IJ C0NC1LE dCllMÉMQlJE DE 1869 AVIS. GELD-VËRL00SUNG 250,000 ]\ur 2 Thlr. Pr. Crt. A. GOLDFARB, Grande Publication d'actnalité religieose 12 ILLFSTRÉ tinent européen,demande trois ans et cent cinquante millions. Le temps est peu de chose et l'argent n'est riert, en comparaison de la grandeur des avanlages commer- ciaux qui résulleraient de ce travail de Titans. M. Boutet adéja formé, du resteune sociétequi fait les frais des travaux préparatoires, des études, etc. L'Angleterre, la France, la Belgique, l'Europe en- tière, intéressées a cette oeuvre gigaulesque, fourni- rontaisément les 150 millions nécessaires. Tout ce que M. Boutet demande, c'est d'obtenir, des gouvernemenls de France et d'Angleterre, la con cession de son pont pour la société qui s'engagera a le construire. L'empereur Napoléon, qui i'a recu et exa- miné ses plans avec soin, lui a donné l'assurance du consenlement de la France. Reste a obtenir celui de l'Angleterre. Espérons qu'elle ne le ferapas attendee. H. K. B'ABTS BHVEBES». La cour d'appel de Gand (2° chnmbre), vient de dé cider qu'en matière electorale Ie füs délégataire n'est point appeléa représenter sa mère veuve, mais qu'il est censé payer lui-inême les contributions qui lui sont déléguées, de sorte que pour lui comrae pour tout autre èlecteur, il impurte peu dans quelle com mune du pays ces contributions ont été acquittées, la loi n'exigeant point qu'ehes le soient dans le lieu de son domicile. La même question s'esl présentée déja devant la cour d'appel de Bruxelles, et el le v a recu la même solution. La cour d'appel de Bruxelles a rendu deux arrets de la plus haute importance en matière electorale. Par ces arrêts elle a décidé que les électeurs dont la capa- cité éleclorale était contesiée seraient entendus, sous la foi du serment. sur faits et articles. Le camp de Beverloo, qui commencera le 15 aoüt, sera formé par 24 bataillons d'infanterie, 4 régimenis de cavalerie et 10 batteries d'artillerie, dont 2 a che- val. L'efFectif des bataillons est de 620 hommes. Les première et deuxième divisions d'infanterie fournissent les effectifs des'bataillons. Nous avons annoncé il y a quelque temps que de fausses pieces de monnaie d'argent étaient dans la circulation, a Anvers. Nous avons eu hier ie regret de constater qu'elles n'ont pas encoreete toutes deiruites. Nous tenons a la disposition de la justice une piece d'un franc a l'effigie de Léopold 11 et au millésime de 1866. Les deux faces sont intactes, mais la pièce est fourrée et il est difficile de s'en apercevoir. (Précurseur.) La peste bovine a éclaté a Fuerslenvvalde et a Lie— wenberg, localitós situées dans l'arrondissement de Konigsberg, en Prusse. Les autorites ont pris itntiié- diatement des mesures de précaution M. Louis Bamberger, deputé du Parlement de l'Al- lemagne du Nord, vient de proposer un impót sur les pianos. II a, d'après des données statistiques cgrtaines, cal- culé que de la Baltique aux Alpes, il se trouve bien 400,000 de ces instruments. En déduisant les 30,000 qui servent de gagne-pain aux musiciens, il en reste encore 370,000 qui, laxés en inovenne a deux écus, fourniraient justemenl le produit de l'impót sur le petrole, naguère rejetó par Ie Par lement. Sir Wentworth Dilke, un des prtneipaux promo- teurs de la première exposition de Londres de 1851 et un des cinq commissaires de celle de 1862, est mort subitement a Saint Petersbourg, oü il elait allé représenter son pays a l'exposition internationale d'horticulture. Son zèle pour la diffusion des lumières et du bien-être parmi les classes ouvrières lui avait valu l'amitié du prince Albert; après l'exposition de 1851, la reine lui offrit la Jarretière, el. le Parlement une trés forte somme d'argent en dédommagement de ses peinesil refusa l'une el l'autre. I.'Ange evterminateur. Rapide est sa marche et puissant est Ie pouvoir de sa main terrible II parcourt les steppes obscurs de la Russie et fait trembler des millions de pers onnes. 11 entre en Syrië et toutes les cités sont décimées par la Peste. 1! visite le vaste continent de l'Amérique, et la, au milieu des grandes forêts séculaires et des ma- jeslueuses rivièresde l'Ouest, l'homrne primitif comme 'e pionnier de la civilisation, git nrosterné et sans espoir, par suite de fièvres de loute sorte. Son souffle pernicieux infesle les Indes Oientales du choléra et les lndes Oocidentales de la fiëvre janne. II apporte la fièvre typhoïde dans l'inlérieur des grandes cités. Sa marche est trés étendue él l'empreinte de ses pas terribles est invisible. II est mêmcjusqu'a l'Austrahe qui reconnalt son pouvoir, sous la forme de diarrhées, dyssenteries et fièvres légères. Mais le ciel aide ceux qui s'aident eux-mêmes et humainemenl parlant, nous sommes provoqués a faire usage de ces moyens de nous préserver de tout danger; ces moyens sont entièrement et ouvertement notre portee. II fa ut tenir l'estomac toujours sain et en bon élat, ainsi que le foie; enfin, et ce n'est pas lemoins important, il faut que nous ayons soin que notre peau soit toujours pure et saine, pour remplir ses importantes fonctions qui constituent, nous l'as- surons, le devoir de chacun, quelle que soit sa posi tion, ou dans quelque climat qu'il habile. Mais comment? La réponse est simple et le remède facile. Les Pilules et l'Onguent Holloway sont univer- sellement reconnus comme une sorte de panacee, non- seulement dans les localitós oü pourront se lire ces quelques observations, mais encore dans le globe en tier. Ce ne sont pas seulement pour les maladies que nous avons énumérées, mais pour chaque affection a laquelle notre frêle constitution est sujette, que les Pilules Huif way, prises suivant les instructions, combinèes avec une application externe de son On- guent, procureront du soufiigernent. En ajoutant notre faible témoignage a la grande et bien méritée reputation d'Holloway, nous ne publierons rien d'exa- géré, mais simplement nous faisons allusion a des faits sur lesquels on ne saurait trop a Hirer 1'attention dos souffrants. On^aent et I*iiti!cs Holloivity. Débilité Nerveuse. Les personnes d'uneconstitu tion faible subissent un tel énervement sous ('in fluence d'un temps variable.qu'assez souvent,les fonc tions ordinaires de la vie deviennent pour elles un travail et une peine, la nécessilé de penser, une souf- france. C'est que le systeme nerveux est derange, et chaquejouren révèle des effets si dóplorables que ce n'est qu'une série de misères réelles ou imaginaires. Pour echapper ade tels tourments, ilsuffitde prendre les Pilules d'Holloway qui purifient, et fortifient une constitution debihtee et ebran'.ée, mieux que toute autre médecine connue. En effet, elles dégagent le corps de toute impuretè, donnenl du ton a l'estomac, du calnte et de la force au cerveau, et de I'activiie aux rognons, a la vessie et aux inlestins. Elles dissipent I'abbattementde I'esprit et la faliguedu corps, et ren- deut a ('intelligence son energie el sa serenite. E'OPEÏSBABiïBE. Etal-civil du 6 au 13 aoüt 1869. N A1SSANOF.S. Sexe masculiii 2. Sexe féininin 6 UÉCÈS. Gryson, Calherine-Thérèse, 71 ans, religieuse hospitalière, célibalaire, rue de l'llopital. Bulleel, Pierre-Jacques, 80 aus, ouvrier, veuf d'Eiigénie-Lëocadie Bouteca, rue de Boe- scliepe. Maltagne, Pierre-'Cilestin, 62 ans, employé des douanes, célibataire, hópital. Enfants au dessous de 7 ans Sexe inasCulin 4. Sexe féininin O E TA T i?idiquanl les quantilés et le prix moyen des grains'jourrages et autfes produits agricoles vendus le 1 4 aoüt 1869, sur le mwche de In ville d' Yfires. iNAIURE yUANTITLS PRIX BOÏEN POiÜS hes mahchandisks vendues. FAR SIOVEN 1)E VENDEES. Kilogrammes 100 kilogram I'tipeiol. Froment. 19 500 55 00 80-00 Seigle 1.700 22 00 75-00 Avoine 200 26 50 44-00 Po is "00 26-00 80-00 Fèves. 5 tt 26-75 80-00 Nous prions M. P. Loppens de se souvenir, avant de quitter la ville d'Ypres, qu'il est débi teur d'une eertaine somme a l'administration dn journal I'Opinion, pour diverses insertions, somme que nous avons fait réclamer chez lui a six reprises différentes, mais inutilement. ORIGIN AL-STAATS-PRAMIEN-LOOSE zu sammtlichen von den verschiedenen Staaten angekundiglen Verloosungen sin I von mir stets vortheilhaft direct zu b Ziehen und Liberal! ge- setz'ich zu spielen erlaubt. kostet ein ganzes Original-Staatsloos (keine An- zahlung, noch weder mil den verboienen Pro messen zu vergleichen, sondern jeder Theilneh- mer bekommt von mir die wirklichen. mil staal- swappen verschenen Original - Loose selbst in Handen), der von holier Staats-Regierung ge- nehmiglen und garantirten grossen deren Gewinnziehung seh m am 20 und 21 Au gust d. J. beginnt, wo jedes gezogene Loos un- bedingt gewinnen muss, und folgende Ilaupt- treffer als ev, 200,000, 190,000, 175,000. 170,000, 165,000, 162,000, 160,000, 158,000, 156,000, 153.000, 152,000, 150,000, 100.000, 50,000, 40,000, 25,000, 2 a 20,005, 3' a 15,000, 3 a 12,000, 11,000, 3 a 10,000, 4 a 8,000, 5 a 6.000, 11 a 5,000,. 4/000, 29 a 3,000, 131 a 2,000, 1,500, 1,200 und Utier 25,000 Gewinne a 1,000, 500, 300, 200, 100, etc., etc., zur Kntscheidung kom men, und bietet überhaupt keine andere Staats- Verloosung solche Grossartige Vortheile, als hier dem Theilnehmer geboten werden. Frankirte Auftrage, werden gegen Einsen- dung des Belrages, selbst nacti den enlferutesten Gegenden, prompt und Verschwiegen ausge- fuhr, und sende nach vollende ter Ztehung die Amtliche Lisle nebsl Gewinngelder prompt zu. MeineInleressentenhabsallein inDeutschland die allergrossten llaupllreffer, erst am 14 v. M. das grosse Loos und scbon wiederum in letzter Ziehung den allergrossten llauptreffer von 100,000 in dieser Gegeild pcrsonlich Ausbe- zahlt und ist es überalt bekannt, dass die ineis- ten tlaupgewinne stets in ineiuem Debit fallen. Man wende sich baldigst direct an Staatseffecien-llandlung in HAMBURG. 50 LIVRAISONS FKANCS OEuvre de luxe, parajssant en 50 livraisons hebdomadaires. a partir du Samedi 5 Juin. Papier et impression de choix, format iti--4°, 8 pages de lexte sur 2 colonnes, dessins et gravures par les meilleurs artistes. L'ouvrage complet formera un magnifique volume ds 400 pages e d'Hébron, auxiliaire de Geneve, a bien voulu en accepter la dedicace. L'ouvrage sedivisera en deux parties S. G. Mgr Meiimillod, èvêque Une solennilé religieuse, qui n'a pas eu sa pareille depuis trois siécles, doit réunir k Rome. le 8 décembre proehaiii, lous les princes de l'Eglisé, et dans ces assises de la reli gion de barnes et importantes questions seront débattues, qui inléressent toute la catholicité. La publication que nous eiftreprenons sera le monument commémoratif de cette solennilé hors ligne et s'adresse k tout Ie monde cathnljque. Nous ne négligerons rien pour en faire un chef-d'reuvre lypographique. L'ouvrage, une fois terminè, se vendra 15 francs, prix de DOUZG FRANCS pour la Belgique, a raison to Rome iliustrée, les préparatifs du Concile, les précédenls Conciles cecuméniques illustrés; 2° Le Concile lui-même. Les Princes de l'Eglisé et les laïques qui y assisteront. La cérémonie d'inauguration, les principales séances. tes orateurs du Concile. Comple-rendu détaillë et complet. Les souscripleurs le recevront franco, au d'une liv raison par setnaine soigueusemont enveloppée. Pour souscrire, adreSser la somme de DOUZE FRANCSen mandat de poste international ou timbres poste, a l'adresse de M. I'Administrateur du Concile cecuménique, 17, rue d'AlgérieLyon.

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L’Opinion (1863-1873) | 1869 | | pagina 3