m Téléphone 52 Samedi 8 Novembre 1913 le N° 10 centimes 48e Année N° 4809 Téléplione 52 Agonie de floine La riaison Paternelie Le Purgatoire La Commémoration des Morts lï étalt une petite marine... A travers la Presse La Charnbre 4," -,-v t vw On s'abonne rue au Beurre, 36, k Ypres, et k ious les bureaux de post© du Le Journal d'Ypres parait une fois par semaine. Le prix de l'abonnement, payable par anticipation, est de 3 fr. 50 C. par an pour tout le pays pour l'étranger le port en sus. Les abonnements sont d'un an et se régularisent fin Décembre. Toutes les communications doivent être adressées franco de port a l'adresse ci-dessus. royautfii®. Les annonces coütent 15 centimes la ligne. Les réclames dans le corps du journal $0 oentteea la ligne. - Les insertions judicaires, 1 franc la ligne. Les numéros supplément®kes cöüt®tó 10 francs les cent exemplaires. Pour les annonces de France et de Belgique (exceptè les deux Flandres) s'adresser TAgSfë&i Havas, Bruxelles, rue d'Argent, 34, et a Paris, 8, Place de la Bourse. Faites miséricorde au vieux moine qui meurt. Et recevez son time, entre vos mains, Seigneur Quand ses maux lui crieront que sa course en ce monde Est prés de terminer son orbe vagabonde Quand ses regards vitreus, obscurcis et troubles Enverront leurs adieux vers les cieux étoilés Quand se rencontrera, dans les affres de iièvres, Une dernier fois, votre nom sur seslèvres... Quand on lui donnera pour suprème amnistie, Pour lampe de voyage et pour soleil, l'hostie... Quand on le descendra, sitót la nuit tombée Parmi les anciens morts qui dorment sous l'herbée, Quand l'oublie prompt sera sur sa fosse agiafé, Comme un fermoir de fcr sur un livre étouffé Faites miséricorde a son humble mémoire. Seigneur, et que son time ait place en votre gloire Emile VERBAEREN. ritablement] volontaire ;»entre"autres passages remarquables, [on cite celui de Louis de Grenade, qui procura une grande consolation a Philippe II dans sa^ dernière maladie. (Leibnitz, Système the'ologique, VI, Le Pur- gatoire). secours des fidèles trespassés Nelaissons pas passer ce jour du souvenir et deü la prière dans des preoccupations oü se perd lajmé- moire des morts. Père Félix. -vV^ La pendule, ou l'aiguille avance, lmplacablement son compas, Semble nous chuchoter tout bas Ce qu'elle sail de notrc enfance lei, e'est le papier fleuri, Dont, ces jours de fièvre moroses, Nous comptions les guirlandes roses D'un long regard endolori Rien n'a changeles glacés seules Sont tristes d'avoir recueilli Le visage un peu plus vieilli Des mélancoliques aïeules... 0 sainte maison paternelie, Qui done pourrait vous oublier, Logis ou dort notre ime en cendre, Surtout quand on a vu descendre Des cercueils chers sur l'escalier Georges RODENBACB. En cette octave dc la Commémoration des Morts nous crayons que bon nombre de nos lecteurs liront avec un religieux intérêt les considération qu'un illustre philosophe pro testant, Leibnitz, a émises sur la nature des prières pour les défunts. C'est un sentiment trés ancien dans l'Eglise qu'il faut prier pour les morts, que nos prières les soulagent, enfin que ceux qui ont quitté cette vie, bien que recus en grkce par Dieu, en vertu des mérites de Jésus-Christ, bien que la peine éterneüe leus ait été remise, et qu'ils soient aussi devenus héritiers de la vie éternelle, n'en subissent pas moins encore pour leurs péchés quelque chatiment paternel ou purification, surtout s'ils n'ont pas, dans cette. vie, assez lavé la tache de leurs fautes. C'est it cette doctrine que lesuns ont appliqué ces paroles du Christ, qu'il faut tout payer, jusqu'd la dernière obole, et que ton te chair sera salée par le feu les autres, le passage oü saint Paul parle de ceux, qui sur le fonde ment ont édifié du bois, du foin, de la paille, et qui seront sauvés comme par le feu d'autres encore, le texte, 011 il est question du baplême pour les morts. Les saints Pères varientsur le mode de cette purification les uns ont pensé que pendant un certain temps, les ames e'taient retenues dans un lieu oü elles se purifiiaient d'autres ont fait consister le chatiment dans un feu corporel, quelques- uns dans le feu de la tribulation saint Augustin penchait vers ce dernier sentiment. 11 en est qui ont penié que ce feu purifica- teur est le même que celui de la Gébenne d'autres l'en ont distingué. Quoi qu'il en soit, presque tous s'accordent a reconnaitre, après cette vie, un ch&timent paternel, ou une purification quelle qu'elle soit, lesSmes elles-mêmcs, éclairées au sor- tir de leur corps, et touchées d'une extréme tristesse a la vue des imperfections de leur vie passée et de la laideur du péché, ï'imposent volontiers cette peine, et ne voudraient pas, avant de l'avoir subie, arriver au bonheur su prème. Beaucoup d'hommes illustres ont en effet déclaré que cette affliction purificatrice de l'ame qui repasse toutes ces actions est vé- La dévotion envers les morts n'est pas seulement l'expression d'un dogme et la manifestation d'une croyance, c'est un char me de la vie, une consolation du coeuret, de tous les retranchements quej'le'protestan tisme a fait subir a l'iniégrité de la doctrine et du culte catholique, le plus étonnant et le plus inconcevable est sans contredii celui Tous connaissent la chanson du petit navire qui n'avait jamais navigué mais pas un ne connait le petit navire. Ne désespérez pas, car bientöt vous en découvrirez uq de ce genre. Vous savez, je suppose, qu'on veut nous doter d'une marine de guerre, oui, rien que cela. On n'est pas avare en Belgique, surtout quaad on ne paye qui, en supprimant la prière et Ie sacrifice pas soi-même, car, sachez-le, ce n'est pas le pour les fidèles trépassés, brise ce commerce j gouvernement qui veut une marine, non, j sacré qui nous unit encore, après leur mort, f c'est quolqu'un qui jest tout autre chose a ceux que nous avons aime's pendant leur qu'un gouvernement. vie. I D'aucuns en veulent par esprit militaire, j On dirait que la religion prétendue réfor- d'autres y découvrent ua moyen d'augmen- j mée a voulu montrer, par "cette froide réfor- f fe? notre prestige.' Une marine de guerre j mé, qu'elle n'est pas la religion qu'invoque f pousse nécessairement a faire des revues notre coeur. Qu'y a-t-il, en effet, de plus suave au coeur que ce culte pitux'qui nous rattacbe a la mémoire et aux souffrances des morts Croire a l'efficacité de la prière et des bonnes j oeuvres pour le soulagement de ceux que Ton a perdus croire, quand on lesjpleure, que j ces larmes versées sur eux peuvent encore s leur être secourables; croire enfia que, même dansce monde invisible qu'ils habitant,;"otre j amour pcut encore les visiter par ses bien- j faits quelle douce,quelle aimable croyance Et dans cette croyance, quelle consolation j pour ceux qui ont vu la mort entrer sous leur toil, et frapper tout prés de leur cceur jj Ce mélange de la religion et de la douleur, de la prière et de l'amour, a je ne sais quoi d'exquis et d'attendrissant touten -emble la foi, l'espérance et la charilé nese rencontrent jamais mieux pour honorcr Dieu en conso lant les hommes, et mettre dans le soulage ment des morts la consolation des vivants Ce charme si doux, que nous trouvons dans notre commerce fraternel avec les morts, combien il devient plus doux encore lorsque nous venons a nous persuader que Dieu, sans doute, ne laisse pas ces chers défunts tout a fait ignorants du bien que nous leur faisons Qui ne s'est dit, en essuyant ses larmes pres du cercueil d'un parent ou d'un ami perdu Si, du moins, il pouvait m'enten- drc I Lorsque mon coeur offre pour lui, avec des larmes, la prière et le sacrifice, si j'étais iQr qu'il le sait, et que son amour consiprend navales, a recevoir des chefs d'Etat sur mar avant da les recevoir sur tarra. Pour ces démonstrafions Ie plu3 d éulat 'et le plus d'appaiat possibles sont exigés afin de forger Tadmiration d'un chacun t de faire clamer par tous Pelgique, combien ta (lotte était belle, Au brillant soleil, inondant ton port, C'étaient des vaisseaux domptables et frêles, Sans reins d'acier, mais valant beaucoup d'or. Ja m'explique. Si fiotte il y a, ne vous sttendez pas a voir des dreadnoughts cra- chant le souffle et la flamme, noircissant de leur bave suffocante notre ciel calme noo, il ne s'agit pas de ce'a la Belgique étaut petite, il tie faut pas faire grand, et puis le Beige se distingue par son goüt de lamiddfi- maat», c'est pourquoi notre flotte ne com- prendra que de petita elements, chose sans incocvénient, vu que beaucoup de petits font un grand. Je suppose eu effet que les pro- moteurs du projet n'oat pas cru possible financièrement, de nous donner ou de nous faire donner une flotte de dreadnoughts toute !a fortune du paysy passerait. Alors... eh bieD, alors, il n'y a p us que de trois solutions accepfables. La lre hypotbèse serait de construire ua seul dreadnought, dans la 2d« on ferait un grand dreadnought qui se divis^rait eu plu- sieurs petits vaisseaux de guerre selon que l'exigeraient les circonstances. Dans ia troi- sième hypotbèse pour avoir uae (flotte im mense et a bon prix on se contenterait de consultés, reculent devant la difficulté, aussi l'on fait appel k l'ingéniosité des inveuteurs. La 3me bypothèse ne gagne pas a être vue j de trés prés, maisjune fois qu'elle sera réali- l eée elle gagnera encore beaucoup plus a être vue de trés loin... de fort loin afin de donner le mieux possible l'illusion d'une flotte il s'agira de placer toutes ces barques tout a 1'horizon au tournarit du monde. Voila les solutions.A laquello s'arrêtera- t-oiif Ja n'en'sais rien. Mais il est encore une question importants a traiter avant defiair, c'est celle des exer- cices de tir. Comme nous ne disposons pas de mars sans hornes et que nosjjobus risque- raient de faire invasion dans d'autres con- trées, quand ii s'agira de trouver une cible des meiileurset des plus originales, il suffira d'envoycr nos cuirassés jusqu'a Bruxelles port de mer. Le jour oü l'arrangement pro visoire du Mont des Arts devra faire place k Tan-augment défioitif, notre flotte aura de quoi s'en donner a pleins... bvulets pour collaborer a cette oeuvre] de destruction prélude d'une renaissancejavtistique et enfin obtecue. Mais comme d'ii-i lk nos canons auraient tout le temps de se couvrir d'une rouilla peu glorieuse, en attendant eet heureux événement qu'on lour donne comme cible... l'horizon politique afin que les obus en dé- chirent les voiles et nous livrent les secrets de l'avenir... et aussi du présent. En torminant souhaitons que Messieurs les promoteuts du projet, a force de faire do Ia marine ne subissent pas do la part des geus sensés ua bain mariné forcé qui ferait passer leur caractère de la douceur la plus suave k l'aigre épicé. toujours le mien I O Dieu bon pour ceux qui J rassembler toutes les barques de pcchsur, pleurent, quel baume dans ma blessure 1 Quelle consolation dans ma douleur 1 L'Eglise, il est vrai, ne nous oblige pas a croire que nos frères trépassés savent, en effet, dans le purgatoire, ce que nous faisons pour eux sur la terre mais elle ne le défend pas non plus. Quoi qu'il cn soit, du reste, si les morts n'ont pas la connaissance présente de les gré?r en canonnières, et d'un bateau phare déf'endu par le Dulle Griete de Gand un peu retapé, on ferait le 7aissoau amiral. II n'y a que ces hypotbèses. Hors de ces solutions point de sa'ut, ou plutot point de flotte. La lre hypotbèse entraine de nombreux et distinctejdes prières et des bonnes oeuvres j désavantages. Quoiqu'elle ne parle que d'un que nous offrons a Dieu en leur faveur, ii est j seul dreadnought il faut s'attendre a en voir surgir un second peu après. II serait témé- raire, en effet, de mettre tout son espoir en qu certain qu'ils en ressentent les effets salutai- res, et cette ferme croyance ne suffit-elle pas a un amour qui veut se consoler de sa dou- i ua ssul dreadnought non pas que tout leur par un bienfait, et fe'eonder ses larmes j cat espoir ne puisse y entrer mais l'inex- par le sacrifice périenca aidant les essais démontrant et Qui done ne se sentirait heureux de pou- Tissue probable concluant, il est a supposer voir se rattacher par un lien de fraternels dé- que le ler dreadnought ne vivra que ce que vouements a une institution qui aurait pour vivent les roses, et qu'il faudra lui donner but spécial d'entretenir dans les ames la mé- j un successeur qu'a raison de l'expérience moire des morts, et d'en faire sortir pour j acquise on élèvera plus sigemsnt. Cepen- leurs souffrances un perpe'tuel secours j dant, plüt aux dieux que parents et cousins Chaque familie, il est vrai, compte au j dreadnoughts de la branche aDglaise ne moins chaque année un jour marqué pour le prennent pitié de ce rejeton seulet et perdu trépas, qui revient pendant quelque temps j et ne Tinvitent k regagner le foyer attces- raviver le souvenir des morts et provoquer la prière, en rcnouvelant les regrets. L'Eglise aussi a un solennel anniversaire, lejour de la Commémoration des Morts, oü elle appelle la chrétienneté toute entière au tral... car alors, vogue... le dreadnought. La seconde hypotbèse n'est pas des plus avantageuses malgré une certaine alliance, du pratique a Futile mais a ce qu'on dit certaiKis chantiers de constructions navales Fin d'exposition L'Exposition de Gand a fermé ses portes et la clóture doane lieu dans la presse a de nombreux commontaires. Oa s'accorde k re connaitre qu'elle fut un succès, mais il y a plus d'urj point noir au tableau. Au point de vue commercial, écrit le Bien Public», l'entreprisen'a pas répondu aux espérauces de tous ceux qui y avaient placé leu'S capitaux. La Vieille Flandre, ce joyau de reconstruction archéologique, a b aucoup souffert de n'être pas englobée dans le Pare, oü elle eQt sans doute fait meilleure figure et meilleur ofSce que les tri-tes baraques foraines oü gitaicDt les mon treurs d'attraclions, marchands do comosti bles et détaillants de tout gonre. L^s som mes, sou8crite8 par les actionnaires de de l'exposition, et les subsides des pouvoirs publics, ne suffiront pas a couvrir les dépen- ses. Ii y a eu, d'autre part, certaines fautes d'organisatiou, des patitesses aussi, notam- ment lorsqu'tl s'est agi de mettre en relief, l'art musical flamand. Notons encore les facheux procédés de quelques hoteliers, res taurateurs, chauffeurs de taxis, etc., qui, en rangonnant les étrangers au début, ont mis la foule en méfiance. La vérité oblige a dire que ces exactions furent très-généralemeut le fait de porsonnages étrangers a la villo, ©t même au pays et que ces personnages ont été eux-mêmes, tout les premiers, justement puais de leur cupidité. I! conviendrait de mentionner enfin, cer taines exhibitions artistiques. ou se disant telles, oü s'est affiché un coupable mépris de la décence publique. Le saui point noir qui a grossi a l'hori zon administratif, en même temps ques'afflr- mait Téclat de notre Exposition, c'est la perspective des charges nouvelles que la liquidation de cette vaste entreprise vaudra aux coutribuables. lis sont quinze mille a peine, les contribuab'.es gantois. Autant dire que, pour chacun d'eux, la quote-part ris que de se chiffrer par une somme respecta ble. C'est une des raisons, non la seule pour laquolle, en 1905, nous 1>ésitions a affronter les hasards d'une exposition uni- verselle. II nous paraissait plus s£tr, en même temps que plus profitable, de nous en tenir a une exposition nationale avec sec tions internationale8. On nous rendra cette justice, que, du jour oü la solution la plus audacieuse a prévalu, nous n'avons pas marchandé notre concoursD'aillaurs 1'a.journement de lhxposition qui avait d'abord été réclamé pour 1908 la royale subvention du gouvernement, et enfin, la participation éiogieuse at inespérée de la France, qui a entraiué toutes les autres.jtout cela réduisait au minimum, Talea de Tinitia- tive. Si la liquidation finale menace de peser lourdement sur nos finances, consolons-nous par la peoséo que nous avons du moins sauvé Thonneur^et flattoas-nous que Telfort de ces dernières années restituera a notre vtlle s-n rang et ses perspectives d'avenir. D'autre partle Matin d'Anvers, p&rti- culièrement intéressé a la question, puisque lea Anversois réclament une exposition on 1920, émet ces considerations pessimistes II faut en conclure ceci d'abord c'est que le succès moral dè ces grandes entreprises peut être indépendant de leur exploitation, propremsnt dite bien que le premier se soit affirmé iodéniablement, il peut arriver que la seconde abouiisse k uo résultat pat- foie dóaastreux. La liquidation sera malaisée, péaible, elle laissera un passif qui retombera proba- biement k charge de la ville ou du gouverne ment voilü tout. La cause?.., demandera-t- on... Elle remonte en partie saus doute aux raisons auxquelles ont touché discrèiement certains orateurs tels quo .M. le ministie d'Etat Cooreman et M. le bourgmestre Braun dans leurs discours lors de la fête des recompenses. I! est capeadant un autre écueil, qu'il sera difficile a celles-ci d'éviter, d'autant plus quele danger ne fera que croitra avec le tamps et il s'agit moias ici de raisons que des sentiments, d'un sentimeet resultant de la fréquence des expositions la lassitude. En fait d'expobitions uuiverselies le public en a assez, ot Tindustrie pour ne citer qu'elle, demande grace... A Gand, les étrangers ne sont pas venus. Les préparatifs faits pour les recevoir ont été inutües et les hotels construits exprès a le ur inten tioii sont restés videsD'autre part ,1e pays n'a pas donné Or, on ne fait pas marcher une exposition avec des abonne ments d'ouvriers et des visiteurs qui recu lent devant una dépense de cinquante centi- me8 encore moins quaud les circonstar- ces ont été telles qu'il a fallu, pour obtenir le concours de certaines industries étrargè- res, leur assurer la gratuité ou la semi- gratuité desj emplacements. Mais pour en revenir aux visiteurs, remarquons que le public a notre époque e6t blasé sur tout et extraordinairement mobile B'il consent faire halte quelque part, c'est plutöt dans les endroits qui réunissent les plaisirs aux agréments de la nature, k la campagne, a la mer, que daus les expositions Celles-ci sont si rapprochécs dans notre pays surtout, qu'elles n'ont plus pour lui Tattrait du l'imprévu il sait d'avance ce qu'il y verra, le cinéma contricue d'ailleurs a le tenir au courant du progrès moderue, il se dit C'est toujoure la même chose et... il passe outre. V V\ Jeudi 3o Octobre M. Ilarmignie (catliOu n'a apportó aucun argument de droit sérieux a Tappui de la thèse de rincoustitutionnalité des sub sides a Tenseignemeatnous avons d'autre part en' notre faveur un argument de fait extrêmement puissant, qui nous est fourni par nos adversaires eux-mêmes partout oü r~ I I u jrY -s* ~.y», r*-> »py«jw JOURNAL D'YPRES ©rgane Catholique cle FRrrondissement V\A- nl mi. ma». ii 1 L ii 11 i-v-\ a J 11 nn ri-x n L lni.nl, n 1 I /X 1 An rr 1' A AW OTt AO VI A W tv l O aAO il 11 V. L i.

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