ohrohique ïphqise m s m m m m m La Chambre Echos Parlementaires La flèche de St Hartin Cercle symphonique Yprois Le Fratricide d'Ypres A la Garde Civique De Blindgeborene Harmonie Communale CONCERT Conseil de milice Pensées diverses vw Houthem Vendredi g mai Suite de la discussion relative a la situation du trésor. II. Masson (lib.) continue son discours. Pour lui la situation financière nsalheureuse du dernier gouvernement liberal est la con- •équence des actes posés par le gouverne ment catholique de 1870 1878, et la pros périté actuelle du pays ne serait en rien a l'honneur de la gestion catbolique, si elle «'est produite, c'est malgré cette gestion 1 M. Hoijois (cath.) démontre trés claire- ment et avec une documentation abondante que le gouvernement n'a pas manqué de pré- voyance et de mesure comme on le lui re- proche. Pouvait-il prévoir l'abaissement du taux de l'intérêt t Si oui, l'opposition et les admi nistrations libérales et socialistes le pou- vaient aussi. On critique l'émission de bonB du trésor muis la meilleure preuve que cette mesure s'indiquait o'est que toutes les grandes villes en ont émis dans des proportions beaucoup plus fortes que l'Etat et a des taux parfois plus élevés. Le gouvernement devait-il, comme on l'a suggéré, contracter un vaste emprunt d un demi milliard ou de 800 millions dès le dé- but de la crise t S'il l'avait fait, on aurait pu le rendre responsable de l'avilissement de la rente 3 On semble croire, a première vue, que l'opposition a voulu reprocher au gouverne ment de trop recourir a l'emprunt et de dé- précier ainsi notre crédit national. Mais ce n'était la qu'un prétexte on a voulu établir un rapport entre les charges éventuelles de demain et 1& situation actuelle pour démon- trer, mais tn vain, que nous avions dissi- mulé le véritable état financier du pays. (Trés bieti a droite.) Le but df s interpellateurs est de faire croire que les impóts nouveaux sont néces- sités, non par la réforme militaire et les assurances sodales, mais par l'abus que les cléricaux font du pouvoir Eh bien, je crois que ce but n'est pas at taint. Le bon sens de nos compatriotes a fait justice de ces re'quisitoires tendancieux et intéressés. L'opinion pnblique a rendu son jugement. Est-ce que les bons du trésor sont dépréciés a la bourse NullementIls sont a 99 fr. 75 c., ce qui est un cours trés satis- faisant. M. Buyl revient sur les commissions payées a des intermédiaires. mm. RnyerR (lib.) et Van Cauwelaert (cath.) discuttent la situation fiaancière de la ville d'Anvers. M. Denis (soc.) estime qu'il aurait fallu prévoir le fiécbissement de la rente. Peut-on maintenant prévoir quelque chose t 11 est certain que, après la signature de la paix, use impulsion considérable sera donnée, comme toujours, a 1'eBprit d'entre- prise. Cela s'est vu après toutes les guerres. La hausse du taux de l'intérêt se main- tiendra vraisemblablement pendant une lon gue période, et cette prevision dérive du taux auquel sont annoncés plusieurs em- prunts importants. En France, on crée en ce moment un type de 4 p. c. pour le chemin de fer cela eBt significant. Mardi i3 Mai Au début de la séance, M. le Président fait part du décès inopiré de M. Hector Denis, doyen d'age et président du groupe socialis- te de la Chambre. M. le Président, MM. Carton de Wiart, Vandervelde, Goblet, Fléchet et Troclet rendent successivement hommage au défunt, a sa science, k Ba bonté, •t a son ardeur a défendre la cause qu'il avait adoptée. M.Galopin, suppléant, prête serment en qualité de député en remplacement de M. Denis. La Chambre continue la discussion de l'in- terpellation sur les instructions récentes a la gendarmerie. M. Carton de Wiart,ministro de la justice, explique comment il f&ut entendre le droit de légitime défense des agents de l'autorité •t dans quelles conditions ils peuvent inter peller et titer extérieurement ceux qui sont sérieusement soupconnés d'etre porteurs d armes prohibées. Mercredi 14 Mai. Lol SUR LA MILICE M. Oseray préconise l'amendement de M. Buyl, consisfant a prendre le canton comme base de la libération. M. Berryer, minisfre de l'intérieur. Nous sommes d'accord pour reconnaltre que les liberations sont bien déduites, qu'elles sont fixées conformément a la justice. Reste voir si elles sont appliquées sans arbitraire. Le projet arrêterait que les libérations seraient réparties par le miniBtre de l'inté rieur, réduit a un role automatique. Aujour- d'hui, par suite de l'amendement du gouver nement, cette mission est dévolue aux juri- dictions contentieusestout soupgon d'ar- bitraire est done écarté. L'amendement de M. Buyl aboutirait a une injustice. II y a des cantons ou les fa milies sont moins nombreuses que dans d'autres et l'on verrait certains cantons oü les families devraient donner trois ou quatre fils au pays, pour jouir d'une liberation, tandis que dans d'autres elles ne devraient en donner qu'un ou deux. Tout citoyen devant payer sa dette k la patrie, ce n'est pas la circonscription admi nistrative qui doit servir de base aux libéra tions, mais les conditions de chaque familie comparées entre elles. Après diverses observations, l'art. 10 est voté comme suit Si le nombre des miliciens appelés sous les drapeaux dépasse le chiffre fixé pour le contingent de la levée, des libérations de service sont accordées, jusqu'a concurrence ds l'excédent, aux inssrits des families qui ont fourni le plus de fils l'armée. Lorsque des families justifient avoir fourni le même nombre de fils (miliciens ou volontaires), la préférence est accordée 1* A celle dont un fils est décédé I l'armée. 2» A celles qui comptent le plus grand nombre de fils ayant accompli ou accom- plissant leur terme de service actif normal comme miliciens dans les troupes a cheval. 3° A celles qui peuvent invoquer des termes de service accomplis ou en voie d'ac- complissement en qualité de volontaire de carrière dans les cadres inférieurs de l'ar mée, suivant le nombre de ces services. 4° A celles qui comptent le plus d'enfants puinés en vie, suivant le nombre de ces enfants. Si finalement plusieurs families se trou- vent en concurrence, elles bénéficient toutes de la libération. Les articles suivants visent les causes d'exclusion de l'armée et s'occupeBt de la composition des juridictions. M. Nolf propose d'adjiindre comme asses- seurs un conseiller provincial et un membre d'un collége échevinal. M. Le Paige préfère la rédaction première du gouvernement qui appelait un jnge de paix a la présidence des conseils d'aptitude. M. Mechelynck repousse l'introduction du juge de paix dans ces organismes. L'ameadement de MM. Nolf et Lorand est repoussé Jeudi i5 mai. M. Standaert appuie un amendement de M. Van Cauwelaert réduisant la durée du aeivice it 14 mois daus l'infanterie, l'artille- rie de siége et de génie et a 24 mois dans la cavalerie et l'artillerie montée. M. Woeste voteraitla réduction du servi ce s'il n'écoutait que ses sympathies person- nelles. Mais il faut se placer au point de vue des nécessités internationales qui exigent que nous ayions une armee d'au moins 340 000 hommes. Si l'on entend réduire le temps de service, le nombre d'liommes a in- corporer devra être augmenté. M. Van Cauwelaert défend son amende ment. La réduction d'un mois n'est pas négligeable. II ne se ralliera a la suppression des com pagnies uuiversitaires que si l'on admet l'extension du miliciennat d'un an. M. de Broqueville, nainistre de la guerre. Pas un argument nouveau n'a été produit dans cette discussion d'articles et tout ce qu'on a répété avait été dit dans la discus sion générale. II y a alors été amplement répondu. Le service militaire de quinze mois n'a pas encore été appliqué en Belgique l'expé- rience reste done a faire. Et voici qu'avant même qu'elle ait été faite on veut réduire davantage encore Ce n'est pas sérieux 1 Nous devons avoir des effectifs de paix suffisants pour nous préservez de toute attaque brusquée. Si l'effectif de paix n'est pas suffisant, nous n'aurons pas d'armée de premier choix. C'est pourquoi on augmente les effectifs en Allemagne et en France or, le principal danger pour nous, c'est l'attaque brusquée. L'examen de la loi militaire sera ter miné en lr« lecture vendredi. Les interpellations La I'resse d'Anvers dans son article de tête de lundi énumère avec opportunité la série d'interpellations oiseuses que les partis (l'opposition sèment tout le long des travaux parlementaires depuis quelques années. On ne pourrait certes rien objecter I ce systeme obstructionniste qui fournit l'occasion au gouvernement catholique de mettre en re lief l'excellence de sa gestion si les intéréts supérieurs du pays n'en souffraient. Il y eut l'interpellation Monville sur la situation militaire. M. Camille Huysmans interpella sur la vie chère.Coalition des deux gauches pour intenter procés au gouverne ment a propos de la défense nationale. M. Vandervelde dans un excès de rage anticlé- ricale, sans doute après des réunions au grand secretdans la Loge, vilipende les missionnaires. La discussion des budgets fut encore l'occasion d'exercices oratoires. M. Franck, ne voulant pas être de reste avec la plupart de ses amis, s'aventure dans une interpellation financière. Pour peu que cela continue, la Chambre siégera en permanence d'interpellations C'est la grande maladie de l'opposition 1 Cela pourrait lui est funeste. Les contribu- ables pensent assurément que voila bien du temps perdu par la faute de péroreurs trop abondants, au détriment des affaires publi- ques. Ce n'est pas au pays a payer les 'egons d eloquence detous nosjeunes et vieux dé- putés libéraux. Certes, ils aiment mieux parler dans ce temple de la Nation oü la police de la salie est mieux organisée que danB la plupart des locaux privés oü se me- surent les meetinguistes libéraux et socia listes. (Voir Paturages). Mais les petites préférences doivent s'effacer devant l'intérêt public. C'est ce que les électeurs beiges ne manquent pas a chaque consultation élec- torale de faire comprendre a l'opposition, aux libéraux surtout, en attendant qu'il en soit de même pour les socialistes. L'opposition est bien malade elle n'a pas conscience de son état. C'est trés grave.Gare au dénouement fatal 1 H? M W. Le projet scolaire L'étude du projet scolaire est achevée au département des sciences et des arts dit le Patriate qui ajoute cette étude a été tres longue et trés minutieuse et de larges emprunts ont été faits aux institutions sco- laires des pays étrangers en ce qu'elies ont de compatible avec nos mosurs, notre carac- tère et nos traditions. Le projet réali-el'obligation scolaire, sanc- tionnée par des peines légères mais qui, en cas de récidive, vont jusqu'4 l'amende en passant par ravertissement, la réprimande et l'affichage. Les cours du 4ms degré seront créés. A leur base figurera le travail manuel. Ils Beront appropiés aux diverses regions du pays c est-a-dire que 1'agriculture ou l'en- seignement de l'industrie locale en formera la partie principale suivant que l'école sera située dans une région agricole ou indus- trielle. Le bon scolaire a été écarté. La situation du personnel enseignant est notablement améliorée. Le projet sera soumis prochainement au conseil des ministres puis déposé a la Chambre. Si le temps fait défaut a la Chambre pour cette discussion et ce vote, il est en tout cas certain que le Gouvernement proposera de porter eet objet en tête de l'ordre du jour de la rentrée de novembre. Pour les officiers de police MM. Maenhaut et De Lalieux ont défendu a nouveau leur proposition de loi accordant une indemnité aux officiers de police ff. de ministère public auprès des tribunaux de simple police. La proposition a été adoptée. M. Visart a été nommé rapporteur. VS s Les questions a la Chambre Depuis le début de la session actuelle, c est-a-dire depuis la mi-novembre, 154 questions ont été posées au ministre de la guerre i5 au ministre des affaires étrangè res 63 au ministre de la science et des arts 66 au ministre de la justice 70 au ministre de la marine 80 au ministre de l'intérieur 98 au ministre de l'industrie et du travail 13a au ministre de l'agriculture et des tra vaux publics; 136 au ministre des finances et 388 au ministre des chemins de fer. Total plus de douze cents questions. Et nous som mes loin de la fin de la session, Combien seront encore posées d'ici aoüt f et une découverte récente C'est vraiment plaisir de voir combien nos et Uoufoe 8'intf688ent 41108 travaux d'art et tout ce qui 8 y rattache.Nous n'apnren drons certes plus rien de neuf a la pW entr eux en leur racontant qu'u„e déc verte bien inattendue a été faite cette2' trancbée d'égofit ont m* °UTnr une profondeur dans' le sol "u DU'a une faible chets sculptés en 1 J 8<5ne de cro" conser- A première vue, cette découverte semble- rait se résumer simplement en un appoint pour le futur musée lapidaire a installer dans le cloltre, et la principale valeur de ces matériaux résiderait, non en leur exécu- tion, qui est plutot sobre, mais en leurs dimensions inusitées, peut être uniques. Cependant, un intérêt autrement appré- ciable s'attache a ces blocs encore recouverts de leur cangue de terre. Le fait delesdé- couvrir au pied même de notre ancienne cathédrale tend a faire supposer qu'ils ont été destines a celle-gi. Leurs dimensions, leur nombre qui ira probablement encore en augmentant si la ville consent a faire prati- quer métbodiquement des fouilles, l'angle des pierres moulurées qui viennent s'y adap ter exactement, tout porte a cioire qu'il s'agit de crochets destinés a une fièche monumentale. L'absence de toute trace de mortier et on sait combien résistant est le mortier du moyen-ige donne a supposer que ces pierres ne furent jamais mises en place A la suite d'une démolition, elles n'auraient, du reste, pas manqué de se briseren menus fragments en ven&nt s'abtmer sur le sol. La découverte, si elle vient un peu tardi- vement, puisque les plans de la nouvelle flèche sont depuis un certain temps déja exécutés et même soumis a approbation en haut lieu, se réalise cependant en temps utile puisque l'on discute toujours encore l'opportunité d'une flèche. Au moment oü des esprits inquiets et justement investiga- teurs se demandent s'il exista jamais une flèche sur la tour de St Martin et si,partant, le vote récent du conseil communal est a approuver ou k improuver, il semble assez piquant de voir surgir du sol ces témoirs du XV' siècle, vestiges d'une flèche démolie,ou, ce qui est plus vraisemblable, matériaux restés, pour un motif quelconque, sans emploi. Nous venons de relire l'excellent rapport dont M. le Bourgmestre donna lecture 4 la séance du conseil communal du 13 Juil'et 1912, au sujet du projet de flèche, et nous y trouvons le passage suivant Quand il s'agit de construire, ou même de compléter un monument, n'est-il pas élémentaire qu'on tienne compte de la con- cep'ion de 1'arcLitecte primitif Et, en cas d'absence de documents ou de témoins cer tains, ne faut-il pas, avant tout, conserver l'édifïce l'unité du style et l'harmonie des détails Ce3 documents ou témoins certaios doDt M. le Bourgmestre semblait regretter l'absence, nous les tenons désormais. La conception de l'architecte de la tour, Martin Utenhove, de Malines, ne nous était connue que jusqu'a mi-chemin de la hauteur proje- jetée. Les plans primitifs n'existant plus, tout projet de nouvelle flèche devenait une creation plutót qu'une reconstitution. C'est done une partie de Ia pecsée de l'habile ar- chitecte maltnois qui vient subitement de nous être révélée. Supputer la hauteur probable que devait avoir cette flèche, n'est plus guère chose difficile. D'après l'angle d'inflexion de ces pierres partant d'une base octegonale exis- tante, on pourra établir un calcul fixant approximatirement la hauteur. On s'est plu a reconnaltre la réelle valeur du second projet de flèche élaboré par M. Coomans et il est indéniable qu'il s'est évertué 4 se pénétrer intimement de la pen- sée de l'auteur de cette vaste conception architecturale. Si, comme il y a lieu de le présumer, ses plans donnent a modification par l'entrée en scène de ces éléments nou veaux, on ne pourra objecter, par la suite, que son oeuvre est une création, une con ception personnelle oü la fantaisie peut entrer pour une certaine part. Les plus irré- ductibles adversaires de la flèche, eux mêmes, devront reconnaltre qu'il n'y a plus aucun danger désormais a voir exécuter ce travail d'achèvement de notre tour d'après des donnéei a peu prés équivalentes a la possession des plans primitifs. 1 sous la direction de M. Albert Van Eegroo Lundi, 19 mai, a 8 30 h., soirée musicale au local Café de l'industrie Place Van- denpeereboom Au programme des «euvres de Haydn, Beethoven, Cherubini et Brandts Buys. Romain Verhaeghe qui avait porté le sa- medi 22 mars, veille de Paques, a son frère Gaston, des coups et blessures lui ayant occasionné la mort, a comparu Jeudi devant le Tribunal Correctionnel qui l'a condamné a une peine d'emprisonnement de cinq ans. Son arrestation immédiate a été or- donnée. M Vendredi soir en présance des deux com pagnies de la Garde Civique a eu lieu la prestation de 6erment du sous-lieutenant Désiré Poelmans, nommé a la seconde com pagnie. Après que celui-ci eftt juré fidélité au Roi, aux Lois et la Constitution du peuple bei ge, le major Ligy le présenta aux troupes at rappela qu'elles lui devaient respect et obéissance. drame évaogélique sera représenté pour la seconde fois, aujourd'hui Dimanche a 6 h. précises, en la grande salie du «Volkshuis.» Dimanche 18 mai igi3 a Programme d midi 1. Voila les soldats, marche Eilenberg. 2. La nation beige, ouverture P. Benoit. 3. Polyeucte, fantaisie Gounod. 4. La jolie fille de Perth, mosaïque Bi{et. 5. Danse Bohème. J. Moiny. La session extraordinaire du conseil de milice de 1'arrondissemeet d'Ypres aura lieu le lundi 19 mai a 9 heures, pour Ypres, Pro ven et Neuve-Egliee la mardi 20 mai a 10 heures, pour Elverdinghe et Gheluwelt, et le vendredi 23 mai, a 9 heures, pour War- neton et Wervicq. Un d.8 grands malheurs de l'homme, c'eBt que ses bonnes qualités mêmes lui sont quelquefois inutiles et que l'art de s'en s«r- vir et de les bien gouverner n'est souvent qu'un fruit tardif de l'expérience. L'amitié extréme et délicate est souvent ble8sée du repli d'une rose. La calomnie est comme la guêpe qui vous importune, et contrelaquelle il ne faut fai re aucun mouvement, a moins qu'on ne soit sür de la tuer, sans quoi elle revient a la charge plus furieuse que jamais. On dit quelquefois d'un homme qui vit seulil n'aime pas la société. C'est souvent comme si on disait d'un homme qui n'aime pas la promenade qu'il ne se promèae pas volontiers le soir dans la forêt de Bondy. J'ai vu dansle monde qu'on sacrifiait sans cesse, l'estime des honnêtes gens a la consi deration et le repos a la célébrité. A On souhaite la pareBse d'un méchant et le silence d'un fort. Chamfort. Decoration civique. pftr arrêté royal, la croix civique de 2' classe a été dó- cernée a M. Edmond Maes, échevin de la commuue d'Houthem, eu récompense des services qu'il a rendus pendaut une carrière administrative de 37 ans, dont 25 ans d'ócbe- vinat. W^ burgerstand Yper. Mei. Verklaringen van den 9 tot den iö Geboorten Debouvere Cyriel. Dicke- buschsleenweg. Vandenberghe IJrbain, Al- moezenierstraat.Pauwels Elisa, Meenenstraat. Wolf Angèle, Canonstraat. De Maeseneire Blanche, Zaalhof. Vandenberghe Georges. St-Jacobstraat. Huwelijken Bories Michel, kleermaker en Eggermont Jeanne, strijkster te Yper. Ge'ldof Georges, losser, en Vanhove Marie, kanten werkster te Yper.DewuH Raymond, metser- diener, en Hof Marguerite z. b. te Yper. Mille- ville Robert, machinist aan de spoorwegen te Kortrijk, en Becarren Rachel, z. b. te Yper Wuylens Prosper, mijnwerker, en Declérca Helène, kantenwerkster te Yper. Coffyti Gamille, timmerman, en Verkouter Reine naaister te Yper. Meyskens Achilla, en Maes Mane, diamantbewerkers te Yper. - Vanghe- uwo Oscar, mecanicien, en Coffyn Germaine, kleermaakster te Yper. - Cleppe Maurice steenhouwer, en Bartier Jeanne, dagloonster te Yper. Sterfgevallen Burggraeve Louis, 43 jz b. echtgt Apers Marie, lange Thouroutstraat. - I lanqueel Albert, 2 j., Dickebuschsteenweg. Mafrans Eugène, 6 j., Meensteenweg. Lander- wyn Celine, 4 j., Canonstraat. Domicent Sté- phame, 66 j^ winkelierster. eehtgte Vanboutte rlorim<-nd, Oude Kleermarkt. Dechiever Syivie 8Sj, z. b. ongeh. Rijselstraat. - Syoen rharailde, 67 jz. b. wed* Begerem Gustave, Mondstraat. Sogers Julie, 24 j., kantenwerk- ater eebtgte Monteyne Maurice, Bukkerstraat. - Velghe Florence, 63 jaar, kloosterlinge, r*i

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1913 | | pagina 2