CHRISTEN VROUWENBOND y l ournoi de Football Les trésors cachés dans l'Yperlée CHROJSIQUE DE EARROJSD1SSE ME 1ST Comines Pour les ouviers Beiges travaillant en France L'emploi des langues dans l'armée Nomination Contributions et Accises Distinctions Autorisation Encore une série Repos dominical PHARMACIEN DE SERVICE b]eJJll^r<^a*i°n 9ue'(lues heures bien agréa- il 1 ''ro^'8mme était fles mieux compose et teiil ren^u' Par 'e8 ie"ne8 gens qui fréquen- la congrégation, d'uue facon toute deloges. rai 8 ^'^•rente> sections, musicale, cho- ja dumatique, ont parfaitement exécuté tié^ar''e ProBraBime 'eur était con- et les applaudissements qui ont suivi numéro ont prouvé toute la satisfac- du nombreux public. 'fis deux comédies Eene gemeentezit- "'8 et 't Geluk vliegt ont déridé les '"'its les plus Bérieux. ^ous présentons nos felicitations aux voués Directeur et Président de la CoDgré- ion qui n'épargnent aucune peiue pour 1 Pieces et la prospérité de l'oeuvre. VW l'imanche s'est jouée sur l'ancien terrain Vélodrome la seconde éléminatoire entrs -Cole du 3' de ligne et le Football Club öfois. Elle s'est terminée par la victoire football Club qui a marqué 3 buts coutre l'actif de l'Ecole du 3e de ligne. -^ujourd'hui a 2,30 h. la tinale enkele °otball Club Yprois et l'Ecole d'Equita- tioq VA/V réunion annuelle du Christen Vrou- Wehbond qui eut lieu Dimanche passé fut un vrai succes pour cetteoeuvre sociale établie eu hotre ville. Outre les membres actifs de la ^^tualité, plusieurs dames et demoiselles °ecupaut d'oeuvres avaient tenu a assister a ceRe réunion plénière du Vrouwenbond, bureau avaient pris place les membres u comité, sous la présidence de Madame tlhye. Monsieurs l'Abbé Callens. directeur l oeuvre, remercie Monsieur le chanoine Brouwer d'avoir bien voulu rehausser la r*anion par sa présence et constate avec plai- *lr que les membres actifs de la mutualitésont *rtivés en grand nombre. Mademoiselle Biebuyck, la dévouée tréso- ri*re (je l'oeuvre) donne le rapport des travaux e l'année et fait part aux membres de l'état s*lisfaisant de la caisse. La parole est ensuite donnée a Made moiselle Cornillie, secrétaire de la mutualité, 1Ul avait bien voulu assumer la tlche d'en- jretenir les membres, de cette oeuvre excel- eiRe et toute d'actualité Personna ne pou- vak mieux parler en connaissance de cause q^e celle qui depuis des années se consacre un dévouement inlassable a toutes nos ^^vres sociales féminines. e ^Christen Vrouwenbond comme elle disait si bien, n'est pas seulement une ce^vre de mutualité, mais un (groupement toutes les oeuvres qui ont pour but le rc^vement moral, iutellectuel et materiel de tensme. Ce sont des institutions de pré- T0y»ncc, de mutualité, de preservation mo- r* 'e, oeuvres qui toutes sont appelées a faire Ua grand bien a notre classe ouvrière. Mais a"n que ce travail pour la cause sociale Puisje se faire le plus utilement possible et av«c toute l'opportunité voulue, il faut que cc Ues qui par leur situation disposent de plus l*e temps que d'autres, approfondissent ces questions et se nuttent a la hauteur des be gins du moment. De la l'utilité, la nécessité m^One de cercles d'études. Les caisses de prévoyance pour l'achat en Cömniun des provisions d'hiver offre de Ic«ieux avantages pour la méuagère bien Pensante.[C'est au moment des longues jour- n<s*«, alors que la nature déverse a profu- *'^n lumière et chaleur, au moment done oü c» salaires sont les plus élevés, que la femme P' évoyante doit économiser pour les journées hiver moins productives et plus coüteuses. est alors qu'elle versera a la caisse com. a>Une de quoi faire collectivement et parcon- ^^cjuent le plus avantageusement possible ses *^b*ts de combustibles et provisions d'hiver. Le cercle dramatique, encore une des Lales du Vrouwenbond, offre a ses membres a<ctits et honoraires un divertissement des Mus appréciés par l'heureux choix des L'öces qu'il execute, il atteint trés souvent un moral qui peut faire le plus grand bien. Une des oeuvres éminemment utiles et ^«Ues entre toutes est celle qui est établie £Vur le bien moral et matériel de la jeune le diamantair e. Le travail de fabrique ^Laorbe toute la journée de l'ouvrière et la *^>ir, lorsqu'elle rentre au logis, la besogne terminée, elle ne songe pas même a initier aux travaux les plus élémentaires ^'un ménage. Que fera cette jeune fille, cette c Douse de demain, qui n'a aucune notion d 'économie domestique ni du soin d'un mé nage C'est afin de remédier a cette grande **Cune et dans le but d'en faire de futures k>c>nnes femmes de ménage qu'on réunit le s,oir les diamantaires. Dans un local appro- et sous la direction de maitresses intelli- ^«ntes et dévouées, elles reijoivent avec les cours théoriques d'anseignement ménager, des lemons pratiques de coupe, de lavage, repassage et preparation culinaire. Peut-on comprendre qu'il se rencontre drs mères qui n'engagent p?s leurs jeunes filles a profitej de cette occasion unique de s'instruire Elles devraient ne pas douter cependant, de toute l'utilité qu'elles peuvent en retirer et pour le présent et pour l'avenir. Que ne peut la femme de ménage ayant de l'ordre et du savoir faire pour rendre non intérieur agré- able et attrayant, et il n est que trop vrai qu'un ménage bien tenu et une facon intelli gente de le diriger sont une garantie du bon- heur familial. Puissent les parents seconder celles qui se dévouent pour cette oeuvre et cela pour le bien moral et intellectuel de leurs jeunes filles L'oeuvre de la mutualité Nood zoekt Troost si prospère en notre ville est certai- nement l'oeuvre de prévoyance par excellence. S il est nécessaire que l'ouvrier soit affilié a une caisse de mutualité, le même besoin s'impose pour la femme, car si la maladie vient a atteindre la mère de familie, c'est pour le ménage des ressources moindres et des dépenses beaucoup plus grandes. C'est done une oeuvre sociale qu'il faut encoura- ger de tout son pouvoir. Le comité ne peut pas tout faire, mais c'est aux menbres actifs de propager ces idéés de mutualité, de pré voyance. Ce sont celles qui ont été éprouvées par la maladie et qui dans ces moments pé- nibles ont pu «pprécier les avantages immen ses qu'elles en ont retirés de persuader a d'autres de s'affilier a cette oeuvre de solida- rité el de prévoyance. Après eet exposé des oeuvres multiples du Vrouwenbond, la dévouée sé:rétaire ter mine en ir.sistant pour que les membres se souviennent toujours qu'elles font partie d'un Christen Vrouwenbond, ce qui veut dire que toutes les institutions de ce groupement sont basées sur l'esprit chrétien qui doit les animer. Que la femme qui en fait partie com- prenne mieux ses devoirs de chrétienna, et que par son exemple et par son action elle contribue non seulement au bien matériel, mais encore au bien moral et religieux de la population yproise. Monsieur l'abbé Callens remercie la sécré taire de son magnifique exposé il fait un appel a toutes les bonnes volontés pour travailler de commun accord a la prospérité de Christen Vrouwenbond II remercie Madame Struye, la dévouée présidente de la mutualité et ses inlassables collaboratrices Mesdemoiselles Biebuyck et Cornillie. Afin de joindre l'utile a l'agréable, les membres du comité avaient organisé une tom bola qui était de nature a satisfaire les plus exigeantes. I'uisse cette réunion du Christen Vrou wenbond avoir mieux fait connaitre cette excellente oeuvre sociale et lui avoir acquis toutes les sympathies et tous les dévouements. vV- Les trésors cachés ont toujours eu une préférence raarquée pour la terre espagnole, de même que les truffes ces diamants noirs da nofre cuisine se sont complues de tout temps dans le sol calcaire et meuble du Périgord. C'est en vain qu'un escroc ou un mystificateur essayerait de les reporter dans ces prés fleurisqu'arrose...l'Yperlée. Aussi n'est-il point question ici de ces trésors dont le type classique est connu un coffre, bardé de f'er, regorgeant de belles pièces d'or. II est d'autres trésors, parlois des plus riches, et oü la valeur infrinsèque des objets n'entre cependant souvent fas en ligne de cornpte ce sont ceux que peuvent fournir les produits de l'art,de l'archéologie, de la numismatique. Jusqu'ici les chercheurs d'antiquités ont surtout explo les routes tracées par les romains, fouilli les sous-sols de3 anciens monuments, éventré les cachetles des chi- teaux ou deB abbayes en ruines. Les voies d'eau, «ces routes qui marchent», sont restées inexplorées, et cependant on sait que, de tout temps, fleuves et rivières re- qurent les objets de toute nature dont on voulait se débarasser. Elles furent le dépo- toir des païens comme celui des premiers chrétiens, des voleurs aux abois comme des ménagères brise-tout. Saint-Amand, et les premiers apótres des Gaules, prêchèrent la destruction des idoles. En ces temps d'évangélisation, les emblêmes du paganisme furent anéaatis, jetés impi- toyablement dans les rivières. Ils s'enlon» cèrent dans la vase, et ce fut l'oubli complet jusqu'au jour oü le hasard de certains tra vaux les fait réapparaitre. C'est ainsi que trois statuettes gallo-romaines en bronze, Mercure, Mars et Hercule, du plus grand mérite, furent uaguère trouvées dans le lit de la Lys. Une autre cause, violente comme la pre mière, pourrait faire découvrir des objets des premiers siècles en nos régions. II y eut au lik siècle une invasion de Gfermains, et une partie de hordes barbares suivireat le cours de la Lys et S9 répandirent dans les régions avoisinantes. Cette invasion s éten- dit dans toutejla Gaulo, et les barbares dé- vastèrent tous les monuments qui Be dres- sèrent sur leur chemin. Que de^dépouilles de cette dévastation ne recèlent peut être pas nos rivières t Lors des grands travaux exécutés jadis au port d'Anvers, on découvrit dans 1 Escaut une quantité d'objets de la plus haute anti- quité qui furent recueillis précieusement au musée du Steen. Des travaux effectués a la Seine, a la traversée de Paris, ont mis au jour des curiosités de tous les ages. Le moyen age et les siècles suivants ont dignement contiuué la tradition du tout a la rivière. Une des plus belles découvertes qui aient jamais été faites en Mandre, est celle des célèbres pierres sépulc; ales conser- vées dans l'ancien réfectoire de 1 abbaye de St-Bavon a Gand. Sur les indications d un archiviste, on découvrit au fond de 1 écluse de Braemgaten, servant de radier a la Lys, une série unique de pierres tombales, de toute beauté, des X.I1I- et XIV* siècles La vase avait consrrvé ce précieux dépot pen dant des siècles, mieux que n aurait ne le faire un conservateur de musée. Peidant 1 époque de grande prospérité que l'industrie drapièrc fit traverser a la ville d'Ypres au moyen-ago, de nombreux bateaux marchands remontèrent notre petite Yper- lée. Son lit devint assurément un récepkcle des produits les plus divers perdus ou dé- truits. Les différents enranes de 1 Yperlée, et notamment celui qui fut effectué en 1841 depuis le pont du Lombard jusqu'a la sortie de la ville, auraient dü mettre au jour au moins certaines pièces s'il en exista.it Mais il est a présumer que la vase, remuée par )a violence du courant a l'occasion de gran des crues.aura charrié a une certaine distan ce en aval tout ce qu'elle recélait.C'est dorc a partir de sa sortie de la ville que l'Yperlée pourrait devenir un Pactole pour les archéo- logues. Bronzes, ferronneries d'art, émaux cloisonnés et champlesés, armes damasqui- nées, dalles et bas-reliefs délicatement fo- nillés, poteries curieuses, monnaies et mé dailles inédites, tous les moutons a cinq pattes de la curiosité, tous les mei les blancs de l'archéologie, sont peut être a trouver dans le lit de notre minuscule rivière. C'est spécialement aux archéologues que les rhumatismes auraient envahi autant que la fièvre du bibelot, que nous nous permet- tons de faire un pressant appel. Plutót que d'aller faire une cure lointaine et coiiteuse aux boues de St-Amand, nous leur conseil- lerons d'aller patanger, l'été prochain, dans les bones tièdes et odorantes de notre Yper lée. On y verra de graves fonctionnaires com me de riches désoeuvrés, en des costumes spécialement créés par leurs tailleurs, se Iivrant a la pêche anx antiquités, pêche anti- rhumatismale, autaat que la pêche au gou- jon est génétrico d'articulatious noueuses. V\A- L'enseignement Neutre et le Cortège de Ml-Carême aMESSINES Nous lisons dans le programme du cortège de la Mi-Caréuie qui a parcouru les rues de Messine8, Dimanche dernier N° 10. La Fanfare universelle. Antici pation (Fanfare scolaire). C'est en l'an 2000. La civilisation a con- quis jusqu'aux régions les plus reculées de notre globe armee simplement du flambeau sacré de la science,elle a jeté une hypnotisante clarté sur les bienfaits de la fraternité et de la solidarité humaines les esprits et les cceurs de tous les peuples débordent de pur altruisme, il règue une paix universelle. C'est eet heureux événement que la Fan- fare cosmopolite qui circule aujourd hui dans nos rues va annoncer par ses joyeux sons a toute l'humanité. La groupe était composé de qutlques éco- liers, qui exécutaient la musique sous la conduite et la direction de l'inetituteur en chef de l'école communale, M. Segers. Sans commentaires, n'est-ce pas W\ La Soeiété Mutuelle La Prévoyante Dimanche 23 Février 1913 a3heureset demie de l'après-midi a eu lieu en ia salie du Patronage, sous la présidence de M. Victor Ghesquière, la 1« réunion trimestrielle de l'année 1913 des membres de la soeiété de secours mutuels La Prévoyante II résulte du rapport présenté par le se crétaire, M. Paul Leterme, qu'au 31 déceur- bre dernier la Bociété comptait 221 hommes et 23 enfants. Les dépenses se sont élevéos a 4072 fr. 0f>, dont 3993 fr. 00 furent verfés indemnites aux membres maladts ou blessés et 933 fr. aux médecins. M. le président annonce qua partir de cette date les nouveaux sociétaires auront droit aux secours médicaux sans devoir faire de stage. vV- Les ouvriers du sud |de l'arrondissement travaillant en France s'étaient déjè plusieurs foisdemandés s'ils bénéficieraient de la loi sur les retraites ouvrières et paysannes votée en France. Cette question a été soumise tont dernière- ment a la Cour de Cassation Framjaise qui a jugé que les ouvriers étrangers habitant leur territoire et qui viennent chaque jour en France poury travailler, benelicient de la loi sur les retraites ouvières et paysannes et doivent être inscrits en qualité d'assurés obfi. gatoires sur leslistes d'assurés delacommune oü ils travaillent. Un important projet de loi du Gouvernement M de Broqueville adéposé sur le bureau de la Chambre le projet de loi sur l'emploi des langues dans l'armée. Ce projet comporte 1° Des examenB pour le grade de sous- lieutenant par l'Ecole militaire et par le cadre 2° Des examens pour l'avancement dans le grade d'officier 3° Des examens d'entrée a l'Ecole mili taire 4° Des examens d'entrée et d'avancemeat dans le service de santé 5° L'organisation de l'enseignement dans les écoles militaires pour h formation des cadres inférieurs de l'armée. Enfin, ce projet prévoit l'emploi du fran cais et du flamaud dans les rapports avec le public, avec la troupe et avec les autorités administratives. En substance, le flamaud deviendra obli gatoire a partir dn T janvier 1917 pour l'eutrée a l'Ecol militaire et les examens préparatoires a la sous-lieutenance. LeB candidats devront subir une épreuve appro- fondie sur la connaissance de 1 une des lan gues, Iranqaise ou flamande, a leur choix et une épreuve Bur la connaissance élémentaire de l'autre la seconde langue comporta une cóte d'exclusion. A l'écolï militaire le même nomtre d'heu- res sera consacré a l'étuae du francais et du flamand de manière a arriver a ce que les élèves aient une connaissance effective des deux langues. Le cours de reglement militaire se donne- ra dans les deux langues. L'examen de sortie de l'Ecole comportera une épreuve de fla mand des épreuves similaires existeront pour les examens a la sous-lieutenance et l'examen d'avancement dans les armes. D'ici au i janvier 1917, l'enseignement se ra organisé de facon a arriver graduellement au nouvel état de choses. L'examen d'entrée au service de santé com portera une épreuve pratique sur la connais sance du flamand ir.terrogatoire de deux soldats flamands malades et ignorant le fran cais. L'examen d'avancement pour les méde eins comportera une épreuve de flamand. Dans les écoles de pupilles, dont trois se- ront créées en Wallonië et trois en pays fla mand, l'enseignement de la seconde langue se fera de facon approfondie. Dans les écoles pour la formation des capo- raux et des sous-officiers, il y aura des clas ses flamandes. Dans toutes, les róglements seront enseignés en francais et en flamand. Le projet de loi stipule encore que l'in- structiou de la troupe se donnera en francais et en flamand et que, dans les rtpporls entre supérieurs et inférieurs, il sera fait usage de la langue parlée par l'inférieur. Enfin les autorités militaires correspon dent en francais ou en flamand respective- vement avec les autorités wallonnes ou fla mandes. Par A. R. en date du 5 Mars, Mr Cotteau de Patin a été nomme' Bourgmestre de Lan- gemarek, 9S .33 32 Par arrêté royal, M. E. Eppe, actuclle- ment contröleur de première classe des con tributions directes, des accises et de compta- bilité a Ypres, est nommé receveur dts contributions directes et les accises a la même résidence. Par A. R. la décoration civique est décer- nee, savoir. 1La eroix de i'r' classe a M JBrule$, institeur principal a l'école de bienfaisance de l'Etat a Ypres. 2 La médaille de x'r' classe a M C. Cal lens, receveur communal de Wytschaeie I.ïM.A. Claude, surveillant en école de bienfaisance d'Ypres; 4. a Af. Gonnissen, instituteur en la même école de bienfaisance; Sj'a M. Ch. Vereyck, membre du bureau de Bienfaisance de Westvleteren. 32 32 32' - -s Par A. R. la commission administrative des hospices civils d'Ypres est autorisée a construire une nouvelle buanderie a l'asile pour hommes aliénés qu'elle possade. Voici encore quelques attestations intóressan- tes envoyées par des malades qui doivent aux Pilules PiDk de se ien porter acluellement. A Mm'Thomas. 181, rue Cu vier, a Lyo (Francei, nous a écrit au sujet de sa fille Rva, agée de 12 ans, ce qui suit - Ma petite Eva,a la suite d'une fièvre typhoïde trés grave, était restée dans un état de faiblesse inquiétant L'enfant ne mangeait pas, elle était maigre, pale.triste; elle se plaignait de points de cóté dés que nous sortions pour prendre l'air. La nuit l'enfant qui digérait mal ie peu de nour- riture qu'elle absorbait, avait un sommeil agité et troublé de cauchemars. De plus, elle avait souvent la migraine. Dès qu'elle a eu pris les Pilules Pink son état est devenu beaucoup meil- leur et ayant continué le traitement pendant que!quetemps,elle a retrouvé la santé.Moi-même j'ai pris avec grand succès les Pilules Pink il y a 6 ans. - M. Eugène Peneau, bijoutier, 15, rue de la Granda-Mesure, a Rouen: (France), éerit Vos Pilules Pink m'ont guérfid'une terrible maladie d'eslomac qui me faisait souffrir depuis trois ans J'avaisdéjè employé tous lei remèdes possibles et je n'avais pas pu obtenir la gué'ïson C'est uu de mes amis qui,me voyant tant souffi ir,* m'a indiqué les Pilules Pink, un de ses parents ayant été guéri giace è;;ce remóde. Les Pilules Pink m'ont procure tout de suite du soulagement et, après un traitemeut de quelque durée, j'ai été^uéri. Petit-Levastre, demeur-ant a Hamelet, prés Corbie (Fiance), nous a écrit «J'ai beaucoup souffert de l'estomac et je suis persuadée que j'en aurais encore souffert long- temps si je n'avais pas eu Ia bonne inspiration de prendre les Pilules Pink dont tout le monde ici fait l'éloge. Les aulres remèdes pris auparavant ne m'avaient même pas soulagóe Mes digestions, autrefois si mauvaises, sont devenues parfaites, faciles, et Je peux manger de tout sans arrière- pensée. Les Pilules Pink ont eu aussi une trés bonna ac.ion sur mon état général. Elle m'ont redonné toutes le* forces perdues a la suite de plusieurs années de maladie. Mm" Gabrielle Verstraet, cuisinière a Dun- kerque (Frarce), rue Marengo, n® 17,s'exprime ainsi Je ne mangeais plusje n'aviis {plus de goüt a rieD, pour rien. Mon baleine était courte, j'avais une gensation d'étouffement dès que je marchais un peu vite, dès que j'avais francbi les premières marches de notre escalier. Je ne dorj mais plus la nuit, et le jour j'avais continuelle- ment la migraine. Plusieurs personnes de mes amies out pris les Pilules Pink et ont été guéries. J'ai fait comme elles, et j'ai eu le bonheur d'avoir le même résultat. Tous mes malaises ont disparu et j'ai de nouveau bonne mine et surtout une excellente santé. On trouTe les Pilules Pink dans toutes les pharmacies et au dépötpharmacie Derneville, 66, boulevard de Waterloo, Bruxelles 3 fr. 50 la boite 17 fr. 50 les six boïtes, franco. Dépots a Ypres C. Libotte.Marebe au Beurrej 31F. Van Windekens, rue de Lille. Dimanche 9 Mars iqi3 L. AERTSENS, marché au Beurre, 9. BURGERSTAND Yper. Verklaringen van den 28 Februari tot den 7 Maart 1913. GeboortenDebuysser Simonne, Zonnebeke steenweg Crombiugge éndró, Blindeliedenstraat Lemabieu Irène, Wieltjestraat Duflou Clara, Waterkasteelstr. Sterfgevallen Vandamme Marie, 48 jaar, z.b., weduwe Paquay Gilles, Slachtbuisstraat. Houben Leonard, 60 jaar, bewaker aan Staats- weldadigheidschool, echtgenoot Knapen Marie, Zonnebekesteenweg Feys Pierre, 61 jaar, ver- linner,weduwaar De Sloovere Marie,echtgenoot Coppens Octavie, Neèrstraat Huyghe Marie, 81 jaar, z. b., wed* Carton Charles. Kijselstraat Close Alexandrine, 94 jaar, z. b., wea* Gouset August®, Weninckstraat Vandooren Cyriel, 10 maanden, Poperinghe steenweg Meyskens Marcsl, 4 jaar, Meenenstraat Pannekoucke Walther, 1 1/2 jaar, Boomgaardstraat De Bruyne Georges, 12 dagen, ürimminckstraat Deleye August, 1 jaar, Uoorgangstraat. HuwelijksafkondigingenRobert Witterbecq, uickeleerder en Philima Pauwels, z. b., beiden te Yper Cyrille Vanbecelaere, smil en Man* Rabau, z. b., beiden te Yper Eugeen Scbree', timmerman en Irma Sinuaeve, werkvrouw, bei den te Yper Francois Deswarte, schilderen Pbilomène Sybrands, broduurster, beiden te Yper Georges Caulier, werkman aan den ruimdienst en Germaine Seghers, kantenwerk ster, beiden te Yper. e»r. .Voir aux annonces TOUX RHUJ1JC Pastilles Keating 4*

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1913 | | pagina 2