Notre COLON IE
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RéGGuilon offlcielle te Lauféats du Concours national de Tir
48e Année -- N° 4815
le N° 5 centimes
Samedi 20 Décembre 1913
Vers 1'avenir
de notre colonie
Ces pauvres libéraux!
Dix-neuf-cent-13
Derniërs échos
d'un centenaire
Sus
a P Ecole buissonnière 1
Le héros du jour
Perisées diverses
La science
dans les journaux
TELEPHONE 52 TELEPHONE 52
Le Journal d'Ypres parait une fois par
semaine.
Le prix de l'abonnement, payable par
anticipation, est de 3 fr. 50 par an pour
tout le pays; pour l'étranger le port en sus.
Du rapport sur le budjet du Congo
nous détachons ce passage particu-
lièrement intéressant dans lequel on
voit M. du Bus de Warnaffe s'occu-
per de susciter dans notre jeunesse
des vocations coloniales
Le régime de formation des
fonctionnaires nous parait présenter
une grave lacune. II ne s'adresse
qu'a ceux qui ont fait des choix des
carrières coloniales. II ne suscite
point de vocations.
Cértes, il ne doit pas manquer
d'hommes en Belgique ayant l'éner-
gie et les qualités nécessaires pour
remplir les d fficiles fonctions colo
niales, ou pour exercer dans la
colonie, dans tous les domaines de
l'activité humaine, de fécondes ini
tiatives.
Pareils hommes d'élite nous sont
indispensables. lis ne se révèlent
point et ne s'offrent pas en nombre
suffisantc'est incontestable. Cela
tient pour beauconp 5 re one notre
éducation coloniale est manifeste-
ment lnsuffisante.
Combien y a-t-il de Beiges, même
dans les milieux les plus éclairés,
pour qui la colonie est chose incon-
nue ou quasi étrangère Pour la
grande masse, elle n'apparait que
comme un aliment de polémiques
pour nos querelles politiques.
Nous n'avons que notre initiative
personnelle qui nous incited nousen
préoccuper plus sérieusementc'est
trop peu.
Est-il concevable a eet égard, que
l'histoire de notre colonie et de ses
institutions ne figure point, k titre
obligatoire dans les programmes
officiel d'enseignement moyen et
supérieur
Si dans nos programmes, surchar-
gés de tant de choses inutiles figu-
raient de sérieuses notions d'études
coloniales, il en résulterait bien vite
une formation de l'esprit public.
Bien des vocations en pourraient
naitre.
Ne serait-il pas souhaitable que
dans le programme d'enseignement
supérieur figurent les matières du
programme de 1'Ecole coloniale,
minutieusement et méthodiquement
réparties et enseignées
Peut-on sérieusement admettre
qu'en Belgique on puisse désormais
être docteur en philosophic sans
connaitre l'histoire politique du
Congo
Docteur en droit,en ignorant tout,
non seulement de l'histoire du Con
go, mais encore de son droit public,
de son organisation judiciaire et
administrative, des éléments,tout au
moins, de son droit civil et pénal
Docteur en médecine sans rien
connaitre des maladies tropicales
Ces matières devraient être obli-
gatoires. Mais on pourrait en sus
organiser un programme plus dé-
tg^llé de cours, ouverts a tous, mais
.nposés ceux qui se destinent aux
jarrières coloniales publiques et qui
tevraient, pour y avoir accès, pren-
re des grades légaux.
Les études coloniales prendraient
nsi rang parmi les préoccupations
On s'abonne au bureau du journal et a
tous les bureaux de poste du royaume.
Toutes les communications doivent être adressées
franco de port a l'adresse ci-contre.
callewaemt.de MEULENAERE
Rue au Beurre, 36, YPRES
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Annonces15 centimes la ligne
Réclames dans le corps du journal30 cent. la ligne
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Pour les annonces de France et de
Belgique (excepté les deux Flandres)
s'adresser èt l'AUENCE HAVAS, Bruxel-
les, rue d'Argent, 34, et A Paris, 8, Place
de la Bourse.
intellectuelles de la jeunesse beige,
et nul doute qu'il en doive résulter
bientót les plus heureuses consé-
quences, non seulement pour lebon
recrutement du personnel de la
colonie, mais aussi pour la formation
de l'esprit public, jusqu'ici trop
étranger au Congo et èt tout ce qui
le concerne
\V\
Construction d'une église
a Elisabethville
En présence du développement
considérable que prend la Colonie
Beige, établie a Elisabethville au
Katanga, les autorités civiles et reli-
gieuses ont décidé l'érection en
cette ville, d'une église destinée a
desservir les besoins religieux de
nos concitoyens établis lè-bas. Un
comité s'est formé en Belgique pour
les aider a atteindre ce but et pour
coopérer k cette oeuvre patriotique.
Tout catholique beige aura a coeur
d'apporter son obole, si modeste
soit-elle, k la construction de ce
temple, qui doit, sur la terre africai-
ne, rappeler a nos chers colons, le
culte de Dieu et le souvenir de la
Patrie.
Pnnr rénondre a cette pensée, des
comités se sont constitute C/-V11-0 1
haut patronage de S. M. la Reine et
avec l'approbation de S. E. le cardi
nal Mercier.
Ces comités font appel a tous les
Beiges, grands et petits, riches et
pauvres, et leur demande d'apporter
chacun, dans la mesure de ses
moyens, sa pierre la construc
tion de l'église d'Elisabethville. Ces
pierres sont de o,io, 0,50, 1, 2,
5, 10 fr., réunies en carnets confiés
aux soins de sous-comités.
Nous espérons que l'arrondisse-
ment d'Ypres prendra une part di-
gne dc lui a ce mouvement patrio
tique.
Dans notre prochain numéro nous
ferons paraitre la reproduction pho-
tographique des plans de la nouvelle
église Elisabethville avec une
notice explicative.
Au cours du débat scolaire, il est
un fait qu'il importe de souligner
spécialementc'est l'état d'impuis-
sance dans lequel est tombé le parti
libéral, l'état de sénilité sans espoir
Les libéraux, au début de ce débat
scolaire, s'étaient ditla question
d'enseignement, ga nous connait et
nous allons saisir l'occasion pour
prouver au pays que nous vivons
plus que jamais. Mieux que ga, nous
allons soulever les masses et recon-
quérir un brin de popularité.
Depuis lors, que de fois, le conseil
national du parti libéral s'est
réuni pour se concertersurdes plans
de campagne, les remanier, en éla-
borer de nouveaux, car les insuccès
ne se firent pas attendre Les pre
mières manifestations de protesta
tion antiscolaire sombrèrent dans le
ridicule on multiplia les meetings,
ce furent de nouvelles occasions de
fiasco.
Les orateurs ne parvinrent pas k
faire broncher le pays ni a troubler
son calme.
La presse bleue emboucha la
trompette des grands jours, elle ne
cessa pas de sonner l'alarme et le
ralliement. Des sourires incrédukis
accueillirent ce chant guerrier. La
vieille Etoile Beigequi se sentait re-
naitre saisit la lance de Don Qui-
chotte et fon^a résolument sur tous
les moulins qu'elle apergut.
A présent la bataille n'offre plus
aucun intérêt, nos adversaires étant
devenus radoteurs l'excès.
Le parti libéral, loin de rertaitre,
aura prouvé, comme on le voik, qu'il
n'est plus qu'un parti pour la forme.
Les députés libéraux ne sont plus
que de tout petits hommes qui vi-
vent, assis sur les bancs de la Cti am-
bre, des souvenirs du passé.
vV-
lis commencent a respirer, les gens
superstitieux qui viennent de passer
355 jours dans des transes continuel-
les, persuadés qu'un malheur devait
s'abattre sur leur tète, au cours dc
cette année fatidiquc, et s'esUmant for
neureux s 11s ne nevaieut payer de iëui
vie l'audace de braver si longuement la
néfaste influence du chiffre 13.
El. vraiment, loin de leur porler mal
heur, il semble que l'an 1913 n'aura
fait, au contraire, que leur rcndre le
service d'ébranler leur foi superstitieu-
se.
Le malheur, car malheur il y a tout
de même c'est que, si les mécréants
superstitieux ne doivent pas être frap-
pés, c'est nous, fidèles croyants, enne-
mis de la superstition, qui écopcrons a
leur place.
Car la chose ne saurait plus faire
de doute l'année 1913 achèvera son
cours, sans que la loi de justice soit
votée
Décidément, si ce n'est pas la fa-
talilé qui s'en mêle
Avec quelle amère deception I on se
reporte maintenant a l'orée de 1913
Elions-nous assez radieux, alors, tandis-
que nous échangions nos bons souhaits
La grande voix de la nation s'était fail
entendre, quelques mois auparavant,
exigeant qu'en 1913, au plus tard, fut
instaurée la parfaite liberté de conscien
ce de tous les pères de familie et l'é-
galité de tous les petits Beiges devanl
les faveurs de Grand'mère.
Et si c'est avec un soupir de soula-
gement, rappelant quelque peu cdlui du
10 juin 1884, comme si on venait dc
neus délivrer d'une longue oppression.
Ah comme nous le consiclérions
avec plaisir ce suggestif calendrier que
nolre éditeur venait de nous envoycr
pour étrennes, le calendrier de la pai:
scolaire, basée sur la justice et sur la
liberté vraie
...Des mois s'écoulèrent, des mois en
core, et la signature du traité de paix
sc trouvait coilstamment retardée, com
me si tout le concert europeen s'en
étail mêlé.
Décidément, c'est du ciel seulement
que nous pouvions attendre cette paix.
C'est St-Martin et St-Nicolas, les deux
grands amis et protecteurs de l'enfance
dc l'enfance pauvre surtout, qui al-
laient se charger de nous l'apporter.
Voici la St-Martin oubliée, la St-Ni
colas égalementel les petits souliers
vides
Un dernier espoir nous restait la
paix scolaire allait nous ctre apportée
par les Anges de Noël, c éren rant l'avè-
nement dc la paix sur la terre
Et voici que s'achève l'année de mal
heur, nous apportant une dernière dé-
ceplion 1 Nous avions compté sans la
puissance des anges déchus et de leurs
suppots parlementaires-
La célébration du centenaire dePar-
mentier, le vulgarisateur de la culture
dc la pomme de terre, en France, a
remis en mémoire cette consultation
nationale organisée, il y a sept ans,
par un journal francais, plutöt blocard,
il est bon de l'ajouter. II s'agissait
de connaitre les dix plus grands hom
mes francais au XlXe siècle.
Le plébiscite réunit 15 millions de
suffrages. 1.338.425 se portèrent surle
nom de Pasteur qui, de ce chef, arri-
va en tète de la liste des élus. Le se-
meur de pommes de terre, de son cö-
té, obtint 488.863 suffrages, ce qui lui
permit de figurer encore, quoique der
nier, parmi les dix plus grands fran
cais du 19e siècle, laissant plus, ou
moins loin derrière lui des génies d'im
portance mondiale, semeiirs d'idéal dc
i'envergure d'un Lamartine ou d un
Lacordaire
Parmenlier n'eüt certes jamais osé
rover tant de gloire. II n'a certaine
ment pas prévu non plus tous les ser
vices que devait rendre it l'humaniti
ja vulgarisation de la pomme de terre.
Cc, mme on en jugera par la petiti
hi stoii 'e d118 nous allons contcr, h
dernier,' service n'est pas le moindre
Aux abords d'un marché bruxellois
une dame accourt essoufflée et snuf.
dans le tram au moment oü il démarre
Elle s'affale Sv"ir la banquette, s'occu
my'is ses jam hoe dpn
il ets de provisions, Pu*s. ^C1U' 'x cen
times au receveur. Cx "hu-ci qui la oh-
servée avec attention, rv "plique
Non, Madame, il fauru 'a descendi
au prochain arrêt. Et la da. me' 'ou.1'
rouge de coière et qui n'a p
aux yeux, regarde le receveur,
yeux mauvais.
Pourquoi cela
El l'homme, lui montrant deux énor
mes pingles qui sortent menafantes di
chapeau
Le règlement est formol; voiu
n'avez pas de protège-pointes.
On arrive ii l'arrêt. Le receveur
Descendez, Madame
La voyageuse a un rire sarcastique
Elle se précipite sur ses provisions,
saisit deux pommes de terre et, triona
phante, les planle sur les pointes d^
ses épingles menapantes, et, se retour
nanl vers le conducteur abasourdi, ré
pond
Je suis en regie.
's fro it
let
Lundi, a 16 heures, le carillon du
befl'roi anno 119a it a la populalion yproi-
se ce joyeux événement local lout a
l'honneur de notre milice citoyenne.
Les lauréats se rendaient a 1'Hotel tie
Ville cscorlés du cadre des officiers
et sous-officiers de la garde civiqüe,
au mi ieu d'une foule sympathique. La
réceplion avait lieu a 16 h. 1/2 dans la
Salie Bleue, brillamment éclairée,
M. le Bourgmestre-Dépulé Colaeri re-'
90U, entouré de MM. le sénateur-éche-
vin Fraeijs de Veubeke et l'échevin
Vanden Boogaerde, de nombreux mem
bres du Conseil communal et de la
Commission des fètes. Le major Ligy,
chef de la garde, présente en excel
lents termes, ses officiers, sous-offi
ciers e! gardes vainqueurs. M. le Bourg-
mestre les félLLe cordialement de l'hon-
neur qu'ils font a leur cilé il promet
a bref délai rétablissement du stand
de lir, si longtemps désiré, quoique le
beau succes de ce jour le rende scep-
L'aplomb est, chacun le sait, une des
qualités spécifiques des politiciens. Mais
parmi ceux-ci, ce sont certainement le:
parlementaires qui possèdent cette qua-
ité a la plus haute puissance.
Ils viennent, tout dernièrement, d er
fóairnir une preuve nouvelle, d'ailleur;
su per flue.
On a volé, l'aulre join*, a la Chainbre,
l'obligation scolaire, en sanctioonanl
celle-ci de pénalités en regie afficha-
ge, amendes, etc. Peu s'en fallut quov.
n'y ajoutal la suspension des droits
électoraux Point de quartier désormais
pour l'école buissonnière.
Et lout cela fut discuté et volé avec
un aplomb imperturbable par nos lao-
norables Quatre millepassés mai-
tres, comme on sait, dans l'art de faire
l'école buissionnière
Soyons justes Nos députés se sont
souvenus des pelits avantages du métier,
et ils ont compris que, mieux que tou
tes les pénalités, ce qui tuerait l'école
buissionnière ce serail 1111 modeste buf
fel installé dans Louies les écoles indis-
tinctement. Aussi s'apprêtenl-ils a y
pourvoir, dans la mesure du- possible.
Ou leur pardonnera plus volontiers
alors, sinoti de faire l'école buissoniè-
re avec une remarquable assiduité, au
moins de dévorer un buffet, les jours
oü ils font acte de présence, pour deux
a ma
tt que sur sa nécessité. Aux accu -x
tions cle l'assemblée il offrc aux deu.
lauréats. les lieulenants Gruwez el De
Coene une superbe gerbe fleurie. Le
major Ligy remercie le premier ma
gistral de la cité et réplique avec ü-
jirojios que si la privation d'un stand
n'a pas empêché sa gai'de de cueillir
des lauriers, l'établissenient du stand
sera le gage dc succès plus grands en
core qu'il garantit par un fulur triom-
phe personnel. (Rires et applaudisse-
ments.)
Le vin d'honneur est offert et laré-
ception se termine dans la plus grande
cordialité. Puis le cortège se refprme
et se rend au local de la garde civi
qüe oil le major Ligy procédé a la
remise solennelle de la médaille civi
qüe au c'lairon Angillis octroyee par
le Roi pour 25 années de bons et loyaux
services. Les félicitations cordiales et
paternclles adressées par le chef A son
loyal suhordonué sont accueillies par
de chaleureuses acclamations.
Après cette cérémonie officielle, la
parole ert donnée au commandant Gai-
mant qui congratule les collègues Gru
wez et De Coene et leur offre, aii nom
du corps d'officiers, un superbe por-
Irail au premier et une breloque en or
au second, en souvenir de leur bel
exploit. Puis, au nom des sous-officiers
et capcraux, l'adjudant Hallynck ex-
prime au sousdieutenant Gruwez l'ad-
miration du cadre tout entier au nom
duquel il offre une coupe artislique
qui marquera la date de son brillant
succès.
Enfin, le sargent Candeel, au nom des
nal, fail ressortir tout l'éclat qui jailiit
sur la garde civique d'Ypres par le
grand succès de l'excellent camarade
Gruwez, el offre en leur nom au héros
de la fête quelques jobs souvenirs qui
rappellercnt il sa familie, longtemps en
core, cetle belle journée.
Le sous-lieutenant Aimé Gruwez, Irès
touché de pareille effusion de bonne
camaraderie, s'excuse de rémotion qui
l'éireinl et exprime ses vifs reniercie-
ments i\ ses chefs, ses collègues el
lous les camaradcs. La fête se tex-mine
par le verre de reconnaissance et de
remerciement offert par les deux offi
ciers vainqueurs et par un petit con
cert improvisé oü des talents divers se
sont fait valoir.
La date du 15 décembre marquera
dans les annates de la garde civique
d'Ypres; p i se-t-elle être suivie bientöt
par la joyeuse date de l'installation du
-?nd.
stn
mille francs environ de bonbons, sans
compter le neclar et autres divinsbreu-
vages que St-Nicolas y ajoute.
W^-
C'est Carpentier, le champion fran
cais dc la boxc. Ilvicnl de knok-outer
genliment Bombardier Wells, son ri
val anglais, et, son retour Paris,
on l'a jiorté en triompbe cl recu com
me on recevait les rois - jadis.
C'est a n'y rien comprendre.
Administrez une tripotée a un vau-
rien qui vous outrage, 011 vous fera
les honneurs du violon.
Mettez a mal et laissez pour nxort
sur le carreau un homme qui ne vous
a rien fait, a seule fin de procurer des
énxotions malsaines a la galerie et d'en-
tretenir la passion des parieurs, 011 vous
combiera d'honneurs et de galelte
Mais voilé Corriger un peu vive-
ment un malotru, voire un apache, 9a
n'csl pas du SPORT I
'JU
ussi '"'ble, historiquement, que
11 est i> '°use a pour auteur
st visible, cêow
le ChAiSt, qu'il 0
qu'elle a pour (he.. rC.. Ur0IJe' '-n.
I.'oeil du coiqrs voit- ,^°.0 'erresu--
moitié da us la lumière et i!?0ltl^ ^ans 'a
nuit. La moitié lumineuse est eeln.
face au soleil. Précisément de même il _v a'
dans le genre humain, qui couvre tout ce
globe, la partie éclairée et la pariie obscu
re. La porde éclairée est cellc qui regarde
le Christ, ct la partie obscure est cede qui
ne l'apercoit pas. R. P. Gratry.
Les préjugés sont les moisissures de l'es
prit on ne les trouve que lé ou la lumière
n'entre pas.
Fonssagrives.
Elle y esl souvent l'objet d'un véri-
table défi. Ci encore un spécimen, re-
cueilli dans un des plus grands jour
naux du pavs
Le 12 décembre est le jour le dI"c
court de l'année, car
Journal
Ypres
©rgane Catholique de l'Hrrondissement
IMPRIMEUR ÉDITEUR
M AIM li bRUHEZ
Hrr.nr<s-iuir! i uii»^ntt. du oonoourK natio-
L'astre qn'ft ton berceau le mage vit éclore
L étoile qui |tmda les bergt*rs do l'aurore
Vit» le U.cu cnuronné il'iniligence el d'alfronl
Répandii sur la lerre unjiiur qui luit encuie,
Que chaque a sun tuur recoil, benit, aiiore,
Qui rtan> la nuit des teUipsjamais ue s'évaporo
ht ne i'eteindrapas quand les cieux -'eii lndronf
Lamarline.
(Oédié U tous les S lviaui
.iv,h")n prodg.^ r,.
notre ©ïvi-isati. -^raphiquement,
a oainte
r ST W 1 ;i par-
Or, la Sainte L«c® u 31.
durera ainsi jns£Il
jieiine
durei
tir
toti'
era ainsi 'l apS-
du 31, l'augme ijre jniiiu pjus
{rtiir sera de Q
du jour serii .'o v d,lCCu,»u-
II serait de ligneS'
d'erreurs en si P