D'OIGNONS FLEURS de Hollande. R1CHE COLLECTION J. FLAMENT, schote (Luzerne), 2,500.Idem de Messines Neuve- Eglise, 1,800. Idem reliant la chaussèe d'Ypres Neuve-Eglise a celie d'Ypres a Bailleul, 1,400. Idem de Boesinghe a Langemarck, 2,500. Idem de Reninghelst a Vlamertinghe, 2,500. Idem de Kem- mel a Wytschaete, 5,000. Par arrêté royal du 9 septembre Le subside suivant, imputable sur le chapilreVIII, art. 30 du budget du département de la justice (exer- cice 1868), est aecordé Fr. 2,988 au conseil de fabrique de l'église de Bixschote, pour les travaux dont l'exécution a cette église a été autorisée par arrêté du 10 fevrier 1867. La demoiselle Schaw, Philomène, élève dipiomée de l'école normale d'Hèrenthals, et ancienne sous-in- stitutrice a Louvain, a été nornmée, le 27 juin 1868, aux fonctions d'institutrice communale a Ypres. I AITS RI YESES. Tout le monde croit que les miliciens de 1861 et 1863 ont été rappelés pour se familiariser avee le maniement du fusil Albini. S'il faut en croire une correspondance adressée de Bruxelles au Progrês de Verviers, on les exerce tous les jours, pendant deux beures, avec le fusil ou la carabine ancien système. Est-ce possible? [Economie.) On dit souvent qu'un malheur ne va pas sans un autreen voici une preuve nouvelle. Le nommé C..., de notre ville, est marié et père de deux enfants. Malheureusement pour lui, il est de la classe de 1861 aussi a-t-il dü,comme tant d'autres, abandonner sa familie pour se rendre au camp. Sa- medi, la femme C... étant sortie, avait Iaissé seul a la maison un de ses enfants, êgé de 2 ans. Le petit, livré 5 lui-même, voulut jouer avec une chandelle ailuméeil la fit tomber sur lui, ses vêtements pri- rent feu. II a succombé dans la nuit de dimanche a fundi. Journal de Huy.) Au printemps dernier, nous avons dit que la So- ciété des cultivateurs de Ghistelles avait adressé aux autorités communales quelques plantes de pommes de terre de Norwége pour en faire la plantation a titre d'échantillons. M. le bourgmestre Libert de Bos- sut-Gottechain, nous fait connaltre les résultats obte- nus chez lui J'ai planlé, dit-il, douze pommes de terre petites, pesant en tout un demi-kil. J'en ai récolté cinq cent et vingt-unepesant en tout trente-cinq kil., soit 70 pour cent. Malheureusement ce magnifique résultat n'a pas été obtenu par d'autres planteurs et nous avons tout lieu de croire que M. Libert restera un des rares pri vilégiés. D'autres plantes venant du Midi de la France, plantées dans un même terrain que celles de Norwége, ont donné un résultat triple. On écrit de Bruxelles Le brouillard humide de la fluit, succédant a la sé- cheresse résultant des grandes chaleurs que nous avons traversées, a déterminé la chute des feuilles sur nos boulevards. Ge matin le moindre souffle de ventemportait la parure des arbres, déja roussie de- puis quelque temps, comme si nous étions a la fin d'octobre. Nous ne nous souvenons pas d'avoir vu tomber les feuilles a pareille époque. Les hirondelles ont abandonné Paris depuis quel ques jours. Malgré le temps magnifique qui règne en ce moment, on ne voit plus un seul de ces oiseaux vol tiger le long de la Seine ou autour des édifices sur lesquels ils ont l'habitude de construire leurs nids. Généralement les hirondelles ne s'éloignent pas si- tót de nos climatsleur départ précipité cette année serait-il l'indice de froids précoces et dont la venue aurait pour résultat la disparition des insectes dont se nourrissent ces oiseaux G'est ce que l'avenir nous apprendra. Depuis quelque temps, Ia pleuropneumonia exsu- dative règne dans les étables de quelques cultiva teurs de Desteldonck. Depuis Ie 1" de ce mois, sept bêtes ont du etre abattues dans diverses fermes. Quatre vaches encore malades sont en traitement. On écrit d'Oosseling (Hollande) Le typhus s'est malheureusement propagé parmi les bêtes bo vines de cette commune. Gomme nous n'avions pas de locaux pour y enfermer les animaux malades, qu'on est obligé d'isoler du troupeau sain, nous avons recours a deux tentes. La province a fourni I'une, la commune fournira l'autrenous espé- rons nous tirer d'affaire de cette facon. La peste bovine a éclaté aussi a Berkel-et-Ro- denrijs. Ce n'est que vers le commencement du xvm6 siècle que l'acajou fut pour la première fois introduit en Angleterre. Un capitaine de navire en avait apporté des Antilies quelques poutres, qu'il avait emportées comme lestil en fit présent a son frère, le docteur Gibbons, qui justement se construisait une maison. Mais le bois fut trouvé trop dur par les charpentiers et on le mit dans quelque coin. Plusieurs mois après, Ia femme du docteur ayant besoin d'une planche, dans sa cuisine, on en scia une dans un des troncs d'acajou en Ie polissant, on fut émerveillé de la cou leur et du brillant de la planche le docteur alors s'en fit faire un bureau. La duchesse de Buckingham vit ce meuble, et bientót lout ie monde a la cour ne vou- lait plus que de l'acajou. Falsifications du genièvre. Les substances que l'on emploie pour falsifier le genièvre sont le sous- carbonate de potasse et l'alunelles servent a le cla- rifier quand il a été troublé par une addition d'eau. On emploie aussi l'huile de vitriol et l'huile d'a- mandes; ces deux iugrédients servent a faire perier Ia liqueur. On se sert aussi de graines de paradis, espèce de poivre rougealre de Ia grosseur d'un petit plomb de chasseon l'emploie pour remplacer l'esprit qui manque, car la sophistication du genièvre consiste surtout a l'étendre d'eauon y met de l'eau d'abord, et pour lui rendre- le goüt et les qualités enivrantes qui lui manquent, on a recours au coculus indicus. La falsification du genièvre est le fait non du distilla teur, mais du dèbitant. Cet extrait prouve clairement que, comme conse quence de la falsification, le prix de cette boisson est descendu si bas, qu'avec quelques centimes on peut en acheter une quantité suffisante pour enivrer une personne aussi pourrait-on prévenir cette tromperie par une active surveillance. (Frère-Orban, De Tabus des boissons enivrantes.) Avis au Commerce. AVANCES tout Commercant honorable, désireux de donner de l'extension a ses affaires, ou momenta- nément embarrassé, sur sa simple signature et sans garantie a fourniropération simple, frais très-mi- nimes, résultat immédiat, discrétion absolue. Ecrire franco au Directeur du Comptoir industriel ft commercial, route d'Asnières, 158, a Clichyprés Paris [Seine) Un très-grand nombre de négociants et de produc- teurs, n'ayant pas de représentant a Paris, ne peu- vent profiter de ce grand débouché pour écouler leurs produits. Le Comptoir industriel et commercial se charge, moyennant une faible commission, de la vente de loutes espèces de marchandises, dans de bonnes con ditions vins et spiritueux, huiles, cafés, soies, laines, métaux, tissus, produits manufactures, etc., etc. Pour donner toute facilité aux négociants dont il se charge de vendre les marchandises, il leur avance, de suite, en espècesune forte partie de la valeur des dites marchandises. Ecrire et envoyer franco les échantillons au Direc teur du Comptoir industriel et commercial, route d'As nières, 158, a Clichy, prés Paris (Seine). Nous apprenons que M. Adler, cédant aux sollici- tations de sa clientèle, viendra un jour tous les mois a Ypres. G'est une heureuse nouvelle pour notre ville, car la réputation, le talent et l'estime générale dont il jouit depuis de longues années sont un gage de confiance pour des personnes qui ont recours a son art. N'oublions pas qu'il est le seul dentiste dans toute la Belgique qui a eté couronné d'une mention honorable de la Faculté de médecine. M. Adler a déja produit plusieurs ouvrages remar- quables, entr'autres 1 'Osteologie, traité sur l'artden- taire, en vente chez tous les principaux libraires de Bruxelles. Onguent et Pilules Slolloway. Remède pour les affections du foie et de la bile. Ceux qui souffrent de ces maladies devront essayer des effets de ce précieux remède. Quelques doses rendrontau malade son èlasticité et sa vigueur, chas- seront toutes les impuretés, donneront une saine ac tion au foie et fortifieront l'estomac. Si on laisse les attaques de bile se continuer sans employer ce pré- ventif, les accidents les plus graves peuvent en ré- sulter, et Ie malade peut s'exposer a rester alité. Les Pilules Holloway sont un remède extraordinaire, agissant immédiatementen chassant L'acidité de l'estomac, l'indigestion, la dèbilité, les nausées, pré- parant la nourriture pour l'assimilationrendant chaque organe tributaire parfait dans ses fonctions, et en stimulant les reins. YPRES. Etal-civil du 11 au 18 Septembre 1868. NAISSANCES. Sexe masculin S. Sexe féminin 3. MARIAGES Kestelyn, Pierre, boulanger, et Thieuw, Florence, sans paofession. DÉCÈS. Donny, Hortense, 40 ans, sans profession, épouse de Ber nard Cruyplants, rue au Beurre, Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin =4. Sexe féminin 7. POPËU1XGHE. Etat-civil du 11 au 18 Septembre 1868. NAISSANCES. Sexe masculin 4. Sexe féminin 1. MARIAGES. Decool, Charles, 26 ans, boulanger, célibatairc, et Leicher, Julie, 30 ans, particulière, célibataire. DÉCÈS. Deraeve, Lucie-Rosalie, 34 ans, célibataire, servante, Ham- hoek. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 3. Sexe féminin 3. Poperinghe. Prix moyen du marché du 18 Septembre 1868. Froment, l'hectolitre24 10 Seigle46 00 Avoine40 75 Pommes de terre, les 100 kilog7 Oo Beurre, Ie kilog3 60 Houblon, les 50 kilog6S A 72 limn—buih—«mmmmct——aa— ET AT indiquanl les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles vendus le 19 Septembre 1868, sur le marché de la ville d'Ypres. NATURE DES ARCHAND1SES VENDUES. Froment. Seigle Avoine Pois Féves. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX MOYEN PAR 100 kilogram 62 700 14,900 500 1,100 800 29 75 22 25 25-00 25 30 27-00 POIDS MOYEN DE l'bectol. 80-00 73-00 44-00 80-00 80-00 BULBES, GRIFFES et PATTES PLANTER en AUTOMNE, TÉLS QUE Jacinthes, Tulipes, Glaïeuls, Lis, Narcisses, CrocusIris, Anémones, Renoncules, etc., etc Les plus beaux genres connas sont disponibles a des prix très-modérés. Le prix-courant est envoyé franco aux personnes qui veuient bien en faire la demande. Le port des envois, même les plus minimes, est a ma charge. Nègociant en graines potagères, graines de fleurs.etc. Fournisseur de la Société impériale d'Horticulture et d'Acclimatation de Nice, a LEUZE (Hainaut). Vente en Gros et Exportation. V

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L’Opinion (1863-1873) | 1868 | | pagina 3