m. S9 1§9 H§r Fèves LIVRSS m LECTURE chez Pélxx Lambin, iuiprinieur, rue de Dixmude, n° 55, a Ypres. générale pour favoriser l'lndiistric Nationale. mmmammmmrmmsmsm Des instructions détaillées entonrent chaque Boite et Pot. progrés, comprenant leur siècle, n'exposez pas 1'enfant arecevoir des impressions fausses. C'est élémentaire. Immense est l'influence de l'éducatjpn première sur toute 1'existence. Aux hommes du xix" siècle, il faut line education laïque dès le berceau. Nous avolis entendu plus d'nne fois des membres de l'administration communale regretter la faute commise, il y a bien des années. Espérons qu'ils se souviendront !en temps opporlun de ces regrets et qu'en cette circon- [stancela commune n'abdiquera plus ses droits et saura remplir ses devoirs. Disons encore, avant de quitter ce sujet, que M. \ran- heule exprime le clésir que le bureau de bienfaisance inscrive a son budget une somme de400 ou 500 francs qui, jointe aux sacrifices faits par l'autoritó locale, per- mettrait de faire une distribution journalière de soupe aux enfants pauVres de l'école gardienne. Grace aux nombreuses observations faites, un léger changement s'est opéré pour nos bibliothèques. On en 'est enfin arrivé a la separation des comptes. 600 francs est le subside accordé a la bibliotlièque populairequant a celui de la bibliotlièque publiqne, il est ramenc a son ancien chiffre de 1,400 francs. Cette modification aura pour résultat une plus grande régularité dans la compta- bilité, mais elle est bien peu de chose au point de vue de l'accroissement de notre dépot scientifique et littéraire. II suftit de voir les chiffres publics par nous,il y a peu de semaines, a propos del'examen du compte et du budget de la bibliothèque, pour se convaincre qu' une somme de 1,400 francs laisse peu de marge aux acquisitions, ab- Isorbée qu'elle est presque tout enticre par les frais d5administration. Une autre augmentation de 2.000 fr. est inscrite au budget en faveur- de F académie de dessin et d'architecture, ainsi que 245 francs pour la creation d'un cours de clarinette. Pourquoi précisément un cours de clarinette et non pas un cours de flute, de gui- [tare, de guimbarde, de grosse caisse ou de tambour de |basque? Lé collége échevinal a-t-il une preference mar quee pour la clarinette? Nous nous contentons d'effleu- ;rer la question sans oser la résoudre J|j Le Collége a monté de 200 francs le diapason de ses ^encouragements aux lettres, aux sciences et aux arts, Tc'est assez dire que dans son sein ne siégent n.i des ar tistes, ni des savants, ni des litterateurs. [lip Sur les subsides aceordés au culte est réalisée une P^économie de 1,000 francscette année a été payé le der- lï'|nier subside extraordinaire pour 1'ornementation de l'é- 'glise St-Martin. IH L'amortissement est supprimé pour 1866, comme i] ftl'avait été en 1865. M. lo boürgmëstré trouve la justi- ^|fication de. cette suppression'dans le fait que la ville a '"famorti, il y a quelques années, pour 27,000francs.Nous Savons déjaexprimé notre maiiière de voir sur ce système ■financier emprunté au nouvel empire francais inutile de jfeious répéter aujourd'hui. (A continuer). A la nouvelle de la mort du Roi, le drapaau national -Jen berne et voilé d'un crêpe a été arboré sur la tour de |j||Féglisc deSt-Martin. Des drapeaux en deuil flottentala &'facadedes edifices publics de la commune, denos socie ties particulières et de bon nombre de maisons. Le glas funèbre a été sonné en notre ville tous les Sisjours de Ia semaine, a 6 heures du matin, a midi et a s8 heures du soir. E TA T indiquant les quantitcs et le prix moyen des grainsfourrages et 'üutres produits agricoies vendus Ie 10 déc. 1865 sur le marché de la ville d' Ypres SS La soiree militaire, qui devait avoir lieu aujourd'liui décembre, est ajournée indéflniment. Toutes les au- xftres fêtes sont égalemont remises. Le grand Eoi Léopold était décoré de toute ordres di- ïJlvers; II anrait pu porter .sur sa poitrine trente les dcco- Srations de l'Europe s'il 1'avait voulu, car il les avait Routes. Ce fait n'a d'importance qu'en ce qu'i! démontre J|la haute confiance que sa hftule sagesse lui avait acquise idans toutes les chancelleries. Era Onguent ct PilulcM Ilollowoy.Vieux et Jeimes Ges gnobte* r« mè«leK ne sauraient être trup hautement «stimés par [^'influence -alutaire qu'is eicrcont sur e* nombrctise* m ila- $rli«s qui surviriiiit'itt n t«»H* es et dans toule» le» classes ]de la société. I.e« vieilles plaies Ie-* lYcères, les maux dejanri- gbes, et tomes les maladies de la peau, qui minuut secréten* ent la santé, et font de Pexislence mie t nlure prolongée. peuvent jétie rapidement guéries. a l'aide de ce deters if et curatif Oij- fgueut Holloway, seconde par sesdepuratives Pilules. Ces emè- es, tont simples quMs sont renferment le» meillenr» moy«'n» |de pié*etiir ou chasser la plu» grande pa» tie des mala lies qui ffligent le genr* humai», par ignorance, negligence. fatigue, |óu laisser-aller. Ilssont en cniiiéquence, 'ortemeut rccomniiu- dés a ceux qui nouffrent par suite d'incontinenc dujeuueste NATURE QUANTITÉS PRIX MOYEK POIDS des marchandis. vendues. par moyen (Ie VENDUES. Kilogrammes. cent kilogram. l'hectol. Froment 48,400 25-00 80-00 Seigle 16,800 .16-17 73-00 1200 21-00 44-00 800 22-00 80-00 1200 23-00 80-00 POPERINGHE. Prix moyen du marché du 15 décembre 1805. Froment, l'hectolitre18 53 Seigle12 00 Avoine 8 25 Pommes de terre, les 100 kilog 675 Beurre, le kilog. 2 90 Iloublon, les 50 kilog107-50 a. 113 00 AaBB6KS. Etat-civil du 8 au 15 décembre 1865. NAISSANCES. Sexe masculin4. Sexe féminin3. Total7. MAPI AGES. Duflon Auguste, tisserand et Talon Marie, dentellière. DÉCÈS. Burggi ■ave Agathe, 69 ans, laveuse. veuve d'Ignace Deslaef, Marché an bétail. Degryse Marie, 49 ans, journalière, épouse de Franqois Boyaert, rue de Menin. Derons Jaan-Baptiste, 73 ans. journalier, époux de Barbe Duhamecmv, Place de la prison. Longé Anne, 89 ans, veuve d' Albert Dernyter, Eue Gaspare! Konyn. Enfants au dessous de 7 ans. Sexe masculin 2. Sexe féminin 0 Total 2. JPOft»K4M.VjBBES3. Etat-civil du 8 au 15 décembre 1865., NAISSANCES, Sexe masculin 3. Sexe féminin, 4. MAEIAGES. Eabeau Lonis, 30" ans, garcon meunier avec Deliee- gher Sophie, 50 ans, vëuve, cultivatrice. Mórreau Francais, 25 ans, o.uvrier avec Vanhce Julienne, 28 ans servante. DÉCÈS. Vanhove Pierre, 78 ans, ouvrier, v.euf, rue des Chats r- Euekebusch Isabelle, 70 ans, particuliere, épouse de Louis Lava, rue d'Ypres. Boussaquey Marie Thèrèse '73 ans, ménagère. épouse de Francois Wallyn, rue de Messines. Enfants au dessous de 7 ans. Sexe masculin 1Sexe féminin - •- - SOCIÉTÉ établie aBruxelles. Anciennc Caisse il'lKpargiic fondée en 1831. Agence d'Ypiies, rue Vieux Marchc-aux-Bois, 6. Les fonds deposes a la caisse d'épargne produisent un intérêt annuel de 3 p. c., ils peuvent être retires en tout temps après court délai. Les obligatione ii terme de la Société Générale rap portent 4 1/2 p. c. l'an; d'autres obligations a èchéance indéteiminée produisent un intérêt plus élevé. La Société Générale éinet aussi des promesses portan intérêt jour par jour, a raison de 2 1/2 p. e. l'an. MEN SCHRIJFT IN Boggiié, boekhandelaar, Kalanderberg, 8, te Gent, en bij den drukker-boekhandelaar Félix LAMBIN,I Dixmudestraat55, te IJperen, op het FRANSCII-NEDEBLANDSCH en NEDERLANDSCH-I FRANSCH DOOK J.-F.-J. HERE MA NS, Professor aan de IIoogeschool\ te Gent. De uitgevers denken in eene algemeen gevoelde! behoefte te voorzien met de uitgave van een nieuw? Fransch-Nedcflanclsch en Nederlandsch-Fransch Woor denboek. Dit Woordenboek, door den heer Hekemans naar de béste bronnen bewerkt, bevat, wat het Fransche Ge deelte betreft de vertaling der verschillende beteeke- nissen niet alleenlijk van al de woorden, die in den I)ic- tionnairede F Académie' votfrkoriiën, maar bovendien van eene menigte andere, welke-in dit werk te vergeefs wor den gezocht. Voor het Nederlandsch Gedeelte werd eene bijzon dere zorg toegewijd aan de Spelling, voor welke de heer IIeremans de regels heeft in acht genomen, onlangs door de Koninglijke Commissie, waarvan hij verslagge ver was, voorgesteld,- en bij koninklijk besluit van den 21" november laatstleden aangenomen voorden Onder wijs derVlaamsche Taal in de Scholen en A thensca van den Staat, voor de Bestmirlijke briefwisseling, de ver taling der Wetten en Besluiten, en in liet algemeen voor al de Openbare Acten, die van eene wettige aan gestelde overheid uitgaan. Voorwaarden van BMêf.irkcisnsig Het Frar.seh - Kederlandsch en A'cder- laudsch - l'raiuteh Woordenboek door §j| J.-F.-J. HEREMANS, zal twee boekdoelen uitmaken. en in afleveringen van 80 bladijde», gr.in-8", op, tweeü kolommen, verschijnen. Liet getal afleveringen is op 24 geraamd, die elkan-| der om de zes weken zullen opvolgen. afüeveringen zijn veraelienen. Prijs 1 frank 25 c. ieder. émM f Ce remède est universelle- ment reconnu comme le plus efficace du monde. Toutes les maladies n'ont qu'une cause commune, savoir l'impureté dug sang, leqtiel est la source de la vie. Cette impureté est promp- tement rectifiée par l'usage des Pilules Hollowayqui agis- sent sur l'estomac et les intestins comme le dé- puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs propriétè9 balsamiques purifient le sang don- nent du ton et de l'énergie aux nerfs ainsi qu'aux muscles et fortifient le système entier. Cette médecine, mieux que toute autre, rétablit la diges tion. Elle opère de la fa$on la plus saine et la plus efficace sul les Reinselle régula- étions, fortifiele sys- (,q leme nerveux et réconforte le Sa^^ÊSSjSÖ^ó^'corpsentier.Même les personnes d'une constitution la plus délicate peuvent essayer sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants de ce remède, en régularisant les doses suivant les instructions imprimées qui entourent chaque boite. La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent, qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma- tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie. «e vendrnt ch« les Phitrmaclcn* fr. SO e., S fr. ft e. ct e fr. le Pof ou la Boite. Pour Ia Teute en gros,a'ndresser ehes le proprlétalre,IePnorESsKi;n HOI. E.O WAT ,244, Strand, Londrea. (N« 1.) DÉ POS ÉS. Bruxellt:. Imp. de la Publicité Commerciale, rue Fossé-aux-Loups. 9

HISTORISCHE KRANTEN

L’Opinion (1863-1873) | 1865 | | pagina 4