Téléphone 52 Téléphone $2 Samedi 10 A out 1912 ie N° 10 centimes 47 Année JM° 4746 Congres eucharistique régiortal Procession Solennelle Les Droits et les Devoirs de la Propriété(l) On s'abonne rue au Beurre, 36, Ypres, Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se rêgularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. et A tons les bureaux de poste du royaume. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal 3o centimes la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplémentaires coüteut 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptë les deux Flandrcs) s'adretSCT 4 YAgtttOb Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. "Ville d.' Y pres 24 et 25 Aout ic) 12 le m m Saraedi 24 Aoüt A 91/2 h. réunion des lc>', 2e et 3e sections au Collége St-Vincent, rue deMenin (prêtres et laïcs, Dames et Messieurs). A 2 1/2 li-, réunion de la 4e section (insti- tuleurs) au collè ;e et de la 5" stction (reli gieus s et instil utrices) a l'Iustitut de la St- Famille, rue de Steurs. A 4 1/2 h. RÉUNION GÉNÉRALE ntrée libre) au Volkshuis (rue des cbiena). Ora- teurs M. l'Avocat De Groeve de Bruges, le R. P. Ladislas, Frère-Minrur a Maliaes. A 7 fi. Ileures d Adoration a l'Eglise di St Martin. Limanche 25 Aoüt. A 7 h. du matin Messe et Communion générale pour tons Irs enfants de la ville a l'égiise de St-.\lartin. Communions générales de fi dèles dans les quatre églises paroissiales. A 10 h GRANDE MESSE SOLENNELLE célébrée par le T. R. Chanoine Vanden Berghevicaire gén ér al, arcbidiacre de la cathédrale de Bruges, avec assistance ponti ficale de S. G. Mgr. Gustave-Joseph Waffelaert (Missa Cibavit Kyriale Missa IX de BeataCredo I) Les fidèles peuvent se procurer des imprimés de cette Messe chez M. le Chanoine De Brouwere, doyen d'Ypres. Pendant la Messe, sermon de circonstance par le R. M. Doomvicaire de St Gilles a Bruges. A 2 1/2 h. au Volkshuis, Hó nion générale des mèros chrétie-nnrs Orateur le R. P. Frutsaert, rédemptoriste, recti ur du Couventds Beaup'ateau. A 3 b. les vêpn s, k 3 1/2 h. le salut pon tifical par S. G. Mgr. Waffelaert, ëvêque de Bruges, suivi de la Le cortège parcourora l'itinéraire suivant: rue au Beurre, rue de Steurs, Boulevard Malou, rue d'Elverdinghe, rue de Boesin- ghe, rue Surmont de Volsberghe, rue de Dixmude, Grand'Place, rue des Chiens, rue Wenninck, rue de Lille, rue des Halles, Place Van den Peereboom. Les sociétés de Messieurs, précèderont le Saint Sacrement, les congregations et socié tés de Dames et de demoiselles suivront. Plusieurs évêques et prélats partieiperont au cortège. La dernière Bénédiction se donnera au Leet après l'exécution des cantiques Wij willen GodTe Deunt Tantum Ergo en l'honneur du St. Sacrement. S# &P. li* li* li* 'l# S/Ê A noire époque si agitée, oü les princi pes en' apparenee les mieux 'é'tablis sont secoués, controuv'és, révoqués en doute, qn^ livre clair sur les droits et les devoirs de la propriété vient tout fait a son heure. Et le livre que nous présentons „ft nos lec- (1) J -B. PAQUET, S. J. Les Droits et les Devoirs de la Propriété.— Albert Dewjt.53,rue Royale, Bruxelles. Les Yprois connaissent le a<lu? rrol8a,nnées successives le savant Jesuite vint donner les conférences d'apologóti- que au cercle Excelsior teurs n'est point banal ce n'est pas, en un volumineux appareil, la rêédition fade cle dis cussions oiseuses; ce n'est point non plus un document calqué sur des théories suran- n'ées ou des applications antiques 11011 e'est un livre nouveau, combinant, en un harmo- nieux alliage, l'or é'puré des arguments tradi- tionnels, avec le m'étal, brut encore peut-être, des nécessités modernes. Les droits et les devoirs de la propriété», du' R. P. Paquet, S. J., possède l'avantage, aussi rare que précieux d'etre court, précis, tmnchant comme une théorie süre, et, par dessus le marehé, d'etre admirablement écrit. Ce livre vit le jour, si je puis ainsi parler, sous la forme de conférences quadragésima- les. E11 sa station 'de 1910, le R. P. Paquet traila au GesO de Bruxelles la question du sepliènic cominandement de Dieu. «Tu ne voleras point». Tel est le pré- ceptc qu'impose le septième commandement de Dieu. Analysant Ie contenu de cette règle morale aussi court© que grosse de cons'é'quences, l'au- teur établit d'abord, |au moven d'arguments irréfulables, le bien-fondé de la propriété pri- vée. 1 En cours de route, il rencontre tout natu- reilement la théorie moderne, accréditée chez les socialistes, qui lui barre le passage il ren- verse de main de maïtrc l'échafaudage bran- lant du collectivisme, puis continue son chc- min, pour en venir au chapitre <lu vol et de la restitution, j Ces trois chapitres sont pleins d'idées et de choses tous ceux qui s'occupent de poli- tique, d.'économie sociale, de commerce et i d industrie trouveront dans ces trois premiers chapitres, exposée avec une clartó lumineuse, i la théorie de leurs droits et de leurs obliga tions. Et ainsi j'en arrive au chapitre le plus in téressant du livre L'obligation morale des actionnaires chrétiens Voilé 1111 tilre alléchant, nouveau, et, di- sons-le, suggestif d'angoissante curiosité les j actionnaires, outre le droit el Ie devoir de toucher leurs dividendes, ont-ils encore a s'ac- quitler d'autres obligations La loi morale est invariable et éternelle, c'est vrai; maïs son application peut varier a des situations nouvelles peuvent incomber des charges nouvelles. Et c'est bien Ie cas pour les actionnaires des sociclés anonymes. L'industrie moderne, grace au prodigieux développement de Ia machinerie et des pro cédés chimiques, a pris line extension incon- nue jusqu'a ce jour elle s'est développée en ces entreprises gigantesques qui, pour ré- pondre des besoins nouveaux, ont dü eréer des organismes économiques spéciaux, et de ié sont nées les sociétés anonymes. Ces VasteS projets creusements (Je canaux, Constructions de voies ferrées, percements de tunnels et d'isthmes, exploitation scientifique et intensive du sol et du sous-sol, l'industrie individueile est impuissante a les réaliser il y faut la collaboration de capitaux conside rables d'une part, et, de l'autre, l'effort eom- biné d'un grand nombre d'ouvriers. Et voilé créée la concentration des capi taux et la dissémination de I4 propriété so ciale entre une multitude d'aclionnaires c'est la société Ónonyme Sous ce régime, ajoute l'auteur, a cause de rimportanee de l'exploitation, il a fallu grouper les travailleurs autour Jes moteurs qui actionnent les métiers et ruiner nombre de petites industries qui s'exercalent en familie. Les families sont déracinées du sol. natal, trans- plantóes dans les milieux cosmopolites ou l'u- sine, développant son action, absorbe non seu- lement l'activité des hommes, mais Ic tra vail des femmes el des enfants On le voit, la. société anonymeentraine un boulevèrsement dc la vie familiale-, et une agglomération de travailleurs dont les inté réts matériels et moraux ne peuvent Ctre aban- donnés au hasard. C'est aux actionnaires, quelqqe minime que soit leur part d'autorilé, qu'incombe le de voir jde veiller la sauvegarde de tous les inté réts matériels et moraux des ouvriers et em ployés de la compagnie. Et, qui plus est, c'est une question de justice qui, le cas échéant, peut obliger gravement. Les obligations de l'aclionnlaire se divisent en trois eatégories. La première obligation, que j'appellerai personnelle, regarde direotement la conscien ce de l'actionnaire il ne lui est pas permis de coopérer, par le verscment de ses capi taux ou le prêt de son nora des entreprises immorales l'exploitation des mauvais lieux, des salles de jeu, des publications licencieu- ses et des exhibitions malsaines sont de celles que l'honnêteté réprouve et auxquelles il est, sous peine de faute grave, interdit un action- naire jcatholique de prendre part. D'autres opérations, comme certain trafic commercial fan boursier dont le but est de s'enrichir rapidement el injustement, tombent sous le coup de la méme prohibition et sont, en morale catholique, gravement défendues. La deuxième obligation de l'actionnaire in téresse le personnel gérant employé par la société. C'est un devoir primordial, liant gravement la conscience de l'actionnaire, dc choisir des administrateurs dont l'honnêteté et fes aptitu des soient incontestables. 1 Les administrateurs, étant en pratique les vrnis patrons, exercecont sui. la gestion de la société une influence prépondérante dont la répercussion se fera sentir jusqu'aux derniè- res couches, c'est-é-dire, jusqu'aux ouvriers. Si l'administrateur est un homme sans con science, il sacrifiera lout au succès de l'en- treprise et n'aura point pour l'ouvrier les égards qu'il mérite. La troisième obligation de l'actionnaire re- garde le monde des travailleurs. L'actionnaire n'est pas quitte envers l'ou vrier quand il lui a payé le salaire de son travail; il existe d'autres obligations dont il cloit, au méme titre, s'acquitter. L'ouvrier est venu a l'usine ou la fabri- que. librement avec sa femme ct ses enfants, et forme avec les families de ses co-travail- leurs une agglomération, une cité, un bourg. Avec les besoins physiques grandissent les besoins moraux dont Lactionnaire n'a pas lei droit de se «désintéresser. t De méme que le conseil d'administration 11e peut pas se désintéresser des .conditions d'hy- giène et de sécurité dans lesquelles se passé la vie de l'ouvrier, de méme il doit veiller avec la méme sollieitude a ce que les conditions de sa vie morale et religieuse ne soient point oubliées ni négligées. Le conseil d'administration c'est le gérant; et le gérant est contrölê, remplacé par l'ac tionnaire. f 1 L Le livre du P. Paquet renferme encore trois chapitres sur le jeu, un des abus de la propriété; l'aumöne, un des devoirs de la propriété; la privation, et l'abdication du droit de propriété, les pauyres dans l'Eglise.» Ge compte rendu succinct, déja trop long, 11e peut pas s'attarder l'analyse de ces trois intéressants sujets. Qu'il jne suffise de dire que le chapitre sur le jeucontient des apercus trés clairs oü se trouvent définis la responsabililé et le danger 'des jeux de hasard Pour résumer mon appreciation, j'ajouterai que les droits et les devoirs de la propriété constitutent le code catholiqua de la propriété c'est la théologie morale cle la' propriété, pré senté© en un langage clair et admirable, mise au point de nos nécessités modernes, et placant sous les yeux des pauvres et des .riches les idéés catholiques sur les obligations et les devoirs de la propriété. On y trouvera en, 160 pages Ia théorie so ciale la plus parfait© el la plus süre sur la question si brülanle' du mien et du tien et l'on peut affirmer que si les préceptes, que présente ce petit livre étaiept observés dc point eu point, il n'y aurait ni socialisme, ni question sociale. BARKY S. WILLIN m m Nous lisons dans 1' Eventail N° 49 du 4 aoüt 1912 II résulte d'une communication qui nous est faite que M. Raoul Cotteau, Echevin de Langemarck, et sa familie ont seuls le droit de porter le titre de de Patin. 16 if', if. if. 'if if if if 'if if Le Congrès de Trèves Le chemin des écoliers n'est ge'ne'ralement pas le plus court. Mais les écoliers beiges qui se sont rendus au Congrès marial de Trèves étaientle petit nombre (le jeune Maurice D., étudiant a Roulers, confirmerait nos dires au besoin)et les congressistes beiges ont pour la plupart pris le chemin le plus direct, via Luxembourg. Beaucoup ont tenu a s'arrêter quelques heures dans cette intéressante capitale. Les Yprois en particulier ont été enchan- tés de cet arret, lis se sont crus unjjmoment chez eux, et ils en sont repartis avec la ferme resolution de défendre unguibus et rostro leurs superbes remparts. Luxembourg 1 Quel coup d'oeil prestigieux que celui de cette ville émergeant d'un nid de verdure porté par de vénérables remparts 1 Nous n'en sommes pas encore aux trams électriques, a Ypres a Luxembourg c'est une nécessité. Mais les prosa'iques installa tions qu'ils exigent disparaissent aux regards, noyées dans la grandeur et dans la beauté captivante uu noble tableau, iamilier aux Yprois. Par exemple, il ne faudrait pas en conclure qu'une nationale gendarmerie se profilant dans le tableau ne gdterait pas davantage le coup d ceil que ne le font les susdites installa tions Mais quoi I Nous nous attardons a Ypres et a Luxembourg quand Trèves nous appelle, Trèves toute pieine de seductions d'un ordre plus relevé 1 Augusta Treverorum c'est le nom de la charmante cité mosellane oü vient de se tenir le XIe Congrès Marial. Oh oui, elle est augUBte, et quiconque a le respect des reliques du passé, des tres vieilles reliques, s'y complait forcément. Car Trèves possède, dans l'ordre profane comme dans l'ordre religieux, des souvenirs d'un prix inestimable, en grand nombre. Trèves posrède aussi des sites charmants, ofïre des panoramas enchanteurs. Elle possède enfin des caves électiques, alimentées par des vignobles manifestement bénis par celle qui fit faire a son divin Fils son premier miracle pour donner a l'eau un goütdevin, et dont l'image tróne la haut, dans le ciel de Trèves, sur la Marienshaüle, des caves capables de transformer, sans miracle, un abstinent farouche en un joyeux disciple de Bacchus. Sans vouloir faire de la réclame interna tionale, il convient cependant que la Bel gique rende hommage aux caves (a la cuisine aussi) du Trierischer Hof et a celle du (i Porta Nigra hotel Après l'Espagne d'ail- leurs, pays de vins généreux lui-même, et qui rendit aux caves du Trierischer Hof un hommage princier et religieux. Mais que sont toutes ces séductions-lü a cóté de celles d'un ordre incomparablement plus relevé que la capitale de la Moselle nous j offrait ces jours derniers j II y a des gens ils sont légion qui essayent successivemcnt et d'ailleurs vaine- ment de toutes les eaux, de toutes les plages, de tous les Edens a la mode pour trouver la villégiature idéale et la cure vraiment efficace. j Qu'ils essayent done d'une cure a Lourdes ou a quelque congrès marial, et il nous en donneront des nouvelles. Oh qu'il n'esquissent pas trop vite un sourire sceptique 1 Nous ne sommes point des Antoinistes qui leur promettons la guéri- son par le seul effet de la foi ardente, et nous ne faisons aucunément fi des vertus des agents naturels de guérison qu'ils trouveront J Lourdes et souvent dans les endroits choisis pour les assises des congrès mariales. Mais nous savons, même d'expérience personnelle, la valeur, généralement insoupconnée ou méconnue, des adjuvants de guérison ct souvent du spécifique qu'offre la Religion et en particulierjla coufiance en Marie, Santé des infirmes. Et quand il n'y aurait que le moral de remonté, le mortel ennui de dissipé, un tuyau re5u le bon tuyau pour la bonne voie a prendre vers la guérison ou mieux encore que la guérison, ne serait-ce done rien Un congrès marial, un pélerinage a Lour des, c'est une cure d'altitude sur les hauteurs sereines de la Foi. C'est une cure d'air pur, l'antithèse de I'air empesté par les miasmes du monde, que l'on respire maintenant dans presque tous les lieux de villégiature k la mode. C'est une cure de distractions, d'exercices et de plaisirs vraiment reposants et recon- stituants, contrairement aux prétendus dé- lassements qu'offrent les endroits a casinos, kursaals, etc. C'est une cure d'émotions pures et douces, intenses souvent mais toujours bienfaisantes, si vives soient-elles. Naturellement, pour produire ses bons effets, la cure exige un fonds de christianisme vrai et de la bonne volonté réelle, cette bonne volonté a laquelle la paix fut promise par les porte-voix angéliques du Nouveau-nc de Bethléem. Mais le malade de mauvaise volonté, le malade qui ne veut pas guérir parceque le traitement imposé ne lui plaft pas, mérite évidemment son sort et ne doit s'en prendre qu'a lui même de Tincurabilité de son mal. C'est l'erreur déplorable et commune que l'on constate de nos jours, de prendre ses bas pour ses souliers, de ne pas voir plus loin que son nez, d'imiter même la brute, parce que, incontestablement, nous avons de la brute en nous. Quelle sottise 1 quel malheur de ne point réussir a voir, faute de s'éclairer a bonne lumière, combien la vie est belle quand elle est vécue dans l'ordre Ce qui m'a, non point frappé mais charmé a Trèves, c'était de voir que les moines les plus austères, les prêtres les plus dignes savent, dans les limites de l'ordre, de l'obéissance, des voeux, accor- der a la béte ce qu'elle réclame, plus ou moins impérieusement, pour mieux servir Dieu et sa trés sainte Mère. On parle de bons vivants... Eh les vrais bons vivants ne sont point ceux que l'on pense. Un vrai chrétien, fut-il ascète dc pro» fession, toujours bien maftre de son esclave, le corps,concoit si bien la vie conformément au plan divin, connaft si bien la bonté de Celui qui créa la vigne au fruit généreux, que, même sous la bure, quand un congrès marial ou un pélerinage le mêle k la foule profane, il y va avec une condescendance telle pour les goüts du monde, légitimes bien entendu, et pour les usages locaux, que vrai» ment un profane n'a pas le droit de se refuser, dans ces conditions, a rechercher, lui aussi, la bonne vie ou la cure de ce cóté, sous pré» texte d'austérité excessive. Qu'il s'y décide, et voila qu'interviennent ces influences mys» térieuses qui constituent tout le secret de la grkce. Alors s'amène au premier plan, s'impose, Bubjugue ce qu'on avait jusque la relégué a l'arrière-plan tandisque disparaissent ou s'atténuent, dans la mesure correspondante, les petites misères corporelles auxquelles on avait antérieurement attaché tant d'impor» tance. Alors aussi, quand ces misères ne disparaissent pas, on en arrive k les voir trè» volontiers rester, parcequ'on a reconnu qu'elles sont parmi les meilleurs artisans du bonheur vrai. Mais trève de paroles 1 Beiges avant tout, pratiques toujours, nous n'exposons la théo rie qu'en vue de promouvoir l'application. Encore une fois, qu'ils essayent, ceux qui n'en sont pas encore k se décider pour une JOURNAL ©rgane Gatholique de l'Hrrondissement EVEQUE DE BRUGES Messe en chant grégorien exécuté par tous les fidèles. v.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 1