emoMmuEfPRom uoïdfKectrNrvqu*'rei°tM- S.SS' Am.!S. Kijjsair- swi"8tdo""Micbei La !axe sur les nouveaux débits de boissons Nécrologie m m m La fête patronale du Roi Les étrangers a Ypres m Katholieke Wacht Muziekkring: m Garde civique Extension Lniversilaire Flamande Tlessines Warneton Voormezeele CHRONIQUE DE E A R R ONDISSEMEN T Comines Société de Husique de Tournai ils sont les inaitres, soit a la province, soit a la commune, ils votent des subsides au profit des écoles libres-penseurs, l'orphe- linat lationaliste do Forest, l'université libre de Bruxelks. Quant a la neutralifé, même strictement observée.elle ne peut convenir aux croyants. Elle est un l-.uire. Bien mieux, elle nest pas adinise de la n éme fagon par libéraux et socialistes, c ux ci déniact aux pouvoirs publics le droit d'incnlquer aux enfants qui fïéquenteiit ks écoles officielles l'amour de la patrie, le respect de la propriété et des bases fo damentalles de la société 1 M. Masson (lib préter d que le projet a pour but et aura pour consequence la destruction^ l'enseignement public. II vou- drait que les instituteurs et inBtitutrices d'écoles communales tussent tous formés dans les écoles normaks neutres. Mardi 4 Novembre M. Vandervelde prononco sur la question scolaire un grand discours qui occupe toute la séance: la gratuifé, Pobligation, le 4e degré, sont choses qui lui sont chères, mai8 il ne prut se résoudre a aucun compromis en ce qui concerne la la'icité. II commente longuement les statistiques fracgaises et beiges sur la criminalité pour t&eher de tirer cetto conclusion que la France, oü domine l'école neutre, a ure criminalité moins forte que la Belgique. II finit par critiquer certains manuels. Mereredi 5 Novembre M. Woeste, rapporteur. On nous avait annoncé que le öébufc se trausformerait bientöt en un tourbillon qui nous emporte- rait. Or, il est visible que l'oppositioa est sans enthousiasme etsans espoir. Pourquoi Farce que vous allez trop loin. Le parti liberal a subi une evolution pro- fondeckpuis 1857. Aujourd'hui il se dresse contre la religion et il a la pretention d'éta- blir pai'tout l'école neutre. La neutrali est impossible. Viviani n'a- t-il pas déclaré que l'école neutre n'avait jamais été qu'un mensonge diplomatique et qu'une tartuferie de circonstance pour en- dorrnier les inquiétudes des timoiés On a sigoalé ie nombre des délits qui se commettent en pays flamand. Nous savons que le peuple flamand a un tempérament hériditairement combatif et qu'on s'y livre malheureusement a beaucoup de rixes. Maïs pour juger de la moralité d'un peuple, il ne fant pasuniquementtenir comptedas délits. Pour appiécier le degré de moraüté, il faut considérer les adultères, les divorces, l8s suicides, les naissauces il égiiimes, les avortements et les pratiques anticonception- nelles. Or, a tous ces points de vue, te peu ple flamand occupe une place exceptionnel- le. (Trés bien d droite). En 1910, il y a eu 1,089 divorces, dont 872 dans le Brabant, le Hainaut et Liége, et 217 seulement dans les autres provinces. Dans les grandes villes seuies, il y a eu 360 divorces, le tiers du total pour tout le pays. En ce qui concerne les naissacces illégiti- mes, les statistiques sont aussi significati- ves. (Interruption d l'extréme gauche). La question se pose de savoir si les de niers publics re doivent pas contribuer a entretenir les écoles fibres aussi bien que les écoles pubfiques. M. Lorand, invoquant la liberie de la presse, faisait remarquer que les journanx n'étaient j as subsidiés par l'Etatmais il oublie qu'il n'y a pas de pres- se d'Etat, tandis qu'il y a des écoles d'Etat. Eu résumé, selon l'opposition, l'école neu tre est l'école nationale. Moi aussi je veux l'école nationale mais l'école nationale doit refléter la volonté des families, dont uu trés grand nombre réclament l'enseignement confessionnei. 11 b agit, dit-on, de donner de l'argent a l'Eglise et aux congregations. Mais pour qui les écoles sont-elles done ouvertes Est-ce pour le clergé O'est une t&che ingrate et difficile que celle qui consiste a débrouiller le coeur et le cerveau de nos enfants. C'est dans leur intéiêt et dans celui des familfis que les instituteurs travaillent. M. Hymans, dans une de ses interrup tions enfiévrées qui sont devenues des cris de guerre depuis le2 juin 1912 (ou rit), s'est écrié 1 Vous déchirez le pays Ah nous déchirons le pays, en vous ne le décbireriez pas en instaurant l'école neutre Ce serait la guerre que vous proclameriez et vous seriez vaincus. Interruptions a gauche). Alors même que votre victoire serait éphé- mere, car l'Eglise recommence toujours et nese lasse jamais. Nous n'avons qu'un butC'est de faire du bien aux ames des petits enfants, tandis que vous, vous voulez instituer une contre- Eglise dont l'école neutre serait le base. A cela, nous ne consentirons jamais I C'est la, l'expfication do toute not re attitude dans la question scolaire. (Trés bien Applaudisse- ments a droite). Pour M. Persoons (lib il y a le plus d'il- lettrés et la mortalité infantile est la plus forte la oü l'enseignement est confessionnei. quelle ont déja pris part MM. Vandervel e et Woeste, M. Hyicans, le leader de la gau che libérale prononce un discours de forme impeccable dans lequel il examine la ques tion de l'écoie confessionnelle. II résumé ainsi ia théorie libérale en mati re scolaire l'Etat a Tobligation de prendre soin de 1 en- seignement public. Mais dès l'instant oü eet enseignement pourra convenir a tous l'Etat aura fait son devoir. Et si des families désirent un ensei- gnement restreint a une confession religieuse qu'ils usent de la libaxté d'easeignement L'Etat a le devoir d'enseigner 1 Eglise a le droit d'enseigner. M. Hoijois rappelle les adbésions que MM. Flick, Edmond Picard et d'autres ont don- nées au principe de l'égalité tcolaire et il donne énumération des subsides accordés par les administrations libérales et socialis tes a des écoles ou institutions libres-pen- seurs ou socialistes. -v\A Du correspondent bruxellois du Bien Public Des modifications vont être apportées sous peu a la loi votée par le Parlement le 12 déceinbre dernier, et qui a créé une taxe sur les nouveaux débits de boissons. M. Levie a tenu, dans ce but a s'inspirer des voeux des intéressés. II a regu ces derniera jours, les délégués de la fédération des bras sy urs et de la iédération des cabaretiers. Ap;ès avoir entendu l'exposé de leurs desi derata resp: cfifs au sujet de la taxe d'ouver- ture des débits de boissons, il a promis d'examiner dans quelle mesure il serait possible de donner satisfaction aux divers intéréts en cause. Les résultats de cette étude se tvaduiront dans le projet du budget des voies et moyens pour 1914. A cette occasion, M. Levie pro posera au Parlement quelques dispositions intéressante» Conformément k la jurisprudence ac- tuelle, la qualité d'aneien débitant, exempt de la taxe d'ouverture, sera reconnue aux brasseurs, cerck s, associations particulières, etc pour les débits établis, avant le vote de la dite loi dans les locaux dont ils sont propriétaireB ou pritcipaux locataiies mais les tenanciers de ces cafés auront, pendant trois ans, le droit de s'installer, en exemption de la taxe, dans un autre débit. Ceux d'entre-eux qui auraient déja payé la D'autre part, tous les cabaretiers pour- ront transférer leur débit d'une commune dans une autre, même non limitrophe, sans payer la taxe ou en n'acquittant qu'un sup- lément si le taux de la taxe est plus élevé dans la nouvelle commune que dans l'an- cieune. j Enfin, la taxe ne sera pas due en cas d'apport d'un débit dans une société dont l'accien débitant ou ses syants droits feront partie ni dans le cas oü la société changerait de forme. Ces dispositions iospirées par l'équité, ne manqueront pas d'être favorafclement ac- cueillies par les nombreux intéressés Slootmans et reproduisant les principaux ponts de notre ville Même, s il nous souvient exactemenf, la maison Desclée avait, au'refois, présenté un projet d'affiche dece genre. Bien que ce tra vail fut parf it, des raisons d'e'conomie firent écarter le projet. Ce sont la pourtant des initiatives des plus heureuses. Pour amener les visiteurs source de prospérité pour le pays dans les vieilles villes flamandes, rien ne vaut l'appat qu'est la reproduction de leurs incomparables splendeurs. A ce point de vue, l'affiche qu'édite la ville d'Ypres mérite a celle ci les plus vives felici tations. Lundi ont eu lieu k neuf heures en l'église St-Jacques les funérailles du Capitaine d'in- fanterie retrailé Victor Caillet. Le deuil était conduit par le fils du défunt, accompagné du R. M. Ryckeboer, aumöaier militaire. Ou remarquait dans la nombreuse assemblée le Major Mabieu commandant lo batailion du 3me ligne, entouié de srs officiers et sous-officiers, et une importante délégation de l'Ecole d'Equitation. Au cimetière, le Major Mabieu pronoi gi l'éloge du défunt dans les termes suivants coïocidant le 26 novembre avec le jour anni- versaire de ia mort de la comtesse de Flan- dre, notre souverain qui s'appelle, on le sait, Albert Leopold, a decide de fixer sa fête patronale au i5 novembre, jour de la fête de Saint-Léopold. Un Te Deum solennel sera chanté en l'église collégiale de St-Martin. W. W. M Liste de souscription au profit des missions du R. P. Georges Seys, missionnaire en Chine. Ouverte par le Journal d' Ypres. Première liste Le Journal d'Ypres frs. 10 00 Mr et Mme C Ypres 5o.oo Anonyme, Ypres 3o 00 25.00 A la mémoire de mon père et de ma mère100.00 Anonyme100.00 M. C., Ypres 5.00 D. P. 5.00 Mr et Mme B20 00 Anonyme10.00 Mr et Mme D. 20.00 Mr l'abbé Soete directeur 1000 M'l'abbé Dugardyn vicaire 5.00 Anonyme1.00 o.5o En l'honneur de S Anne et deS. Hubert 2 00 Anonyme5.00 -A/W- Jeudi 6 Novembre Pour terminer cette joüte oratoire a la- Nous reproduisons ei dessous un article paru dans la Patrie de Bruges. Ypres est une ville remarquable par les restes d'un passé qui fut magnifique et, au I même titre que Bruges et Gand, mérite d'at- tirer l'étranger et de le rctenir. Pour ne rien citer d'autre, il est certain que sa merveil- leuse Grand'Place est un joyau des plus pur du moyen kge et que beaucoup de nos visi teurs seraient heureux de connaltre, après avoir communié dans les splendeurs du passé que leur offre Bruges. L'administration communale d'Ypres l'a compris a merveille, en faisant tous ses efforts pour amener jusqu'en ses murs la foule des étrangers qui, chaque été, vient au pays de Flandre recevoir l'impression grandiose des souvenirs encore vivants d'une époque dis- parue. Une de ses dernières initiatives vient de se traduire par 1 édilion d'une magnifique affiche dart due a M. L. Titz, le renornmé peintre bruxellois. Cette affiche donne neuf des vues les plus intéressante» de la ville la Grand'Place, les églises St-Jacques etSt-Pierre, la maison de bois, la maison des corporations, la maison Biebuyck, la halle aux viandes et les Rem- parts y donnent la note artistique et moyen- ageuse de leurs sites. C est la une excellente initiative a laquelle, nous en sommes sürs, viendra le succes. Faut-il rappeler quel accueil empressé recut a Bruges l'affichette édite'e par M. G. frs. 428.50 Les membres protecteurs et actifs sont icsfammcnt priés d'assisftr a lamesse so en- nelle qui sera chantée en Véglise St Jacques, Dimancbe 3 Novembre a 9 heures. et au banquet qui sera servi dans la grande salie du Volkshuis le même jour a 7.30 b. du soir. M M C'est aujourd'hui Dimanche 9 Novembre a 4 30 heures qu'a lieu en la salie des fêtes de la ville le grand concert organisé par le Muiiekkring sous la direction de M. Lucien Verhaegen. Nous avo s publié précédemment le pro gramma de ce concert. Lfis places peuvent être numérotées Di manche matiu de 11 h. a midi chez M. Noël Igodt, rue do !a Station. Tir du 6 Novembre. (50 cartons) 1. DethoorF. 25 10 25 15 25 100 2. Piutelon M. 20 15 20 15 25 95 3. Froidure R. 25 10 25 15 20 95 4. Gaimant A. 20 15 10 15 25 85 5. Bartier E. 25 15 10 15 20 85 6. Hamendt A. 20 10 25 15 15 85 7. GruwezA. 25 15 10 25 1 76 8. BurghoA. 10 10 5 25 25 75 M Davidsfonds - Excelsior - Thuynegilde La seconde conférence aura lieu Lundi 17 courant a 8 heures trés précis,;s en la salie lwerns. Le conférencier, M. le Lhanoine Demees- 5' Profe®5eur au Grand Séminaire de rudder Pkrre De' I 1' n s°ciété de Saint-Vineent de Paul Conférences d'Ypres LeDimaflBi°n de Saict Martiü- matin M« e 9Novembre' a henen du l'Eglise dSrr la S°Ciété' 60 rale des membres acHfs %?mum?a éné dant la Messe honoraires pen- Pape de I» r tre Saint Père le P 6 ia Bölgffiue et de notre Société. Messieurs, A l'instant oü la tombe va se fermor sur notre cher camarade, le Capitaine Victor CAILLET, je sacrifie moins a l'usage qu'au devoir de vous faire son éloge, de dire de lui tout le bieD que je connais. Dans cette existence, prématurément iaucbée, il y eut maints exemples pour nous, je veux dire que le défunt a posé des actes qui méritent d'arrêtc-r notre pensée et de provoquer notre admiration. Entré a l'Ecole militaire a 20 ana, il en esi sorti en 1881, cimms sous-lieutenant au 13e régiment de lignequelques années après, en 1887, il est arrivé comine lieute nant au 3e régiment de ligue, oü il a passé Ia majeure partie do sa carrière jusqu'au moment, oü déja frappé par le mal qui l'a terrassó, il a demandé et obtonu sa miso a la retraite. Dcué d'une bolle et solide instruction générale, commo tous les êtres grands et f®rts, pour qui la nature a été prodigue, Victor CAILLET était d'une bonté exem- piaire. A aucun moment, les trés réels mé rites de son intelligence ne parvinrent a compenser les déboires et les vicissitudes que lui valut cette qualité native, jamais désarmce, toujours en éveil entre l'autorité inflexible et le subordonné timide, apcuré ou coupable. Est-ce a dire qu'il ne faille pas ou plus pratiquer la bonté? Non, vous le pensez bien, Messieurs, mais Victor CAILLET en avait fait sa régie de conduite a cette époque dc la vie militaire ou l'on paraissait ignorer, que la bonté, qui n'ex- cluait point la fermeté, asservit tous les coeurs, peut être le stimulant de tous los ressorts, obtient toutes les soumi -sions, toutes les obéissances infiniment mieux que la discipline la plus coërcitive. L homme vaut autant que l'amour qu'il garde pour sa mère. La mère de Victor, a un iige trés avancé, est morte dans ses bras il lui a fermé les yeux. II s'est acquitié de ce pieux devoir, ayant veillé sur elle pendant de nombrcuses années, alors que l'existence de 1 efffcier était et est toujours par elle-même une vie do sacrifice et d'abne'gation. II en est taut qui désertent ce devoir sacre', qu'il est légitime de louer, surtout au moment de la Eéparation suprème, celui qui l'a si noble- ment accompli. Après avoir été le plus tendre des fils, ila été le plus afketueux des pères. Mais de ce cöté, le destin implacable a voulu qufil laissat sa tache inachevée. Avant de quitter ce lieu, cher Victor, nous te promettons de veiller sur ton unique enfant, sur ce fils qu'en bon soldat tu as confié a notre régi ment. Quo les regrets de notre separation soient une consolation pour ton épouse et ton fils. 8 Nous remercions nos frères darmes de 1 écolo d equitation et tous les amis de notre cher disparu qui ont voulu rendre uu dernier hommage a sa dépouille mortolle en l'accom- pagoant jusqu'au champ de repos. Et rnaintenant, s'il est vrai.et je le crois que notre passage sur cette terre n'est qu'un acheminement ver3 un monde meilleur.nous prenons congé de toi comme si tu allais faire avant nous un long voyage au terme duquel nous te rejoindrons. Au nom de tes amis au revoir a bien tót, mon cher Victor au revoir, rn'on Capitaine I beaucoup de plaisir qu'il s'est trouvc parmi eux, qu'il les aime bien paree qu'ils défen- dent le drapeau de l'Eglise. M. l'abbe' Del- porte explique la mission des J. G. C., leurs devoirs envers Dieu et l'Eglise et leurs de voirs envers eux-mêmes et dans une vibrante péroraison, il piomet son enticr dévouement pour travailler avec les J. G. C. a la defense des droits de l'église afin d'arrivtr au but dé- signé par Notre-Seigneur, c'est-a-dire au Ciel. Une triple salve d'applaudissements ac- cueille les paroles de M. le Curé. Bière et cigares sont offerts et les chan teurs MM. Leleu, Béague, Vandermarlière Degraeve et Werbrouck charment l'assem- bléc par l'exécution des plus beaux morceaux de leur répertoire. Vers 22 heures, la réunion prend fin après un chaleureux vivat chanté en l'honneur de M. le Curé. Institution royale de Messines M. le baron Coppens, major de l'armée beige pensionné, a Ypres, est nomtné mem- bre de Ia commission administrative de 1 Institution royale de Messines, en rempla cement et pour achever le terme de M. Bos- saert, décédé. Un homme écrasé par le tramway a vapeur Mardi, a i5 h. 25, au moment oü le tram way vapeur d'Ypres a Warneton arrivait au quartier de la Sucrerie, un grave accident s'est produit. Un ouvrier de la sucrerie, le sieur Jules Marquette 41 ans, domicilie chez sa soeur, non loin de la, se promenait avec deux camarades pres du cabaret de l'Epinet- te. Tous trois étaient sous l empire de l'ivres- se Au moment oü le car arrivait, Jules Mar quette voulut essayer de traverser la voie du tramway. II fut renversé et passa sous les roues de la locomotive.Aux cris des passants, le machiniste s'arrêta. On releva le malhem reux, qui était ensanglanté et on Ie trans ports chez sa soeur, oü il recut les soins que comportait son état qui est trés grave. La police de Warneton a ouvert une enquête. Mort aeoidentelle d'un enfant Lundi matin, le petit Michel Belpaire, agé de cinq ans, fils d'Hector Belpaire, jouait devant la maison de ses parents avec quatre camarades. L'un de ceux ci, Gheerardyn André, agé de cinq ans également, proposa d Mier marauder des poires dans le jardin des parents de Belpaire. Celui voulut s'y oppo- ser, mais André Gheerardyn, saisissant une pierre nouée dans une corde fixée un bi- ton, la lanca a la tête de son camarade. La mère, avertie aussitót par les autres en fants, accourut, au secours de son fils qu'elle vit tomber en syncope. L'enfant, transporté dans sa maison était encore sans connaissan- ce a 1 arrivée du docteur Van Egroo, de Wyt- schaete. Le soir même il rendait le dernier soupir. La violence du coup contre le tempo ral droit aura probablement provoqué une fracture du crine. vV- A la Jeune Garde Catholique La Jeune Garde Catholique a fait Mardi dernier une réception tres enthousiaste a Monsieur l'Abbé Delporte nomtné récem- ment curé de Comines. A 8 heures le nouveau pasteur fait son entree dans la salie aux applaudissements de 1 assemblee et prend place au bureau. HApres les souhaits de bjenvenue exprimés par le Président, M. le curé se léve et re mercie les Jeunes Gardes de la magnifique reception qu ils lui ont réservée. II se dit tout confus des éloges qu'on vient de lui adresser car il n a fait que son devoir. M A^°rrdan! e.nsuite la 9uestion des J. G. C e Cure dlt flue c'est chaque fois avec Dimanche 3o Novembre 191a 2 heures, Les Saisons d'Haydn. Solistes M> Bathorie-Engel, MM. Pau- t et Mary, de la Société des Concerts du Conservatoire de Paris. Conditions d'abonnement. I Abünne- ment personnel donnant droita trois concerts et a trots repétitions générales 20 fr. II. abonnement personnel donnant droit a trots concerts, i5fr. Prix des places pour les non abonnés. 1 lace numerotée pour chaque concert 7 fr Entrée a la repétition générale 2 fr. Les trois concerts commencent a 2 heures et sont terminés a 5 heures. Les répétitions générales ont lieu la veille de chaque concert k 8 heures du soir oour etre terminees vers 11 heures. Le bureau de location pour Ie concert du 3o Novembre, sera ouvert le 16 Novembre 18, Grand'Place, a Tournai. On peut, a partir de cette date, retenir des places numérotées par correspondence en y joignant un mandat postal plus 0,20 fr pour frais d'envoi et de correspondence. BUESEEStAHD, CaIroen;tma?eb00nie^ Bael'n Fernand- Jules laerestraat Cas.arjne, Schutte- wee RppÜ Mo n D,ckebuschsteeri- iiaif m "e®'®MarTe, Dixmudesteenweg— Goet- Hijse straat - DeroW Hennelte, Jules Gapron- GaHipp sinin r kosanne, Klaverstraat. - Dkkebnsrh^l» Kanonstraat- Pauwels Estelle Sterfgevallen Caillet Victonr sa i Mn«n BrugSe.me?''' r|htg'V u°°™an "ortens^ Eisen Hpa^i?«T Gtaessen Marie. 2 maanden, 24 i lïkkiaa(l Temperville CamiUe! AalmoezenkrsS. eCh'g" Va" Viae"e Marie' mei'ecfrii e n g 010 i lu rg 0 h'.t ^Ko m en en^ v'i c?o r i n« Jacques, fabriekwerlster lef (a Y,?lr taxo oa obiioïi<3ront la restitution. 1

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1913 | | pagina 2