Choses el Aulres A A. A. A A. A. A A A- .A, UNE MORALE QUI TUE IB •5' m Pt if. 'if. 'if if 'if if 'if La mort sur l'Océan w 1* S2 Quel tableau m s5 m LÊ CONGRÈS DE VIENNE fA. '*A tA sA A A A. Nou vel les Militaires Actes officiels m if vz if if, if* Les Joyeuses Entrees La semainesocialedeLonvain La ligue des Paysannes Pt if. if if 'if. if_if *f_ Le Gouvernemeiit et le S. (J. #8' if if if if if if if. if. #s§ Les hirondelles partent Nouveau tarif de transport au chemin de fer Unecomparaison iiHéressanle I on prépare ils sont bien obligés de declarer e contraire, de crainte d'effaroucher trop tot le pays et surtout de justifier l'application de mesures preventives énergiques mais ils savent ou ils vont et ils comptent sur le con cours d'une force sombre dont Taction est déja decisive en d'autres pays troubles la franc magonnerie. Radicaux et socialistes savent parfaitement qu'un mouvement organisé et habilement dissimulé, réussit aisément, s'il n'y a pas de contre-partie suffisante, a retourner un gou vernement en un tour de main c'est ce qui est arrivé tout récemment en Turquie, en Perse, en Chine, en Portugal. Nous n'en sommes point, objecterez-vous, au degré d'affaiblissement gouvernemental atteint par tous ces pays. Soit, mais rien ne prouve que le concours de tant de mauvais éléments ne puisse aider une masse exaltée, conduite par une organisation puissante et résolue a tenter un grand coup.Puisque süre- ment tous ceux-la y rêvent, il faut que les hommes d'ordre y songent positivemeni aussi. L'on entend souvent dire Quant a moi, je serais bien résolu, le cas échéant, a ne pas me laisser faire Mais ces résolutions in- dividuelles ne sont rien, isolées la vague révolutionnaire les emporterait comme des fétus de paille. Disons le motcontre l'organisation émeu- tière et subversive, son action ne fut-elle qu'éventuelle, ce qu'il faudrait, dit-il, c'est l'organisation des défenseurs de l'ordre social et politique. En dehors des administrations, en dehors de l'armée, en dehors de toute défense officielle qui peut faillir, être trahie, ou partiellement entrainée, un organisme national contre-révolutionnaire ne devrait-il désormais exister, si nous voulons non- seulement pratiquer nous-mêmes l'ordre, mais l'imposer aux perturbateurs et aux révolutionnaires Les éléments qui ont soutenu le gouverne ment le 2 juin tant d'autres qui, sans avoir bien voté se sont intimement réjouis du résultat, et d'autres enfin qui entendent faire prévaloir la légalité et ne point marcher aux abimes, tous ceux-la, disons-nous, et ils re- présentent la trés grande majorité du pays, doivent dés maintenant prévoir et pourvoir... L'on comprendra suffisamment notre vceu. Quant a savoir comment on peut l'accomplir, la question est ouverte; il n'y a point la d'im- possibilité c'est une nouveauté, peut-être, mais qu'importe Qui veut garantir absolu- ment l'ordre et le salut du pays ne peut pas se borner k regarder faire les aspirants démo- lisseurs. Patriotes et loyalistes, unissez-vous Brame laïque en trois actes ACTE PREMIER (Un dortoir au lycée Blaise-Pascal d Clermont-Ferrand. Les élèves dorment encore, sauf le jeune Neny qui pense NENY (a lui-mêmë) C'est aujourd'hui que je me tue... C'est drole.je viens de me réveiller pour ladernière fois. Oh! jen'ai pas peur Papa et maman disent qu'il n'y a rien après la mortpourquoi me trompe- raient-ils f Regretter la vie, non. Je Buis pauvre. J'en ai assez du collier a mon cou, du collier que papa traine sous le fouet de la misère. J'ai- me mieux rien. Adieu, inutile lumière, tu brilleras encore domain, mais tu ne me réveilleras plus. (La cloche sonne, le pion frappe dans ses mains en blasphémant. Les élèves s'ha- billent.) NENY... (a lui mème, sautant a bas du lit). Allons, lève toi, jeune gladiateur. ACTE II Une cour du lycéeLes élèves cau- sent et jouent. Neny est enlouré de plu- sieurs camarades. PIERRE Eh bien, Neny, c'est aujour d'hui que tu te tues NENY.Oui, quand trois heures son- neront a l'horloge. PAUL. Ton revolver est chargé 1 Mon- tre-le done. NENY (riant). Merci, pour que le pion me le confisque. PIERRE quelque peu inquiet).—Voyons, Neny, c'est de la blague tu ne vas pas te tuer, Dieu le défend, tu serais damné pour toujours. (II appelle le professeur qui passe.) MonBieur, Monsieur, que pensez-vous de ceux qui se tuent LE PROFESSEUR Qu'ils en ont assez de la vie, parbleu. PIERRE. Mais, monsieur, vous ne trouvez pas qu'en dehors de toute question religieuse, eet acte de destruction est... amoral... immoral, contre la loi naturelle?... LE PROFESSEUR Mais non, celui qui se suicide, c'est un ouvrier qui se met en grève, qui abandonne le chantier, il est vrai que c'est une grève pour laquelle le gréviste révoqué n'est plus réintégré dans son emploi, comme les... postiers (il rit). Autrement, j9 ne vois plus rien danor- mal, rien n'est plus juste que ce droit qua l'homme de quitter la vie, de revenir dans le néant d'oü il est sorti sans volonté, et qu'il regrette... (il s'éloigne). NENY triomphantTu vois bien, ce que dit le professeur, est-ce assez clair 1 ACTE III Une classe. Un élève vient de traduire en prose, mot par mot, quelques vers de Vir- gile.) LE PROFESSEUR. - Enée est descen- du aux enfers il vient de s'entretenir avec ceux qui ont quitté la vie en attentant a leurs jours. Quelle réflexion fait le poète sur ces suicides Traduisez en francais. L'ÉLÈVE (traduisant). Ah qu'ils voudraient revenir sur la terre et y suppor ter les plus durs travaux. LE PROFESSEUR. Oui, Virgile plaint ceux qui se sont suicides il exprime la des idéés presque chrétiennes, idéés déja en puissance chez les païens. Virgile devait ce- pendant avoir l'esprit assez dégagé de toute superstition pour savoir qu'après la mort c'est le néant et que le suicidé retrouve dans la mort l'introuvable sommeil dont il jouissait avant la vie. Les catholiques ont greffé sur les fables absurdes du paganisme leurs croyanoes de Dieu, de vie future, de sanctions posthumes, contre toute raison... A ce moment, Neny présente au Profes seur un billet LE PROFESSEUR (lisant, distrait). Morituius te salutat. (Trois heures sonnent, un coup de révol- ver scc, le jeune Neny étend les bras dans une suprème convulsion et tombe mort au pied delx chaire moralisatrice.) Jean du ROUERGE. De tous les événements douloureux qui émaillent la vie africaine, aucun n'apparait aussi sinistre, aussi lugubre, aussi angois- sant que la mort sur TOcéan. Combien sans frisonner, on couru les pires dangers Combien ont ironiquement supporté les se- cousses destructives des flèches malariennes, qui courbèrent anxleusement Téchine sous le froid glacial de terreur qui les enveloppa lorsque les flots voraces de la mer immense happèrent lecadavre de quelqu'un de leurs compagnons de lutte Comme on sent en soi-même s'entrechoquer les os grimagants de la Camarde 1 Comme on voit en son pro- pre cerveau la crane troué d'horreurs sous le vêtement fallacieux des chairs 1 Comme on s'apparait brutalement néant sous la couche d'idéal trompeur, quand le son mat du corps plongeant dans l'eau rompt le si lence macadre oü sommeille le vapeur ar- rêté 1 Au départ de Boma, par un matin de mai, radieux de blanc soleil, les gaitéB seules, les bonnes joies profondes des intimités tres- saillantes nous agitaient 1 C'était le retour, après les travaux acharnés, les labeurs ahan- nants, les angoisses latentes du climat afri- cain Tandis qu'a la rive, les amis qui restent la-baB répondent, agitant les mou- choirs, a nos saluts, l'ancre s'arrache vite du fond sablonneux, les machines géantes soufflent et respirent bruyamment, secouant le vapeur qui frémit de toute sa membrure Le steamer s'ébranle, décrit une courbe gracieuse et, altier, frémissant, a toute va peur, coupe les flots du fleuve, gagcant Banano, dernière station de la colonie. Tout a l'heure. TOcéan nous portera.. Au seuil des contrées qui nous sont devenues chères par nos douleurs qu'elles recèlent ja- lousement, nous nous recueillons un in stant... Ces heures pémbles aussi s'incrus- tent dans notre ame et restent d'intimes hötesses que l'égoïsme humain estime, paree que leur apreté, leur amertume supportées nous élèvent dans notre-amour propre.... Tous, d'abord, nous serrons les mains au brave docteur Etienne, le vétéranque bronza l'armure de trente d'années d'Afrique. Je vous attends tous dans six mois, nous dit-il. Au revoir 1... Le signal du départ est donné.. A peine le docteur a-t-il quitté l'escalier de la coupée et mis le pied dans sa barque, em- portée par huit vigoureux Bangala, que le vapeur s'ébranle et pique droit vers la haute mer. Depuis sept jours, nous voguons a travers les immensités infinies des flots et du ciel. Les vagues lourdes sont d'un superbe bleu de Prusse. Elles viennent s'écraser contre les flancs du steamer et se dispensent en ga- lopadesfolies de millions de perles dargent et d'opale, ou bien se frangent en longues bandes de dentelles précieuses aux féeriques dessins scintillants et fugaces... La route que nous snivons n'est que rarement emprun- tée par les vapeurs qui,tous, longent la cöté par raison d'intérêt. Aussi, par l'horizon, nulle voile, nul panache de tumée I Notre bSteau fend en maitre les lames gigantesques et sereines de TOcéan 1 Notre joie est franquille, presque peureu- se dans sa généreuse réserve. C'est que, tandis que nos coeurs bondissent d aise a la peneóedu paysnatal, l'angoisse nous étreint de songer que Tun d'entre nous sans doute, n'atteindra pas Anvers. Frappé par l'épouvantable maladie du sommeil, touché au plus profond de son organisme délabré un malheureux agent lutte désespérément contre la mort envahissante II espère cependant encore, le pau ;re 1 Et cette touchante fraternité qui réunit les Alricains en toute circonstance, lui fait croire au salut. Aussitöt que le permet le médecin, a tour de role, nous allons le voir. II partage notre tranquille joie et son isolement ce lui lése pas... Ilélasquels que soient les dévouements que, jour et nuit, lui prodiguent les particiens, le male gagne, progresse et tient bien sa proie. Le regard du malade a de sinistres profondours et le délire tente de redoutables assauta- Sierra Leone 1 Kona'tri Dakar Téi.é- riffe 1 la science ét le dévouement obstinés auroDt-ils le dessus Nous l'avons tous es- péré, nous l'avons tous cru et vingt fois pendant la journée nous nous interpellions, nous interrogions pour nous confirmer mu ll tuellement notre reconfortante opinion Nous le ramènerons a Anvers 1 Hélas 1 le sioislre mal se fit un aliié du climat changeant et tout a coup en coup de foudre, les dólires successifs ayaut fait leur oeuvre, cédèrent la place au coma, effrayant et lugubre... Un prêtrevint, dit les suprê- mes prières... Dans une totale inconscience, notre malheureux compagnon disparut... Le vapeur, coupant le golfe de Gascogne, filait vite vers les cotés de F rance. Il fait nuit noire Un calme absolu règne sur l'Océan, troublé seulemeut par la respi ration mosstrueuse du steamer. Neuf heu res 1 Une cloche retentit, macabre, suivie d'un coup de sifflet, puis d'une sonnene.. Le paquebot stoppe, sans souffle, comme privé de vio La Mort est la 1... la Mort 1 un grand froid pèse sur le navire les passagers after- rés se dirigent vers barrière... Les agents de l'Etat sont déja rangés, le chef dc detachement, les civils en habit, les militaires eu grande tenue, tous mornes, profondérnent émntionné3... La cloche sonne, sonne, sonne, plus dou- loureuse toujours, dans cette immobilité an- xieu8e, dans eet anéantissement subtt de toute activité. Voici le capitaine suivi du prêtre. Le corps est amené pieusement et les mains rudes des marius se font document enfantines pour que ce dernier contact soit une caresse Le drapeau national est jeté, recouvraut le cadavre bien protégé. Les têtes s'inclinent. les paupières sont humides... Requiescat in pace, murmure le père offi ciant. Le corps glisse sur le plau incliné oü il était ratenu.. un bruit sec rententit, un clapotis de vagues y succède... l'Océan sest refermé, ensevelissant a jamais dans sa moïle tiédeur la proie de la mort Un dernier regard de tous vers la tombe immense.. Une sonnerie retentit..Le vapeur s'ébranle et reprend sa course vers la pa- trie 1... Philippe VARNIER. Les débats do la session extraordinaire auxquels les burleurs et craclieurs de l'ex- trêmc-gauche ont donné une longueur fastidieuse inspirent a M. Picard, ancien sénatcur socialist?, socialiste toujours (il écrivait encore avant-hier dans le Peuple) ces réflexions Le Pays vient d'assister, goguenard et dégoüté, a 1'une des plus notables et dts moins honorantes, parties d'engueule- ment parlementaire que l'on ait vues sous la coupole solennelle du Palais de la Nation. Ce fut vilainement beau comme on dit en Hesbaie. Oui, beau 1 dans Timpudeur. J'écris engueulement tout net et sans vergogne. Pourquoi, faisant ici l'office du simple journaliste, n'userais-je pas d'une telle licence, alors que par douzaines des citoyens investis de la dignité de Représen- tants du Peuple, ne se gênent pas pour se cracher a la face de pires mots et mème de vrais crachats Quel spectacle On nomme ca valióer les pouvoirs ...Le pays entier murmure contre ce galvaudage délirant des forces legislatives destinées, non pas a ces querelles de caba ret, mais k l'avancement des affaires pu- bliques... La validation des pouvoirs des nou- veaux élus, ne fut, nul ne Tignore, que l'occasion de la grande et stérile parade qui absorba, sans résultat direct, un mois en tier, cette précieuse substancel'activité parlementaire. Le Reglement assure laliberté des di vagations, et Jules Destréea dit malicieuse- ment Yous ne savez pas ce quo le Regle ment nous réserve de ressources pour l'obstruction 1 Ca nous promet de beaux jours et un superbe gaspillage, un lot splendioso, gigantesque, émerveillard do forces perdues, quand, en novembre pro- chain, on discuterala prise en considération de la Revision de la Constitution pour éta- blir le S. U. univocal. A A. A A. A. A A. A A. A. et les franc-ma^ns Le Courrier du Soir de Verviers publie ces intéressantes informations Pendant la campagne qui précéda les éleetions communales de Vienne, les propa gandistes du b!oc anticatholique proclamè- rent leur intention d'interdire, s'ils étaient vainqueurs, le Congrè3 Eucharistique. Le corps electoral leur répondit en maintenant a Tbotel de ville une majorité catholique de plus de deux tiers. Depuis, l'acbarnement de la secto judéo- maconnique et libéralo-socialiste a redoublé. Ne pouvant empêcher le Congrès, les sectai- res autrichiens prétendent le saboter. Pen dant la dernière semaine du juii'et, i's ont délibéré sur les manifestations hostiles a or ganiser pendant les fêtes eucharistiques. Certains voulaient un cortège anticatholi que parcourant los rues a la même beure que la procession. Le piésident déconseilla cette manoeuvre, non par respect pour le culte catholique évi- demment, mais par crainte de la police qui empêcherait le cortège magonnique et coffre- rait en masse organisateurs et manifestants. On s'est done arrêté a une série de conféren ces antireligleuses qui se donnent quotidiin- nement pendant le Congrès daDS les assem bles libérales et socialistes. La semaine dernière, nouvelle manoeuvre, heureusement déjouée par le comité local du Congrès Eucharistique. Oa a répandu Vienne et en Italië le bruit que des manifes tations anti-italionnes se produiraient sur le parcours de la procession et que des grou- pes de congressistes s'associeraient a ces démonstrations anti italiennes. Le comité local, dans une circulaire adressée aux catholiques de tous les pays, dément catégoriquement ca bruit, promet une procession superbe d'ordre et de piété, passant au milieu d'une foularespectueuse et recueillie, et ajoute que toutes les mesures sont prises pour réprimer le cas échéant, toute manifestation hostile. Degu8 dece cofé, les FF.*, autrichiens n'organiseront-ils pas quelque simulacre de scandale clérical C'est possible, mais il est problable aussi qu'ils craignent une réédition de leur four de Montreal, oü on les découvrit au moment qu'ils machinaient un coup contre Tbonneur et la réputation de moralité du sacerdoce. Le général Michel poursuivant la série des importantes réformes inaugurées par M. de Broqueville, vient de condenser dans un règlement provisoire les nouvelles attri butions des autorités administratives. II n'y aura plus désormais dans les régi- ments, dans les ateliers de fabrication, etc., de conseils d'admiaistration. Ces organismes étaient composés habituellement de quatre ou cinq officiers leur existence engendrait d'inutiles complications, et multipliait la paperasserie. Le ministre de la guerre a décidé leur transformation. II substitue partout a la responsabilité collective la responsabilité individuello. Cette responsa bilité sera attribuée dorénavant a des offi ciers comptablcs a même de l'assumer et les officiers de troupe ou techniques seront rendus a leurs fonctions propres. Le nouveau règlement rand les quartiers- m utres et les administrateurs d'habillement justiciables de la Cour des Comptes au même titre que les officiers d'administration et les officiers comptables du materiel. II décharge b commandement d'une partia du travail administratif ainsi que de la responsabilité du service financier des corps et des établis- 8ements. Autre mesure importante les établisse- ments de fabrication de Tartillerie, l'artil'e- rie des positions fortifiées de la Meuse, les secours de l'Arsenal d'Anvers, les pares de campagne, ainsi que les établissements des services adminiotratifs et hospitaliers seront place's sous le controle financier des inten- dants. Enün, dans chaque établissement ou ser vice, 1'adminLtration et la comptabilité du matériel d'artillerie seront centralisés dans les maks d'un officier comptable chef de service sous la haute direction et la respon sabilité des directeurs d'établissements de fabrication, des commandants d'artillerie de forteresse, des commandants de secteurs ou d'arsenal eentral d'Auvers, et des comman dants de Pares de Campagne. Ainsi se poursuit le programme de decen tralisation prévu par le rapport du Roi. p_ jf* if, if. if if if fjg 3> ÏE Le Moniteur du 14 Aoüt dernier publie les statuts de 1'Union professionnelle Hand in Hand établi a Ypres et composé de patrons et ouvriers imprimeurs. Parmi les principaux organismes de ce syndicat, signalons la caisse de retraite et la caisse de chómage. I Gand, après Anvers, aura les les honneurs de prochaine Joyeuse Entrée. Elle devra ce tour de faveur a son Exposition. Puis on reprendra l'ordre alphabétique. On assure que Tournai receyra aussi, bien que netant pas chef-lieu de province, la visite des sou- verains, qui y assisteront a la reconstitution d'un tournoi de chevalerie. A A. A A. A A A. A. A A Comme il y a déja prés de 600 inscrits, il n'y a plus moyen de garantir une place a ceux qui tarderaient de se faire inscrire. La messe solenuelle d'ouverture de la Se maine Sociale sera chantée l'Eglise collé giale de Saint-Pierre, a Louvain, a 9 h. 1/2 précises. Ceux qui n'arrivent que vers cette heure auront le temps de se rendre a leur logement après la messe. VL 7SL m 7m fit m. Une réunion a eu lieu a Héverlé, hier ma tin. Plus de i,5oo femmes et jeunes filles, venues de tous les coins de la Belgique, se pressaient, après la messe, dans la salle de réunions de Técole-couvtnt medèle du Sacré- Coeur. L'impression de ce premier congrès est excellente. Le correspondant bruxellois de la Presse d'Anvers dit tenir de source absolument cer- taine que le Gouvernement est fermement décidé a repousser la prise en considération de la proposition de revision de la Constitu tion, qui sera déposée par Topposition a la la rentre'e de novembre. Pour notre part, nous n'avions jamais douté que telle düt être Tattitude de nos amis. ou se préparent a partir. On les voit, depuis quelques jours, reünies en groupes compacts. Elles sen vont, alors que nous n'avons pas encore eu l'impression de l'été. Elles ont trop froid. Elles ne veulent plus attendre le beau temps. if if if if if p*_ fss i$5 |gs> Un nouveau tarif sera mis en vigueur sur les chemins de fer de T Etat et sera applica ble au transports des produits suivanls accessoires de rails, acier en lingots, aciers la- mine's, charpentes en fer ou en acier, toles fortes, rails, traverses et verges d'acier, a effectuer, par quantités d'au moins 15o,ooo kilogr., destination d'Anvers (bassin et entre pot) transit, Anvers (Sud quais) transit, Gand (entrepot), Gand (port), Gand (nouveau bas sin), Gand (petit dock), Bruges bassin), Bruges (maritime) et Zeebrugge (quai). La mise et vigueur du nouveau tarif a pour but principal de permettre a de multiples grands établissements industriels de soutenir plus facilement la concurrence avec les éta blissements similaires de pays étrangers. ff. if if„ p* if' fss ~if, iff; |j5 La comparaison, au point de vue me'te'o- rologique, des seize premiers jours d'aoftt de 1911, et de 1912 fait constater d'étonnantes variations. Pendant les seize premiers jours de iqU 'Inapluqu'unseuljouretla quantité d'eau' tombée aétéinsignifiante: un demi-millimè- tre. Pendant la même période de cette anne'e, SIT SQJ 2O gn SQf jaj an

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 2