LE LIBRE EXAMEN Cl Francs par An. Cabinet de lecture, rue de Dixmude, 89, Ypres. CHI R URGIEN - DEN EISTE Des instructions détaillées entourent chaque Boite et Pot. loup, également 20 ans; un renard, 14 a 46 ans. Les lions vivent longlemps un lion du Jardin zoo- logique de Londres a atleint l'êge de 70 ansles écu- reuils et les lièvres vivent 8 ans les lapins, 7 ans. II est prouvé que des éléphants ont vécu 400 ans. Lorsque Alexandre-le-Grand ent vairicu Ie roi Indien Porus, il consacra au soleil un èiéphant qui avait com battucourageusement pource roi, el Ie nomma Ajax. II Ie mit en liberté après lui avoir attaché une inscription. On retrouva I'animal 850 ans plus lard. Les porcs aiteignent l'êge de 20 ans; Ie rhino ceros ne vit que 25 ans. 11 y eut un cheval qui vécut 62 ans; l'êge moyen de la vie du cheval est de 25 a 30 ans. Les vaches vivent environ 25 ans. Cuvier suppose que les baleines vivent 1,000 ans. Les dauphins et les espadons alteignent l'êge de 30 ans. Un aigle mourut a Vienne a l'êge de 108 ans, Un M. Mallerton possède Ie squeiette d'un cygne qui a vécu 307 ans. Les pelicans vivent 62 ans, les tortues vivent sou vent jusqu'a 100 ans. Les ravages des tigres anthropophages, dans les districts de l'lnde centrale,sont tellement sérieux, que l'on a mis des éléphants a la disposition des officiers du district, pour les mettre en èlat de détruire ces feroces animaux. Le tigre ordinaire n'altaque que Ie bétail, et la re compense de 50 r. est suffisante pour exciter les in digenes a le chasser. Mais il n'en est [tas de mêtne du ■tigre anthropophage. Gelui ci tue une vinglaine d'hom- ntes par an et aucun chasseur indigène ne consent ordinairement a le chasser. Le capitaine Fraser, su- rintendant de police du district de Bhundara, donne des details sur la manière dont a éte tué un tigre an thropophage des plus dangereux, dans le voisiuage de Kampta. Cet animal avait enlevé de sa maison une jeune femme gondnee, le 20 decembre, au point du jour. Gette malheureuse était en train de broyer du grain avecdeux de ses cornpagnes, lorsque le tigre s'élanca au milieu du groupe et saisitsa victime. On retrouva a dix pieds au-dessus du sol, sur les pointes d'une pa- lissade de bambous, des fragments de rubans rouge qui servaient <f retenir les cheveux de la pauvre femme. Quant au corps lui-même, on te retrouva sur le bord d'un ravin la tête seule avait ete man- gee, Quand le capitaine Fraser revint au village, il fut accueilli par toutes les femmes, qui vinrenta sa ren contre et lui firent une reception jojeuse avee tous les musiciens de la locahte. Les mères tendaient leurs enfants vers lui, et tous les habitants s'elïorcaient a l'euvi de lui tèinóigner leur gratitude. Les ehaiiteurs Languedociens. On nous annonce l'arrivée dans notre ville de celte Société chorale dont les journaux disent le plus grand bien. Voici en quels termes un de nos confrères annonce rècemment l'arrivée de ces artistes dans une des villes des environs Nous apprenons l'arrivée prochaine d'une So ciété, qui, sous le titre de Chanteurs languedociens, vient d'accomplir, avec le plus brillant succès, une longue peregrination arlistique dans le ceutre et dans le nord de l'Europe, après s'être fait entendre dans les principales viiies d'Alletragne. Ces infatigables pèlerins ont charmé tour a tour les dilettanti couronnésl'aristocratie comme les classes popplaires de la Russie, de la Pologne, de la Suède et du Danemark. Schamyl, le héros legendaire du Caucase, a ou blie un moment, a Kalougua, les tristesses de son exil en éooutant les chauls melodieux des enfanls du Languedoc. lis viennent d'être couverts d'applaudissemcuts a leur passage a Paris, Lille, TournaiMons, Bruges et Courtraiet vieuneut chercher parmi nous les meines succes. i> Notre viile, comme l'ont déja fait toutes les grandes villes de France, ne saurait manquer de faire un accueil sympathique aux vaillants jeunes geus qui ont si bien representé a l'elranger ce goüt musi cal et poètique qui distingue les provinces du midi de la France. Les chanteurs languedociens ont eu l'honneur d'être adrais, le 12 décernbre dernier, au palais imperial de Compiègne, auprès de LL. MM. Impé riales. Unguent et IMIules Si»lloway, Toux el Grippe. Les proprietés curatives de ces medicaments les rendent dignes d'être essayés pour toutes les maladies des orgaues respiratoires. Dans les rhumes ordinaires et la grippe, les Pilules Hollovvay, combinées avec son Onguent, qu'ondevra frotter sur la gorge et l'esloin'a'c, sont exclusivement efïïcaces. Si la grippe est epidémique, ce trailemen! est le plus facile, ie plus sain et le plus certain. Les Pilules Holloway purifient le sang, chassenl tous les obstacles a sa libre circulation, a travers les pou- mons, soulagent les vaisseaux aériens, et rendent la respiraiion libre, sans restreindre la force, ni irriter les nerfs, ni abattre la vigueur. Tels sont les moyens loujours prêts de guerir quiconque est affligé de rhumes, toux, bronchite, el autres affections de poi- trine qui, dans la plupart des pays, soul si commons, si graves et si tenaces. YPIIEK. Etal civil du 1" au 8 Novembre 1867. NAISSANCES. Sexe masculin 7 Sexe féminin 6 'MARIAGES Thooris, Hcnri, sculpteur, et Uelhoor, Julie, sans profes sion. DÉCËS. Vanuxem, Jean Baplisle. 76 ans. sans profession, époux de Marie Detnrrk, rue de Thourout. Kieser, Marie. 85 ans, sans profession, célibataire, lUarchéau Bois. Busevne, Ca therine, 66 ans, dentelKère, veuve de Placide Fauchey, rne <le Menin. - Philippe, Dorothée, 69 ans, couturière, épouse de Jean Salomez. rue de Menin. Lefehvre, Pierre, 31 ans, barbier, époux de Xaviére Malihieu, rue de Lille. Nevejans, Théophile, boutiquier, épouxde Rosalie itlieroo, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 1 Sexe féminin 2 Poperinglte. Prix moyen du marché du 8 Novembre 1867. Froment, l'heclolitre32 88 Seigle 18 30 Avoine11 50 Pommes de terre, les 100 kilog9 50 Beurre, Ie kilog3 00 Houblon, les 50 kilog110 00 ET AT indiquanl les quantités et le prix moyen des grainsfour rag es et autres produits agricoles vendus le 9 Novembre 1867, sur le rnwché de la ville d'Ypres. NATURE DES ARCI1AN DISES VENDCES. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX MOYEN tak (00 kilogram POIDS MOYEN DE t'hectol. Froment. 21.600 44-25 80-00 Seigle 4,000 29 00 73-00 000 00-00 00-00 Pois «00 27-50 80-00 200 27-00 80-00 I'OPEUMitiHË. Elat-civil du 1" au 8 Novembre 1867. N AISSANCES. Sexe masculin 3. Sexe féminin 4. MARIAGES. Cappelaeye, Albert, 46 ans, ouvrier, veuf, avec Vermeulen, Bernardin, 44 ans, dentellière, célibataire. Logie, Henri, 29 ans, domeslique, célibataire, avec Vilse, Julienne, 27 ans, ouvrière, célibataire. DÉCÈS Vandezande, Francois, 54 ans, tonnelier, époux de Louise Deschodt, rue de Cassel. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 2. Sexe féminin 1. est transfóre Place de Louvain, 3, a Bruxelles. M. ADLER est le seul dentiste ayarit obtenu une mentiou honorable de la Faculté de Médecine pour ses deuliers artificiels. On peut le coiisulter tous les lirndis chez Mu* Jaspin, libraire, Grande Place, a COUIITRAI. •ïournal philosaphiquc, politique et littéraire, Paraissant les les 10 et 20 de chaque mois Abonnements, payables d'avance Le Libre Examen est envoya litre d'essai, GRATIS, pendant un mois, a, toute personne qui en fait m demande. S'adresser, par lettre affranchie, 8, rue de la Sa- bionnière, a BRUXELLES. Ce remède est universelle- ment reconnu comme le plus efficace du monde. Toutes les maladies n'ont qu'une cause commune, savoir l'impureté du sang, lequel est la source de la vie. Oette impureté est promp- tement rectifiée par l'usage des _1 Pilules Holloway qui agis- ""MM»' sent sur Testomac et les intestins comme le dé- puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs proprietés balsamiqnes purifient le sang don- nent du ton et de l'énergie aux nerfs ainsi qu'aux muscles et fortifient le système entier. Cette médecine, mieux que toute autre, rétablit la diges tion. Elle opère de la faqon la plus saine et la plus efficace sur le Foie et les Reinselle regula rise les sécrétions, fortifie le sys tème nerveux et réconforte le corps entier.Même les personnes d'une constitution la plus délicate peuvent essayer sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants de ce remède, en régularisant les doses suivant les instructions imprimées qui entourent chaque boite. La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent, qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma- tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie. Be vendent ehee le« PharmackeDM A fr. SO c., 3 fr. 9 5 e. et Ir. le Pot an la Boite. Pour la Teute en gros,s'adretf«er cbez le pr«prlétalre,lePropkssecr aOLLOWAY,2&4y§trand, Ltndrc» (N« 1.) DÉ POSÉS. Br 'uxelles. Imprimerie de VVerleneuil93, i ne de Louvain.

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L’Opinion (1863-1873) | 1867 | | pagina 4