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SHHG Ml QUE tmOISE
Samedi 6 Mars 1913
le N° 10 centimes
48» Année - N» 4778
Étrennes pontificales
Un appel
Les socialistes et
Ia finance
Petit Calcul
A la Chambre
Fanfare Royale
Congrégation
de St Martin
On s'aboinie rue au Beurre, 36, k Ypres, et
Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine.
Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 c. par ail pour tout le pays
pour l'étranger le port en sus.
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k tons les bureaux tie poste clu royaume,
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la ligne. Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les auméros supplémenteiree coütöó
10 francs les cent exemplaires.
Pour les annonces de France et de Belgique (excepté les deux Flandres) s'adresser 1'AgSésSt
Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse.
De la part du Clergé et des paroissiens
d'Oostvleteren. A Sa Sainteté le
Pape 70.00
De la part de la grande Congregation
«les Fill es et le llév.Curé,Boesirghe 6(1 00
VVN
est adressé aux
deputes catholiques
par le Comité de défense pour les intéréts re-
ligieux it moraux de l'armée Aprés avoir
fait remai quer que la nation beige étant une
nation fonciérement catholique, il importe que,
dans son[texle mêmela nouvelle loi militaire
donne satisfaction aux sentiments du peuple
catholique le Comité énumére les révendica-
tions suivantes
La loi doit prescrire qu'a l'emölement de
chaque soldat qui n'est pas majeur et par
conséquent se trouve encore sous l'autorité
de ses parents, la feuille de renseignements
renferme, non seulement le signalement de
l'individu, mais aussi une declaration de
culte.
Dans les prisons, dans les höpitaux civils
une des premières questions de la direction
est celle-ci Quelle religion pratiquez-
vous 1 Cette déclaration est nécessaire pour
qu'on puisse réclamer légitimement pour les
soldats catholiques les droits qui doivent
garantir leurs croyances et Jeurs moeurs.
II faut, k la caserne, quelqu'un qui soit
comme le représentant des parents, pour en-
courager les bons, souteriir les faibles, rele-
ver ceux qui sont tombés. C'est l'aumonier.
II importe que l'érection ou la suppression de
J'aumönerie ne dépende pas d'un décret mi-
nistériel. L'aumonier doit avoir le rang et les
droits de l'officier, avoir ses entrées libres a
ia caserne, pouvoir se rendre dans les
chambrées, la salie de police, la cantine, au
corps de garde, au mess, tout comme les offi
ciers.
Le nombre des aumöniers doit être aug-
menté. F.n ce qui concerne les places fortes
de Liége, Anvers et Namur, il n'y a ni aumö-
nier ni agrée i Wyneghem, Wommelghem,
"«Mortsel, Vieux-Dieu, Wilryck, Hoboken,
Cruybeke, Schooten, Zwijndrecht, Merxem,
Cappellen, Waelhem, Oorden, Beirendrecht,
ni au Fort Philippe ni a la Tête de Flandre.
Liége n'a qu'un aumönier pour ses quatre
casernes, II n'y a pas même d'agréé aux forts
de.Barchon Evegnée, Fléron, Chaudfontaine,
Embourg, Boncelles, Flémalle, Lantin,Lon-
cin, Liers, Pontisse et Hollogne. La position j
de Namur n'a qu'un aumönier a Namur et r
agréé a Huy.
II n'y a pas d'agrée aux forts de Meleret,
Andoy, Dave, St-Héribert, Malonne, Suar-
lée, Eminés et Cognelée. N'est-il pas triste
de voir ainsi nos soldats catholiques privés
de tout secours spirituel
Les réglements militaires accordent au
«oldat, chaque dimanche, deux heures pour
assister a la messe. On devrait inscrire cette
disposition dans la loi pour empêcher quelle
ne puisse être supprimée par simple modifi
cation des réglements. En outre la caserne
devrait être ouverte, le dimanche, non pas a
8 heures du matin mais a 6 heures, de ma-
nière que les jeunes gens désireux de s'ap-
procher de la Sainte Table puissent sortir
librement sans être force's de demander une
permission spéciale.
On devrait aussi n'accorder des permis
sions de nuit aux jeunes soldat3 qu'avec le
consentement de leurs parents.
Dans les éeole* régimentaires devrait
exister, de par la loi, une chapelle, oü les
jeunes gens puissent entendre la messe le di
manche, comme les élèves de l'Ecole des Ca
dets ou de l'Ecole Militaire.
Dans chaque chambrée on devrait établir
des cloisons pour séparer les lits a moins
qu'un sous-officier ne soit chargé de la sur
veillance.
Les lois contre les chansons ordurières,
les discours immoraux, la diftu ion des car
tes et feuilles pornographiques devraient être
appliquées a la caserne les transgresseurs
de ces lois devraient être sévèrement punis
Enfin le voisinage des casernes et du camp
doit être assaini.
En Allemagne, le ministre de la guerre a
réclamé iécemment dans l'intérêt de la bon
ne discipline de l'armée le renforcement
de l'influence religieuse.
Depuis 1904, Mgr Volraar, évêque titulai
re de Pergamos, se trouve a la tête de 274
aumoniers militaires. II est assisté dans l'ad-
ministration de son vaste diocese, aussi vaste
que i'AlLmagne par un Vicaire Général Mgr
Dr A. Leinz, qui réside comme son évêque
a Berlin. Pour le moment 176,416 soldats
catholiques servent sous les drapeaux prus-
siens. Neuf aumoniers en chef (MilitAr-Ober-
pfarrer) sont attachés aux grandes garnisons
de Strasbourg, Francfort, Coblenz, Berlin,
Hanovre, Cologne, Metz, et Breslau;
46 aumöniers de division, 206 aumoniers
adjoints sont répartis sur tous les points de
l'Empire 16 aumöniers assurent le service
religieux pour la marine impériale, et les
troupes des Colonies, vont recevoir leur au-
mönerie spéciale. Avec ses 274 aumöniers
attitrés,l'armée allemande compte actuelle-
ment un prêtre aumönier pour 65o soldats
catholiques.
Le service divin est obligatoire les diman-
ches et fêtes (dienstlichcommandiert). Cha
que soldat a son manuel de prières et de can-
tiques qui fait partie de son équipement et
lui est fourni gratis. Dans chaque garnison
est formé un choeur de chantres qui pendant
la semaine ont un temps fixé pour i'exercer
(dienstlich), Matin et soir, résonne le com-
mandement A la prière Tête découver-
te (Zum Gebet Helm ab II y a
encore ce qu'on nomme les soirées de caserne
(Casernen-Abendstunden). Ces soirées ont
pour but de renforcer les liens entre aumö
niers et soldats, de maintenir par des entre-
tiens, des conférences familières, l'esprit de
corps, les sentiments chrétiens et patrioti-
quea.
Le Moniteur du 26 février, nous ap-
porte dans lo R„cueil des actes et docu-
meats relatifs aux sociétés commerciales
acte n. 1215, pp. 1208 et suivantes), das
renseignements intéressants, touchant ure
nouvelle petite affaire du citoyen Terwagne.
On peut y lire que M. Modeste Terwagne
docteur en médecine, conseiller communal
et membre de la Chömbre des Représenfants
a pris part a la constitution d'une société
anonyme des sources d'acide carbonique dé-
nommé C. 02.
Le (citoyen Terwagne, chef des socialis
tes anversois. se trouve la en compagnie tout
a fait distinguée, Parmi ses associés, nous
rencontrons le comte Robert de Pourt&lès,
propriétaire a Paris M. Camille Raux, an
cien maire d'Avesnes le marquis Henri ds
Joanni8, M. Léon de Joannis, le baron Fré
déric de Turckheim.
II faut croire que Ie citoyen Terwagne n'a
pas menacé as financiers blasonnés des
foudresdu prolétariat conscient car ils
l'ont appelé aux fonctions rétribuóes d'ad-
ministrateur en même temps que le marquis
de Joannis et le baron de Turckheim.
Faites lagrèvedu travail, pauvres ouvriers
quo Ton berne, mais vos meneurs, les con-
soill.urs ne seront pas les payeurs. Le «fro-
mage ne leur fera pas défaut quand vous
mourrez de faim pour eux I I
Tout le parti socialists se lance avec en-
train dans la finance. Le Peuple du 4
mars aunonce qu'a l'initiative des diri-
geants du Vooruit ou a créé a Gand
une Banque du Travail au capital de 1
million.
Le conseil d'administration de la Banque
du Travail, écrit le Peuple démontre
que l'oeuvie créée est bien celle de tout le
prolétariat orgauisé de notre pays. Voici sa
composition E. Ansceie (Hand); Jules des
Essarts (Charleroi) Emile RousBeau (Joli-
mont)J. Vande Weghe(Gand) V. Se^wy,
(Bruxelles) Van Sweeden (Gand); A.Du
bois (Luttre) Pannekoek (Gand)L. Van
der Haeghen (Gand) J. Mansart (La Lou-
vière) Coppieters (Gand)Hecken (Gand).
Nos amis Dounay (Flémalle-Graude), Van
de Putte (Gand), Comhair (Gand) ont été
appelés aux fonctions de commissaires.
Prochainement, des actions et des obliga
tions seront mises en circulation. Des avis
publiés dans nos journaux donneront a tous
les coopérateurs, syndiqués et socialistes,
tous les renseignements utiles.
Conseil d'administrations, actions, obli
gations, collége de commissaires... Brrr
comme tout cela sent le capital
Le ricliissime Vandervelde a done versé
100 fr. k la caisse de la Grève Générale. Le
Peuple sans doufe un peu étonné de
cette généro-ité exagérément modérée, a
déclaré que ce n'était la qu'un premier
acompte.
Qu'attend M. Vandervelde pour verser le
reste? Nul nele sait. Mais avant qu'il nous
soit permis d'apprécier la munificence de ce
grand seigneur a sa juste valeur, neus pou-
voD8 dèjk nous livrera un petit calcul.
M. Vandervelde demande aux ouvriers de
chömer, s'il ie faut, pendant six semaines.
En ne comptant le salaire moyen d'un
ouvrier qu a 3 fr. 50, cela fait done un sa
crifice de 36 X 3.50 soit 126 francs que le
leader socialiste réclame dc chaque travail-
leur. Et lui-mêtne ne doune que 100 fr.
Jusqu'a préseot, ce puissant millionnaire
a done donné pour la grève beaucoup moins
que ce qu'il demande k des malheureux
n'ayant qua leur salaire pour vivre et char
gés d'entrctenir touto une familie.
VVV
Vendredi 28 février
La discursion de la loi militaire s'éternise.
MM. Eibers (soc.) et Lorand (lib.) pren-
nent toute la durée de la séance, et leurs
discours ne font que répéter ce qui a déja
été dit piusieurs fois par d'autres orateurs.
M. le président signale a l'attention de la
Chambre que 55 membres sont encore
inscrit8 dans cette discussion.
Mardi 4 mars
La Chambre consacre une 3e séance k la
discussion de l'interpellation Royer. C'est
excessif, d'autant plus que le socialiste
Royer sert a nouveau a la Chambre toute
une série de hors d'oeuvres.
M. Lemonnier ('ib examine la question
de droitil estime que le ministre a commis
un abus de p juvoir en interdisant le trans
port des lettres portant la vignotte-réclame
en faveur de la grève générale.
Mercredi 5 mars
La Chambre prend en considération une
proposition de loi garantissant la liberté de
conscience en matière d'inhumations et une
autre autorisant les administrations commu-
nales a interdire la vente a la consommation
de boissons aicooliques dans les lieux acces-
sibles au public, en cas de troubles ou de
grèves.
M. Vandewalle (lib.) ne votera pas le
projet, k cause des exemptions proposées et
paiceque la duiéJ de 1'incorporation n'est
pas réduite.
M. du Bus de Warnaffe, rapporteur.
Voici deux semaines que la discus ion a
commencé et il semble qu'elle i.'ait pas fait
un pas 1 Elle se traine lamentablement.
Aussi le pays montre-t-il pour nos débats
une fkcheuee indifference. Ou reproduit dans
tous les discours les mêmes objections, les
mêmes tbèses.
Après le remarquable exposé del'honora-
ble chef du cabinet, M. Hymans s'est expii
mé nettement sur le fond du débat avec une
profonde conviction, et son discours me
permettra d'être trés bref.
On fait aux membres de la majorité divers
griefs, qui étant trés souvent contradictoi-
res, se réfutent d'eux-mêmes Tandis que
M. Fumémont nous fait grief d'entrer dans
lavoie du militarisme, la gauche libérale
nous reproche de ne pas aller assez loin.
Le gouvernement estime que le service
général imposerait au pays des charges inu-
tiles et il n'entend done pas aller aussi loin.
Le gouvernement maintient la durée du
temps de service, qu'il considère comme in
dispensable. Et il y a lieu de lui tenir compte
de ce scrupule de conscience, car la ienta-
tion était forte de réduire la du;ée de 1'in
corporation.
Des orateurs de gauche ont produit ici
des allégations cent fois réfutées lis re-
procbent aux gouvernements catholiques
d'avoir négligé la défense du pays. Faut-il
rapptler qu'en 1878 le disconiB du Tröne
dénor^ait l'icsuffisance de nos installations
militaires, et que, quatre ans plus tard,
Frère-Orban n'y avait pas encore remédié 1
II préiextait que Ia question militaire était
un brandon de diccorde pour son parti.
Si les gouvernements libéraux se sont
buttés a des difficultés, croyez vous que les
gouvernements catholiques n'en aient jamais
rencontré? Un gouvernement peut avoir
des initiatives, mais la Chambre seule peut
décider de leur sort. Ce sont la les difficultés
que signalait Frère-Orban.
Mais, il y a entre les gouvernements libé
raux et les ministères catholiques cette diffe
rence, que lorsqu'un gouvernement catholi
que juge une mesure indispensable, il la
propose au risque de compromettre sa situa
tion parlementaire. C'est ce qu'a fait M.
Schollaert en 1909 et aujourd'hui, M. de
Broqueville juge un nouvel effort indispen
sable. C'est le seul souci de la défense natio
nale qui l'inspire et notamment la préoccu-
pation d'assurer la protection du Luxem
bourg. Je m'étonne done vraiment que M.
Lorand refuse son vote au projet.
On s'en est pris a la politique militaire du
parti catholique. Oublie-t-on done que M.
Beernaert a fait cocstruire les forts de la
Meuse et reconstitué la défense d'Anvers
que celle ci fut définitivement assurée quel-
ques années plus tard, et qu'en 1902, un
nouvel effort l'ut fait pour assurer la défense
du pays
Je vous concède que la loi de 1902 fut un
échec...
M. Franck. Ce fut non un échec, mais
une faute lourde.
M. du Bus de Warnaffe. ...Mais plus
tard, M. Schollaert n'hésita pas a prendre
l'initiative de propositions nouvelles.
M. Franck. Que fit alors la droite
M. du Bus de Warnaffe. Elle se sépara
en grande partie du gouvernement.je le sais.
EBt-ce k dire que le gouvernement a, malgré
ces difficultés, hésité devant son devoir f
Non I Lejour oü M. de Broqueville a con-
sidéré que notre régime militaire était in-
suffisant, il n'a pas hésité un instant a en
proposer les modifications.
Depuis quinze jours vous répétez jusqu'a
saturation écoeurante, les attaques contre
les membres de la droite. Toute l'explication
de l'attitude de la droite en 1909 et aujour
d'hui, est dans la constatation de ce fait que
les conditions de notre politique extérieure
se sont profondément modifiées.
Le piogramme catholique a toujours élé
de faire le nécessaire, mais de ne jamais rien
demander au delü tandis que le parti libé-
ral a toujours combattu toutes les proposi
tions faites, notamment celles concernaut
les forts.
M. Ant. Delporte. (soc.) combat les im-
munités ecclésiastiques.l'exemption de l'aiué
des families nombreuses, les compagnies
universitaires, etc.
M. Devèze fait la guerre contre le projet.
D'apiès lui, le Ministre de la guerre n'aurait
obéi qu'a des préoccupatiocs él< ctorales, il
veut par son projet assurer la clérlcalisation
de l'armée et avantager leB flamands au dé
triment des wallons
Jeudi 6 mars
MM. Hubin (socDaens, Rosseeuw et
Henderickx parient sur la question. Lee
deux derniers insistent l'un sur la «oralisa-
tion de la caserne, l'autre sur les revendica-
tions flamandes.
-wv
Changements apportés a l'horaire
des trains d'Ypres a Courtral
Nous apprenons que M. le député Colaert
aétéaverti par M. Van de Vyvere, Ministre
des Chemins de fer, que les changements
suivants seront apportés a l'horaire des
trains sur la ligne d'Ypres a Courtrai,
partir du lr Mal prochain.
1° Le train n° 3684 quittant actuellement
Ypres a 8 h. 1 du matin aura l'horaire que
voici
Ypres 8.20 Zillebeke 8.25 Houthem
8.33 Comines 8.40 Wervicq8 46
Menin 8.54Wevelghem 9.01 Bisseghem
9.06 Courtrai 9.11.
II donnera done immédiatement corres-
pocdance aux trains en partance peur
Bruxelles, Gand et Tournai et toute attente
inutile en cette gare sera supprimée.
2° Le train n° 3686 quittera désormais
Poperinghe a 7.52 h. pour passer a Vlamer-
tinghe a 8.8 h. et arriver a Ypres a 8.16 h.
S° Deux nouveaux trains seront mis en
circulation.
A) Ypres vers Comines
Ypres 8.1 Zillebeke 8.6 Houthem
8.14 Comioes 8.19.
b) Comines vers Ypres
Comines 9.23 Houthem 9.29 Zille
beke 9.36Ypres 9,40.
•vV-
Les membres de la Fanfare Royale réunis
-en assemblée générale, Mercredi dernier,
ont décidé de participer au Concours Inter
national de Gand organisé a l'occasion de
l'Exposition Universelle.
Nous applaudisscns au courageux effort
de notre vaillante phalange Yproise et a
l'initiative hardie de sondistingué directeur
M. Louis Arschodt.
Si la Fanfare Royale peut remporter un
succès eet important concours présidé par
des sommités musicales du pays et de l'étran
ger,elle aura bien mérité de ses concitoyens.
En avant done, et bonne chance 1
-W*-
La fête annuelle de la Congrégation de
St Martin avait attiré Dimanche et Lundi
dernier une foule considérable qui attestait
par sa présence l'intérêt qu'elle por te k cette
oeuvre éminemment morale.
Disons de suite que personne n'a regretté
d'avoir assisté a l'une ou l'autre des deux
soirées et que tous ont été unaaimes a re-
connaitre qu'ils avaient passé en la Balie de
JOURNAL
TPRES
©rgane Catholique
de l'Arrondissemeni
ONZ1ÈME L1STE
Listö piécédente Fr. 1007 86