AVICULTURE. Science pour tous. J MTFRIF Par les temps humides, froids ou par le brouillard, il est bon d'affoura ger les poulains avec un peu de foin sec avdnt de les conduire au pqtu- rage. Pour preserver les chevaux con tre les attaques des mouches on se sert du rnvijcn swtvurii u. consists a uns une decoction de strojnoine faite avec une partie de feuüles et de tiges pour trois parties d'eau. On li isse bouillir 19 a 20 minutes environ. Une application de cette décoction faite sur les faces internes des membres, le ventre et le pourtour de l'anus, sufft a debaras- ser 1'animal de ses ennemis pour touie une journée. Engraissement du Pore. Le pore est un animal trés vorace c'est un mangeur avide avalant précipi tamment la nourriture qu'on lui offre sans s'inquiéter beaucoup de la mastiquer complètement. II en résulte done une insaüvation incomplète et un assez fort gaspillage des aliments. Cela estd'autant plus vrai qu'on a souvent pour ne pas dire toujours la mauvaise habitude de donner au pore la nourriture sous forme de scupe. II faut tenir oompte aussi de ce que le pore étant réputé omnivore on se base sur sa voracité pour lui faire consom- mer tous les fourrages indistinctement sans raisonnemenfni sélection sans se précccuper, ni de 1'age de l'animal, ni de son état de croissance ou d'engraisse- ment. Dans l'engraissement du pore, il faut choisir les aliments qui conviennent le mieux a la béte pour qu'elle les digère bien. II faut aussi tenir compte de l'in- fluence des aliments sur la qualité de la viande et du lard. A ce propos, on doit reconnaitre qui l'alimentation d'engrais- sement a base de pomraes de terre, de grains concassés comme ceux d'orge, par exemple, de rebulet et de petit lait est celle qui fournit les mtilleurs résul- tats. Les pores engraissés de cette fafon donnent une viande de qualité supérieu re a tous les points de vue. Malheureusement ce régime est patfois trop cuuteux et il est souvent p us écono- m'que de lui substituer une alimentation baséè sur l'emploi dé résidus industriels ou d'auties matières obter.ues a bon com- te. Parmi ces aliments nous pouvons citer les drèches de distiller ie et de bras serie, les touraillors, les betteraves, les carottes, le maïs et certains tourteaux. Le grand pcuvoir d'assimilation du porc permet en iffet, une large substitution des aliments les uns aux autres, mais il pariois au détriment de "la" qualité de ïa viande ct du lard. Cela d'autant plus que le porc est après les oiseaux de basse- cour, l'animal chez kquel la nature des aliments ingérés influe le plus sur la composition chimique de la grakse. L'usage immodéré du tourteau de liii, par exemple, rend la graisse jaunütie molle et a la longue il communique a la viande un goüt et une odeur dèsagréable se manifestant surtout a la cuisson. Nouiri avec du poisson eet animal acquiert rapidement une graisse molle, giisatre, une chair pale, terreuse ayant 1 aspect cada\ érique. Nourri avec du tourteau de noix rance, le porc n'est plus livrable a la consommation avec du maïs, son lard devient visqueux et jaunü- tre la farine de viande donne a la chair du porc un gc ül de moisi et la farine de riz un goüt de pourri. Engratssé avec des carottes, le porc présente les caractères de 1 animal dit soufflé sa chair est mode jaunatre imbibée ü'une lymphe abontan- teson lard est peu consistant, épais, de conservation difficile. Les vinasses et lts dréches de distillerie ont aussi une action défavorable sur la qualité des produits et notamment du lard. II faut dor c éviter l'emploi immodéré de ces diverses substances. Si elles n'en- trent qu'en quantités judicit uses dans les ratio, s, soit par exemple un tiers de la somme des aliments concentrés ou s'iis sont remplacés par des aliments appio- priés durant le dernier tiers de la période d'engraissement leur mauvaise influence s'efface fortement ou totale- ment. C'est ainsi que pour profiter de la grande faculté d'engraissement du maïs on sen sert pour engraisser le porc, mais on le rempkce dans les dernières semaines par de la farine d'orge. Les tourteaux de palmiste et de coco- tier donnés en complément avec les ali ments qui comme le maïs rendent le lard mou et huileux ont pour propriétés de lui rendre de la consistance. Dans l'emploi des r< cines trés aqueu- ses, des pulpes fraiches de sucrerie, des drèches de distillerie, des résidus de lai- ter ie on doit aussi en diminuer fortement la quantité dans les dernières semaines de l'engraissement. II faut éviter dans l'alimentation du porc de donner trop de préparation aux aliments. Plus la préparation est simple et naturelle mieux elle vaut. La cuisson seule convient pour certains aliments comme la pomme de terre, leas grains duis. les c.échets de laiterie etc. Les grains seront de préférence données concassées grossièrement ou aplaties. Les farines fourragèrts seront mélan- gées avec les aliments plus grossiers de la ration. Si l'on prépare des soupes dit Kellner, il faut éviter de les diluer outre mesure et les donner sous forme de püte épaisse, après cuisson et refroidies a une température un peu inférieure a ce:le du corps dans ce cas, il est néces saire de surveiller étroitement la propretê dts auges et des ustensilts venant en contact avec les aliments. Pour les jeunes animaux il est préférable de paitager la ration en trois repas, et il est indispensa ble d'observer la plus grande régularité dans les heures des repas. Les étables d'engraissement doivent être modéré ment chaudes, sêches, propres et bien ventilées un excès de chaleur diminue l'appétit des animaux et peut être aussi dangereux qu'une température trop basse.» Enfin n'oublions pas que bien que le porc sort réputé un sale animal, aucun autre de bos animaux domestiques ne paie mieux que lui les soins que le culti vateur prend de sa propreté. F. Pirard Ingénieur agricole (Reproduction réservée.) Délaitage et Malaxage. Dès que le beurre s'est foimé dans la baratte, il faut lui enlever le lait battu qu'il englobe entre ses particules. On assure ainsi sa conservation en augmen- tant sa qualité. Un beurre mal délaité rancit trés vite. A la ferme le délaitage se fait a l'eau. En industrie il se fait a sec a l'aide d'ap- pareils spéciaux, les délaikuses centri fuges.Ces dernières se composent princi- palement d'un tambour dont lesparois sont formées par un.e toile métallique résistante destinée a laisser passer le lait et a retenir le beurre placé dans une toile. Le tambour est animé d'un mouve ment de rotation autour d'un axe verti cal il fait 800 a 1000 tours par minute. Pour le dé aitage a l'eau, sitöt le ba.rat- tage terminée. on scutire le lait batiu et remplace par une égale quantité d'eau fraiche. On met le battour en mouve ment, puisson scutire l'eau qu'on renou- velle jusqu'a ce qu'elle sorte absolument claire. A chaque soutirage, le liquide doit passer a travers un tamis sur kquel les particules de beurre entraii. ées s'arrê- tent. On peut aussi délaiter en lavant le beurre dans un tamis en erin trés fin, qu'on plonge dans un baquet d'eau froide. Dès que le beurre est délaitté on le pétrit avec des spatules et on le dépose dans une auge oü on le laisse reposer un certain temps afin qu'il sera fermisse a\ant le malaxage. II faut noter en effet, que le beurre ne doit jamais être travailjé s'il n'est pas suffisamment ferme. L'emploi de la glace est trés recommandable pour effectuer ce raffermissement. Elle fait gagner du temps car peu après son application le beurre peut passer au malaxeur. Le malaxage a pour but d enkver au beurre la trop grande quantité d'eau et le lait battu qu'il peut encore retenir. II lui donne de la compacité,de i'uniformité et de 1 homogénéité. II remplace avanta- geusement le pétrissage a la main qui est antihygiénique, antirationnel et anti- économique. II ne faut pas oublier en effet, que celle opération est longue et-fatiguante. Elle exige beaucoup de propreté et d'habileté de la part des opérateurs. Quoi qu'on fasse le contact des mains chaudes ou humides enlève au beurre la déliCa ttsse de son geut, son aróme et lui fait perdre de sa vakur et desa quahté. 11 faut done opér<_r rnécai iqu ment a 1 aide des malaxeuïs. Ces appareils sont de deux sortes les uns sont a mouvement de va et vientles autres sont rotatifs. Les premieis conviennent surtout pour les petites exploitations les s.. conds sont utilisés plus spécialement en indus trie laitière ou dan-s les feimes qui pro duisent beaucoup de beurre. Le mala xeur a mouvement de va en vient se compose tssentiellement d'une table sur laquelle roule un cylindie cannelé destiné a pétrir le beurre qu'on relève avec des spatuk s après cha que passage du rouleau Le malaxage s'effectue dès que lc beurre est rafformi, sans attendre eeper.- dant qu'il soit devei u trop dur et trop consistant, car alors il s'émiette et se traraille avec difficulté. On a soin avant de commencer le tiai- vail de laver le malaxeur l'eau chaude, puis a l'eau froide afin de rendre moins rapide l'adhérence du beurre pendant le travail. La durée de ce dei nier ne doit pas ê'.re prolongée outre mesure, car cette opération fatigue le beurre, altère son aróme et lui donne un aspect graisseux. Au contraire par un malaxage incomplet le beurre retient trop d'eau et de caséire, il se conserve mal. On arrête le malaxeur au moment oü il ne s'écoule plus de lait battu et iorsque le bturre coupé en tranches n inces ne laisse plus suinter de gouttelettes d'eau sous la pression ducouteau, C'est au moment du malaxage qu'on ajoute le sel dont la quantité varie avec le goüt du cliënt. The Dairyman (Reproduction réservée) L'OIE. L'oie est l'oiseau de basse, cour le plus utile après la poule. II fournit de la plu- me et du duvet, sa chair est excellente, sa graisse trés délicate et on prépare avtc son foie d'excelie tes tcrints qui font la renommée de certain es régions. Tout le monde connait les patéj^de foie gras de Visé, de Toulouse, de Strasbourg. On plume les oits vmntes trois ou quatre fois par année et l'on admet que pour donner un produit rémunérateur l'oie doit éclore au plus tard en avril être plumée 4 fois la première fois a 2 mok la deuxième fois a 3 mc is t demie la troisième fois a 5 mois et la dernière fok. a 6 mois tt demi. On i'engraisse ensuite pour la vtndre en décembre. Lorsqu'on conserve des oies pendant plus d'une année pour la récolte des plu mes on donne la préférence aux males ou jars. Dans certaines régions on écorche les oies pour vendre les peaux. Ces dernières, après avoir subi certaines préparations fourmssent ce qu'on appelle la peau de ^««.fourrures blanches trés recherchées. II y a plusieuis variétés d'oies.ce sont celles de grosse espèce qui sont les plus avantageuses k élever, mais il faut pour faire eet élevage en grand pouvoir dispo- ser de grands espaces pour envoyer les oiseaux a la pature. Lorsqu'on tient des oies dans des en cl os, il faut ieur fournir btaucoup de verdure en lécoltant toutes les plantes sauvagts telles que coquelicot, moutar- C' Ueflf s> ray-grass, cresson, persicaire, L'incubation des ceufs d'oie dure 28 a 30 jours. Les oisons sont nourris de patée faite avec des farines d'orge, de maïs, de sarrasin, de pommes de terre cuites et écrasées. Ces patées sont délay- ées un peu molles avec de l'eau ou du lait. On a. soin de ne pas oublier la ver- dure, constituée par quelqucs mottes de gazon et par du ceifeuil et des orties hachées qu'on met dans une auge. On conduit les oisons a la pature le plus tót possible ils sónt trés voraces et on doit leur donner a manger cinq a six fois par jour. - Pour l'engraissement des oies, il faut préalablem nt mettre les animaux bien en c air en leur dormant a la rentrée de la J üture au sairasin, de l'avoine ou du maïs. Les betteraves crues convien nent aussi irès bien. Lorsque les oiseaux sont en bon état on les séquestre et on commence l'engraissement. Ce 'ernier peut se faire de diverses fafons. On peut le faire totalement k l'avoine. Vingt litres de ce grain par iète suffisent, mais les animaux quoique gras n'arrivent pas a leur maximum d'embon point. Pour atteindre ce résultat d'une faqon peu couteuse on opère c?mme suit dit Mmo Millet-Robinet Après six a sept jours de nourriture a l'avoine, on y ajoute des pomm s de terre bouillies qu'on pétriavec le grain et du lait cail cinq ou six jours après on y mèle un peu de faiine d'orge, de blé noir ou de maïs, des pois cuits ou concassées, des raves bouillis, etc., et on peut leur donner a boire du lait caillé mélangé de recoupe. En dix-huit ou vingt jours de ce traite- ment, a partir du jour oü les oies ont élé séquestrées, elks sont parfaitement grns ses et eet engraissement est peu content Si l'on veut rendie l'engreissement plus parfait encore, après les repas, la fille de basse-cour prend l'oie entie ses jambes et lui fait avaler, deux fois par jour, sept ou huit patons faits avec de la farine et des pommes de terre. Dans les environs de Toulouse, les oies sont gavées a i'entonnoir avec du maïs. Aux environs de Strasbourg, on vise sur tout a l'augmentation du foie. Les oies sont mainfenües dans unë ïmmobüité pour ainsi dire absolue. On les gave avec du maïs gonflé dans l'eau chaude addi- tionné d'u peu de sel et d'une petite gousse d'ail. On leur donne de temps a autre une cuillerée d'huile de pavot.L'in- tervention des protecteurs des animaux pcurrait y être trés utile. Avicola. (Reproduction réservée.) Le Sel de cuisine. Le sel de cuisine ou chlorure de So dium est un produit indispensable a la via de l'homme ct des aninumx. C'es en qüelque sorte un régulateur des fonctions vitales; sa suppression entraine des per- turbations^raves dans le jeu des organes et fiualement la mort. La consommation du sel est done pour ainsi dire obliga toire et son extraction dts eaux de la mer est une industrie tiès importante des cótes de la Méditerranée et de r'Atlantique. Certaines légions européennes exploi- tent aussi des mines de sel gemme; mais, ce dernier est surtout une des richessts des possessions frai jaises d'Afrique, no tamment de la Tunicie. Le sel est a la fois un aliment et un condiment, un diuré'ique et un conser- vateur. II relève la saveur des mets ct provoque une plus grande secrétion de salive. Chez les animaux il exerce une action bicnf isante sur la santé; ils deviennent plus vifs et plus agiles. D'après Stutzer, le sel de cuisine favo- rise la digestion, mais on ignore encore quel est son idle a eet égard. D'après le Dr Rosenthael, le chlorure de sodium serait favorable a la fécondation a condi tion de ne pas en donner en excès, car dans ce cas il affaiblit l'organisme. C'est précisement sur cet effet dépri- mant ou sel que M. Lindet s'appuie pour expliquer le ïóle antiseptique de ce pro- duit. D'après lui, les microbes se plasrno- lysant aisement abandonnent a une solu tion concent! ée de sel une partie de leurs éléments constitutifsils s'affaiblissent et n'ont plus la même capacité de répro- duction. On aurait tort de croire cepsndant, comme cn le fait géiiérakment, que le sel a de te'les qualités antiseptiques qu'il puisse faire disprr. ure toutes les sources d'infection bactériennes et qu'il jouisse de qualités aussi microbicid. s que celles qu'on lui prête. II doit même être consi- déré comme le réceptacle de beaucoup de germes dont quelques uns même p^ uvent être pathogènes. D'une fapon générale, il faut considérer tous les seis aümentriires du commerce, endus en vrac, comme étant des pro duits contaminés, dont la cocuité est certaine et dont on a le tort de ne pas se défier. Le sel taffiné lui-même est loin d'être pur, car le raffinage est générale- ment exécuté dans des conditions peu hygièniques et sa conservation n't st entourée d'aucuns soins. Notons cependant qu'aujourd'hui l'in- dustrie livre du sel raffiné-stérilisé par la chaleur. Mais il faut terir compte que ce n'est pas le seul produit mis en ceuvie, tant a la cuisine que dans l'industrie dts conserves et des salaisons. On utilise beaucoup plus le sel brut lavé et le sel gris ou gros selCes produits sont mani- festement impurs; il suffit pour s'en con- vaincre a'examiner la faQon de les obtenir. D'abord le sel est extrait ü'une eau de mer toujours contaminée par le voisinage des cótts, par les détritus terrestres, le déversement des rivièrts et des égouts. MM. Rappin et Grosseron, qui ont étudié spécialement cette question de l'asepticité du sel marin, ont trousé dans un centi- mètre cube d'eau de mer 15000 bactéries. Dans un autre essai, ils ont dénombré 36.500 bactéries et 100 moississures. Cette eau ainsi contaminée est conduite aux tables salantes travers des canaux oü elle séjeurne plus cu moinslongtemps er: s'enrichissant de plus en plus en bac téries, qui x esteront finalement avec le sel apiès 1 Evaporation. On a déja ainsi un pjosuit impur, dont on augmente encore la contamination par dts manipulations effectuées d'une fafon trés défectueuses. C'est ainsi que le sel est rccueilli avxc des instruments malpropres et réuni en tas sur des plate- formes de terre, souilléts par le piétine- ment continuel des ouvriers. Afin d'éviter les déperditiors par lts eaux de pluie, les tas de sel sont recouvtrts de terre vaseuse, en attendant le transpoit aux usines de lavage et de raffinage. Pour le lavage, on agite le sel brut avec de l'eau saturée de sel. Cette eau provient de lavages précédents elle fourmille dts germes de toutes natures, qu'elle abondonne au sel, au point que souvent le sel lavé a été trouvé moins pur que lesel origine! lui-même. Le raffinage s'effectue généralement sur le sel ayant environ deux ans de ma rais sous sa couche de terre. On le dissout dans l'eau de mer piise&la rive, on laisse reposer dans des bacs, puis on évapore en chauffant la solution vers 108 110 degrés, température insuffisante pour la destruction de tous les germes. Apiès le raffinage, le sel est conservé sans aucune piécaution d'aseptie aussi rerferme-t-il de 1000 a 3000 bactéries par gramme, avec en plus 100 a 200 moisissures. Le sel raffiné est done le plus asepti- que il Pest tout, a fait après stérilisatiori par la chaleur, mais, ainsi que nous le disions ci dessus, pour beaucoup' d'usa- gts on ne l'utilise pas. On lui préfère le sel gris ou sel brut, dans lequel on ren contre outre des détritus de toutes sortes, des bactéries et des moisissures. L'exami n bac'ériologique de seis gris de qualité ordinaire y a fait découvrir de 6000 a 76000 bactéries par gramme. On comprendra facilement qu'au point de vue de l'hygiène, la fabrication des salaisons et des conserves avec de pareils produits sont loin d'être sans inconvé- nients. D'après M. Grosseron, le remède a cet état de choses ïéside dans l'emploi exclu- sif du sel stérilisé parle chauffage i 130 a 140 degrés. M. Andouard propose même, au Con gres international de la répression des fraudes, de decider que le seul sel dont la vente soit autorisée pour les usages alimentaires est le sel raffiné, stérilisé et conservé aseptiquement. F. de Vineski Reproduction réservée).

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1913 | | pagina 4