GMO&IQÜE FPM&/SE Correspondance Questions a propos de Questions Concert Public Avis Kepos dominical flessines Dadizeele L'École Saint-Luc Beau succès des Pilules Pink te te te te xxxx> telleB véritables confectionnées en Belgique, doivent être vendues d l'étranger, car leur Teute en notre pays est insignifiante. Enfin, comme le iaisait justement remar- quer Monsieur le Président de la Chambre Syndicale des dentelles de Bruxelles, en 1911, la décadence de l'itdustrie dentellière date surtout du jour la fabrication mé- canique s'est substituée a la [fabrication ni&nuelle, imitant toules les belles den telles qui faisaient la gloire et la riches3e du pays Le problème réclame une longue réflexion; i) ne sera pas résolu en Toulant, d'une ma- nière factice, augmenter la rémunération du travail. 11 ne suffit pas de s'apitoyer sur le sort des ouvrières dignes, san» contests, du plus grand intérêt, et se borner a réclamer pour elle» une augmentation de salaires, Bans préciser les mesures pratiques a emp.oyer pour atteindre ce résultat. Signaler le mal, c'est peut-êlre un bien, mais indiquer et justifierun remèdepratique durable et certain serait beaucoup mieux Qardons-nous surtout de toute espèce de surenobère. Evitons de citer a titre d'exem- plet, des salaires qui ne sont souvent que la rémunération d'une main d oeuvre médiocre, exemples non contrölés d'ailleurs par les employeurs et qui ne sont que des excep tions et non des généralités. Répétons aussi, paree que c'est l'exacte vérité le salaire des dentellières beiges, #aul' dans certains cas spéciaux qu'il faut signaler, ne pourra être amélioré, comme c'est le désir de teus les gens de cceur (et comme c'est en même temps l'intérêt supé rieur d'une industrie nationale) que si la vente des dentelles cenfectionnées en Belgi que prend de plus grandes proportions, si la concurrence étrangère si intense se modère ou que les pays producteurs augmentent en rnême temps qu'en Belgique le Balaire de leurs ouTriers ou ouvrières a domicile, Personne ne pourrait d'ailleurs sérieuse- ment nier qu'en ces dernières années et d'une manière générale, le salaire des den tellière» a éli sensiblement augmenté. Au sujet de la concurrence visée plus haut, citons des faits La France a déja pris pied en Belgique. Elle y vend la dentelle dit Cluny dans les principales maisons de lingerie fine de Bruxelles et dans des villes de province. D'autre part, on confectionne plus écono- miquement qu'en notre pays, dans le Cal vados el la Haute-Loire (France) grace a une main d'oeuvre habile, la dentelle favorite de Turnhout dite Point de Paris et tres prochainement cette dentelle fait en France sera vendue en Belgique, au grand détriment de no» ouvrières campinoises Ce n'est pas tout, malbeureusement 1 La dentelle dite Valenciennes qui, du- runt des sièclcs a fait la réputation de nos Flandres est a la veille de se voir supplantée par la Valenciennrs confectionne'e par nes voisins du Sud. Enfin, ces derniers se préparent et ils ne le cachent pas, a venir vendre dans notre pays leg dentelles de divers genres faiies en France et qui peuvent êire vendues a des prix infé rieurs aux nótres Que ceux qui doutent encore de la réalité de ces fails aillent «'informer a Paris, oü cbaque jour des efforts, secondés par les pouvoirs publics, tendent i i'amélioraiion de la main-d'oeuvre et a la variété et a la beauté des dessins. Ajoutons que les dentelles dites Cluny et Torchon se font aux Indes et en Chine, la surtout ou la main d'oeuvre s'obtieut dans des conditions exceptionrelles de bon mar- ché 1 Voila qui n'est pas rassurant pour l'avenir de la dentelle en Belgique Nos concurrents francais ne sont guère mieux partagés. II suffirade dire ici, que dans la seule region de Luxeuil oü l'on confectionnait pour des millions de francs une dentelle spéciale, exporlée en Amérique, la vente a presque cessé, le Japon s'étant emparé du marché en Amérique a cause de la modicité de ses prix de vente Aujoutons que Ion forme au Brésil un noyau d'ouviières et qu'il s'y est créé une Ecole dentellière ave le concours de l'Etat C'est pourquoi il convient de ne pas ca- cher la vérité, afin que les intéressés avisent, sans tarder, aux mesures a prendre pour conjurer le danger. Chose étrange il existe en notre pays des gens bien intentionnés sans doute qui, sans s'inquiéter de la nécessité absolue et si évi dente du perfectionnement de la main- d'oeuvre, de la creation de dessins nouveaux et des effets désastreux dérivant de la con currence étrangère et de la fabrication mé- caniquedes dentelleschoisissent le moment de crise actuelle pour se berner a réclamer une meilleure rémunération du travail Avouons que le moment est fort mal choi- si... Si ce mouvement continue, ce sera la rapide destruction de nos régions dentellieres si menacées et la ruine fatale dun industrie nationale! Et alors, que deviendront nos ouvrières dentellières I A.. P- Nous itcevons du Collége Echeviual de Kemmel la lettre suivante A Monsieur ïéditeur du Journal d' Ypres Ypres. Le compte-rendu de la séance du Conseil communal d'Ypres, publiédans votre numé ro du Samedi 6 Septembre 1913, contient, concernant le projet de construclion d'une ligne vicinale d'Ypres-Bailleul-Poperinghe- Kemmel,des affirmations denature a induire le public en erreur a l'égard de l'adminis- tration communale de Kemmel. Monsieur le Bourgmestre d'Ypres fait de la réunion tenue par les délégués des com munes intéressées le Samedi 30 Aout der nier, un rapport concis mais exact. Cette réunion a eu un caractère de parfaite cour toisie et c'est du consentcment et a la satis faction ur amines qu'il a été décidé de renoncer a la construction de l'embranche- ment Pope ringhe-Kemmel. M. l'Echevin Eraeijs de Veubeke attribue a l'abstention de Poperinghe et de K«mmel uu caractère désobligeant et regrette de n'avoir pu éclairer ces communes sur leurs véritables intéréts. Nous pensons que si la ville de Pope ringhe u pris une décision, elle l'a fait en connaissanco de cause. Pour ce qui neus coccerne, c'est le rapport de la Société Na tionale qui a dicté notie ligne de conduite, et si le besoin de lumière se faisait sentir ce n'est pas, pensons-nous, le Conseil communal de Kemmel qui devrait être éclairé. Nous n'en voulons d'autre preuve que la conclu sion du rapport de la Société Nationale qui établit que de toute fagon (malgré une éva- luation des recettes éventuelles trop opti- miste) le résultat financier de cette ligne se chiffrerait pour le capital de construction par un déficit annuel minimum de 35000 fr. L'intérêt de la commune de Kemmel dans cette entreprise est trop minime pour juBti- fier pareille charge, sans compter que Sex ploitation de la ligne exigerait de nouveaux sacrifices. Nou» n'aurions donné aucune publicité ce rapport si votre compte-rendu De nous y avait forcL Nous vour prions de bien vouloir inséror dans votre plus prochain numéro, la rectifi cation ci-dessus et nous vous présc tons nos salutations. Les Bourgmestre et Echevins de Kemmel, (s) Bruneel de Montpellier. Le Secrétaire, (8) J. Mallisse. Nous avouons ne point comprendre le motif qui a poussé nos correspondants a nous adresser la lettre insérée ci-dessu9 et 1- mécontentc-menf qu'ils semblent nous té- moigner. En quoi leur avons-r.ous manqué d'é- gards Qael tort leur avmis-nous cam Avoes nous mérité leur blame paree que nous avons donné un couapte-rendu d'une délibération, du censeil communal d'Ypres, relative a la ligne Y pres Bailleul-P operinghe- Kemmel, qui parait, nous ne savons pour quoi, leur être désagréable Nous n'avons fait en cela que remplir un d voir de uotre mission. A personne n'arrive la pensée de repro- cher a un journal de reproduire sansaucuu commentaire des paroles prononcées dans une assemblée délibérante par l'un de ses membres. C'est nous au contraire qui pourrions nous montrei' peu satisfaits des tetmes em ployés par n js correspondants. Si quelqu'un nous fait remarquer que nous n'avons pas dans telle ou telle circon stance rapperté d'une facon fidéle ses paro les, que nous avons mal compris sa pensée, nous sommes toujours disposés a rectifier ce que nous avons écrit et a lui faire amende honorable mais nous n'aimons pas beau coup de nous entendre reprocher d'avoir publié un compte-rendu coutenantd b affir mations de nature k induire le public en erreur a l'égard de n'importe quelle person ae ou administiation. Ceci dit pour notre justification peison- nelle, nous ne voyons pas en quoi l'inter- vention dans la discussion d'un membre du Collége écheviuale d'Ypres ait pu naéconten- ter 1'Administration communale de Kemmel. Nous avons lu et relu les paroles qui ont éié prononcée» en la séance du 30 Aout et nous devons reconnattre qu'elles n'avaieut nulle- ment pour but d'attiibuer a l'abstention de l'operinghe et de Kemmel un caractère dés obligeant. Pas un mot ne mérite le qualifi- catif employé dans la lettre. Paree qu'une personne trouve regrettable une décision prise alors que l'autre k consi ders comme excellente va-t-on prétendre que la première a été désobügeaute pour ia seconde! Paree que quelqu'un regrette de n'avoir pas pu essayer de rallier des parti sans a son idéé, qu'il estime être la bonne et la plus profitable, doit-on conclure qu'il a manqué d'égards vis a vis de ceux qui ne partageaient pas sa manière de voir L'Administration communale de Kemmel n'a pas pris a !a légère, nous n'en doutoas pas, la décision de s'abstenir de toute parti cipation a la nouvelle ligne son refus a été inspiré par la sauvegarde des intéréts de ses admiuistrés. Nous ne voulons pour le moment ui ap- prouver ni critiquer cette décision mais nons nous pe; mettons de faire remarquer a nos correspondants que deux opinions trés sen- sées peuvent être émises sur un rnême objet sans qu'elles soient désobligeantes pour leurs partisans. Nous avons bien volontiers donné satis faction a nos correspondants en pubüant leur lettre, car nous sommes persuadés qu'olle a été uniquement écrite dars le des- sein d'empêcher quq le public ffit induit en erreur a l'égard de l'Administration commu nale de Kemmel par notre compte-rendu. \Y\ Le député libéral pour Ypres questionne il a questionné, il questiounera. Qui a bu, boira. De quoi mster fidéle a sa manie de questionner une manie déja vieille chez Mons1' Nolf maigté la perpétuité de sa jeu- nesse et la fralcbeur de son enthousiasme. Done parmi uue foule d'autres questions sur le régime scolaire Monsieur Nolf a demau- dé ce que coutent toutes les écoles ducauton d'Ypres a l'Etat, a la province, aux commu nes, aux bureau de bier.faisanc-'. Et puis laugant uu regard d'aigle dan3 l'avenir, il a demaudé a connaitre les charges scolaires pour les écoles d'Ypres, de Watou et de Wytschaete sous le régime de la future loi scolaire. La réponse a ces questions co: stitue un immense tableau; jusqu'ici l'orgaae de Mon sieur Nolf a manqué de place ou de lypo- graphes pour le publier Admirons en passant le zèle du député pour les questions scolaires. Serail-il done Bi bien persuadé que i'enseignemect est une affaire capifalo a laquelle aucun citoyen, qu'il soit simple paiticulier au homme pu blic, ne peut rrster indifférest Admirous encore ie soucis de Monsieur Nolf pour les établissements officiels de struction. Nos adveisairos n'oat ils pas depuis long- temps pris l'babitude eux les athées ou les neut res— de considérer les écoles offi- ciell s comme leur terre conquise Admirons enfin l'ir.f ërêt teut spécial qu'ils uiettfciit eux les tons piutues a savoir combi en il sortira de la poche de tous les contrtbuabks pour leurs éroles. Ab les bons apotres Seuls les catholi- ques devraient se désintéresser des affaires scolaires et acepter hóevu'en,ent comme satisfaisantes des écoles que les libéraux dé- feudent comuie la prunelle de leurs yeux. lieureusement noui avena nos prêlies et nos évêqucs en première ligne Monsei gneur i'évêque de Brrg -s qui nous disent que la première des oeuvre? est l'enseigne- ment libre et catholique. Si ses coliègUvS en legislature n'ont pas jusqu'ici po:é autant cle questions que Mon- seur Nolf, leur tour vieudta. Ils ont eBtimé qu a Paques cu a la Trinité la Chambre et le Sécat avaient un ordre du jour suichargé et que 163 chaleurs caniculaires assommaient les bureaux mini térieis et autres. Une tois que la bise marine ou lts altitu des de la montagne au: ont ramené les forces a la hauteur des courages, Mousieur Nolf verra bien que nos maudataires catholiqutB ont dans Kur vaii-e une série de questions au rnoius aussi pertiuentes que les siennes. En attendant si le député-quis ionnaire désire occuper ses loiairs de vacances et 8i- roter quelques questions, nous lui en offrons modestemeut quelques unes. 1. Combien de communes il y a-t-il dans la Plandre Occidentale qui out une école gardienne communale exciusivement payan- te Ges communes sont elles le moins du monde tenues a avoir des éco es gardiennes coinmunales payautes f 2. Abstraction faite des bailments et de leur entretien, combien de milliers de francs ets écoles gardiennes coutent elles a la vitle d'Ypres? 3. Qui paye leg fourni'ures classiquts de la population payante des écoles gardien- nee I 4. LeB fraia de ces feurnitures classiquea ne dépassent ils pas ie chiffre élab'i comme maximum pour les écoles primairea 5. l'uisquo toutes les écoles gardiennes communales a Ypres sont payantes pout quoi faut-il deux locaux différents, di ux traitements de directrice et parullélement en double les gens de service et les autres irais C. A quel chiffre monte le budget de l'éco le ménagère communale Sur ce chiffre quelle est la part qui in- combe a la ville 7. Etant donné le nombre d'élèves de cette école a combien x'evieEt cheque éiève Combien cbaque élève y payo t-eile De combien de personnes s'y compose le personnel enseignant 8. Etant donné que pendant la dernière ancée scolaire il y avait a 1 école moyenne moins de 60 élèves daas la section moyenne et plus de 175 élèves dans la section primai re, cette école ne pouriait elles pas sappeler une école primaire de contrebande 9 LeB prescriptions des arrêtes royaux sur l'age d'admission a l'école moyenne sont elles toujours exactement observées f Even- tuellement, la negligence de ces prescrip- t:on? n'exposerait-elle pas certaines persoc- nes a des peines disciplinaires 10. Toutes les dispenses d'age accordées f n vue de l'admission a l'école moyenne se justifient-elles 1 11. Combien d'élèves de l'écttle moyenne jouissent-ils de la gratuite facultative totale ou partielle? 12. Des largesses analogues avec les de niers de tous les coi-tribuables se justifient- elles autrement que par des visées politi- ques Si Monsieur Nolf trouve ces questions dignes de ses labeurs pai lementaires ou extra parlementaires qu'il les pose selon son habitude de queatiouneur oü et quand il voudra. Si au contraire il les de- dvigne, qu'il attende mieux. Nous attendrons avec lui. M Katholieke Wacht Dimanche 14 Septembre 1913, a 8 heures du soir réunion au Volkshuis. Le dimanche 14 septembre, a midi, un concert sera donné sur le kiosque de la Grand'Place, par les Accerdéonistes d'Os- teade, sous la direction de M. Bogaert. PROGRAMME 1. Marche Flamands-Wallons J. Fremaut. 2. Ouverture. Confidences. 3. Gavotte. Gentil Minois. 4. Fantaisie Mosaïque sur l'opéra Stradella 5. Mazurka Feux-Follels 6. Polka. 'Jcunesse Un emploi d'élève, télégrapbiste masculin est a conlérer a la perception des télégra- pbes d'Ypres. Traitement initial 750 lr. porté a 850 fr. après uu an d'essai. Les postulants doivent être agés de 15 ans au moins et ne pas avoir dépassé 18 ans a la date du 30 Septembie. lis peuvent avec l'acquiescement des pè.e et mère ou du tuteur légal, habittr che\ des parents ascendantsoncles, tantes, frères ou soeursoffraot toutes les garanties desi rables honorabüité. Les demandes Bont adressées a Monsieur le Ministre de la Marine des postes et dts télégrapiies. Oeiies qui parvienneiit après ie 20 septembre ne serunt pas aceueiiiie». Après deux ans de bons services, les élè ves télépraphistes peuvent être admis a par- ticiper au coscoui» de promotion a l'emploi de commis d'orare des té.égraphes. Pour renseignem3ut8 s'adresser ii M. le percepteur des Télégraphes a Ypre» PHARMACIEN DE SERVICE Dimanche 14 Sept. igi3 L. AERTSENS, maiché au Beurre, q. W\ La Neuvaine Solennelle en l'honneur de Notre-Dame de Messines. A partir du 14 septembre jusqu'au 22 in- clusivement, aura lieu la neuvaine solennelle en l'honneur de Notre-Dame de Messines a la chapelle de l'lnstitution Royale. Tous les jours, a 8 heures, messe solen nelle a l'autel de Notre-Dame de Messines et a 5 h. du soir, salut solennel. Le premier jour de la neuvaine coincide avec lalête de l'Exaltation de la Sainte Croix, paree qu'elie doit sou origine a la procession instituée dès la fundauon de l'abbaye en l'honneur de la Rclique dc la Vraie Croix, que la princesse Adèle, fondatrice de l'Ab- baye de Messines, rccut du patriarche de Jérusalem, son parent nommé Guillaume. U. VanPcrck. A. Decoster. Kessels. Lobman'. Mouque. La Neuvaine en l'honneur de la Sainte Vterge La célèbre neuvaine en l'honneur de No tre Dame de Dadizeele qui s'est ouverte Lundi dernier se poursuit toujours aussi suivie que les années précédentes. Comme chaque année Mgr Waffelaert, évêque de Bruges, s'est reniu Mercredi a Dadizeele pour présider le Congrès des Con férences de Saint Vincent de Paul de la Pro vince, Autour de Sa Grandeur étaient groupés M. le Baron de Béthune, président général des Conférences, Capelle sénateur, van Mer- ris, député, le Chanoine De Brouwer, doyen d'Ypres, l'abbé Dupan, doyen de Menin, Verharghe, député permanent, etc. j Plusieurs rapports ont été lus et discutés au cours de la réunion. P A 10 heures et demie a eu lieu la grand' f messe; M.i'abbe Lagace, curé de Ledeghem, officiait, assisté de HM. les abbés Borre, vi- caire de Saint-Joseph, a Menin et Verhaeghe t professeur au collége de Menin. Les chants ont été interprélés par un grou- pe choral de Roulers, sous la direction de M. l'abbé Dumez, professeur au séminaire de cette ville. L'orgue était tenue par M. Louis Vanhoutte, organiste a Ypres. La grand'messe a été suivie de la grande procession. Le Saint Sacr- ment était porté par M. l'abbé Dupan, doyen de Menin. Der rière le dais marchaient de nombreuses auto rités civil.s et religieuses La cérémonie s'est terminée un peu après midi. Le soir, a 4 heures et demie, a été chanté le salut solennel. WS. Nous nous permettons de signaler quel ques lignes paruas dans une cbronique du dernier numéro du Home (31 aeüt). Le Home u'est pas une publication cléri- cale. Elle ne s'occupe pas de politique, mais elle est dirigée par des hommes qui ne sont pas de nos amis politiques et l'appréciation qu'ils portent sur l'Ecola Saint-Luc ne peut certes être su-spectée d'aucun parti pris. Voici ce que nous lisocs a la page 228 de cette revue InconteRtablement. le geüt de nos déco rateurs d'iatérieurs s'est épuré et affiné de puis quelques lustres. Nous devons ce pro- grès d'abord a rembellissement de l'ambian- ce, a la vulgarisation des sciences d'applica- tion, a l influence des écoles d'art, notam- ment de VEcole Saint-Luc, méconmie enco re par certainsesthètes plus cfflciels que compétents, et aussi au mouvement d'opinion des classes dirigeaates et aisées, auxquelles l'augmentation du bien-être a permis de réaliser, dans la paix, des aspirations plus élevées. Get hommage n'est pas seulement Biguifi- catif, il est parfaiternentjustifié. Ce que le Home dit des artisans d'art en ameublement de Saint Luc est l'évidence même. La restauration de 1'ameublament leur doit beaucoup. Mm« M. G. Struikman, demeurant a la Haye, Koningsholje, 55. écrit 'WW -<x «Les Pilules Pink m'ontguérie d'uneanémie qui me rninait. Ma maladie avait débuté par la pet te de l'apt étit, par la faiblesse et mes diges tions, autrefois si bonnes, étaient devonnes lrngues et pénibles Je me nourrissais mal et mon affaibliRsement devenatt chaque jour plus grand.J 'éiais toujours oppressée et fréquemment sujette des vertiges, des éblouissements, des migraines II me semblait que je n'avais plus de sang dans les veines et j'avais toujours froid. Après avoir essayé plusieurs traitements sans succès, je me suis décidée a prendre les Pilules Pink. Vos pilules m'ont fait beacoup de bien et, en quelques semaines, j'ai été complètement guérie. Depuis que j'ai suivi ce traitement je n'ai pas cessé de me bien porter Sous une forme eondonsée les Pilules Pink. contiennent tous les éléments nécessaires pour donner une nouvelle vie, une nouvelle richesse au sang et pour tonilier les nerfs. Elles sont le spéciflque infaillible contre l'anémie,la chlorose, la faiblesse générale. Les effets des Pilules Pink sont prompts et certains Elles obtienneut des résultals remarquables même dans les cas oü la maladio a 10s slé a tous les traitements. Les Pilules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépötpharmacie Derneville, tiö, boulevard de Waterloo, Bruxelles3 fr. 60 la holte 17 fr. 50 les six boites, franco. Dépots k Ypres C. Libotte, Marche au Beurre, 31F, Van Windekens, rue de Lille. '«O ANN

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1913 | | pagina 2