Asthmatiq nes,
Poitrinaires,
Sirop tie l'Abbaye,
CHHO SI QUE ÏPROISE
m m m
m
m
Le Sénat
ST-MARTJN
11
1
Promotion
Construction d'une flèche
a l'Cglise St Martin
Un subside
Ordination
Christen Vlaamsch Verbond
Bepos dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
A propos de musique
religieuse
m m m
La mortalité en noire ville
Statistique démographique
domination
Distinctions
Les traitements
de la magishalure
Lundi 23 décembre
Budget des voies et moyens.
M. Be Sadeleer s'eccupe de l'organisation
du cheque postal. Une convention interna
tionale fut conclue entre rAllemagne, l'Au-
triche, la Hongrie et la Suissela Belgique
y adhère dès le mois de novembre 1910 au
profit deB titulaires de comptes courants en
banque. Aujourd'hui les avantages de cette
utile institution seront étendus a tons les
titulaires dun compte ouvert a la poste,
c'est-a-dire a la grande masse du public. II
est désirable en outre que le chèque postal
puisse être introduit en France et la Hol-
lande. Le chèque postal n'existe en Alle-
magne que depuis deux ans et déja les opé-
rations y relatives se sont élevées, rien que
pour l'année 1911, a 60 milliards de francs.
Et il n'en est résulté, au témoignaga' des
fonctionnaires alle.nands, ni troubles ni
difficultés pour le service postal.
M. Coullier critique la loi sur la suppres
sion du droit de licence le but qu'on a
entendu viser ne sera pas atteintil y aura
non seulement une (plus grande consomma-
tion d'alcool, mais un accroissement formi
dable du nombre des debits d'alcool. II prie
M. le Ministre des finances d'entendre les
doléances de l'industrie brassicole et d'étu-
dier immédiatement les moyens de reviser
la loi.
M. Fléchet demande une réduction des
droits d'entrée sur le miel.
MM. De Bast et Catteau parient dans le
même sens que M. Coullier.
M. Vinck (soc.) critique le dernier em-
prunt du gouvernement. D'après lui, si le
gouvernement a dü payer un gros intérêt
c'est paree que le suffrage universal n'existe
pas en Belgique. Les financiers considèrent
que leurs opérations sont entourées de plus
de sécurité ea France et dans les pays oü le
suffrage universal existe.
M. Claeijs Bonnaert jnsiste a nouveau au
sujet de la codification des lois fiscales,
M.-Levie, ministre des finances, répond
que la codification des lois fiscales est déja
trèsavsrcée; dans le courant de l'année
prochaine, elle sera terminée les Chambres
auront alors a statuer sur l'ensemble.
D'après M. Vfnck, le gouvernement est
aux abois et la finance beige lui refuse son
appui, paree que nous n'avons pas le suffra
ge universal. Le Sénat aura déja fait bonne
justice de ces énormités.
Nous ne'pouvons échapper en Belgique
au renchérissement universel de l'argent.
Ce renchérissement est dü d'une part a l'in-
sécurité internationale, de l'autre, aux be-
soins auxquels il faut faire face dans les
pays nouvellement ouverts au progrès.
Tousles ministres des finances de l'Europe
se trouvent incriminés. Nous sommes, en
réalité, en présence d'une loi économique
générale, dont sont victimes pour le moment
tous les porteurs de rente.
Nos ressources suffisent aux besoins du
budget de 1913, il ne faudra pas y suppléer.
Mais les Chambres sont saisies de diffé
rents projets portant notamment sur les
habitations a bon marché, les distributions
d'eau potable, les pensions de vieillesse, la
réforme militaireil faut évidemment des
ressourcer pour faire face aux dépenses con-
eidérables qui résulteront de tout cela.
MM. Catteau et Coullier se sont vivement
élevés contre la loi du 12 décembre. On a
vingt-quatre heures pour maudire ses juges;
ce délai est expiré. Je n'ai rien a changer a
ce que j'ai dit lors de la discussion.
S'il fallait en croire M. Coullier, les me-
sures que vous avez votées auraient pour
résultat d'augmenter le nombre ne cabarets.
Si je l'ai bien compris, M. Coulier a soutenu
que, moins il y aura de cabarets, plus on
boira
D'autre part, M. Coullier m'accuse d'aug
menter le nombre de cabarets oü l'on dé-
bitera de 1'alcocl, ce qui, dit-il, augmentera
d'autant laconsommation. Done, quoi que
Ton fasse, que l'on augmente le nombre des
cabarets ou qu'on le diminue.on augmentera
toujours la consommation
J'ai dit que j'étais amené a ne plus faire
de distinction entrejjjles cabarets a bière et
les cabarets a l'alcool, paree que la surveil
lance qui serait nécessaire pour faire obser
ver cette distinction est impossible en pra
tique. Mais, j'ai toujours été convaincu que
la limitation du nombre des cabarets doit
amener une diminution dans la consomma
tion. Nous verrons les résultats de la loi
nouvelle'; dans un an, je vous dirai ce qu'ils
seront.
Quoi qu'en aient dit MM. Coppieters et
Wiener, notre régime fiscal est des plus
modéré. L'ouvrier, chez nous, est exempt de
la contribution personnelle par disposition
spéciale et comme une foule d'autre3 per-
sonnes bénéficient des exemptions générales,
il se trouve que plus de la moitié des Beiges
ne paient pas de contribution personnelle.
Et l'ouvrier paie-t-il la patente II n'y a
pas 600.000 patentés dans notre pays
ancun ouvrier ne figure paimi eux.
En France, les impots de consommation
sont bien autre chose qu'en Belgique tout
est imposé. Ici, ni le froment, ni le seigle
ne sont imposée.
A gauche II y a l'avoine.
M. Levie, ministre des finances. Mais
nous n'en mangeons pas, de l'avoine I [Hi-
larité), On paie 3 francs par 100 kilogram
mes sur l'avoine. Ce n'est presque rien.
Grüce a eet impót modéré, le Luxembourg
a développé Bes cultures.
Lepétroleet le sel r e sont pasimposés
non plus. L'impót sur le tabac est trés mi-
nime en Angleterre, il est trés élevé.
On paie chez nous sur la bière 10 centimes
par kilogramme de farice cela ne fait pas
un demi centime au petit verre de bière.
Est-ce beaucoup
M. Lafontaine. Etlebétail
M. Levie, ministre des finances. L'im
pót sur le bétail s'explique pour jifférentes
raisons qui ont déja été a mai tes reprises
exposées ici. Je n'y reviens done pas.
M. De Bast r3commande l'impot snr les
valeurs mobilières.
Quand nion projet sera déposé, j'espère
que le Sénat lui réservera l'accueil si bien-
veillatit qui m'est annoncé par l'honorable
membre.
M. Segers, ministre de la marine, des
postes et télégraphes, répond a M. De Sade
leer en ce qui concerne le chèque postal. Le
détail de l'organisation de ce nouveau
service paraitra prochainement dans un
ar;été royal.
Mardi 24 Décembre.
M. Bergmann, appuyé par M.Vandeborgh
demande la suppression des péages.
M. Levie, ministre des finances regette de
ne pouvoir faire droit a cette demande. Tous
ses prédécesseurs, y compris Frère Orban,
se sont prononcés en faveur du raaintien des
péages. La comparaison avec les routes
ne tient pas, et par conséquent on ne peut
invoquer comme précédent la suppression
des barrières. Tout le monde se sert des rou
tes et tout le monde paie. Quant aux ca-
naux, les baseliers sont seuls a s'en servir.
La petite i«dustrie et le petit commerce se
servent du chemin de fer et paient les taxes
voudriez-vous voir supprimer les péages pour
la grande industrie et laisser a la petite in
dustrie toutes les charges
Le sénat procédé ensuite au vote de feuil
letons de grande naturalisation et de natura
lisation ordinaire, au vote sur l'ensemble du
budget des voies et moyens et au vote dAcré-
dits provisoires pour 1913.
Après un écharge l'observations entre
MM. Goblet d'Aleviella, de Broqueville et
de Ito au sujet de la constitutionnalité du
projet de loi sur le contingent de l'armée pour
1913, celui-ci est fixé a 100,000 hommes,
par 65 voix contre 8.
M. le Président fait part a 1'assemble'e de
ce que le deuil officiel pris a l'occasion du
décès de S. A. R. Mmela comtesse de Flandre
cessera le 26 février prochain et le deuil de
la Cour le 26 mai.
!§.Le [sénat s'ajourne jusqu'a convocation
ultérieure.
M M S# gft S# 2*. SS2* f*. 2*
Chronique des travaux publics, 22 déc. 1912.
En principe, d'après Violkt Le Due, tout
clocher appartenant a l'architecture du
moyen age est fait pour reeevoir une flèche
de pierre ou de bois c'est la terminaison
obligée des tours religieuses.
La tour de l'église tSaint-Martin a Ypres
n'a pas de flèche. Faut-il lui en donner une
Les amateurs du pittoresque disent non, les
archéologues répondent oui et invoquent
l'opinion, certainement considérable de
Schayes écrivant dans son Histoire de [VAr
chitecture en 'Belgique a propos de la tour de
Saint-Martin, ce qui suit Quoique non
terminée, cette tour peut passer pour une des
plus belles de Belgique. La conclusion
s'impose si la tour n'est pas terminée, ce ne
peut être un crime de la compléter dans le
style du monument (dans l'espèce le gothi-
que teitiaire). Dans ce débat, les archéolo
gues ont triomphé la Commission royale
des monuments a accordé sa haute approba
tion au projet de flèche drc-ssé par M. l'archi-
tecte Coomans.
Dans un intéressant rapport dü a la plume
de M. le bourgmestre d'Ypres, on lit Au
point de vue architectural, nous croyons que
le projet ne.laisse rien a désirer. Le sol et la
tour ont été vérifiés par M. Coomans, qui a
conscience de sa responsabilité. Quant aux
détails, il nous semble que notre ingénicur-
architecte a montré une connaissance appro
fondie des effets de la perspective, des lumiè
res et des ombres. La sécheresse des grandes
lignes droites disparait sous une ornementa
tion sobre et gracieuse tourelies, pinacles,
crochets, lucarnes, trilobes, ajours, galeries,
et, surtout, ce bulbe élégant qui donne a la
partie supérieure de la flèche une originalité
sans égale.
L'entreprise de la construction de la flèche
et des quatre tourelles d'angle de la tour
comprendra la démolition jusqu'au plateau
du campanile existant, des amorces des tou
relles d'angle, des couvertures des tourelies
d'escalier et des balustrades en fer forgé. Le
coüt des travaux est évalué a 89, 432 francs.
Pour les ma^onneries, on emploiera des
briques Deuves du littoral de même format
et couleur que celles existant dans les parc-
ments de la tour, de la pierre d'Euville et de
Gobertange, du petit granit d'Ecaussinnes.
Les travaux devror.t être terminés en douze
mois.
L'église de Saint-Martin (58 metres) attein-
dra avec la tour et la flèche une hauteur de
prés de 100 mètres.
Cautionnement4,500 francs au moment
du dépot de la soumission, plus 4.500 francs
après acceptation de l'offre.
tfi. if« if- é*5 §r'
En raison du deuil national causé paria
mort de Son Altësse Royale la Comtesse de
Flandre, M. le Bourgmestre, M. le Doyen,
M. le Piésident du Tribunal et M. le Procu
reur du Roi ne recevront pas le jour de l'an.
"M M
Major Védrine, commandant l'Ecole d'E-
quitation de notre ville, est promu au grade
de lieutenant-colonel.
Nos sincères felicitations.
m m
La Gommission Royale des monuments a
approuvé a l'uoanimité les plans de la con
struction d'une flèche a l'église St Martin et
a vivement félicité l'auteur de ceux-ci, M.
ringénieur-Architecte Coomans.
m se 35
de 1.919.66 Ir. est accordé par arrêté royale
a l'administration communale pour les tra
vaux de restauration du cloltre et de l'an-
cienne abbaye de St Martin.
3>
Monsieur l'abbé Joseph De Houck a été
ordonné prêtre, Samedi dernitr, a Bruges.
II célébrera sa Première Messe Solennelle,
Jeudi 2 Janvier prochain a 10 h. 30, en
l'église St Martin.
Jeudi soir, le Christen Vlaamsch Ver
bond (Section d'Ypres), a tenu saréunion
de Noël.
Le président sortant, M. H. Vanderghote
est remplacé par Mr M. Dehem et Mr l'abbé
Neuville, prévot sortant, par Mr l'abbé
Roose.
Trois allocutions furent prononcées par
1 ancien et le nouveau président et par le
prévot.
II résulte de cette reunion que les mem.
bres du Ghristeu Vlaamsch Verbond
sont de plus en plus décidés a poursuivre ie
noble but de leur société.
m s ip
Lache agression
Depuis tout un temps, les religieuses
attachées au service cie la prison do notre
ville, renconti'aient A certains jours sur leur
route, en ailaut a une heure inatinale a la
aaesse a l'église St Nicolas, un individu qui,
a leur vue, preuait une attitude grotesque
et obscène.
Jeudi dernier, au retour de la messe, les
sceurs arrivées dans la rue Close, se trouvè-
rent de nouveau en présence du triste per-
sonnage qui recomuaenga ses manières
outrageantes.
Plainte fut déposée et la police parvint,
grace au signalement qui lui fut donnó, a se
saisir de 1 individu, qui, mis eö présence des
rebgieuses, fut reconnu par celles-ci.
Lafiaire aura probablement son épilogue
devant le Tribuual Correcuonnel.
IS M M
Dimanche 29 Décembre 1912
J. DE HOUCK, 16, rue de Dixmude.
Mercredi i,r Janvier (NOUVEL AN)
E. GAIMANT, rue de Menin, 6.
Le plain chant, avec son austérité grave,
n'est pas encore adopté jusqu'ici dans nom
bre de couveDts, et les amateurs de musique
a grand renfort d'orchestre s'en réjouissent
certainement. C'est dans ces mêmes églises,
oü la rénovation de la musique religieuse
est encore restée lettre mor te, qu'il est per
mis d'entendre parfois encore déployer tout
leur talent par certains cbantres.
Au 8alut de Noë', a la chapelle de lhopi-
tal, il nous fut donnó d'entendre le cantique
de L'Enfaut-Dieu d'Adam, chanté par
M. Wenes, de cette voix forte et si bien
conduite, qui ne trabit en rien un age a fêter
unjubilé. L'année prochaine, on effet, M.
Wenes, fêtera son jubilé de 50 années de
maiire de chapel's de l'église St Jacques.
Soubailons Jui de conserver, avec une
santé flurissante, cette voix harmonieuse
qui a élevé l'fime de tant de fidèles au cours
de cérémonies religieuses.
Des cbiffres fournis pat' les Tablettes
mensuelles de la Société Royale de méde
cine publique et de topographic médicale
d'octobre, il résulte que, proportionnelle-
ment a la population, c'est a R0ULERS qu'on
a constaté le plus grand nombre de naissan-
ces (85 pour 25,488 habitants, soit 3,33
pour mille).
Par contre, la population la moins forte
est constatée a Verviers (54 naissances pour
46.485 habitants) soit dans ehacune de ces
villes 1,16 pour 1,000
En ce qui concerne les décès, c'est a
0STENDE qu'on meurt le plus, si l'on en croit
cette statistique, on y a enregistré en effet,
83 décès pour 42,638 habitants, soit une pro
portion de 1,94 pour mille par contre,c'est
a Bercbem qu'on meurt le moins, puisque
17 personnes Beulement sont mortes sur une
population de 30 966 habitants, soit une
proportion de 0,84 pour 1,000
Pendant le mois d'octobre de ces cinq der-
nières années, la plus forte proportion j.vait
été de i,83 pour millé (YPRES) et la plus
faible, de 0,76 pour mille (Ougrée).
Le Colonel Van den Eynde, commandant
le 3"me régiment de ligne est promu au grade
de ge'néral major.
Par Arrêté Royal, la médaille de i«reclasse
est accordée a MM. C. Peetermans, commis
de iere classe a l'Ecole de bienfaisance de
l'Etat a Ypres, Smets Charles et Welken-
huysen, surveillants de i,re classe, a la dite
Ecole.
Lejministre de la justice a déposé [divers
projets de loi, et notamment un projet por
tant augmentation du traitement des ma
gistrals.
Ce projet avait été annoncé déja par M.
Carton de Wiarfc dans la discussion du bud
get de 1912 au Sénat. II est de nature a amé-
liorer de facon tres sensible la situation mi
serable de tous les fonctionnaires de l'ordre
judiciaire.
Un autre projet déposé par l'honorable
ministre tend a réduire de cinq a trois le
nombre des conseillers de la Cour d'appel
siégeant en matière civile. On sait que cette
réduction est déja chose faite en matière cor-
rectionnelle.
Le gouvernement estime que l'expérience
qui a été ainsi réalisée est décisive. Cette
réduction du nombre de conseilleis n'est pas
de nature a atteindre en aucune fafon les
chances d'avancement des magistrats de pre
mière instance. En revanche, elle permettra
d'augmenter le nombre des chambres de nos
trois cours, et de faciliter l'écoulement de
l'arriéré qui, surtout a la cour de Bruxelles
et en matière correctionnelle, devient de plus
en plus considérable.
Sans qu'il y ait aucune connexité entre ces
deux projets, il est certain toutefois que si
l'on devait augmenter indéfiniment le nom
bre de nos magistrats et commencer par
créer 12 nou velles places de conseillers a la
Cour d'appel de Bruxelles ce qui serait
nécessaire pour créer deux nouvelles cham
bres avec le maintien de 6 conseillers par
chambre, il serait singulièrement difficile
d'accroitre les traitements, sans causer au
Trésor des charges excessives.
2# ïJ* ï-ff 'J& W?
BURGERSTAND
YPER. Verklaringen van den 21 tot den 27
December 1912. Geboorten Bruneel Julien,
Veemarkt. Tresy Roger, Mondstraat. Donck
Jacob, Oude Houtmarkt.
Sterfgevallen Begerem René, 80 j z. b.,
officier van bet Leopoldsord0."wedr Syoen Marie,
Rijke Klarenstraat. Ombrouck Eugenie, 60 j.,
z. b., echtgte Verougstr.iete Henri, Poperingbe-
steenweg Hemerick Lievin, '78 j., z. b., onge
huwd, Dixmudestraat, Everaet Remi, 49 j.,
korporaal b(j het 38 linieregiment, Statiestraat.
Siilekens Desiré, 56 j., landbouwer, ongehuwd,
Rousselaerestraat. Libberecht Marie, 67 j
kantenwerkster, Rijke Klarenstraat.—Vrielynck
Julien, 16 j., korporaal bij het 4' linieregiment,
Statiestraat. Gasteleyn Desiré, 67 j z. b
echtgt Hommez Amehe, Lange Thouroutstraat.
Guinebere Marie, 60 j., z. b., ongehuwd,Wen-
ninckstraat. Verbeke Emilie, 65 j., z. b., on
gehuwd, De Haernestraat. Jacobs Hector, 60
j., z. b., ongehuwd, Rijseistraat.
J'étais oppressé, je toussais nuitetjouret rien
ne me soulageait. lorsqu'on me conseilla la
Pastille Pectorale Waltbéry, qui m'a guérie en
moins de trois jours. (Extrait d'une lettre de
M«"e El. Gaieur de Bruxelles). 1 fr. la boite.
PÜÊTS
OI- Rue Capouillet
do BRUXELLES
lisez tous ce qu'un
Célèhre Méd cin Beige
DIT DU
Couvent Sancta Paulo
Le docteur Parent, un médecin bien connu de Tournai, 36, Boulevard des
JServiens, fait l'éloge du Sirop de VAbbaye et Ait que c'est un ececellent remê-
de contre toutes les maladies de la poitrine, de la gorge et des poumons.
Le Docteur PARENT, declare
- Dans l'intérêt du bien être de l'huraanité, jj vous prie de vouloir bien publier les
résultats que j'ai obtenus par l'emploi du Sirop de l'Abbaye. Plus d'une lois j'ai prescrit
leSirop de l'Abbaye aux personnes souffrant ou de broncbite chronique, ou d'asthme.
Toujours j'ai pu cocstater un soulagement marquant et tiès rapide. C'est un excellent
remède, que tout le monde aime employer, qui peut soulager et guórir beaucoup de
malheureux poitrinaires lorsque d'autre remödes ont echoué. Mieux encore: dans le
cas do tuberculose, le Sirop de l'Abbaye manifeste ses résultats en trés pou de temps,
rendant ainsi l'espoir et le courage aux malades désespérés et a leur entourage. Lorsque
la maladie n'est pas trop invétéróefle Sirop de l'Abbaye agit toujours merveilleusement.
II me serait impossible de citer les noms de tous ceux qui out été guéris, ou tout au
moins ont trouvé un soulagement, par i'Emploi du Sirop de l'Abbaye. Je considère
comme un devoir de coopérer a la diffusion de ce briilant remède, lèquel ne devrait
manquer dans aucuu ménage. II sufflra de citer deux cas de broncbite chronique k
TournaiLe petit Maurice D. et le petit Louis D Ces deux enfants out été guéris com
plement en l'espace de trois mois. Une de mes parentes Lille (France), dame d'un
a»e avancé, avait souffert pendant des années d'un asthme compliquó de bronchite. Elle
avait enfin essayé tous les remèdes, lorsqu'en 1911 elle se décida a prendre le Sirop do
l'Abbaye. Après avoir pris le contenu d'une première bouteitle, elle se trouva beaucoup
mi 3ux, et actuellement, grace k eet excellent remède, sa santé ne laisse rien a désirer. -
Le Sirop de l'Abbaye, Couvent Sancta Paulo, guërit infail-
liblement l'Asthme, la Coqueluche, la Bronchite, l'Influenza,
la Pleurésie et toutes les affections de la poitrine, de la gorge
et des poumons. Prévient la phtisie.
Prix du flacon de 230 grammes, fr. 2.23, de 550 grammes, fr. 4, et de 1000 grammes fr
7. II y a done avantage a prendre les grands flacons.
Ex'gez la bande rouge avec la signature de l'Agent-Général L. I. AKKER
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