WOORDENBOEK, Bruxelles. Jmprimerie de V. Verteneuil, 85, rue de Louvain. Des instructions détaillées entourent chaque Boite et Pot. port des marchandises, qui, a peu de choses prés, sont mis sur le pied des tarifs réduils adoptés par l'Etat. Le 22 de ce mois, une vache atteinte du typhus contagieux, appartenant a P.-F. Dewilde, a Waer- schoot, a été abattue et eDfouie. Le 25, une autre vache appartenant aux enfants de G. De Meester, de la même commune, présentant des symplömes assez prononcés de typhus, a étéégalement abaltueet en- fouie. Plusieurs bêtes a eornes de ces propriétaires sont isolées en attendant l'autorisation de les abaltre pour les livrer a la consommation. On remarque depuis quelque temps, aux Halles du Pare, a Bruxelles, des lèguines qu'a leur beauté on croirait originaires de l'Afrique. Ces magnifiques produits de la culture maraichère, qui se vendent a bas prix, proviennent des écoles de réforme de Ruysselede, dans la province de la Flan- dre-Occidentale. M. le ministre de la justice a fait donner un grand développement a Sexploitation agricole de cesétablis- sements, et il a prescrit de diriger sur les marchés de la capitale tous les produits qui ne sont pas néces saires a l'alimentation des jeunes reclus. On estime a 20,000 fr. la somme.que rapporteront, en 1866, au Trésor public, les fruits et les légumes de toule espèce provenant du domaine de Ruysselede. Un cas de peste bovine a été constaté a Berchem, dans une étable sise prés de celle oü la maladie a été constatée dernièrement. Une vache attemte du fléau a été abattue mardi matin, 4 autres sont en quaran taine. Un cordon sanitaire a été établi. Escaut Le Foie et les Reins. Les pernicieux effets du froid et des vents pènetrants attaquent les constitu tions les plus solides et paralysent, eu même temps, les fonctions ordinaires de la peau ce qui occasionne une disproportion de sang sur les organes internes. Les seuls moyens de se préserver de maladies dans ces circonstances, consistent a augmenter les sécré- tionsdes organes engorges; ce qui est facile avec les Pilules Hoiloway. Elles rendront le foie et les reins a même de se soulager rapidement et sainement de toute congestion oppressive, en même temps qu'elles renou- vellent la circulation du sang, en l'egalisant. Ou ob- lieut eet excellent resultat saus aucun mecotnpte. Les Pilules Hoiloway purifient et fortifient tout a la fois. Elles ameliorent l'appètil et permetlenl qu'on se sa- tisfasse, sans les apprehensions de la dyspepsie ou des dungereuses maladies. Le médccin du vieux teuips. Nous avons entendu dire par un vieux docteur de village qu'avee un peu de calomel et une lancette dans sa poctie, il étail prèt A enlreprendre le traitement de quelque cas que ce soit. Nous ne pouvons que dire que nous avons pitié de ses inalades. Autant vaudrait êlre aux soins du digne Dr. San- grado dont les seuls spécifiques étaienl la saignée et l'eau cliaude. Nous entendons mieux les/choses actuellement. Le médecin moderne a entièrement mis de cölé la lancette et e'est 5 peine s'il se sertde calomel. La gloire de cette réforme, si bienfaisante pour le pau\re malade, est due. en grande partie, au Professeur Hoiloway qui, le premier, a prouvé au monde que de leis moyens violents n'étaient pas nécessaires et même que de meilleurs résultats pouvaient èlre produits par de plus doux instruments* Le monde était d'abord in- crédule; mais les succès de ces célèbres médicaments ont fini par triompher de toute opposition, et les principes sur lesquels il a travaillé, pendant le cours de sa longue et heu- reuse carrière, sont maintenant les principes fondamentaux de la profession. L'usage général. dans toutes les colonies, des célèbres Médecines Hoiloway, est une preuve indiscutable de leur faveur universelle. En remontant 5 trenle ans et, avec la sanction des millions de ses compatrioles, elles out été demandées dans les contrées les plus reculées de ce vaste cercle colonial oil le soleil n'a jamais pénétré. Le dicton que Nul n'est prophéte dans son pays trouve une exception pour le Professeur Hoiloway. Ses simples, inais rapides et effectifs remèdes out été appréciés, dés le principe, par toutes les classes du ptuple anglais et les experiences des aulres pays, n'ont fait que continner son verdict. Les princes et les polenlats ont donné librement des attes tations des puissantes proptiétés curaiives de ces médica ments. Les nobles de naissauce, comme ceux qui onl été annoblis, ont également reconnu en termes élogieux, mais des plus mérités, leurs extraordinaires pouvoirs A peine s'il se trouve nn journal dans le monde qui ait pu s'empêcher de faire connaitre au public les surprenantes guérisons que les Médecines Hoiloway ont effectuées. Pour jouir d'une bonne santé, il est de la dernière importance de lenir le sang dans une condition saine, paree qu'il est le fluïde vital, c'esl- b-dire le principe de la vie et, quand il n'est pas pur, ['orga nisation entière en est affectée Les Pilules Hoiloway clias- sentdu sang toute impureté et amènent le corps entier 5 une saiue action. Son Onguent se combine adinirablemeul avec ses Pilules, lorsqu'il est appliqué aux maladies externes. YI'RES. Etal-civil du 25 mai au 1or Juin 1866. NAXSSANCES. Sexe masculin 8. Sexe féminin 3. MARIAGES. Rosseel, Jean-Baptisle, journalier et Maerteri, Catherine, dentellière. Abeele, Charles, cabaretier et Vandenbussclie, Rosalie, dentellière. DÉCÈS. Slagmulder, Virginie, 28 ans, dentellière, épouse de Martin Lauwers, rue des Trèfles. Dinan, Jeanne, 88 ans, dentel lière, veuve de Jean Donchy, Marché-au-Bétail. Degrave Pierre, 70 ans, journalier, célibalaire, rue de Menin. Le- soone, Catherine, 91 ans, marchande, célibatrire, rue de Me nin.Mahieu, Martin, 77 ans, sans profession,veuf de Reine Seminck, rue de Dixmude. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 2. Sexe féminin 2. POPEISlftCilIE. Etat-civil du 25 mai au l6' Juin 1866. NAISSANCES. Sexe masculin 6. Sexe féminin 3. MARIAGES. Benoot, Pierre, veuf, 52 ans, corroyeur, avec Borret, Marie- Thérèse, veuve, 50 ans, ménagère. DÉCÈS. Holvoet, Marie-Josephe, 83 ans, propriétaire, veuve de Franfois-Joseph Charazyn, rue d'Ypres. Vrammout, Jean- Baptisle. 63 ans, cabaretier, époux de Marie-Thérèse Van- dromme, Grand'Place. Lebbe, Pierre, 76 ans, particulier, époux de Catherine Druanl, Hópital. Lebbe. Barbe, 71 ans, cultivalrice, épouse de Benoil Mahieu, Edwaerthoek. Ver- geele, Rosalie, 36 ans, ouvrière, épouse de Félix Van Renyn- ghe, Hipshoek. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 1. Sexe féminin 1. ET AT i?idiquanl les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles vendus le 2 Juin 1866, sur le marché de la ville d'Ypres. NATURE QUANTITÉS PRIX MOYEN POIDS hes marchandises VENDUES. PAR MOVEN DE VEN DUES. Kilogrammes. 100 kilogram l'liectol. Froment. 38.800 2"v75 80 00 Seigle 8,700 16-25 75-00 Avoine 2,000 25 00 44-00 400 25-10 80 00 700 26-UO 80-00 Poperinghe. Prix moyen du marché du 1Juin 1866. Froment, i'heclolitre18 28 Seigleoo Avoine8 25 Pommesde terre, les 100 kilog6 00 Beurre, le kilog80 Houblon, les 50 kilog000 00 MEN SCHRIJFT IN Bij Rogghé, boekhandelaarKalanderberg, 8, te Gent, en bij den drukker boekhandelaar Félix LAMBlN,Z)i'a;- mudestraat, 55, te Yperen, op het FRaNSCH-NEDERLANDSCH en NEDERLANDSCH- FRANSCH DOOR J.-F.-J. HEREMANS, Professor aan de Hoogeschool, te Gent. De uitgevers denken in eene algemeen gevoelde behoefte te voorzien met de uitgave van een nieuw Fransch - Nederlandsch en Nederlandsch - Fransch Woordenboek. Dit Woordenboek, door den heer. IIeremans naar de beste bronnen bewerkt, bevat, wat het Fransche Gedeelte betreftde vertaling der verschillende be- teekenissen niet alleenlijk van al de woorden, die in den Dictionnaire de l'Académie voorkomen, maar bo ven dien van eene menigte andere, welke in dit werk te vergeefs worden gezosht. Voor het Nederlandsch Gedeelte werd eene bijzon, dere zorg toegewijd aan de Spelling, voor welke de heer Heremans de regels heeft in acht genomen, on langs door de Kooinglijke Commissie, waarvan hij verslaggever was, voorgesteld, en bij koninklijk bes luit van den 21" november laatstleden aangenomen voor den Onderwijs des Vlaamsche Taal in de Scho len en Athensea van den Staat, voor de Bestuurlijke briefwisseling, de vertaling der Wetten en Besluiten, en in het algemeen voor al de Openbare Acten, die van eene wettigo aangestelde o /erheid uitgaan. Voorwaarden van Enteekening Het Fransch Nederlandsch en Nederlandsch- Fransch Woordenboek, door J.-F.-J. HEREMANS, zal twee boekdeelen uitmaken, en in afleveringen van 80 bladzijden, gr.iu-8°, op twee kolommen,verschij nen. Het getal afleveringen is op 24geraamd^ die elkan der om ue zes weken zullen opvolgen. o afleveringen zijn verschenen. Prijs 1 frank 25 c. ieder. Ce remêde est universelle- ment reconnu comme le plus efficace du monde. Toutes les maladies n'ont qu'une cause commune, savoir l'impureté du sang, lequel est la source de la fjj|p vie. Cette impureté est promp- tement rectifiée par l'usage des Pilules Hoilowayqui agis- sent sur l'estomac et les intestins comme le dé- puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs propriétés balsamiques purifient le sang don- nent du ton et de l'énergie aux nerfs ainsi qu'aux muscles et fortifient le système entier. Cette médecine, mieux que toute autre, rétablit la diges tion. Elle opère de la faqon la plus saine et la plus efficace sur le Foie et les Reinselle regula rise les sécrétions, fortifiele sys- ;tème nerveux et réconforte le 'corps entier.Même les personnes d'une constitution la plus délicate peuvent essayer sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants de ce remède, en régularisant les doses auivant les instructions imprimées qui entourent chaque boite. La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent, qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma- tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie. «c vendent ehez le» Pharinacten» f fr. SO e., S fr. IS e. et O fr. le Pot on la Bofte. Pour laTente en gros,s'adresaer chez le propriétaire,le Professeur HOLLOWAY^i^Straod, laondres, (no 1.) DÉ POS ÉS.

HISTORISCHE KRANTEN

L’Opinion (1863-1873) | 1866 | | pagina 4