Les sports dans la région Houthem JOSEPH DELBECQUE VIT A AUX D'ART GLACES NS'A.frS" le»»*- Mll= D-O"** A. om Centrale du Meuble Maison AUX VARIÉTÉS Maison Pottel^Fils BOIS SCIERIE - RAB0TERIE FOIRE COMMERCIALE - YPRES y— T^TTCT or ACnCTPRDT Pnminoc dominait tnilioiirc mai uni CHRONIQUE PAROISSIALE >.'J S C. BIZET - PLOEGSTEERT Nos hommes sont allés cueillir une vic toire sans panache CJJERNE dont 1 é- quipe figure dans le bas du tableau ce la divis a. Et pourtant, il y avait certe" une classe dire, tant nos noir et blanc leur étaient supérieurs, question football si tend. Il s'en fallut d'ailleurs de peu cette supériorité ne fut traduite en buts. C'est, en effet, les visités qui contribuèrent pour beaucoup au score, leur gardien se laissant surprendre sur un très long schc-t d'un de nos joueurs et ensuite, quelques m - nute: avant la fin. un arrière des liniers faisant dévier la balle dans ses propres fi lets. Deux butsJcadeaux. en somme, qui nous donnèrent toutefois une victoire incon te1 ta: le et méritée. La raison de ce modeste succès T out d'abord, l'excès de confiance de nos jou eurs par suite du mauvais classement de leurs adversaires. Ensuite 1 éternel pécnc mignon de nos sportingman le dibling, exagéré, le fignolage et le manque de finish devant les bois. On dira bien que la tech nique bizétoire fut souvent contrecarrée par la vitesse d exécution des visités, mais le fait est là les avants ne schootent pas. Voilà la véritab'e raison pour laquelle l'é quipe 1 A n'occupe pas la première place dans sa division. Le problème du cent e- avant reste toujours posé. Comme un E\a- riste VERLELIRE aurait habilement mis profit 1er nombreuses situations créée: au cours du match, par les tracticiens tels que DELORGE, DEMEYER. GABY et consorts Ce dimanche, c'est BISSEGHEM, second du classement, qui vient disputer une im portante partie au Stade VANUXEM. Ntius ne pensons pas qu'il y aura un nouvel ex cès de confiance de la part de nos té nors Non, certainement pas. Mais ce que nous craignons, c'est ce manque de con clusion, cette peur de prendre ses responsa bilités et pourquoi ne pas le dire cette peur de gagner. Car ce succès est réalisa ble, il doit être réalisé. d: Nos scolaires, ont été bien pâles, en face d'une équipe de Menin assez quelconque. On est loin de l'équipe qu jouait avec matchs-aller et on songe, non «ans appré hension, leur déplacement de ce jour Wevelgem. L âchât d une machine cal- Comines dominait toujours, mais une échappade de Menin amena l'ailier droit vi- i sité seul devant notre gardien, qui hésita, J et ce fut l'irrémédiable... i,_:ons qu un but su. coup franc, trans- jc formé directement par Meurisse, nous fut refusé pour effside de i Mais nous étions perdus malgré 1 achar nement avec lequel nos hommes se i. l'attaque... Dommage!... En vedette Domines P. Vandyckc, qui oacristie. faisait sa rentrée en remplacement de t*. Vt.,:t,;c, ac.uelitmcn: sous les armes, R. Depaepe et R. Minnekeer. Dimanche nous recevons TT.ourout que nous avons battu au match-aller (4-3). A nos joueurs de prouver que la récidive est dans le-» s possibtli.és. Vc,:i manier ?.t le classement des chubs de Provinciale. Mercredi. 2 avril 7.30 h. m. ch. 1 oc- on de la 1ère communion des petits. A 16 h. on entendra les confessions. Jeudi 3 avril 7 h. office du Jeudi-Saint Le soir 7 h. Salut dernier sermon sur la passion. Après ie saiut, lé i acic- fment sera conduit processionnellement a la 35. RUE D'HOUTHEM, C O M I N E S Tél. 269 I Vendredi 4 avril 7 h. office du Ven dredi-Saint. Le soir 7 h. chemin de la croix. i Oamedi 5 avr.l 6 h. office du Samcd - Saint 7.30 h. m. d\ solemne' c. Gn entendra les confessions partir de 2.30 h. Dimanche 6 avril Jour de Pâques, 6.30 h. m. ch. a l'intention des membres de la Ligue clu Sacré-Cœur. 1. Harelbeke 23 20 2 1 81 24 41 2. Waregem 23 19 1 3 110 38 41 3. C.S. Ypres 23 19 2 2 90 32 40 4. Deerlijk 23 -i 45 îb 20 5. Middelk. 22 10 5 7 40 35 27 6. Houthulst 24 10 8 6 56 37 26 D. Blank. 22 10 7 5 66 46 26 8. Wakken 22 10 5 57 45 25 9. Wervicq 23 10 8 5 44 40 25 10. WS. Yprcs 23 11 9 3 43 38 25 11. Pcpeiinge 22 8 8 6 43 36 22 12. Torhout 22 8 11 3 45 47 19 13. Furnes 24 8 14 2 42 71 18 14. Herscaux 20 6 9 5 21 36 17 Comines 21 6 10 5 38 57 1/ 16. La Panne 22 6 12 4 40 60 16 S.V. Blank. 23 6 14 3 32 65 15 18. Lauwe 22 5 13 4 37 54 14 19. T. Menin 23 4 14 5 39 82 13 20. St-Bavon 23 3 16 4 34 75 10 21. Nieuport 23 3 17 3 33 77 9 LES COURSES D'OMER TACK Du nouveau, de l'inédit on en parlera Bossaert Vandt*rbr gghe 16 rue de la Gare COMINES. Lainages en tous genres - Chapellerie Blouses d'été Articles pour com merçants Tricotage la machine. DISTINCTION HONORIFIQUE. Nous apprenons avec satisfaction que M. BAERT Joseph, s.-chef de station Houthem vient d être dé coré par son Altesse Royale le Prin ce-Régent, de la médaille commémo- rative de la guerre 40-45, avec deux éclairs, entrecroisés pour service: rendus pendant la guerre. Pro[iciat Lingerie - Bonneterie 56, rue de Wervicq COMINES Toujours les moins chers. COMINES Tél. 340 «V 'UUJ- Pour vos réparations ou remises neuf de l'intérieur de vos voitures coussins I etcainsi que pour les toitures déca potables, adressez-vous en confiance P. SENNESAEL, Chaussée de Menin, 62 YPRES. culer est-il conseiller. F.C. COMINES - T. MENIN 1-2 les les - Bellaire, 170 km. le 6 avril, de 150 km. Maubeuge (France). De plus, Omer TA s.gné .e «Cycles d'Ardcmrt- un centrât pour courses classiques disputer dar;. le Ne. de la France. LUCIEN VLAEMYNCK EN RODAGE. Le champion cominois commence mettre en forme. SOLO-SCHLEM. Un sclo-schlem a été joué et ré ussi par Michel DOOLAEGHE avec onze trèfles, as de cceur et qua tre de pique. Partenaires A. L)oo-~ INVITATION course luin. 'Félicitations. ■ec les 10 Nos scolaires, ont été bien pâles, en face DOMMAGES DE GUERRE. La Coopérative des Dommages de Guerres d'Ypres Poperinghe et environs nous fait savoir qu'une nouvelle séance de renseignements aura lieu Houthem Mercredi pro- fchain 2 Avril l'Hôtel de Vilie, pen- Dimanche dernier .il s est déjà classé ho- f |a jri1,rT,,j£» lîMfttirrar i'jsaramBfaaBHHi Vous invite visiter son exposition GRAND'PLACE 27 Y P R E S ENTREE LIBRE (pendant la foire), son STAND n° 3 salle 1 dans les HALLES. Firme FIERS MARYNEN, 27 Grand Place YPRES norablement dans le Circuit des Flandres. heureuse dimanche dernier contre T. Menin. i Soyons sûrs qu il fera encore parler de lui, 41s méritaient vraiment la totalité de l'enjeu cette saison. ,eur jeu tranchait nettement sur celui de LA VIE AU COLLEGE (suite) Menin qui était décousu, désordonné. Face au vent, en première mi-temps, nos joueurs i dominèrent légèrement sans arriver toutefois j concrétiser cet avantage. Ne e gardien fut blessé la 30® ru.nut (ento; c) cr se vit obligé de quitte le terrain. -Meurisse dut endosser la vareu se vert et i et s er ra avec mi Le.sacond time vit un avantage plus mar qué encore de nos joueurs. Ce fut cependant l'Infor droit de Menin qui marqua la 17* minute en shotant bout portant, hor de portée eu keeper après que celu - ci eu* plongé dans les jambes de l'ailier qui f.t cévicr le bal'on sur la latte. Ccmines obtint aussitôt après, un penalty que Demeersman bat.a lamentablement dans les mams du gardien. Peu après, Knockaeri réussit .ependant égaliser, grâce un r'.ot jut portant, sur passe de Bernaret. LE COIN DU PRONOSTIQUEUR at toute la journée. Pour tous renseignements, on peut aussi s'adresser au secrétariat de la Ceçpérative Poperinghe. A remarquer que les bureaux sont maintenant installés 22, Grand- Un clive d'expression flamande fait de place Poperinghe. STANDARD - OLYMPIC 1 BOOM - LIERSCHE X F.C. BRUGES - BEERSCHOT 2 RACIF A DERLECHT X St. NICOLAS - MALJNES 2 UNION - FORESTOISE 1 LA GANTOISE - ALOST DARING - TJLLEUR 2 A.S. RENAIX - Cl RENAIX 1 MENIN C. CRU CES X VOTTEM - ANS 2 LA LOUVIERE - U. CENTRE 1 Michel-Ange un grand peinteur Il ajou te même sans rire qu'il était le premier t pour cela en Italie.» Dommage qu'il ne donne pas le chiffre officiel du record de d'émis ou de petits veires avalés... Un au dit ru faire d'utiles comparaisons avec nos champions actuels. Tout le monde connaît la Mère Michel qui a perdu son chat... Mais la Mère Baltique Voilà qui vous en bouche un coin A ce compte-là, on trouverait aussi une Madame Gascar dans l'Océan Indien... Et pourquoi la Mère Ique ne serait-elle pas aussi la mère du Fils Ique Il y a mer et mère, et il est darme eux de mélanger la chèvre et le choux, comme dit cet autre qui veut probablement mé nager ses expressions. Quant l'orthographe, on en fait une machine fabriquer des photos. C'est pour quoi les photographes sont des gens qui écrivent sans faute. A côté de ces bourdes il y a heureu sement beaucoup de bonnes choses, 1 coup de sérieuses réponses. Mais qu ils se raient plaindre, les professeurs qui n au raient corriger que des premiers de classe L'ennui naquit un jour de l'uniformité a dit Hugo. Et ies coquilles sont là pour varier le menu. Il suffit, parfo: d'un grain de sel pour empêcher la :_ape d'èt;c fade! La Maison DUMONT-DELANNOO. BOUCHERIE, rue de Wervicq COMINES informe son honorable clientèle qui aurait déposé des timbres avant l'injuste fermeture dont elle a été L objet, qu'elle fournira de la marchandise corres pondant aux timbres remis. Elle espère nouveau pouvoir, comme par le passé, donner complète satis faction sa clients ie en ce qui concerne la qualité et le prix de la marchandise. Etude de Maître J.-E. DE SIMPEL notaire WARNETON. Commune de P..OEGSTEERT, rue de Messinesn" 58. LOT UN Une auiison avec jardin Sn C. n° 706 a/3 1 a. 55 ca. Occupée sans bail au loyer mensuel de 126 frs. net. LOI' II Chemin des Vaches. Terre Son C n /05 f 9 ares 10 cen tiares. Occupée par divers sans bail. ADJUDICATION Jeudi 10 avril 1947, chaque fois 6 h. au Café Au FonT de l'Eau Ploegsteert, rue de Messines. 0,50 gain de mise-à-prix. Faculté d'accumulation. Etude de Maître NAUDTS. Notaire COMINES. Le JEUDI 3 AVRIL 1947, 16 h. Comines, au Café Belle vue chez Geor ges LAIRE. ADJUDICATION DEFINITIVE d'une MAISON (avec 180 m2 de terre) sise Comines, rue des Invalides, 42. Libre d'occupation. MISE-A-PRIX 35.100 frs. Renseignements en l'étude. Etudes des Notaires THEVELIN Mes sines, Fernand De. TURCK et Albert RAUCQ Bruxelles. VENTE Pc-LIQUE DE COMMUNE DE WYTSCHATE le long de la Chaussée de Messines Wulvergem QUATRE MAISONS attenantes avec dépendances, fonds et jardin, formant ua bloc, section E N" 436r 436q 436p 436o et 436s d'une contenance totale de 24 ares 30 ca. Divisé en 4 lots avec droit d'accumulation. OCCUPATION Une des maisons est inoccupée. Les trois autres maisons sont occupées respectivement par Odile LEFEBVRE, Gustave BRAEM et Jérôme BRAEM, sans droit de bail, moyennant 70 fis. par mois payables trimestriellement et par anticipa tion contributions et assurance au pro priétaire. propriété de la famille Nestor WOUSSEN. SEANCE Vendredi 18 avril 1947, 3 h. 30. au prétoire de la Justice de Paix Messines, sous la présidence de Mon sieur le juge de Paix du cdtiton de Messines. Etude du Notaire THEVELIN a MESSINES. VENTE PUBLIQUE d'une BELLE MAISON avec dépendances, située PLOEGSTEERT, hameau du BI ZET, sentier de la Planche n" 4. connue au cadastre section D N" 421/r, contenant 95 centiares. Occupée sans droit de bail p3r Henri COENE moyennant 60 frs par mois, con tributions et assurances aux propriétaires. Avec le droit aux indemnités pour dom mages de guerre. Propriété de feue Dame Veuve Victor CATTEAU-BARBRY. SEANCE: Vendredi 11 Avril 1947. 3 h. de relevée au prétoire de la Justice de Paix Messines, sous la Présidence de Monsieur le Juge de Paix du canton de Messines. Impr. M. Dumez-Truwant. Wervicq «Mg?U - Céçu»^e(2<3 rrjifj'E.S- A A Ocn,yS. PREFACE. Lorsqu'en 1885 parut la première édition du Crime du Château de Comines», (1), la fête des Louches était presque tombée dans l'oubli. Cependant dit l'abbé Messiaen, auteur de l'Histoire de Comines, cette fête était populaire Comines. On jeta des louches aussi longtemps que dura la Franche-foire Faut-il faire remonter Ja Fête des Louches l'établissement de la Franche-foire, ou bien faut-il lui at tribuer une origine antérieure, con forme la légende mystérieuse, dont le fond est le même, et qui a cours Comines Il est hors de doute, que l'histoi- rien Arthur Dinaux donne la vraie .solution la question posée. Mais, qu il soit entendu, nous n'avons pas voulu écrire un livre d'histoire. Notre but a été de romaniser la lé gende mystérieuse du noble prison nier du Château odal de Comines, et d évoquer ainsi devant les yeux de la génération présente une chère figure locale, ensevelie sous les rui nes d'un passé ténébreux. En nous enfonçant dans les som bres allées du moyen-âge, nous avons abandonné notre imagination son plus libre essor. Cela ne veut cependant pas dire que 1 histoire n est pour rien dans notre roman, et que mous avons tout sacrifié 1 intérêt romanesque. Au contraire, nous y avons mis autant d histoire que le sujet le permet. C est ainsi que nous avons consa cré des chapitres entiers l'histori que des châteaux de Comines et de la fête des Louches. La description des tournois et des cérémonies judi- caires de la chevalerie ainsi que les détails sur la Féodalité et l'origine des Communes sont empruntés cons ciencieusement l'histoire impartiale de ces temps. Ce coup d oeil rapide, jeté comme par hasard dans le passé, l'étude et le contraste des mœurs et coutumes .des Seigneurs féodaux et du pauvre peuple constituent peut-être la partie la plus instructive de ce récit. Quoiqu'il en soit, le jet des louches marque travers les âges le grand geste d un Seigneur de Comines, et symbolise, par linstitution de la Franche-foire, la naissante liberté du travail Ce beau geste, ensoleillé de noble reconnaissance, est peut-être la cause première des usines et ateliers sans nombre, élevés, comme des temples somptueux, l'Activité humaine au pied et jusque sur l'emplacement mê me de notre Castel féodal. Tout cela vient nous rappeler que Comines a eu 1 immense avantage de rencontrer dans ses Seigneurs des jarotecteurs zélés de son industrie, et de suivre au travers de toutes les vi cissitudes des siècles, jusqu'à nos jours, la voie du travail qui mène la prospérité P.-P. D. CHAPITRE I. Ainsi parle l'historien A. Dinaux Les habitants de l'ancienne pro vince de Flandre étaient, jadis et sont encore aujourd'hui en possesion de jouir d'une multitude de fêtes fort inconnues toutes les autres con trées, et passablement bizarres par les cérémonies et les représentations qui les accompagnent. Les Flamands, très fidèles leurs habitudes, ont perpétué toutes ces vieilles coutumes, surtout lorsqu'elles étaient l'occasion de divertissements et de récréations. Nous citerons comme exemple la petite Ville de Comines-sur-la-Lys, dont moitié appartient aujourd hui la Belgique et moitié la France, par ce qu'elle est divisée en deux parties par la rivière de la Lys, qui forme maintenant la limite des deux pays. Cette cité franco-belge a conservé in tacte, jusqu'au siècle dernier, une pra tique singulière, qui a même laissé des traces jusqu'à nos jours. Chaque année, le 9 octobre, fête de Saint-Denis, s'ouvre dans cette commune une franche-foire pendant laquelle on jette au peuple une quan tité de ces grosses cuillers en bois que l'on nomme Louches en Wallon. Il y avait en même temps toutes les récréations, fêtes et réjouissances qui accompagnent ordinairement les foi res en Flandre. Line ancienne tradition explique l'origine de cette fête des Louches, par l'emprisonnement du Seigneur du pays dans un fort donjon, où 11 était privé de toute communication avec le reste des humains. Le noble et malheureux prisonnier parvint faire connaître son existence un couvreur qui travaillait au-dessous de son cachot en jetant, travers les barreaux de fer de sa cellule, (out son modeste ménage de bois avec le quel on lui servait manger. Cette circonstance donna l'éveil on devina bientôt qui pouvait être ce mystérieux captif, et sa délivran ce fut la suite heureuse de ce fait. Pour en perpétuer la mémoire, le Seigneur fonda une foire franche, Comines, et une fête où des Louches en bois furent libéralement jetées au public. Cette coutume qui paraît si singulière, doit, comme on le voit, son origine un sentiment honora ble, la reconnaissance qui se perd souvent si vite chez les petits et les grands. Dans le livre aux délibérations du Conseil municipal de Comjnes (nord), (2), la version de cet événe ment mémorable se trouve inscrite de la manière suivante Un seigneur de Comines, ou son fils aîné, qui devait lui succéder était Drisonnier dans un des tours de son propre château. Privé de toute com munication avec le dehors, il ne sa vait comment faire connaître sa cap tivité. On lui servait ses repas dans de la vaisselle er No'« T la ^ar où il était cap p. depuis plusieurs années, il aperçoit un couvreur et parvient lui parler. A s Ec (1) Traduction de notre roman: HET MISDRIJF par Ch. Barbier. (2) Procès-verbal de la séance du 23 jan vier 1808.

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Liberté (1947) | 1947 | | pagina 4