L'OPINION, Journal d'Vpres. t-elle ce programme radical? Ce serait certainement une ma noeuvre très-habile, mais je Ia suppose plulót disposée trai- ter d'insoumis et de mutins les électeurs du Nouveau-Monde et k faire les éiections contre eux en adoptant, k un moment donné, la candidature de 1'ancien échevin Lavallée,qui est tou- jours quelque peu le candidat du gouvernement pour la place de bourgmestre, quoique M. Anspach soit assez en faveur depuis qu'il s'est entendu avec Ia Société immobilière pour embeliir la capitale en la démolissant. Ce qui me ports k croire quele ministère a toujour3 des vuessecrètes surM. La- vallée, c'est qu'il vient, dit-on, de se rallier aux conclusions développées par eet avocat, dans une brochure bien connue, sur la question de savoir si les communes peuvent être auto- risées k recevoir des libéralités en faveur de l'enseignement supérieur. M. Lavallée a soutenu l'affirmative et l'on dit que le ministère a trouvé un biais pour autoriser la ville de Bruxelles k recevoir le legs de M. Verhaegen en faveur de l'uni- versité libre. Le Moniteur publie ce matin deux arrêiés royaux impor tants le premier qui accepte la démission offerte par M. le baron de Macar de ses fonctions de gouverneur de la province de Liége, etl'admetk faire valoir ses droits k la pension; le second qui nomme gouverneur de la province de Liége M. de Luesemans, bourgmestre actuel de la ville de Louvain. Les Liégeois,quiont la prétention d'etre de très-fortes têtes et de ne manquer jamais de candidats pour les plus hautes fonc tions, seront, j'en suis sur, assez rnécontents de cette nomina tion. M. de Luesemans est sans doute une victime du libéralisme, et k ce titre il peut avoir des droits k la faveur du gouverne ment, mais donner un Louvaniste pour gouverneur aux Lié- geois,après leur avoir donné un Bruxellois pour bourgmestre, cela les flattera médiocrement. Mais ils s'en consoleront peut- être en se rappelant qu'a nous autres Brabanpons, qui avons aussi de fortes têtes, on nous a donné un gouverneur catholi- que qu'on est allé chereher au fond du Luxembourg pour en débarrasser eette dernière province. On assure que M. le lieutenant-général Greindl va être mis k la pension. Cet honorable gónéral, qui a hésité, en 1855, lorsqu'il a abandonee son portefeuille de ministre, k prendre le commandement du Hainaut, était fort mal en cour, et trés mal vu du ministère actuel. Si mes renseignements sont exacts il aurait écrit récemment au Roi pour lui demander sa pension, et on lui aurait répondu que l'arrêté qui le met k la pension était signé. M.Greindl aurait done la mortification d'être undes rares ministres de la guerre qu'on n'ait pas nommés aide de camp du Roi, et d'être admis d'office a la pension. Je vous ai dit précéderament que la candidature k la couronne du Mexique de l'archiduc Maximilien déplaisait fort k son frère l'empereur d'Autriche, et encore bien plus a son beau-père le roi Léopold. En effet, l'empereur d'Autriche a refusé de rece voir la députation mexicaine arrivée k Vienne pour offrir la cou ronne k l'archiduc et le Courrier du Luxembourgqui est en relation avec M. le ministre de la justice, donne comme positif que leroi des Beiges est resté complétement étranger k la dé- termination qu'a prise son gendre. Les joumaux de Liége publient une statistique judiciaire as sez curieuse, qui est un nouveau plaidoyer en faveur de l'a- bolition de la peine de mort.D'année en année, bien que depuis quarante ans la guillotine n'ait plus fonctionné k Liége,les cri mes vont toujours en diminuant dans la province. En effet, pendant l'année judiciaire 1860-61, vingt affaires ont été sou- mises k la cour; pendant l'année 1861-62, dixsept affaires ont figuré au role des assises, et cetteannées llaffaires seulement ont, été déférées k la Cour. Si l'on compare maintenant cette statistique k celle des cours d'assises du Brabant, du Ilainaut et des Fiandres, on constate que dans ces provinces il y a presque autant d'affaires dans chaque session que dans la province de Liége pendant toute une année. II est vrai qu'on exécute encore k Bruxelles, k Char leroi et k Bruges Deux écrivains parisiens, M. Aurélien Schol!, directeur du Naiti-Jaune, et M. Paul de Cassagnac, fils du fougeux publi ciste impérial de ce nom, se sont rencontré ces jours derniers an bois de la Cambre, l'épée k la main, mais ils ont quitté la Belgique sans avoir pu se bat,tre. II parait que le père Cassa gnac est arrivé sur le terrain au moment ou les deux épées al- laient se croiser, et qu'il a déclaré que si M. Scholl blessait ou tuait son fils il prendrait immédiatement.sa place et son épée. Cette intervention est certainement très-dramatique, mais les témoins du duel ont trouvé qu'elle était peu conforme aux ré gies scrupuleuses du code des duellistes. Les deux adversaires ont résolu do se rencontrer ailleurs, ot, k moins que le père Cassagnac ne se constitue le garde du corps de M. son fils, ce n'est que partie remise. Actes olciels. A l'spproche des éiections communalcs, on s'est demandé duns plusieurs cercie's d'Ypres si l'honorable M. Alp. Vanden- peereboom pourrait cumuler les hautes fonctions de ministre de l'intérieur avec celles plus modestes de conseiller communal k Ypres. Kous avons été quelque peu surpris d'entendre poser cette question, que l'on nous assure cependant ne pas être de pure fantaisie. II nous parait que la solution se trouve dans l'at tiele 1, ti tre II, de la loi du 24 vendémiaire an III (15 octobre 1794) ainsi congu Aucun citoyen ne pourra exercer, ni concourir k l'exercice d'une autorité chargée de la surveillance médiate ou immédiate des fonctions qu'il exerce dans une autre qua- lité. Or, l'art. 76 de la loi communale du 30 mars 1836 énumère un grand notnbre de cas oü les délibérations des conseils com munaux sont soumises k l'approbation du Roi. II en résulte qu'en sa qualité de ministre de l'intérieur (seul responsable de- vant la nation des actes posés par le gouvernement du Roi, dans le cerele de ses attributions), M. Vandenpeereboom exercerait la surveillance médtate ou immédiate des fonctions qu'il concourrait k remplir en qualité de conseiller commu nal. L'incompatibilité nous parait done être incontestable. Au surplus, nous le répétons, nous croyons k peine que la question soit sérieusementposée. Affaire ties Ijénéttïo.tïns <le TFeï*moiitïe. Un curieux procés se déroule en ce moment devant le tri bunal correctionnel de Termonde. Le supérieur du couvent est prévenu de vol sur la plainte de ses frères, et se présente as- sisté de Me Eyerman, bourgmestre de Termonde, et de Me Adol- phe Dubois,du bareau de Gand. Les bénédictins, qui se sont constitués partie civile, sont re- présentés par Me De Paepe, de Gand. Le tribunal est présidé par M. Muelkens, vice-président, as- sisté de MM. Roelsetde Hondt, juges. M. Blornme, procureur du roi, oceupe le siége du ministère public. L'inculpé s'appelle Francois-Joseph Knüpfmann; il est 3gé de 3T ans, né k Rhede en Westphalie, prêtre catholique romain, religieux de l'ordre de Saint-Benoit du mont Cassin, et sous le nom de père Ludger, ancien supérieur de l'abbaye de Saint- Pierre et Saint-Paul, dite d'Afilighem, k Termonde, Marché au Lin. II a pour complice le sieur Gustave Van Langenhove, Sgé de 43 arts, né k Termonde, propriétaire et chef de bureau k la con servation des hypothèques. Tous deux sont prévenus a. D'avoir, abusant d'un blanc-seing qui avait été eonfié k Knüpfmann, inscrit frauduleusement au-dessus une obligation ou décharge compromettant la personne ou la fortune du si- gnataire Jacques Hellemans, euré k Wouw; b. Dumoins d'avoir détournéledit acte au prejudice deson véritable propriétaire alors qu'il n'avait étéremis k Knüpfmann qu'k titro de dépót, k charge de le rendre ou de le représenter ou d'en faire un usage ou emploi déterminé. c. D'avoir, au préjudice des religieux composant la com- munauté d'Afilighem, soustrait frauduleusement4° 25 obli gations de la dette publique d'Espagae s'élevant k une valeur nominale de 48,600 fr.; 2° 6 Métalliques d'Autriche de 4,000 fl. chacune; 3° plusieurs coupons h échoir desdites obligations et Métalliques,s'élevant ensemble k la somme de 2,441 fr. 45 c.; environ 5,000 fr. en numéraire. d. Du moins, quant auxdits coupons d'intérêt,de les avoir détournés ou dissipés au préjudice de leurs propriétaires,alors qu'ils n'avaient été remis k Knüpfmann qu'k titre de dépót, k charge de les rendre ou de les représenter ou d'en faire un usage ou emploi déterminé. e. Soit comme auteur ou complice pour avoir respective- ment:l° par machinations ou artifices coup:ibles,provoquéaux faits ou donné des instructions pour les commettre; 2° avoir procuré des moyens qüi ont servi k ces diverses actions, sa- chant qu'iis devaient y servir; 3° avoir avcc connaissanee aidé ou assisté l'auteur desdits crimes ou délits dans les faits qui les,ontpréparés, facilités ou consommés; 4° avoir sciemment recólé en tout ou en partie les ehoses enlevées, détournées ou obtenues k l'aide desdits crimes et délits. Le prévenu Knüpfmann seuld'avoir k Termonde, dans le courant de 1863, soustrait frauduleusement au préjudice des prédits religieux 1° une botte renfermant un cachet en ar gent; 28 une bourse contenant 27 pièces do monnaie étrangère, en argont ou en cuivre. «g. D'avoir, dans l'intervalle de 1861 k -1862, détourné ou dissipé au préjudice de Wenceslas Essingholt, frère convers de l'abbaye, la somme de 6,000 fr. qui avait été remise k l'in culpé k titre de dépót. Malgréhuitmois de détention préventive, Knüpfmann a bonne mine.Beaucotip de gens lui trouvent une figure sympathique. Le prévenu parle un patois informs, mélange d'allemand et de ilamand, au moyen duquel il répond, non sans quelque gêne, aux nombreuses questions que lui adresse M. le président. Son interrogatoire a rempli deux audiences de trois heures. Samedi a commeneé l'audition des témoins. On entendra notamment les sieurs Hellemans et Van Ommeren, le supérieur actuel Brizard, le vicaire-général de Bruges, Scherper'eel. Le visiteur-général Cazaretto n'a pu se rendre k l'invitation des magistratsretenu en Italië par une maladie dontil a été subi- tement atteint, ii se bornera k envoyer une déposition écrite. Me Ad. Dubois a déplaré quel'examen des pièces du dossier lui avait fait prévoir cette indisposition subite. Avis isïij»oi*taiiê Le collége des bourgmestre et échevins de la ville d'Ypres, Flandra occidentale, fait connaitre qu'une place de surveillant au collége communal de ladite ville est devonue vacanto. Les avantages attachés k cet emploi sontla table, le loge ment et un traitement de 800 francs. Les aspirants sont invités k envoyer leur demande sans le moindre retard. Oiesiissis de fee de lts B'landre eeeSdentalc. L'administration a I'honneur de prévenir le public qu'k dater du ler octobre 1863, les convois partant de Courtrai pour Bru ges k 10 heures 35 minutes du matin et de Bruges pour Cour trai k 5 heures 5 minutes dusoir, seront supprimés. Faits divers. Nous appelons l'attention de l'administration des ponts et chaussées sur la reconstruction dans un bref délai du pont de Warneton. II y a six mois qu'un mauvais et dangereux pont provisoire y a été établi, et depuis lors nous ne voyoas faire aucune étude pour rétablir le passage en bon état. Cependant depuis cette époque ie gravier de Warneton k Quesnoy a étéachevé par ce gravier le trajet de Warneton k Lille est diminué de trois kilomètres, et le détour par le Pont. Rouge n'est plus obligatoire pour les personnes de notre arron dissement qui se rendent au chef-lieu du département du Nord; aussi un nombre considérable de voitures et de chariots pas sent aujourd'hui par le pont de Warneton; seulement, lors- qu'ils ont une charge un peu lourde, le mauvais état du pont les force au détour du Poat-Rouge,ce qui est très-désagréa- ble. Un autre inconvénient se présente, et celui-ei concerne la batellerie il est impossible aux bateaux k vide de passer k Warneton sans être fortement lestés; et nous pouvons aftumer qu'en hiver, lorsque les eaux seront un peu hautes, il n'y aura que ies bateaux dont le pont sera k fleur d'eau qui pourront y passer. En pareille occasion, et devant de si facheuses conséquences, l'administration des ponts et chaussées ne peut sommeiller; elle doit au plus tót mettre la main k l'oeuvre et soigner les intéréts du publie, sans s'épargner ni peines ni labeur. La surveillance des travaux de la Lys est du ressort de l'in- speetion de Courtrai. Aussi nous nous adressons spécialement k elle. La Société de Saint-Vincent-de-Paul d'Ypres a fait faire en l'église des Pauvres-Claires une neuvaine expiatoire pour deux de ses membres qui s'étaientrendus au Congres interna tional pour le progrès des sciences sodales. Au tir national qui a eu lieu k Bruxelles k l'occasion des journées de Septembre, l'artilleur Dewaele, de la demi-batterie d'artillerie de la garde civiquc d'Ypres, a remporté le prix du Roi. La distribution des récompenses aura lieu, k Bruxelles, le 18 octobre. La Société des décorés de la Croix de Fer vient d'adresser au Roi un mémoire ayantpourobjet d'obtenir, par Tintervention de S. M., une augmentation de leur pension de 250 fr. k partir de janvier 1864. La concession définitive du chemin de fer de Braine le- Comte k Courtrai a été aceordée k MM. B. Calmels et Riche frères. Ce chemin de fer est destiné k desservir les intéréts nom- breux d'une des parties les plus riches, les plus populeuses et les plus industrielies de la Belgique. A Braine-le-Comte, il se soude au réseau de l'Etat et regoit les transports venant de Charleroi, Namur, la vallée de la Meuse, et toute la partie sud- est du pays;k ce point aboutissent également les lignes venant des bassins houillers et métallurgiques du Centre et de Char leroi. Le nouveau chemin rencontre k Enghien les sections récem ment concédées et allant d'un cöté vers Bruxelles, de l'autre vers Tournai et Lille; plus loin le chemin traverse la ligne de Dendre-et-Waes et trouve des communications vers Alost et le riche pays de Waes; k Renaix, le chemin coupe les voiesvers 'Saint-Ghislain, Mons et Gand. Enfin le nouveau chemin aboutit k Courtrai et lk sert de pivot au petit réseau sillonnant la Flan- dre occidentale. On voit Timportance et la multiplieité des communications que le chemin de fer de Braine-le-Comte k Courtrai est appeló k desservir. Impartial Le Bien public annonce que l'évêque de Gand a adressé, il y a quelques jours, k M. le bourgmestre une lettre par la- quelle il renouvelle la protestation de MM. les curés de Gand contre la violation 'd'un cimetière citholique, et l'étend aux actes et aux discours impies qui ont eu lieu k cette occa sion. On voit que les prétentions des cléricaux ne changent pas. Maintenir l'autorité de la commune dans lè cimetière, n'en pas laisser Ie clergé maïtre absolu, c'est violer le champ de repos On lit dans le Journal de Gand Les Enfants de la Belgique sont venus de Paris rendre un pieux hommage k la mémoire du grand citoyen lismand. Une heure avant leur arrivée, les rues tracées pour i'itinéraire étaient remplies par une foule enthousiaste. Les rues que devait traverser le cortége étaient pavoisées aux couleurs nationales et une foule immense se pressait dans toutes les rues. Parvenus au Marché-du-Vendredi, les Enfants de la Bel gique se sontarrêtés aux pie.ds de la statue de Jacques Van Ar- tovelde et ont déposé leur couronne, qui estréellement un chef- d'eeuvre dans son genre. Elle porte les mots suivants de Kin deren van Belgien herdenken hunnen held. M. Maelbrant (Polyd), ancien membre de la société royale des Fontainistes, chez lesquels il a obtenu plus d'un succès marquant, a prononcé un discours, fréquemment interrompu par les applaudissements de l'auditoire. II y a retracé la carrière brillante du héros populaire et dit, en termes chaleureux, la part qu'ont prise les Ganiois de France k sa glorification. M. Destamberg a félicitéles Enfants de la Belgique de leur heureuse idéé et insisté sur le caractèrespontané de cette fête, qui n'est pointofficielle,maisflamande, foncièrement populaire. Des morceaux de musiqueet desehoeurs ontembelli la cé rémonie, qu'a favorisée un beau soleil. Depuis quinze jours les aetionnaires du chemin de fer d'Armentières k Qstende font l'étude du tracé, et viennent de terminer les travaux graphiques de la ligne. Partout le tracé se présente dans les meilleures conditions tant au point de vue deseoncessionnaires que nes localités in- téressées. Aücune diiïiculté sérieuse n'a surgi ct Ie seul point qui flit un instant douteux vient de recevoir une solution favoraöle. La ligne touehera k Westroosebeeke et profiler» ainsi aux populations des communes de Passchendaele, Bece- laere, Zonnebeke, Moorslede, qui, déshéritées jusqu'ici de voies ferrèes, se rapprocheront autant que possible de la nou velle voie. Nous ppprenons aussi oue Ia demande définilive de con cession, ainsi que tous les plans et devis, seront déposés au département des travaux publics, vers le 20 octobre pro chain. Voici un fait que la statistique vient de révéler II existe en France un million huit cent mille demoiselles nubiles en quête d'un mari. Un millon huit cent mille filles k marierQue dites-vous de ce chift're En retranchant de ce nombre celles qui ont des dots, et qui en trouveront certainement le placement; en retranchant en core celles qui inspirerout assez d'affeetion, par leurs qualités morales, pour conquérir des maris, il restera encore un effectif formidable qui s'accroitra d'année en année. Pauvres filles, eiles n'ont pas, comme les gargons, la res source de se faire militaire. Par arrêlé royal du 25 septembre, les colléges élecloraux sont convo- qués pour le mardi 27 octobre prochain, i» dix heures du matin, li l'effet de procéder au renouvellement des conseils communaux. Un arrèté royal du 10 septembre nomme M. Emile De Laveleye, doc- teur en droit ii Gand, aux fonctions de professeur extraordinaire a la fa- culté de droit de l'unlversité de Liége, el charge le ministre de l'intérieur derégier provisoirement les attributions du nouveau professeur. Par arrèté ministériel du I I septembre, M. Emile De Laveleye, pro fesseur extraordinaire a la faculté de droit de l'université de Liége, est chargé de faire les deux cours d'économie politique et d'économie indus trials pendant l'année académique 18B3-t864. Par arrèté royal du 28 septembre, est nommé A l'école moyenne d'Ypres. Troisième régent, en remplacement de M. Boullienne, intéri- maire, qui repoitune autre destination, M. L. Raepsaet, aotuellement troi sième régent i l'école moyenne de Malines. •—mXSOSSWBia—— gBBZSgaawn.»

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L’Opinion (1863-1873) | 1863 | | pagina 3