GHMOKf/Ql/i YPMO/Se
m w.
Le Concours Hippique
a Bruxelles
La Procession du
Saint Sacrement
A propos d'un
enterrement civil
Un nouveau
Cercle Artistique
A la Garde Civique
Un mystère élucidé
Concert de Carillon
Procession de Furnes
CHHOM QUEl)E
L'A HltONDISSE.fi E
Prise de voile
Poperinghe
Ecole de Bienfaisance
Nominations Kcclésiastiques
Wervicq
~vvv-
l
cellente occasioa de ?ous taire car si vous
a vies lu le compte rendu analytiquedu jeudi,
15 mai HI3, vous auriez tu que l'interrup-
tion, pour laquelle tous m'avez signalé a
l'indignation des Juges de paix de l'arron-
dissemtnt et du royaume, n'était pas de moi,
maia de M. Destrée, député de Charleroi.
Je me suis borué a Ia Chambre a com.
battre l'homogénéité des juridictions de mi-
lice, comme j'ai défendu jadis, avec vos
amis, l'application de la representation pro-
portionnelle pour la composition des conseils
de prud'bommes, et j'ai si peu songé a me
pronoucer contre telle ou telle catégorie de
magistrats ou de fonctionnaires et a com-
battre les Juges de paix, que j'ai même parlé
d'accorder a ces derniers la présidence des
coDseils de milice. Voici, en effet, d'après
les annale», la conclusion a laquelle je me
suis arrêté
a Je crois quant a moi, ai-je dit, que iaute
de mieux, il vaudrait autant nous en tenir
a la composition actuelle des conseils de
milice, sauf a remplacer l'officier par un
magistrat, le juge de paix du canton ou
i bien un juge au tribunal de première in
i stance, qui remplirait leB fonctions de
président, et de lui dooner comme as-ses-
seurs les deux mandataires politiques, qui
i) en font partie aujourd'huiun conseiller
provincial et un membre d'un collége
échevinal du ressoit, sauf k demander au
gouvernement de ne pas choisir ces deux
mandataires politiques dans un même
parti pol tique.
Si, dans mon amendement, j'ai accordé la
pré'érence au juge du tribunal de 1" in
stance, c'est a raison .de l'opposition qui
»'eat manifestée au cours de la discussion
contre U« juges de paix.
Vous voyez done que l'interruption ne
pouvait m'être attribuée.
Je ne toui en remercie pas moins de
m'avoir fourni l'occasion de signaler une
erreur que le compte rendu aralytique s est,
du reste, empressé de rectifier et que vous
rectifierez, je n'en doute p&s, k votre tour,
en insérant la présente dans votre prochain
numéro.
Agréez, Monsieur l'Editeur, l'assurance
de ma consideration trés distinguée.
Eunest Nolf.
Tpres, le 19 mai 1913.
Nous donnons bien volontier* acte a
M» Nolf de sa demande rectificative.
Notre correspondant qui a reproduit
comme ayant été prononcée par Mr Nolf une
interruption faite en réalité par M. Destrée,
ne peut pas être accuse de mauvaise foi,
ce qui était inséré dans le Compte rtndu
analytique du mercredi 14 mai 1913.
Nous ne demandons pas mieux de con-
stater que Mr Nolf se sépare fianchement de
•eB collègues qui vont jusqu'a suspecter
l'impartialité de notre magistrature.
vide, en dépit de cette décoration tout a tait
jolie.
A 2 heures précise3, a la galerie supc
rieure résonnent des trompettes nous ie
connaissons un fragment de la ie 8
cantate de M. Walpot, qui se trouve
avec la musique des guides.
Aussitöt commence le travail de manége,
exécuté sous la conduite du lieutenan
Trannoy, aidé de l'adjudant sous-officier
Wauthy et du premier maréchal des logis
chef Verhelle, par quarante buit éleves c e
seconde ancée de l'Ecole militaire vingt-
quatre de la section du génie et de 1 artille-
Les mêmes élèves exécutent ensuitejes
sauts d'une correction plus quesatisfaisan e.
C'est ensuite le carrousel du manege par
les élèves de l'Ecole d'équitation Présen-
tation du cadre et des élèves entrée, salut,
travail de voltige, sous la direction du lieu
tenant instructeur Carbonnelle sauts d ob
stacles par seize élèves (lieutenant instruc
teur Wagemans)travail de voltige, sauts
avec cbevaux a nu, carrousel avec obstacles,
exécutés sous les ordres des lieutenants in
structeurs Tahon etOrban, par trente cava
liers consommes, lieutenants ou sous-lieu te
nants, qui font évoluer et sauter des che
vaux n'ayant ni étriers, ni selle, m bride.
Chevaux admirablemeut dresses, d'ailleurs,
car un des officiers étant tombé, la monture
paracheva le tour de la piste, sans rater au-
„v.D(^io Travail d'école, jeu de la rose,
sonne aimée, tout le bien qu'el'e a fait, tou
tes 1' s vertus qu'elle a pratiquées.
N'ayant jamais rien eu a se reprocber,
il la regarda venir en face ('a mort) avec
i (Discours de
M.
hommage aux
furent celles de...,
dans ses actes, par
un calme sto'ique
Frère.)
Rendons un suprème
pensées élevées que
toujours iospiré,
l'amour du Bien, du Juste et du Beau,
loujours guidé par une conscience se-
ière... i) (Discours de M. Moütor).
s'il est vrai que rien ne se perd, to peux
voguer tranquillement dans le mystèro
insondable de l'Au-delè.avec la conscience
d'avoir accompli Ion devoir. (Discours
de M. Sirou).
Tout cela n'est pas mal dit. Encore cepen-
daut faut-il se rappeler que ce Bieu, cette
Justice, cette Beauté dont l'amour est la loi
inéluctable imposóe a nos consciences p-n-
dant la vie ne sont pas des mots auxquel
nulle réalité existante ne répor.de,
Lorsque ce Bien, cette Justice, cett
Beauté parle et nous impose en vue d'Elle-
même des devoirs a remplir, nous devons,
si nous voulons rester dignes de notre
nature humaine Bavoir sacrifier tous cos
biens terresties, même la vie qui est notre
bien terrestre suprème, et cela avec la cer
titude absolue qu'en faisant ce sacrifice non
seulement nous ne perdons pas, mais que
nous gardons ce qui peut seul être notre
Bien Souverain.
Ce Bien, cette Justice, cette Beauté est
douc certainement tout ce qu'il y a de plus
réel, de plus rmcessaireuaeut existantc est
la réalité soureraine, éternelle et impéris-
sable dont le bien, la justice, la beauté qui
se peut trouver dans les choses de ce bas
monde ne sout qu'un pale reflet et nne
ombre.
Sous ces trois noms c'est l'Etre Souverain
que nous devons reconnaitie, aimer et
adorer. Et eet Être suprème s'appelle Dieu.
Mais voilail doit être interdit aux
orateurs des enterrements civils de pionon-
cer ce nom la.
Quelle pitié
cun obstacle.
dirigés par le lieutenant Wagemansprepa
ration a l'épreuve de dressage du champion-
nat de cheval d'armes, dirigée par le
capitaine de Houst.
Vient ensuite un Ccirrousel militaire,dinge
par le lieutenant Jacquet. C'est, sans contre-
dit, la partie la plus intére sante pour les
connaisseurs. Mais cela paralt interminable
aux profanes II y a la de3 mouvements au
pas, au trot, au galop, oü tous rivalisent de
correction, mais... ou tous font la même
chose pendant une demi-heure.
E .fin, sous la direction du lieutenant Jac
quet, apparaissent quarante-huit cavaliers
revêtus de l'uniforme de gendarmes, d'artil-
leurs, de landers, de chasseurs a cheval et noug Je dire résuUe k
de guides, qui, porteurs de la lance adornee évidenC9 que la notion parfaito du De
d'un petit fanion beige, congolais ou rouge - - -
et blanc (couleurs d'Ypres), exécutent des
mouvensents du plus haut intérêt, qu ils tei-
minent par une charge, ventre a terre, la
lance enariêt. Cette partie du programme
se clotura par des exercices de sabre et d'as-
sourdissantes détonations de pistolets.
VVV
La 1" journée d'Ypres
La grande fête militaire de mardi
Le Concours hippique, depuis son ouver
ture, n'avait pas encore réuni affluence com
parable a celle qui se pressait, mardi, a la
grande fête militaire. Celle-ci était organisée
conjointement parl'Ecole milPaire et l'Ecole
d'équitation. Elle était honorée de la pré-
tence de M. le baron de Broqueville, minis-
tre de la guerre, qu'accompagnaient le chef
de son cabinet militaire, le lieutenant-colo
nel Wielemans, et le commaudant de Lon
gue ville, attaché a ce cabinet.
Le prince et la princesse Victor-Napoléon
ent également assisté k la fête, qui réunis-
aait tout ce que Bruxelles compte d'élégances
vraie* ou soi disant telles... Car on voit au
jourd'hui de tels accoutrements de femmes
qu'il est bien malaisé de préciser quelles toi
lettes sont ou ne sont pas a la mode. Qu'on
se couvre des oripeaux les plus rococo,
juraut d'être assemblés, unisant le vert
émeraude, le saumon anémique, la pomme
presque müre, la fraise écrasée, le tabac
colorado-claro et la lie de Médoc, on est sür
de rencontrer néanmoins quelqus personne
dont on pourra dire celle-ci a une mise
plus saugrenue encore que la mienne
Coté hommes beaucoup d'uniformes, évi-
demment. k coté de quelques tenues étran-
gères, on restait un peu étonné devant nos
nouvelles tenues beiges, encore assez rares.
Comme officiers généraux, nous citerons les
généraux baron de Bonhome, circonscrip-
tionnaire; Lantonnois et Clooten,Inspecteurs
ds l'infanterie et de la cavalerie.
Les abords de la tribune royale étaient
abondamment fleuris grandes marguerites
blanches se mariant aux sapius aux senteurs
pénétrantes.
Dans la tribune même, une profusion de
rhododendrons mauves, roses, rouges, vio
lets et blancs. Mais la tribune est demeurée
Aujourd'hui Dimanche. solemnité de la
Fête-Dieu, aura lieu a l'issue de la Grand'
Messe chantée a g heures en l'Eglise St-
Martin, la procession du Saint Sacrement.
Nous faisons appel aux hommes et jeunes
gens pour que nombreux ils escortent, por
teurs de flambeaux, le Dieu Eucharistie dans
sa marche triomphale.
i 1
Les enterrements civils ne sont pas fié-
queiits a Ypres.
La semaine passée il y en a eu un, plus
pénible que d'autres a notre population
chrétienne, a cause des qualités peu com
munes dont le défunt avait été orné et qui
lui avaient ageé bien des sympathies.
C'est assez dire que la pensée ne nous
vient même pas de contredire les éloges qui
lui ont été déc9rnés.
II ne doit cependant pas nous être inter
dit de communiquer a nos lecteurs quelques
unes des réflexions qui nous sont venues a
l'esprit par la lecture des discours funèbres
qui ont été prononcés.
Et tout d'abord ce qui nous a frappé, c'est
d'avoir eu a constater, une fois de plus, que
malgré le caractère triomphant de libre-
pensée, voire même d'athéisme et de maté
rialisme que semble colporter tout naturel
lement un enterrement civil, le simple fait
de se trouver face a face avec la mort force
tout le monde même ceux qui afficbent le
plus d'être affranchis de toute influence
chrétienne a entendre le cri de l'ame qui
proclame que la mort est pour tous ce mo
ment solennel oü un jugement définitif est
porté sur toute la vie, oü tous ont a rendre
compte des devoirs qu'ils oat eu a remplir)
et oü, pour cette trés bonne raison, il n'y a
plus que le mérite du devoir accompli qui
compte.
De la ce besoin si naturel et si impérieux
que tout le monde éprouve, de remémorer
en face de la dépouille mortelle d'une per-
voir et que l'amour vrai et comp'et du De
voir doivent nécessairement trouver leur
appui dans dos dogmes ils supposent la
connaissance de Dieu et de ses infinies per
fections, de ses lois, de la valeur et du but
de notre existence terrestre, du mystère in
sondable de 1' Au-dela
Seule la religion qui peut donner de ces
portée des ecfants et des vieillards, des il-
lettrés et des philosophes, des natures
communes et des natures d'élite est ca
pable de servir d'appui solide lordie
moral et social seule elle est de taille a
conduiro l'Humqnité vers sa perfection et
son bordieur.
avoir encombré lc parvis pendant trois siècles,
subirent cette avanie finale d un enfouisse-
ment. Un document des Archives vient de
nous en livrer le secret. C'est précisément en
l'année 1731 que fut érigée la petite sacristie
sur remplacement qu'occupe actuellement la
minuscule sacristie adossée au portail méri-
dional. Elle fut détruite lors de la restaura-
tion faite par l'architecte Dumont, et le relevé
fait par celui ci a été repro.luit dans l'étude
de M. l'abbé Dugardyn sur l'église St-Martin
A titre de curiosité, voici ce texte transcrit
d'après le Register van solutien van den
grooten gemeenen raed der stede van Ypre
a Grooten ghemeene ghehouden de 6 April
1731... Op de requeste van d'heeren kerek-
meesters van Sl.e Maertens wierd hier tocghe-
leyt tot reparatie ende 't maeken van eene
nieuwe sacristye wierd hun toegheleyt twee
en tseventigh guldens.
La petite dalle gravée est done pleinement
expliquée par ce texte. Cest intentionnelle-
ment qu'elle a été enfouie a cette p'ace et les j
crochets inutilisés du XVe siècle firent en j
quelque sorte office de trottoir devant la
nouvelle sacristie.
Nous apprenons avec grand plaisir qua la
suite des exécutions trés réussies du drame
évangélique De Blindgeborene les diffé
rents éléments qui avaient contribué au suc-
cès des représentalions se sont groupés en
un cercle artistique qui donnera chaque
année deux fêtes au Volkshuis
Monsieur le Senateur Struye a accepté la
présidence d'honneur du cercle, Mrs Van
Egroo et Bostyn, la présidence effective et
Monsieur l'Abbé Neuville remplira les fonc
tions dc directeur.
Le Cercle compte trois sections, drama-
tique, symphonique et chorale, qui auront
chacun leur comité élu parmi les membres
et pris au sein de ceux ci.
Nos meilleuts vceux de succès.
Dimanche dernier, 18 Mai, des électioas
ont eu lieu a la première compagnie de la
Garde Civique.
Ont été nommés i*r sergent Louis Mon-
teyne. Sergent, Alfred Angillis. Caporaux
Victor Wuyllens, Joseph Vanwichelen, Mau
rice Vercruysse.
Vendredi a l'issue des exercices, le majo-
Ligy a remis, en présence des deux com
pagnies, le diplome de tireur de 2«m" classe
au sous-lieutenant Aimé Gruwez et le di
plome de tireur de Sem' classe au sergent
Daniel Angillis, qui avaient pris part a Bru
xelles au Concours National de 1912.
trai Benoot Auguste, Abeclc-Poperiughe
Bulcke Marcel, Oudekapelle; Devos Charles,
Poperinghe Lebbe Andre', Bruges Lowie
Albert, Staden Node Cyrille, Ardoye
Quaghebeur Georges, Poperinghe Van
Haute Gaston, Dixmude Veifaillie Remi,
Proven un P. Béuédictin (Saint-André)
un P. Carmelite et sept PP. Capucins.
DiacresMM. Borre Georges, Fumes;
Brutsaert Albert, Poperinghe; Delmarque
Georges, Beveren (Roulers)Demeester Ga
briel, Roulers Dossaer Joseph, Ostende
Doucy Oswald, Westoutre Flipts Jules,
Roulers Hanssens Octave, Wevelghem
Priem Jéröme, Poperinghe Quartier Antoi-
ne, Cuerne Verhaeghe Amand, Iseghem
Verschuere René, Thielt Willems Charles,
Bruges un P. Bénédictin (Steenbrugghe) et
trois PP. de la congregation des SS. Coeurs
(Picpus).
Sous-Diacres MM. Bouchery Georges,
Menin Delneste Achille, Reckem De
Wisperere Joseph, CourtraiGysels Gusta-
ve, Rumbeke Hannicart Ernest, Gheluwe
Messiaen Georges, Ouckene Muylle Jean,
Bruges Valckenaere Paul, ThouroutVan-
den Bussche Joseph, Bruges Vandendries-
sche Ernest, Courtrai Vanden Weghe Mar
cel, Alveringhem Vander Meersch Maurice,
Iseghem Van Guest Albert, Courtrai un
P Trappiste et trois PP. de congrégation des
SS Coeurs (Picpus).
vN/*-
II est done bien c'air pour tout homme j
qui raisonne que parmi tous nos devoirs,
les premiers et les plus importants, ceux
dont nous aurons avant tout a rendre
compte, ce sont nos devoirs vis a vis de
Dieu. Et puisque par le temps qui court
on parle si volontiers d'altruisme nou-
blions pas que nous aurotis a rendre compte
non stulement pour nous mêmrs del'accom-
plis8ement de ces devoirs, mais aussi de
toute parole, de tout acte, de tout exeuiple
donné, capable de détourner autrui de l'ac-
comflissemeot des mêmes devoirs.
Et ces devoirs quels sont-ils? Ils sont
tous ceux que Dieu Lui-même nous impose,
tut ce par le libre clioix de sa volonté souve-
raine. Nous n'avons pas a choisir paimi ces
devoirs ceux qui vont a nos goüts ou quj
s'accordent avec ce que nous appellerions
ci nos principes philosophiques sauf a re-
jeterles autres
Comment done la Religion pourrait elle
être légitimemeut tenue pour chose négligea-
ble pendant la vie, a la mort ou aux funé-
railles f
W. ?K
II n'a été bruit en notre Landermeau
yprois que de la découverte de pierres sculp-
tée:. au pied du petit portail de l'église St-
Martin. Le Journal de Roubaix les a amou-
reusement comptées, décrites, commentées,
ce qui n'était, du reste, pas sans intérêt, bien
au contraire.
Les suppositions les plus diverses allaient
leur train, quand la découverte d'une pierre
gravée avec date vint fixer l'époque de l'en-
fouissement de ces crochets. Sous deux assises
de sculptures du XVe siècle se trouvait une
petite dalle, soigneusement protégée par une
ardoise brisée sous le poids des pierres, et
portant les armoiries de la ville et la date
1731. L'enfouissement ne pouvait, des lors,
être antérieur a cette date.
Restait la question de savoir comment ces
matériaux, non utilisés pour la flèche, apiés
-K
Jeudi 29 Mai de 8 a 9 heures
par Mr Noël Igodt.
1. Marche Turque L Van Beethoven
2 Les pêcheurs de perles, faniaisie G. Bizet
3. L'Angelus Maurice Henderick
a) Ik ken een lied Antheunis
b) Here Halewijn sanc een liedekijn
4e eeuw.
Quelques semaines a peine 110113 séparent
encore de la Grande Procession de Peni
tence de Furnesdont la sortie a lieu le
dernier Dimanche de juillet.
(lette cérémonie trés originale, unique
dansce genre, comme eelLs d'Obberam-
mergau, d'Etternach et de Séville, attire
tous les ans une foule de curieux.
Ce cortège étrange et sileccieux au point
de vue historique, est des plus intéressant
au point de vue religieux, en vous transpor-
tant aux temps reculés du moyen-age, il
produit un sentiment de mélancolie profon-
de, une impression émouvante, inoubliable.
Cependant... combien de personues n'y
a-t-il pas qui la regardent défiler, mais qui,
hélas ne la voient pas 1...
Car pour bien la voir, il est indispensable
d'en connaltre quelques détails.
Faire mieux connaitre la si iutértBsante
ville de Furnes et son curieux cortège)
c'était une L cune k combler. C'est mainte-
uant chose faite
Nous félicitons vivement l'auteur M. Cam.
Wyboqui vient de faire publier une élé
gante plaquette abondamment illustrée La
Procession expiatoire de Furnes, éditée
par la maison Desmyter a Furnes, oü l'on
peut se la procurer.
Le prix en est de 2 fr., franco.
Toute personne se proposant d'aller con
templer ce dernier mystère en Flandre
tel que l'appelle l'auteur de ce livre, voudra
avant tout se rendre compte de cette intéres
sante édition.
On peut Be la procurer, au mêoie prix, au
bureau du journal.
"VX/V
c) Het ware twee conincs kindren
5. Largo
Moderato
HSudel
6.
de Tannbauser
Allegro
Danse Arabesque
Wagner
Victor De Vogelaere.
1 Mardi matin a eu lieu, en la chapelle des
Carmélites, la touchante cérémonie de la
prise de voile de Mu« Herwijn, fille de M. le
comte Gustave Herwyn, de Bruges, dont le
nom en religion sera désormais sceur Marie
des Anges de Saint-Fran^ois-Xavier. A cette
occasion, un sermon de circonstance a été
prononcé par M. le chanoine Delefortrie.
II sera procédé le 26 mai, a 10 heures du
matin, au greffe de l'école, a l'ouverture des
soumissions pour l'adjudication publique
des objets de fourniture nécessaires au service
de l'établissement pendant l'année 1913.
Mgr Waffelaert, évêque de Bruges, a or-
donné samedi matin a la cathédrale, 19 prê-
tres, 17 diacres et 17 sous-diacres.
Prêtres MM. Vromant Hippolyte, Cour-
Trois messes de prémices.
A la paroisse de Notre-Dame s'est passé cet
te semaine un fait unique qui restera inscrit
a jamais dans les fastes de cette église. Trois
nouveaux prêtres, habitant la paroisse No
tie-Dame ont célébré trois jours eu suivaut,
dans leur église paroissiale, leur mesBe bo-
lennelle de prémices.
Lundi c'était le R. M. Charles De Vos,
fils de Mr l'échevin De Vos et de Mme, uée
Sylvie Rouseré. Mardi, c'était le R. M.
Auguste BeEoot, fils de M. René Benoot,
chef de station h Abeele et de Mme née Ma
rie Wecxsteen. Enfin Mercredi c'était le
tour du R. M. Georges Quaghebeur, fils de
Mr Henri Quaghebeur et de Mme née Eugé-
nie De Bergh.
Nous présentons aux nouveaux prêtres
nos sincères félicitation et nos meilleurs
vceux.
Contributions direotes. Par ar
rêté royal, M. J. Diguelle, commis de direc
tion a Hasselt, est nommé controleur des
contributions directes, des accises et de
comptabilité a Poperinghe.
Nous apprenons la mort de Mr Jules Van
der Mersch-Bigo, échevin de la ville.
Nous prions la familie du regretté défunt
de recevoir nos sincères condoléances.
Distinction. Monsieur Ch. Brut
saert, bourgme8tre de Watou, vient d'être
nommé Chevalier de l'Ordre de Léopold.
Félicitations.
r»ij1--j,-1■-
UUgiiioo UL1C liull«yn Claire ot oorlainc, a la