Echos VIN S ^pfainW GMRQ&tQUt IPHOISi n 11 Pensées Diverges La distribution des recom penses de I'exposition in ternationale d'horticulture des 29-30 septembre et 1 octobre 1912. m m m Christen Vrouwenbond Le Concert de l'Harmonie Communale Jeune Garde fatholique Turngilde St-Miehel Nécrologie Warneton Legs aux Hospices Civils Nos officiers au concours hippique de New-York m Éi Les socialistes et le S. L. des femmes Une statue a Fdgar Tinei Mort héroïque d'un prêtre Grande Vente Publique Aveugles E S A Y P R •mm S'il est une autre nuisance qui crève éga- lement les yeux c'est certes celle des cinemas, entreprises d'excitation a tous les crimes et de détraqusment du caeur et du cerveau. Ce ne sont plus seulement les moralistes et le» criminalistes qui s'en pl&ignentles méde- eins, a leur tour, en dénoncent le» méfaits. Dans les grandes villes ils ont note, depuis quelque temps, un mal nerveux nouveau qui affecta nombre d'enfants. Les peiits, dès qu'il» sont endormis.sont en proie a d'affreux cauchemars, poussent de» cris d'angoisse, se réveillent en sursaut et sautent de leur lit comme pour fuir des visions redoutables. On les recouche a grand'peine et dès que le sommeil revient, ils recommencent. On a recherché la cause de ces désordres et on a découvert que les enfants qui y sont en proie sont toujours des habitués de certains ciné ma» oü Ton represents tout ce qui peut inspirer la terreur et l'horreur, sans parler du reste. II parait que le nombre de méningites provoquées par certain# spectacles de l'es- pèce est inimaginable. Puisqu'il n'eBt pas possible de supprimer le mal, qu'on n'hésite du moins pas a appli- quer tous les moyen» légaux de le limiter, notamment en frappant ce genre de spec tacles de taxes que justifient la concurrence qu'ils font a d'autres lieux de délassement, grevés de taxes, et la surveillance de police qu'il# nécessitent. C'est ce que vient de faire, entre autres, le conseil communal de Roulers. Tout le monde l'en félicitera. Jé8us-Christ a voulu naitre pauvre, rece voir en sa compagnie des pauvres, servir les pauvres, se mettre a la place des pauvres jusqu'ü dire que le bien et le mal que nous ferons aux pauvres, II le tiendra fait a sa Personne divine. J.'B. de la Salie. r* V C'est par Marie que Dieu est deBcendu sur la terre, c'est par Elle que les hommes mériteutde monter au Ciel. S. Augustin. Celui qui ne se léve pas assez tót est tout le jour en retard pour ce qu'il doit faire. Franklin. Vt M #S #5 Cette cérémonie, qui avait revêtu un cer tain caractère de solennité, a eu lieu Di- manche k deux heures, a l'Hötel de Ville. salie bleue, sous la présidencede MM. Co- laert, bourgmestre et Fraeys de Veubeke, échevin, entourés de plusieurs conseillers communaux, de la commission de la société et du comité des fêtes de I'exposition. Le discours d'ouverture fut prononcé par M. Van Winsen, président de la société Royale d'Horticulture de Tarroudissement d'Ypres, qui, après avoir remercié les auto rités présentes, rappela les débuts modestes de la société et ses immenses progrès ïéali- sés depuis 25 ans. 11 attribue une grande part de ces succès a la bonne gestion finan- cière du trésorier, M. Isidore Dewilue. L'orateur vante tous les bienfaits bygié- niques et moreaux du jardinage et préconise la création de squares, ces poumons des grandes villes, comme on l'a dit. On ignore généralement aussi toute la salubrité que procurent les plantes d'appartement. Cha- que ouvrier devrait pouvoir disposer d'un coin de terre. La société serait disposée a leur donner des semences et favoriser cette oeuvre dans la plus large mesure du pos Bible. Les terrains manquent malheureuse- ment. Nous demandons a l'administration de vouloir bien étudier cette question. Notre idéal serait de voir chacun jardi- nier. Nous pouvons même espérer voir un jour un nombre plus grand de jardiniers que de soldats. La chose n'est pas impos sible puisque la femme peut également s'oc- cuper de jardinage. M. Colaert, au nom de 1'Administration communale, remercie la société d'avoir mis l'horticulture sur un tel pied a Ypres. L'ad ministration a été heureuse de collaborer I'exposition et elle sera heureuse de le faire encore par la suite. On a dit que chacun devrait être jardinier. N'a t on pas vu de grands hommes d'Etat 1 tels que Gladstone faire Ie travail du büche- ron En faisant visite k Jules Malou, il y a i une trentaine d'années, j'ai trouvé l'homma d'Etat occupé a tailler des poiriers. L'orateur espère que la société peut comp ter sur radministration pour la realisation de l'ceuvre du coin de terre. M. Buis 6Bt d'avis qu'il faut planter des arbres du moment qu'on dispose de quelques mètres de terrain. Nous avons été critiqués au début quand nous avons plantés des arbres dan8 les rues. A l'heure actuelle, on ne voudrait plus qu'on les enlève. Les ar bres assainissent et embellisssnt les villes. Je vous remercie, dit M. Colaert, d'être venus en si grand nombre et je suis heureux d'assister a cette fête et de distribuer les récompenses Votre société, il y a 25 ans, n'était qu'une petite plante aujourd'hui, c'est un arbre quiétendau loin ses branches. M. le ministre Vandevyver vous disait der- nièrement qu'il espérait voir le com de la ville d'Ypres connn au loin grace a ses pro ductions horticoles et nos relations avec l'Angleterre semblent devoir prendre un développement sans cesse croissant. M. Valere Bouckenooghe, président du Comité de I'exposition, compare humoristi- quement les généraux victorieux du coi flit balkanique, mais qui ont semé la mort autour d'eux, et les modestes jardiniers, artisans de Ia paix, de l'hygiène et de la morale Le jardinage est le plus ancien mé tier de la terre, puisqu'Adam et Ève étaient jardiniers, et le métier sera exercé jusqu'a la fin des siècles. On peut dire que c'est un métier essentiellement moral puisque pas un sur mille ouvriers jardiniers ne figure avec des condamuations du Tribunal. L'exportation de produits horticoles et maraichers est une source de richesse pour le pays. C'est un bénifice net pour ainsi dire, tandis que l'exportation de tissus ou d'autres produits est beaucoup moins rému- nératrice, puisqu9 nous devons déja payer a l'étraoger les matières premières, coton ou autres produits. M. Bouckenooghe rend hommage a, M. le Ministre Helleputte qui a tant favorisé l'agriculture, et adresse ses remerciments aux autorités et aux membres du comité et a ses deux dévoués secrétaires. II espère voir la Société devenir l'égale de celle de Bruges, la première de la Flandre. Avec de la volonté, nous y arriverons. M. Pauwels, secrétaire, donne ensuite lecture du rapport de la séance précédente, ct il est procédé encore a l'élection de nou- veaux membres. La distribution des récompenses commen ce par celles attribuées aux visites de jar- dins, aux balcons et fenêtreB fleuris et aux ar'E§Sf8(?M,6M^ls recompenses ae i expo sition sont ensuite décernées. On se plait a reconnaitre le caractère vraiment artistique des médailles et des diplömes. La remise de ces distinctions s'agrémente d'un mot aimable pour chacun. M. Colaert complimente tout spécialement M. J. De Meulenaere, jardinier de M. le baron Gas ton de Vinck, bourgmestre de Zillebeke, chêteau de la Hooghe), qui, par l'impor- tance et l'éclat de ses apports a le plus con- trrbué au succès de I'exposition et s'est vu décerner, de ce chef, la médaille de vermeil offerte par Sa Majesté Ie Roi Albert. A chacun des membres du Comité organi- sateur fut remis une breloque en argent, avec le sujet en reduction des médailles, ainsi qu'ua diplome commémoratif. M. le président Van Winsen clótura cette cérémonie en fixant rendez-vous a I'exposi tion de 1917. Vrouwenbond possède le talent de joindre l'agréable l'utile. Nous n'ignorons pas que sa section principale, la mutualité en cas de maladie est trés prospère, et nous faisons des voeux pour qu'elle se développe de plus en plus. Une autre de ses filiales, oeuvre toute récente et combien nécessaire est l'école mé- nagère pour les ouvriéres diamantaires. Trois soirées par semaine sous l'habile direction de religieuses diplómées de l'école Lamothe, ces jeunes filles font la cuisine, le raccommo- dage, la lessive et le repassage. En terminant, nous faisons le voeu de voir le Christen Vrouwenbond se développer de plus en plus, car Rust Roest dit le vieil adage flamand. Le Journal d'Ypres sera toujours heureux de mentionner ses progrès et d'y applaudir. La fabrique de l'église de Warneton est autoiisée a accepter une rente annuelle de 33 fr. 07. Aux termes de son testament olographe, en date du 24 avril 1906, Mm« Sophie-José- phine Catteau, veuve de M. Francois Breyne, sans profession, demeurant a Warneton, dispose notamment comme suit ...Je donne et lègue aux hospices civils de Warneton une somme de 8 000 fr. a charge de faire célébrer pendant dix ans a l'église de Warneton un obit annuel, a 9 heures, pour le repos de mon éme et celle de mon époux et de nous faire recommander pendant dix ans parmi les défunts 5$ £3? £3? £3? £3? £3® *3? £3? Éi ÉL 'él Dimanche dernier a l'occasion de la Ste- Barbe, l'Harmonie Communale a donné son concert annuel en la salie Pauwels des Halles. Un nombreux public y assistait et s'est mon- tré enchanté de l'exécution des différents morceaux du programme. Mr Wiltebroodt, le distingué chef de l'Harmonie Communale a droit tous les éloges pour le talent et le dévouement avec lesquels il prépare et dirige ses musicieos. Éi. M Éi Le concours hippique de j 1913 Le comité du cercle équestre yprois a prié j M. le major Vedrine, commandant de l'école j d'équitation, de vouloir bien accepter les fonctions de président d'honneur, remplies antérieurement parson prédécesseur, M. le J lieutenant-colonel Hagemans. Le cercle a pris en outre la décision de donner, dans le courant de l'été prochain, deux journées de concours hippique a l'esplanade. Éi ÉL M L'heure de la Gare sera désormais indiquée par la nouvelle hor loge placée a l'entrée du bureau de police. Un bec de gaz éclairera celle-ci le soir L'horloge du beffroi sera toujours en avance de sept minutes sur l'heure de la gare. 'Éi 'ÉL Éi Par arrêté royal, M. Vandaele, juge au tribunal de ir« instance a Ypres, est désigné pour remplir les fonctions de juge destruc tion prés ce tribunal, pendant un nouveau terme de trois ans, prenant cours le 20 décembre 1912. M 'Éi Éi et Les deux séances données dimanche lundi par la section dramatique du «Christen Vrouwenbond ont eu un vif succès. Di manche surtout la salie du Volkshuis était bondée. Au programme, un choeur bien exécuté de Schumann. Une mention toute spéciale a i'accompagnateur dévoué qu'est Monsieur Gustave Desramault. Puis Je clou de la fête Het Fabriek meisje drame en 3 actes. Nos petites Yproises, chacune dans leur röle, ont été parfaites toutes ont rivalisé de savoir-faire et de naturel. Ce drame d'actualité prouva aux dames et demoiselles de la classe aisée qu'il s'agit de se mettre fermement a l'oeuvre pour relever et soutenir la femme ouvrière, au point de vue matériel et moral. C'est un devoir impérieux qui s'impose k tous ceux que la fortune a favorisés, de veiller aux intéréts de la société. Réunissons done nos ouvriéres dans de bienfaisantes ligues et mutuelles, imprégnées du sceau chrétien, avant que le socialisme athé ne fasse ses ravages. Que tous se souviennent qu'une femme gagnée au socialisme est perdue pour Dieu et sa familie. 1 I our finir, les gens les plus sérieuxont ri des bévues de la servante de Knipschaar. Cette féte a démontré que le Christen Par suite du décès de S. A. R. Madame la Comtesse de Flandre, Monsieur le Bourg mestre ne recevra pas le Jour de Tan. Éi 'él M Fanfare Royale La Fanfare Royale doncera son Grand Concert annuel le Dimanche 26 Janvier 1913. ÉL 'Éi 'Éi Réunion générale le samedi 28 Décembre 8 1/2 beures au Volkshuis. Le programme de la fête promet d'être des plus brillants. ÉS Éi xfë Nos vaillants turners donneront leur féte annuelle le Dimanche 19 janvier 1913. Jeudi, soir 19 Décembre, est pieusement décédé en notre ville, Monsieur René Bege- rem, ancien conseiller communal. Nous présentons a Monsieur l'Avocat G. Begerem et a sa familie, nos bien sincères condoléances. Un arrêté royal publié au Moniteur porte La commission administrative des hospices civils de Warneton est autorisée a accepter le legs qui lui est fait, a charge de remettre annuellement, pendant dix ans, la fabrique de l'église de Warneton la somme de 33 fr. 07 pour 1 exonération des services religieux pres ents par la testatrice. L'équipe beige, composée du capitaine baron de Blommaert, du ier guides, des lieutenants Vandooren, du i'r lanciers, et Delvoie, du 3e lanciers, vient de rentrer en Europe a bord du steamer Rotterdam de la Holland America Line. I Si l'équipe beige n'a pu remportér dans le prix de Nations que le 4e prix, nos compa- triotes se sont cependant distingués dans toutes les épreuves internationalss et y ont enlevé de nombreux prixle capitaine de Blommaert a remporté le 3' prix pour les sauts en hauteur en franchissant 2 mètres Le lieutenant Vandooren a remporté le 3e prix pour le cheval d'armes et le 4e prix pour les sauts de largeur en franchissant 6 m. 20. Quant au lieutenant Delvoie, il s'est particu lièrement distiügué en enlevant le 2e et 3e prix dans la coupe militaire canadienne. Le Peuple reproduit quelques lignes écrites par Jaurès dans 1' Humanité en faveur du S. U. des femmes. Pourlutter contre l'alcoolisme, contre le taudis, contre les conditions déprimantes de travail et de salaire, contre la misère qui dis- loque le foyer, contre les machinations de guerre, faction politique des femmes sera, dit Jaurès, une grande force de civilisation. La reconnaissance de leur droit obligera tous les partis a un grand effort d'idéal. Car seul religieuse d'une grande cause pourra solllici- ter les femmes a sortir du cercle de leurs preoccupations domestiques. Et Jaurès trouve vraiment excellent que la question du S. U. des femmes soit po- sée en même temps a la Chambre framjaise et a la Chambre anglaise. Chez nous les socialistes se dérobent et tout leur effort se borne a la publication pé- riodique dans les colonnes du Peuple de manifestes féministes plus ou moins origi- naux. Tout 9a c'est de la littérature et une dé- claration catégorique serait autrement inté ressante. ÉL 3£ M Une comité provisoire de quelques nota- bilités de St- Nicolas et de Sinay (Waes), vient de se constituer a St-Nicolas dans le but d'ériger a Tinei, dans sa commune natale, oü le grand musicien a désiré être enterré, un monument digne de lui. Aliue Marquet, M. le bourgmestre de Mar- chiennes et Mme Jules des Essarts, eet. Et voila, ce n'est pas plus difficile que cela, On peut être depute socialiste, libre-penseur, franc-ma^on et tout ce que vous voulez, quand on a des filles a marier.,.. on va a l'E- glise et on se laisse féliciter, même par un curé. Quelle logique I W m m Nous lisons dans le Gaulois L'autre jour, a l'hopital militaire de Ver sailles,un petit soldat se mourait d'une fièvre infectueuse.Les médecins, en raison du grave danger que présentait la maladie, avaient interdit qu'on approcbêt du lit sur lèquel le pauvre enfant agonisait, abandonné de tous. Seul, un homme n'avait pas voulu obéir 1 ordre donné il s'installa a cóté du mori- bond auquel il ne cessa, jusqu'a ce qu'il eüt rendu le dernier soupir, de prodiguer sa pa- ro'e consolatrice, et il lui donna le baiserde de paix. Cet homme était un prêtre, aumö- nier militaire k Versailles, l'abbé Marie Pu- jos du Coudray, un vaillant qui s'était déja signalé dans plusieurs occasions semblables. Vendredi dernier,le prêtre fermait les yeux au petit soldat. Le soir même, en rentrant chez lui, l'abbé du Coudray ressentit les premieres 3tteintes du mal qu il avait pris au chevet du malade, et, queiques heures plus tard, son état était désespéré. Dimanche, après une longue agoDie, le vaillant prêtre succombait, victime du devoir, victime de son dévouement envers nos soldats, auxquels il avait décidé de consacrer sa vie, toute sa vie, jusqu'au bout. L'abbé du Coudray, on le voit, a tenu largement parole. II avait trente-cinq ans a peine. Après un séjour de plusieurs années au Canada, il était rentré en France il y a six mois, comme aumónier de l'hopital militaire de Versailles. £3® £i? £3® ï3® £jp «jl burgerstand YPER. Geboorten ^Collet Marie, Meenen- steenweg. \ercruysse Marie, Pateelstr. Kerrinckx Julien, Cartonstr. Dufour Phiiomê- ne, Lombaardstr. - Balduyck UastoD, Meenen- steenweg. Decheiver Honoré, St-Jacobstr. HuwelijkBaelen Aehille, handelsreiziger wed. van Doom Zénobie en De Paepe Marie, z b te Yper. Sterfgevallen Cooren Alice, 10 dagen.Grim- mmekstraat. Devos Elvira, 2 dagt*n, Pope- riDgbesteenweg. - Rabau Philomène, 73 jaar, z. b., weduwe Vlaemyncfe Fideel, Surmontde Yolsbei'ghesiraat. Vanholme Marie, 45 jaar Cyrille, 4 maanden. Minneplein. Depoortere n Minneplein. - Jacob, 9 maanden, St Jacobstraat. VILLE D'YPRES. de 'ÉL 'ÉL Éi Nous avons répété par centaines de fois, que les socialistes embrigadés, derrière le drapeau rouge, sont obligés d'admirer tout ceque les meneurs font de bien et doivent fermer les yeux sur ce qui pourrait les im- pressionner en mal. Le journal socialiste de Bruxelles qui ra- conte tous les faits et gestes des de'putés rou ges a cependant oublié de faire mention de celui-ci. Nous ignorons pourquoi 1 Un journal libéral nous le révêlait il y a quelques jours en ces termes C'est aujourd'hui qu'a été célébré a An- vers, le mariage civil et religieux de MUe Geoigette et Léa Terwagne, les charmantes jeunes filles de M. le doeteur Modeste Ter wagne, de'puté (socialiste) et conseiller com munal Anvers. Le mariage civil a été célébré par M Cools, échevin de l'état-civil, et le Mariage reli gieux par M. le curé de Saint-Laurent, qui est la paroisse de M. le député Terwagne. L'échevin et le curé ont adressé aux jeunes époux de trés jolies allocutions et, a 1 hotel de ville, la rose d'or a été offerte aux jeunes fiancées. Parmi les assistants aux mariages, citons M. et Mme Georges Marquet, MM. et Mmes Max et Raoul Sauvan-Marquet, Mile par suite d'une liquidation ancienne maison d'une Local La Bourse rue Carton, Lundi 23 et Mardi 24 Décembre 1912, de 9 A 18 heures, par ministè re de Monsieur Willekens, directeur des Halles Centrales de Blankenber- ghe, spécialement délégué A ces vins par le vendeur, il sera vendu publi- quement 248 füts et 4800 bouteilles, vins de Bordeaux d origine, des Chateaux, de Bourgogne et de Porto, etc., A partir de Fr. 0.85 et 0.98 le litre ou la bouteille. Franco domicile sans frais. Dégustation gratuite et catalogue détaillé, a obtenir au susdit local de la vente les jours et heures précités. ifit M, #5 fp» fs» fs» pi Eu vente au bureau du Journal. jpaaZi-ST"- ia AJ ngioiraturc i: 1 aiuall U'uii lraui ivls^al wt l'«nr»otion cjuaG» nenstraaf weduwe Grimmen pré Gustaaf, Mee- nenstiaat. Mazeure Charles, 57 jaar land werker, echtgenoot Laplace Eugenie Oude

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1912 | | pagina 2