CHRISTEN VROUWENBOND
y
l ournoi de Football
Les trésors cachés
dans l'Yperlée
CHROJSIQUE DE
EARROJSD1SSE ME 1ST
Comines
Pour les ouviers
Beiges travaillant
en France
L'emploi des langues
dans l'armée
Nomination
Contributions
et Accises
Distinctions
Autorisation
Encore une série
Repos dominical
PHARMACIEN DE SERVICE
b]eJJll^r<^a*i°n 9ue'(lues heures bien agréa-
il 1 ''ro^'8mme était fles mieux compose et
teiil ren^u' Par 'e8 ie"ne8 gens qui fréquen-
la congrégation, d'uue facon toute
deloges.
rai 8 ^'^•rente> sections, musicale, cho-
ja dumatique, ont parfaitement exécuté
tié^ar''e ProBraBime 'eur était con-
et les applaudissements qui ont suivi
numéro ont prouvé toute la satisfac-
du nombreux public.
'fis deux comédies Eene gemeentezit-
"'8 et 't Geluk vliegt ont déridé les
'"'its les plus Bérieux.
^ous présentons nos felicitations aux
voués Directeur et Président de la CoDgré-
ion qui n'épargnent aucune peiue pour
1 Pieces et la prospérité de l'oeuvre.
VW
l'imanche s'est jouée sur l'ancien terrain
Vélodrome la seconde éléminatoire entrs
-Cole du 3' de ligne et le Football Club
öfois. Elle s'est terminée par la victoire
football Club qui a marqué 3 buts coutre
l'actif de l'Ecole du 3e de ligne.
-^ujourd'hui a 2,30 h. la tinale enkele
°otball Club Yprois et l'Ecole d'Equita-
tioq
VA/V
réunion annuelle du Christen Vrou-
Wehbond qui eut lieu Dimanche passé fut
un vrai succes pour cetteoeuvre sociale établie
eu hotre ville. Outre les membres actifs de la
^^tualité, plusieurs dames et demoiselles
°ecupaut d'oeuvres avaient tenu a assister a
ceRe réunion plénière du Vrouwenbond,
bureau avaient pris place les membres
u comité, sous la présidence de Madame
tlhye. Monsieurs l'Abbé Callens. directeur
l oeuvre, remercie Monsieur le chanoine
Brouwer d'avoir bien voulu rehausser la
r*anion par sa présence et constate avec plai-
*lr que les membres actifs de la mutualitésont
*rtivés en grand nombre.
Mademoiselle Biebuyck, la dévouée tréso-
ri*re (je l'oeuvre) donne le rapport des travaux
e l'année et fait part aux membres de l'état
s*lisfaisant de la caisse.
La parole est ensuite donnée a Made
moiselle Cornillie, secrétaire de la mutualité,
1Ul avait bien voulu assumer la tlche d'en-
jretenir les membres, de cette oeuvre excel-
eiRe et toute d'actualité Personna ne pou-
vak mieux parler en connaissance de cause
q^e celle qui depuis des années se consacre
un dévouement inlassable a toutes nos
^^vres sociales féminines.
e ^Christen Vrouwenbond comme elle
disait si bien, n'est pas seulement une
ce^vre de mutualité, mais un (groupement
toutes les oeuvres qui ont pour but le
rc^vement moral, iutellectuel et materiel de
tensme. Ce sont des institutions de pré-
T0y»ncc, de mutualité, de preservation mo-
r* 'e, oeuvres qui toutes sont appelées a faire
Ua grand bien a notre classe ouvrière. Mais
a"n que ce travail pour la cause sociale
Puisje se faire le plus utilement possible et
av«c toute l'opportunité voulue, il faut que
cc Ues qui par leur situation disposent de plus
l*e temps que d'autres, approfondissent ces
questions et se nuttent a la hauteur des be
gins du moment. De la l'utilité, la nécessité
m^One de cercles d'études.
Les caisses de prévoyance pour l'achat en
Cömniun des provisions d'hiver offre de
Ic«ieux avantages pour la méuagère bien
Pensante.[C'est au moment des longues jour-
n<s*«, alors que la nature déverse a profu-
*'^n lumière et chaleur, au moment done oü
c» salaires sont les plus élevés, que la femme
P' évoyante doit économiser pour les journées
hiver moins productives et plus coüteuses.
est alors qu'elle versera a la caisse com.
a>Une de quoi faire collectivement et parcon-
^^cjuent le plus avantageusement possible ses
*^b*ts de combustibles et provisions d'hiver.
Le cercle dramatique, encore une des
Lales du Vrouwenbond, offre a ses membres
a<ctits et honoraires un divertissement des
Mus appréciés par l'heureux choix des
L'öces qu'il execute, il atteint trés souvent un
moral qui peut faire le plus grand bien.
Une des oeuvres éminemment utiles et
^«Ues entre toutes est celle qui est établie
£Vur le bien moral et matériel de la jeune
le diamantair e. Le travail de fabrique
^Laorbe toute la journée de l'ouvrière et la
*^>ir, lorsqu'elle rentre au logis, la besogne
terminée, elle ne songe pas même a
initier aux travaux les plus élémentaires
^'un ménage. Que fera cette jeune fille, cette
c Douse de demain, qui n'a aucune notion
d 'économie domestique ni du soin d'un mé
nage C'est afin de remédier a cette grande
**Cune et dans le but d'en faire de futures
k>c>nnes femmes de ménage qu'on réunit le
s,oir les diamantaires. Dans un local appro-
et sous la direction de maitresses intelli-
^«ntes et dévouées, elles reijoivent avec les
cours théoriques d'anseignement ménager,
des lemons pratiques de coupe, de lavage,
repassage et preparation culinaire. Peut-on
comprendre qu'il se rencontre drs mères qui
n'engagent p?s leurs jeunes filles a profitej
de cette occasion unique de s'instruire Elles
devraient ne pas douter cependant, de toute
l'utilité qu'elles peuvent en retirer et pour le
présent et pour l'avenir. Que ne peut la
femme de ménage ayant de l'ordre et du
savoir faire pour rendre non intérieur agré-
able et attrayant, et il n est que trop vrai
qu'un ménage bien tenu et une facon intelli
gente de le diriger sont une garantie du bon-
heur familial. Puissent les parents seconder
celles qui se dévouent pour cette oeuvre et
cela pour le bien moral et intellectuel de
leurs jeunes filles
L'oeuvre de la mutualité Nood zoekt
Troost si prospère en notre ville est certai-
nement l'oeuvre de prévoyance par excellence.
S il est nécessaire que l'ouvrier soit affilié a
une caisse de mutualité, le même besoin
s'impose pour la femme, car si la maladie
vient a atteindre la mère de familie, c'est
pour le ménage des ressources moindres et
des dépenses beaucoup plus grandes. C'est
done une oeuvre sociale qu'il faut encoura-
ger de tout son pouvoir. Le comité ne peut
pas tout faire, mais c'est aux menbres actifs de
propager ces idéés de mutualité, de pré
voyance. Ce sont celles qui ont été éprouvées
par la maladie et qui dans ces moments pé-
nibles ont pu «pprécier les avantages immen
ses qu'elles en ont retirés de persuader a
d'autres de s'affilier a cette oeuvre de solida-
rité el de prévoyance.
Après eet exposé des oeuvres multiples du
Vrouwenbond, la dévouée sé:rétaire ter
mine en ir.sistant pour que les membres se
souviennent toujours qu'elles font partie d'un
Christen Vrouwenbond, ce qui veut dire que
toutes les institutions de ce groupement sont
basées sur l'esprit chrétien qui doit les
animer. Que la femme qui en fait partie com-
prenne mieux ses devoirs de chrétienna, et
que par son exemple et par son action elle
contribue non seulement au bien matériel,
mais encore au bien moral et religieux de la
population yproise.
Monsieur l'abbé Callens remercie la sécré
taire de son magnifique exposé il fait
un appel a toutes les bonnes volontés pour
travailler de commun accord a la prospérité
de Christen Vrouwenbond II remercie
Madame Struye, la dévouée présidente de la
mutualité et ses inlassables collaboratrices
Mesdemoiselles Biebuyck et Cornillie.
Afin de joindre l'utile a l'agréable, les
membres du comité avaient organisé une tom
bola qui était de nature a satisfaire les plus
exigeantes.
I'uisse cette réunion du Christen Vrou
wenbond avoir mieux fait connaitre cette
excellente oeuvre sociale et lui avoir acquis
toutes les sympathies et tous les dévouements.
vV-
Les trésors cachés ont toujours eu une
préférence raarquée pour la terre espagnole,
de même que les truffes ces diamants
noirs da nofre cuisine se sont complues
de tout temps dans le sol calcaire et meuble
du Périgord. C'est en vain qu'un escroc ou
un mystificateur essayerait de les reporter
dans ces prés fleurisqu'arrose...l'Yperlée.
Aussi n'est-il point question ici de ces
trésors dont le type classique est connu un
coffre, bardé de f'er, regorgeant de belles
pièces d'or. II est d'autres trésors, parlois
des plus riches, et oü la valeur infrinsèque
des objets n'entre cependant souvent fas en
ligne de cornpte ce sont ceux que peuvent
fournir les produits de l'art,de l'archéologie,
de la numismatique.
Jusqu'ici les chercheurs d'antiquités ont
surtout explo les routes tracées par les
romains, fouilli les sous-sols de3 anciens
monuments, éventré les cachetles des chi-
teaux ou deB abbayes en ruines. Les voies
d'eau, «ces routes qui marchent», sont
restées inexplorées, et cependant on sait
que, de tout temps, fleuves et rivières re-
qurent les objets de toute nature dont on
voulait se débarasser. Elles furent le dépo-
toir des païens comme celui des premiers
chrétiens, des voleurs aux abois comme des
ménagères brise-tout.
Saint-Amand, et les premiers apótres des
Gaules, prêchèrent la destruction des idoles.
En ces temps d'évangélisation, les emblêmes
du paganisme furent anéaatis, jetés impi-
toyablement dans les rivières. Ils s'enlon»
cèrent dans la vase, et ce fut l'oubli complet
jusqu'au jour oü le hasard de certains tra
vaux les fait réapparaitre. C'est ainsi que
trois statuettes gallo-romaines en bronze,
Mercure, Mars et Hercule, du plus grand
mérite, furent uaguère trouvées dans le lit de
la Lys.
Une autre cause, violente comme la pre
mière, pourrait faire découvrir des objets
des premiers siècles en nos régions. II y eut
au lik siècle une invasion de Gfermains, et
une partie de hordes barbares suivireat le
cours de la Lys et S9 répandirent dans les
régions avoisinantes. Cette invasion s éten-
dit dans toutejla Gaulo, et les barbares dé-
vastèrent tous les monuments qui Be dres-
sèrent sur leur chemin. Que de^dépouilles
de cette dévastation ne recèlent peut être
pas nos rivières t
Lors des grands travaux exécutés jadis au
port d'Anvers, on découvrit dans 1 Escaut
une quantité d'objets de la plus haute anti-
quité qui furent recueillis précieusement au
musée du Steen. Des travaux effectués a la
Seine, a la traversée de Paris, ont mis au
jour des curiosités de tous les ages.
Le moyen age et les siècles suivants ont
dignement contiuué la tradition du tout a
la rivière. Une des plus belles découvertes
qui aient jamais été faites en Mandre, est
celle des célèbres pierres sépulc; ales conser-
vées dans l'ancien réfectoire de 1 abbaye de
St-Bavon a Gand. Sur les indications d un
archiviste, on découvrit au fond de 1 écluse
de Braemgaten, servant de radier a la Lys,
une série unique de pierres tombales, de
toute beauté, des X.I1I- et XIV* siècles La
vase avait consrrvé ce précieux dépot pen
dant des siècles, mieux que n aurait ne le
faire un conservateur de musée.
Peidant 1 époque de grande prospérité
que l'industrie drapièrc fit traverser a la ville
d'Ypres au moyen-ago, de nombreux bateaux
marchands remontèrent notre petite Yper-
lée. Son lit devint assurément un récepkcle
des produits les plus divers perdus ou dé-
truits. Les différents enranes de 1 Yperlée,
et notamment celui qui fut effectué en 1841
depuis le pont du Lombard jusqu'a la sortie
de la ville, auraient dü mettre au jour au
moins certaines pièces s'il en exista.it Mais
il est a présumer que la vase, remuée par
)a violence du courant a l'occasion de gran
des crues.aura charrié a une certaine distan
ce en aval tout ce qu'elle recélait.C'est dorc
a partir de sa sortie de la ville que l'Yperlée
pourrait devenir un Pactole pour les archéo-
logues. Bronzes, ferronneries d'art, émaux
cloisonnés et champlesés, armes damasqui-
nées, dalles et bas-reliefs délicatement fo-
nillés, poteries curieuses, monnaies et mé
dailles inédites, tous les moutons a cinq
pattes de la curiosité, tous les mei les blancs
de l'archéologie, sont peut être a trouver
dans le lit de notre minuscule rivière.
C'est spécialement aux archéologues que
les rhumatismes auraient envahi autant que
la fièvre du bibelot, que nous nous permet-
tons de faire un pressant appel. Plutót que
d'aller faire une cure lointaine et coiiteuse
aux boues de St-Amand, nous leur conseil-
lerons d'aller patanger, l'été prochain, dans
les bones tièdes et odorantes de notre Yper
lée.
On y verra de graves fonctionnaires com
me de riches désoeuvrés, en des costumes
spécialement créés par leurs tailleurs, se
Iivrant a la pêche anx antiquités, pêche anti-
rhumatismale, autaat que la pêche au gou-
jon est génétrico d'articulatious noueuses.
V\A-
L'enseignement Neutre et le
Cortège de Ml-Carême
aMESSINES
Nous lisons dans le programme du cortège
de la Mi-Caréuie qui a parcouru les rues de
Messine8, Dimanche dernier
N° 10. La Fanfare universelle. Antici
pation (Fanfare scolaire).
C'est en l'an 2000. La civilisation a con-
quis jusqu'aux régions les plus reculées
de notre globe armee simplement du
flambeau sacré de la science,elle a jeté une
hypnotisante clarté sur les bienfaits de la
fraternité et de la solidarité humaines
les esprits et les cceurs de tous les peuples
débordent de pur altruisme, il règue une
paix universelle.
C'est eet heureux événement que la Fan-
fare cosmopolite qui circule aujourd hui
dans nos rues va annoncer par ses joyeux
sons a toute l'humanité.
La groupe était composé de qutlques éco-
liers, qui exécutaient la musique sous la
conduite et la direction de l'inetituteur en
chef de l'école communale, M. Segers.
Sans commentaires, n'est-ce pas
W\
La Soeiété Mutuelle
La Prévoyante
Dimanche 23 Février 1913 a3heureset
demie de l'après-midi a eu lieu en ia salie du
Patronage, sous la présidence de M. Victor
Ghesquière, la 1« réunion trimestrielle de
l'année 1913 des membres de la soeiété de
secours mutuels La Prévoyante
II résulte du rapport présenté par le se
crétaire, M. Paul Leterme, qu'au 31 déceur-
bre dernier la Bociété comptait 221 hommes
et 23 enfants. Les dépenses se sont élevéos a
4072 fr. 0f>, dont 3993 fr. 00 furent verfés
indemnites aux membres maladts ou blessés
et 933 fr. aux médecins.
M. le président annonce qua partir de
cette date les nouveaux sociétaires auront
droit aux secours médicaux sans devoir
faire de stage.
vV-
Les ouvriers du sud |de l'arrondissement
travaillant en France s'étaient déjè plusieurs
foisdemandés s'ils bénéficieraient de la loi sur
les retraites ouvrières et paysannes votée en
France.
Cette question a été soumise tont dernière-
ment a la Cour de Cassation Framjaise qui
a jugé que les ouvriers étrangers habitant
leur territoire et qui viennent chaque jour
en France poury travailler, benelicient de la
loi sur les retraites ouvières et paysannes et
doivent être inscrits en qualité d'assurés obfi.
gatoires sur leslistes d'assurés delacommune
oü ils travaillent.
Un important projet de loi
du Gouvernement
M de Broqueville adéposé sur le bureau
de la Chambre le projet de loi sur l'emploi
des langues dans l'armée.
Ce projet comporte
1° Des examenB pour le grade de sous-
lieutenant par l'Ecole militaire et par le
cadre
2° Des examens pour l'avancement dans
le grade d'officier
3° Des examens d'entrée a l'Ecole mili
taire
4° Des examens d'entrée et d'avancemeat
dans le service de santé
5° L'organisation de l'enseignement dans
les écoles militaires pour h formation des
cadres inférieurs de l'armée.
Enfin, ce projet prévoit l'emploi du fran
cais et du flamaud dans les rapports avec le
public, avec la troupe et avec les autorités
administratives.
En substance, le flamaud deviendra obli
gatoire a partir dn T janvier 1917 pour
l'eutrée a l'Ecol militaire et les examens
préparatoires a la sous-lieutenance. LeB
candidats devront subir une épreuve appro-
fondie sur la connaissance de 1 une des lan
gues, Iranqaise ou flamande, a leur choix et
une épreuve Bur la connaissance élémentaire
de l'autre la seconde langue comporta une
cóte d'exclusion.
A l'écolï militaire le même nomtre d'heu-
res sera consacré a l'étuae du francais et du
flamand de manière a arriver a ce que les
élèves aient une connaissance effective des
deux langues.
Le cours de reglement militaire se donne-
ra dans les deux langues. L'examen de sortie
de l'Ecole comportera une épreuve de fla
mand des épreuves similaires existeront
pour les examens a la sous-lieutenance et
l'examen d'avancement dans les armes.
D'ici au i janvier 1917, l'enseignement se
ra organisé de facon a arriver graduellement
au nouvel état de choses.
L'examen d'entrée au service de santé com
portera une épreuve pratique sur la connais
sance du flamand ir.terrogatoire de deux
soldats flamands malades et ignorant le fran
cais. L'examen d'avancement pour les méde
eins comportera une épreuve de flamand.
Dans les écoles de pupilles, dont trois se-
ront créées en Wallonië et trois en pays fla
mand, l'enseignement de la seconde langue
se fera de facon approfondie.
Dans les écoles pour la formation des capo-
raux et des sous-officiers, il y aura des clas
ses flamandes. Dans toutes, les róglements
seront enseignés en francais et en flamand.
Le projet de loi stipule encore que l'in-
structiou de la troupe se donnera en francais
et en flamand et que, dans les rtpporls entre
supérieurs et inférieurs, il sera fait usage de
la langue parlée par l'inférieur.
Enfin les autorités militaires correspon
dent en francais ou en flamand respective-
vement avec les autorités wallonnes ou fla
mandes.
Par A. R. en date du 5 Mars, Mr Cotteau
de Patin a été nomme' Bourgmestre de Lan-
gemarek,
9S .33 32
Par arrêté royal, M. E. Eppe, actuclle-
ment contröleur de première classe des con
tributions directes, des accises et de compta-
bilité a Ypres, est nommé receveur dts
contributions directes et les accises a la même
résidence.
Par A. R. la décoration civique est décer-
nee, savoir.
1La eroix de i'r' classe a M JBrule$,
institeur principal a l'école de bienfaisance
de l'Etat a Ypres.
2 La médaille de x'r' classe a M C. Cal
lens, receveur communal de Wytschaeie
I.ïM.A. Claude, surveillant en école de
bienfaisance d'Ypres; 4. a Af. Gonnissen,
instituteur en la même école de bienfaisance;
Sj'a M. Ch. Vereyck, membre du bureau de
Bienfaisance de Westvleteren.
32 32 32' - -s
Par A. R. la commission administrative
des hospices civils d'Ypres est autorisée a
construire une nouvelle buanderie a l'asile
pour hommes aliénés qu'elle possade.
Voici encore quelques attestations intóressan-
tes envoyées par des malades qui doivent aux
Pilules PiDk de se ien porter acluellement.
A
Mm'Thomas. 181, rue Cu vier, a Lyo (Francei,
nous a écrit au sujet de sa fille Rva, agée de 12
ans, ce qui suit
- Ma petite Eva,a la suite d'une fièvre typhoïde
trés grave, était restée dans un état de faiblesse
inquiétant L'enfant ne mangeait pas, elle était
maigre, pale.triste; elle se plaignait de points
de cóté dés que nous sortions pour prendre l'air.
La nuit l'enfant qui digérait mal ie peu de nour-
riture qu'elle absorbait, avait un sommeil agité
et troublé de cauchemars. De plus, elle avait
souvent la migraine. Dès qu'elle a eu pris les
Pilules Pink son état est devenu beaucoup meil-
leur et ayant continué le traitement pendant
que!quetemps,elle a retrouvé la santé.Moi-même
j'ai pris avec grand succès les Pilules Pink il y a
6 ans. -
M. Eugène Peneau, bijoutier, 15, rue de la
Granda-Mesure, a Rouen: (France), éerit
Vos Pilules Pink m'ont guérfid'une terrible
maladie d'eslomac qui me faisait souffrir depuis
trois ans J'avaisdéjè employé tous lei remèdes
possibles et je n'avais pas pu obtenir la gué'ïson
C'est uu de mes amis qui,me voyant tant souffi ir,*
m'a indiqué les Pilules Pink, un de ses parents
ayant été guéri giace è;;ce remóde. Les Pilules
Pink m'ont procure tout de suite du soulagement
et, après un traitemeut de quelque durée, j'ai
été^uéri.
Petit-Levastre, demeur-ant a Hamelet,
prés Corbie (Fiance), nous a écrit
«J'ai beaucoup souffert de l'estomac et je suis
persuadée que j'en aurais encore souffert long-
temps si je n'avais pas eu Ia bonne inspiration de
prendre les Pilules Pink dont tout le monde ici
fait l'éloge. Les aulres remèdes pris auparavant
ne m'avaient même pas soulagóe Mes digestions,
autrefois si mauvaises, sont devenues parfaites,
faciles, et Je peux manger de tout sans arrière-
pensée. Les Pilules Pink ont eu aussi une trés
bonna ac.ion sur mon état général. Elle m'ont
redonné toutes le* forces perdues a la suite de
plusieurs années de maladie.
Mm" Gabrielle Verstraet, cuisinière a Dun-
kerque (Frarce), rue Marengo, n® 17,s'exprime
ainsi
Je ne mangeais plusje n'aviis {plus de goüt
a rieD, pour rien. Mon baleine était courte,
j'avais une gensation d'étouffement dès que je
marchais un peu vite, dès que j'avais francbi les
premières marches de notre escalier. Je ne dorj
mais plus la nuit, et le jour j'avais continuelle-
ment la migraine. Plusieurs personnes de mes
amies out pris les Pilules Pink et ont été guéries.
J'ai fait comme elles, et j'ai eu le bonheur d'avoir
le même résultat. Tous mes malaises ont disparu
et j'ai de nouveau bonne mine et surtout une
excellente santé.
On trouTe les Pilules Pink dans toutes les
pharmacies et au dépötpharmacie Derneville,
66, boulevard de Waterloo, Bruxelles 3 fr. 50
la boite 17 fr. 50 les six boïtes, franco.
Dépots a Ypres C. Libotte.Marebe au Beurrej
31F. Van Windekens, rue de Lille.
Dimanche 9 Mars iqi3
L. AERTSENS, marché au Beurre, 9.
BURGERSTAND
Yper. Verklaringen van den 28 Februari tot
den 7 Maart 1913. GeboortenDebuysser
Simonne, Zonnebeke steenweg Crombiugge
éndró, Blindeliedenstraat Lemabieu Irène,
Wieltjestraat Duflou Clara, Waterkasteelstr.
Sterfgevallen Vandamme Marie, 48 jaar, z.b.,
weduwe Paquay Gilles, Slachtbuisstraat.
Houben Leonard, 60 jaar, bewaker aan Staats-
weldadigheidschool, echtgenoot Knapen Marie,
Zonnebekesteenweg Feys Pierre, 61 jaar, ver-
linner,weduwaar De Sloovere Marie,echtgenoot
Coppens Octavie, Neèrstraat Huyghe Marie,
81 jaar, z. b., wed* Carton Charles. Kijselstraat
Close Alexandrine, 94 jaar, z. b., wea* Gouset
August®, Weninckstraat Vandooren Cyriel,
10 maanden, Poperinghe steenweg Meyskens
Marcsl, 4 jaar, Meenenstraat Pannekoucke
Walther, 1 1/2 jaar, Boomgaardstraat De
Bruyne Georges, 12 dagen, ürimminckstraat
Deleye August, 1 jaar, Uoorgangstraat.
HuwelijksafkondigingenRobert Witterbecq,
uickeleerder en Philima Pauwels, z. b., beiden
te Yper Cyrille Vanbecelaere, smil en Man*
Rabau, z. b., beiden te Yper Eugeen Scbree',
timmerman en Irma Sinuaeve, werkvrouw, bei
den te Yper Francois Deswarte, schilderen
Pbilomène Sybrands, broduurster, beiden te
Yper Georges Caulier, werkman aan den
ruimdienst en Germaine Seghers, kantenwerk
ster, beiden te Yper.
e»r. .Voir aux annonces
TOUX RHUJ1JC Pastilles Keating
4*