ITcmnêt"dêTadlêh" CHI IIURGIEN-D EN EISTE Des instructions dètaillées entourent chaque Boite et Pot. rent, appreridront avee un sentiment de joie et de fierte bien legitimes que S. S. Pie IX! vient d'être ho- rioré d'une grande medaille a I'Exposition universelle, oü la maison papale a voulu être représentée par les rnosaïques de saint Pierre, son premier londateur. Cette nouvelle el. haute consecration de I'aliance des choses du ciel avee celles de la terre sera un pré- cieux encouragement pour Ie monde a la fois religieux et caimmerQant a qui notre epoque doit dèja la trans- formalion du clottre en dislillerie et Pingénieuse fu sion du spirituel avec le spiritueux. Nous voyons dans un vieux bouquin que saint louis. qui régnait comme on sait, en 1267, eut I'hon- neur de porter la première perruque. Les medecins lui recommandérenl de couvrir sa tête chauve pour se preserver du l'roid, et ce fut l'aimable reine Blanche qui concut l'idée de faire ce couvre-chef en cheveux. A celte fin, la reine demanda une mêche de cheveux a chaque corn'.isan dont la chevelure resseinblail a celle que le roi avait perdu. Une jeune et charmante femme, qui ne connail a son heureux epoix d'aulre tort que celui de pau\oir être sm père, IVngageait a rentrer au salon Tu vas t'enrhumer, mon ami Mais non, rrion enfant Enfin... je te prèviens et tu sais un homme prévenu en vaut deux. C'est done pour cela répondit le marique tu me previens si souvent? La veritable noblesse l'n important sujet. Tout travail, même le filage du eoton, est noble. Le travail seul est noble. Que ce soit ditetassuré une fois de p us, dil Carlyle. Mais, nous devons nous rappeler qu'il y a des degrés dans la noblesse. La plus haute noblesse est celle de la bienfaisance. Un hon- nête homme. dil le poële, est le plus noble travail de Dieu. Nous n'avons aucun embarras a élendre cette sentence. La plus grande creation de Dieu est l'homme qui est non-seulement honnête, inais qui fait le plus grand bien. Le plus grand de tous les bienfaits de ce monde est la santé. Et comme la condition mentale depend de la condition physique, les resullais d'une bonne santé ne doivent pas être regardés seulement comme un simple avantage matérie!. Aiors, qui est le plus grand de tous les bienfaileurs du genre humain C'est, sans aucun doute, celui qui nous met a même de restaurer notre santé detériorée, ou de la conser- ver, quand el ie est en bon etat. Le secret de restaurer ou copserver la santé a ele la plus grande preoccupa tion des philanthropes modernes, comme c'etail au trefois', la pierre philosophale des anciens alchimistes. Ce secret a èlé decouvert et, par la, son inventeur s'esl monlré, non-seulernenl le plus grand philosophe, mais encore le plus grand philanthrope qu'on ait \u dans le mondejusqu' i cejour. La question qui est-ii a ete faite par des millions de personnes que la re- ponse a complélement satisfails. Le Professeur Hollo- way a répandu sur l'humanite plus de bienfails que tous les soi-disarils reformateurs et pseudo-pliilau- thropes qu on ait vus. La reputation de ses Pilules et de son Onguent a peuetre jusque cuez les nations les plus reeulees de la terre el leur usage a repandu, eu tous lieux la santé et la jouissance qui, dans d'innom- brables families, en sont la consequence. Depuis les caps fermes j>ar les glacés du Japon jusqu'aux tn ü- lanles cótes de la Mèdiierrannée, du sommei glacé des Monls Ourals aux cètes Orientales de l'Atlanlique, il n'y a pas une cite, pas une viile, pas un village de la moindre importance oil ces medicaments ne se trou- venl. Le missionnaire ne met guère autre chose dons sa phurmacie portative, et, peur la sienne, le marin n'a jamais d'aucun autre assortiment. Ces Medecines conviennent parfailement aux maladies qui survien- nent dans tous les climats Elles n'ont jamais manque de guerir, nila, ni anleurs. Amis, nous no nous lais- sons aller a aucune exagèration nous defions la con tradiction puree que nous relatons ce que nous savons être la verite. Si vous étes malades, essayez de ces Medecines et, alors, vous uous direz si nos allegations sout foudées. Nous sommes certains de voire deci sion. Onguent et IMlules Slolioway. Les maladies d'un caraclère des plus graves et des plus chrouiques, out ète gueries par les remèdes Hoi- way. Di s ulcerations qui avaient résislé a tout autre remède out facilement cécle a I'influence purifiante et régénerati ice de eet excelleni O iguent. Les entorses, les articulations, les glandes enfloes et lés muscles contractes, sont traites de la rnaniere la plus süre et la plus effective par les remèdes Holloway qui ne peuvent faire aucun inal dans aucune circonstance. Bien de delelere n'énlre dans leur composition; ils sont essénliejlemeut purifiunts et fortifianls par leur nature. Le pouvoir coinhiné de ces nobles remedes les rend aptes a lutler avantageusement contre les afif ctions les pins graves et a guerir, ou tout au moins a soulager la plupart des maladies. YPKES. Etal civil du 7 au 14 Juin 1867. NAISSANCES. Si'xe masculin 2 Sexe féminiu 4. MAR1AGES. Carton, Frédéric, maréchal-ferrant, et Debrouwer, Ma- thil.de, di ntellière.Boulens, Charles, maréchal-ferrant, et Gryson, Marie, dcnlellière. DÉCÈS. Harre, Philippine, 72 ans, jonrnalière, éponse de Joseph Strobbe, rue de Menin. Zeurinck, Dololhée. 79 ans, denie - lière, célibalaiie, rue de l'Höpital St-Jean. Damry, Bernard, tiO ans, militaire pensionué, veuf de Marie Colley, rue de Lille. Enfanis au dessous de 7 ans Sexe masculin 0 Sexe féminin 1. POi»iptlliOIIE. Etat-civil du 7 au 14 Juin 1867. NAISSANCES. Sexe masculin 3. Sexe féminin 5. MARIAGES. Gesquiere, Benoit. 59 ans, domeslique, célibataire, et Du- poucheau, Amélie, 32 ans, ouvrière, veuve Dequidt. Enfants au dessous de 7 ans Sexe masculin 0. Sexe féminin 1. ETAT indiquanl les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produüs agricoles vendus le 8 Juin 1867, sur le marché de la ville d'Ypres. NATURE QUANTITÉS l'RIX MOYEN POIUS DES ARCUANDISES VENDUES. DAK MOYEN DE VENULES. Kilogrammes. 100 kilogram l'hectol. Froment. 29 8 .0 34 57 80 00 Seigle 7.600 23 17 75-00 Avnine 000 23 50 44 00 f OliO 23-00 8U-0 i 1,60(1 23-25 80 -00 3kO]>ci*iiiglic. Prix moyen du marché du 14 Juin 1867. Fromenl, Pheclolitre00 00 Seigle14 00 Avoine9 25 Pommesde terre, les 100 kilog10 50 Beurre, le kilog2 70 llouhlnn, les 50 kilopf. 102 5 105 est transfere Piace de Louvam, 3, a Bruxelles. M. ADLER est le seul denliste ayant obtenu une meniion honorable de la Eaculte de Mèdecine pour ses dentiers artifieiels. On peut le consulter lous les lundis chez M11' Jaspin, libraire, Grande Place, a COURTRAL MEN SCHRIJFT IN t By RogghE, boekhandelaar. Kalanderberg8, te Gent, en bij den drukker boekhandelaar Félix LAMIilN.Dicc- mudestraat, 59, te Yperenop het FRANSCH-NEDERLANQSCH en NEDERLANDSCH- FRANSCH DOOR J.-F.-J. IIEREMANS, Professor aan de Hoogeschool, te Gent. De uitgevers denken in eene algemeen gevoelde behoefte te voorzien met de uil-gave van een nieuw Fransch - Nederlandsch en Nederlandsch - Fransch Woordenboek. Dit Woordenboek, door den heer Hekemans naar dé beste bronnen bewerkt, bevat, wat hel Fransche Gedeelte betreftde vertaling der verschillende be- teekenissen niet alleenlijk van al de woorden, die in den Dictionnaire de l'Académie voorkomen, maar bo ven dien van eene menigte andere, weikeindit werk te vergeefs worden gezocht. Voor het Nederlansch Gedeelte werd eene bijzon dere zorg toegewijd aan de Spelling voor welke de heer Herëmans de regels heeft in acht genomen, on langs door de Koniuglijke Commissie, waarvan hij verslaggever was, voorgesteld, en bij koninklijk bes luit van den 21° november laatstleden aangenomen voor den Onderwijs des Vlaarnsche Taal in de Scho len en Aihentea van den Slaat, voir de Bestuurlijke br el'wisselmg, de vertaling der Wellen en Besluiten, en in het algemeen voor al de Openbare Acteu, die van eene wettige aaugeste de o/erbeid uitgaan. Voorwaarden van Inteekening liet Fransch Nederlandsch en Néderlandsch- Fransch Woordenboek, door J.-F.-J. IIEREMANS, zal twee boekdeelen uitmaken, en in afleveringen van 80 bladzijden, gr.in-8°, op iwee kolommen,verschij nen. Het getal afleveringen is op 24geraamd, die elkan der om de zes weken zullen opvolgen. 14^ afleveringen zijn verschenen. Prijs 1 frank 25 c. ieder. Ce remède est universelle- ment reconnu comme le plus efficace du monde. Toutes les maladies n'ont qu'une cause commune, sa voir l'impureté du| sang, leqnel est la source de la vie. Cette impureté est promp- a tement rectifice par l'usage des |jg Pilules Holloway qui agis- sent sur l'estomac et les intestins comme le dé- puralif par excellence, et qui, au moyen de leurs propriétès balsamiques purifient le sangdon- nent du ton et de l'énergie aux nerfs ainsi qu'aux muscles et fortifient le système entier. Cette médecine, mieux que toute autre, rétablit la diges tion. Elle opère de Ia faqon la plus saine et la piu3 efhcace sur le Foie et les Reins; elle régula- rise les sécre'tions, fortifie le sys- a tème nerveux et réconforte le ESScorpS entier.Mème les personnes d'une constitution la plus délicate peuvent essayer sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants de ce remède, en régularisant les doses suivar.t les instructions imprimées qui entourent chaque boite. La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent, qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'uleères. Ce célèbre Onguent est un curatif infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma- tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie. Se venrtent ehe* les Phitriiinclena f fr. SO c., S fr. 9 c. et O fr. le pot en la Bolle. Poor la Venle en gro^a'adreaaerchczlepreprlétatre.lePROFKSaEL'R HOLLO WAY,244,«trend,* (.endree. (N° 1.) DÉPOSÉS. Bruxelles. hnprimie de 1'. Verteneuil, 93, mede Louvain.

HISTORISCHE KRANTEN

L’Opinion (1863-1873) | 1867 | | pagina 4