidable échec du 2 Juin, prenez humblement, sincèrement, votre part de responsabilité. Car, si vous n'avez pas fait le cartel, ce n'est pas par principe, mais par tactique, par pure tactique. Si vous aviez eu la conviction que l'alliance avec les Bocialistes pouvait vous donner cent voix de plus, vous eussiez contracté cette alliance que vous semblez rejeter si fièrement aujourd'hui. Pleurez car votro parti ne reviendra plus jamais. L'abandon du cartel vous écrasera le cartel vous pulvérisera. Choi- sissez 1 Nous vous avons prédit ce qui vous arrivenous vous prédisons aussi ce qui vous arrivera. Vous êtes uu parti sans prin cipes, sans convictions vous voulez vivre d'une politique de négation, comme disait Tan dernier M. Hymans, a la Chambre des Représentants. En réalitó vous cherchez a vivre de tout ce qui fait mourir. Vous êtes battu, votre parti est mort, et jamais il ne ressuscitera. Nous lisons dans plusieurs journaux En vue de la preparation d la guerre Après avoir décentralisé tous les services le ministre pre'eonise la centralisation d'au- tres services qui, parleur dispersion et leur émiettement sont frappés jd'anémie et absor bent un grand nombre de cadres et d'em ploye's, au grand dam des effectifs des corps. II s'agit de re'unir tous les chevaux de re monte de la cavalerie et de l'artillerie, dans un centre unique Ypres, dit-on, pour organiser un dressage uniforme au moyen d'un personnel idoine constitué dans de justes proportions. On ne laisserait plus dans les régiments de/cavalerie et/d'ariillerie que des chevaux faits et Ton n'userait plus prématurément de jeunes montures. Le bé- néfice a résulter de cette réforme sera consi derable, et permettra d'augmenter nos effec tifs en chevaux, sans accroitre les dépenses, rien que par la durée de service plus grande qui en résultera. Les écoles de cavaleries se ront concentrées a Ypres, celles de l'artillerie au camp de Brasschaetcelle du génie jjsera constituée a Anvers. II sera créé pour les officiers une école d'application, a Beverloo pour TinfanterieTk Brasschaet pour l'artillerie, a Ypres pour la cavalerie, a Anvers pour la génie. Les jeunes officiers y entreront dès leur sortie de lecole militaire et y séjourneront un an, accomplis- sant de nombreux travaux pratiques, des tirs, du service intérieur et administratif, de ma nière qu'en arrivant au régiment, ils soient a même de rendre immédiatement des services d'instruction et de guerre. Les divisions d'armée et de cavalerie, les positions fortifiées d'Anvers, Liége et Namur vont être constitue'es dès le temps de paix avec toutes leurs troupes et services du temps de guerre, infanterie, artillerie, génie, train, services de santé, intendance, etc. La prépa- ration a la guerre, la mobilisation, l'instruc- tion tactique en seront notablement amélio- re's, les généraux et les états majors apprend- ront manier a loisir les instruments qu'ils doivent diriger en campagne et conduire au combat. Le général Michel est intentionné de ren dre aux officiers le droit d'écrire, sans auto mation préalable. Cette mesure exercera les influences les plus salutaires elle nous don- nera uoe littérature militaire, espérons-le, et dans tous les cas, elle contribuera largement k éclairer le commandement, les Chambres, cation de cette caisse, a laquelle il a procé dé le 24 mai dernier. Communication. M. le Président rap- peile que le Conseil a récemment accordé a la Société du Sport hippique une subside de 750 fr., ainsi que le Concours de THarmonie communale et d'un détachement de pompiers Cette société a adressé une lettre de remer- ciments au Conseil et>nnonce/que,'dans les conditions actuolles, il lui sera impossible de donner des courses cette année. Propriélés communales procés-verbal dijudication des travaux de restauration de la fagade de la salie de fêtes. Cet ob- jet a été remis h une prochaine séance. Culte compte de 1911 de la fabrique d'église de Saint-Pierre. En recettes, 46.729 fr. 13 en dépenses, 47.534 fr. 83 déficit, 805 fr. 70. Culte compte de 1911 de la fabrique d'église de Saint-Nicolas. En recettes et en dépenses la somme de 6,716 fr. 70. Instruction publique: comptes 1911 de l'école primaire payante et des écoles pri- maire8 gratuites. Ecole primaire payante: recettes, 4.261 fr. dépenses, 4073 fr. 65 excédent 185 fr. 35. Ecoles primaires gratuites recettes 37 875 fr. dépenses, 37.874 fr. excédent, 1 fr. Finances communales majoration de crédits de l'exercice 1911.— M. le Prési dent donne lecture de la délibération par laquelle le Collége propose de majorer cer tains crédits. L'insuffisance totale est de 1.001 fr., se répartissant comme suit poli- co, 102 fr. 93 éclairage public, 437 fr. 29 service de la Bourse, 1 fr. 18; école moyen ne 138 fr. 19 id. minerval, 12 fr. 50 entretien de vagabonds, 94 fr. 30 élections de 1911, 214 fr. 65. Finances communales émission de bons de caisse. Le Conseil prend une délibéra tion tendant a obtenir de la députation permanente Tautorisation d'émettre des bons de caisse pour un capital nominal de 150.000 fr. conformément a l'arrêté royal du 15 mai 1912. Propriétés communales construction d'annexes a la maison éclusière de Zille- beke crédit. Le Conseil vote ce crédit a porter au budjet de 1913. Propiiétés communales nouveau local du chateau d'eau deuxième crédit. A porter également au budjet de 1913. Hospices civil8 location de biens ruraux» procés-verbal. Le prix nouveaux 7.561 fr. est un p< u en augmentution sur Tancien qui était de 7.536 fr. Bureau de bienfaisance libéralités pour concessions de sépultures. Une série de concessions sont accordées. Messageries service entre Oostvleteren et pres cessation. Le Conseil approuve. La séance publique est levée a 6 heures. iff tS Le 5*P. SS| sflf. s* t£. ilf «Jf Progrès du 9 Juin Les élections dans notre province ont été désastreuses pour notreparti. Monsieur Ver- beke, sénateur, échoue a Oostende, M. De- laere a Roulers, M. Thooris a Bruges, M. Van Lynseele, a Courtrai. PARTOUT les cléricaux sont en avance sérieuse sur les élections dernières. Nous publierons les résultats complets dans notre prochain numéro. Mais constatons dès maintenant que deux de nos amis succombent par suite d'un man que de discipline dans nos rangs. C'est M. Thooris a Bruges, oh les votes libéraux ré- partis sur son nom et celui de M. Dumon, sont Bupérieurs a ceux obtenus par l'abbé bonteyne, qui, grace heette fausse manoeu vre, emporte le siège revenant a la liste du cartel. C'est M. Van Leynseele a Courtrai qui obtient plus de votes que M. Debunne, equel perd 4.700 voix depuis igio et ne doit son election, qu'a cette circonstance, qu'une cartie des libéraux ont voté tête de liste au ieu de voter k coté du nom de M. Van Leynseele comme le leur dictait leur devoir. Nous regrettons la disparition du parle ment de ces trois amis, qui emporteront dans leur défaite les [sympathies ,'du libéra lisme west-flamand et de tous leurs collègueB tant du Sénat que de la Chambre. besoins de l'armée. le gouvernement, sur les aspirations et les i a cfes fait es quisoni plus glorieuses r - que certaines vtctoires. 1ft if* ts 'ift Harmonie Communale 'sff 'öf. 'sa! sa! «öf. jö# ja! ia! *a! Conseil Communal Séance de Samedi 8 juin 1912 Sont présentsMM. Colaert, bourgmestre, président; Fraeijs de Veubeke et Vanden- boogaerde, échevinsVanderghote, D'Hu- vettere, Bouquet, Sobry, Iweins d'Eeck- houtte, Lemahieu, Biebuyck, Baus, Stiuye, Seys, conscillersBoudry, ff. de secrétaire communal. MM. Fiers et Begerem, absents, se sont excusés. Lecture est donnée du proces-verbal de la séance précédente qui est approuvé. En comité secret, le Conseil a décidé, sur la proposition du bureau administrif de l'école moyenne de majorer le traitement du concierge. M. Maurice Vergracht est nommé membre de la commission organisatrice des foireset coucours de chevaux. Une gratifi cation de 200fr. par an a étéallouéeè Hoedt Pierre, ancien boueur. Le pension del'ancien chauffeur de la distribution d'eau a été por tee de 300 a 365 francs par an. Finances procés-verbal de vérification de la Caisse communale. M. le Président donne legture du procés-verbal de la vérifi- Dimanche 16Juin 1912 a 8 1/2 h. du soir. programme 1. Allegro militaire 2. Hans Sachs, ouverture Loktzing 3. Les contes d'Hoffmann, fantaisie 4. Brises d'automne °Ed!'Missa! a! Marche' Grecque6 ItalieDDe g™. Notre confrère Desguin a dans son journal le Hainaut une comparaison pittoresque qui est tres juste a propos de l'état dans le quel se trouvent les cartellistes Lorsqu'un bourdon a regu un coup de cas- quette, il commence par tournoyer sur lui- meme avec une rapidite' désordonnée, puis, battent dans le vide, ses pattes s'agitent, mais ne sait plus retrouver son centre de gravité et il demeure la, impuissant et stupéfié. r \'juPi 1 sabat sur ledos- Ses ailes

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 2