Comines
L/Obésité
"AU bUD
ABU NEZ-VOUS
jjr SUD, dimanche S septembre 1937.5
4 De Keyzer Margareta
5. Duthoit Denise
6. Cardoen Yvonne
7 Houbart Blanche
g. Cornillie Agnès 7/10
9, Duthoit Louise
|0. Lefebvre Ginette
b) Ire Année
Cardoen Rachel 9/10
2, Buseyne Marie
3. Develter Agnès 8/10
4. Renard Maria
5. Weyne Alice 7/10
g. Willecomme Agnès
7. Marescaux Françoise
c) 2me Année
1. Prouvost Claire 9/10
2. Bonnaire Rachel 8/10
d) Musique (Piano et Solfège)
Mademoiselle Paulette Bossu, obtint
mu diplôme avec grande distinction
(Institut des examens de musique
Gand.
e) Dactylo- et Sténographie.
Mlle Wybaillie Germaine.
f) Coupe et Confection.
1. Mlle Thoré Clara 8/10
2. Mlle Slembrouck Godelieve
3. Mlle Cardoen Rachel
4. Mlle Cornillie Agnès
11
2me ANNEE
Nombre d'élèves inscrits 10.
1. Depuydt Albert 615 p.
2. Vancompernolle Gérard 596 p.
3. Pype Jozef 582 p.
4. Depuydt Noël 531 p.
DANS L'ATTENTE D'UN DEBAT
PARLEMENTAIRE
ECOLE DE TISSAGE
SAINT HILAIRE
Durant l'année scolaire 1936-1937,
les cours ont été suivis par 63 élèves.
Les élèves de l'année préparatoire, des
Ire et 2e années, qui ont obtenu le nom
bre de points requis, reçoivent une men
tion honorable.
Les mentions honorables ne sont pas
des diplômes, mais des preuves de bonne
conduite, d'application et de progrès
dans les études.
L'année scolaire 1937-38 commence
le 13 septembre et finit le 30 juin.
Réouverture de l'Ecole
Le mardi 15 septembre, 7 heures,
chez les Frères Maristes.
Voici les résultats des examens
SECTION PREPARATOIRE
Nombre d'élèves inscrits 28.
1. Pype Omer 405 p.
2. Delbecque Michel 370 p.
3. Vanleene Raymond 368 p.
4. Debrabandere Roger 358 p.
5. Bonté André 346 p.
6. Delvael Georges 345 Yi
7. Vanderbruggen Marcel 342 J/2
8. Leclercq Albert 342 p.
9. Clarisse Edmond 341 p.
10. Breine Roger 340 p.
11. Delvael Roger 336 p.
12. Devos André 312 p.
13. Valcke Roger 307 p.
H- Volckaert Roger 301 p.
15. Demunck Achille 299 p.
18- Delvael Albert 261 p.
17. Decraemer Roger 255 p.
'8. Vandevondele 247 p.
19. Verbeke Albert 244 p.
70. Serruys Gérard 239 p.
21. Lizioen Ernest 234 p.
72. Janssens Louis 229 p.
23. Verack Julien 2zl p.
Ire ANNEE
Nombre d'élèves inscrits 25.
Lecluse Michel 702 p.
2- Dewulf Gérard 681 p.
3- Desmarets Raymond 674 p.
4- Hazebrouck Marcel 654 p.
Vrancken Yvan 631 p.
5- Breine André 619 p.
Decorte André 602 p.
8- Bruggeman Lucien 589 p.
Casier Oscar 571 p.
Six Lucien 550 p.
Mahieu Albert 549 p.
2. Vanwallephem Roger 536 p.
3- Breine August 523 p.
14. Verburgh Camille 517 p.
3- Vandamme Marcel 505 p.
Nous approuvons complètement ce
commentaire de La Libre Belgique
L'affaire de la Banque Nationale va
donc être portée devant le Parlement,
où le Gouvernement pourra se défen
dre dans un large débat contradictoire.
Il est temps, en effet, que cette af
faire soit complètement élucidée, expli
quée, clarifiée dans tous ses coins et
recoins. Il y a dans l'opinion un malaise
profond qui est exploité, comme il est
fatal, non seulement par tous les oppo
sants du Gouvernement, mais encore
par les adversaires du régime, les ex
trémistes et les pêcheurs en eau trou
ble. C'est d'ailleurs la rançon de la li
berté et la loi même du régime parle
mentaire que les fautes des gouvernants,
ou même leurs erreurs de tactique, leurs
silences, leurs réticences, l'obscurité de
certaines de leurs déclarations soient
utilisés contre eux par leurs adversaires
politiques.
Dans un débat parlementaire, ces ad
versaires pourront poser au Gouverne
ment toutes les questions qu'ils juge
ront utiles et réclamer de la lumière sur
tous les points qu'ils trouveront ob
scurs.
Cette procédure est conforme nos
traditions politiques.
Mais on n'en serait pas arrivé-là si,
dès l'origine de l'affaire, c'est-à-dire
dès l'interpellation de M. Sap, le Gou
vernement avait joué cartes sur table et
avait clairement exposé au Parlement le
régime de rémunération du haut person
nel de la Banque et le fonctionnement
de la cagnotte, désormais célèbre, avec
comptes détaillés l'appui. Malheureu
sement il a voulu finasser avec la
vérité, parce que sans doute il craignait
les réflexions désobligeantes qu'on ne
manquerait pas de faire sur le caractère
antistatutaire et déplaisant de ce régime.
La franchise aurait cependant été pré
férable.
Le Gouvernement n'aurait pas donné
l'impression qu'il voulait couvrir les
agissements du haut personnel de la
Banque et qu'on devait lui arracher la
vérité morceau par morceau.
Après cette fameuse interpellation,
cù le Gouvernement laissa accabler un
parlementaire qui faisait tout simple
ment son devoir, il fallut un jugement
accablant pour la Banque Nationale,
il fallut une campagne de presse per
sévérante, pour que le ministre des Fi
nances sortît enfin du silence et annon
çât un rapport complet sur l'affaire. Ce
document fut attendu avec impatience.
Hélas aussitôt qu'il parut, ce fut la
déception générale. Le rapport se per
dait dans des considérations sans fin
pour démontrer que les statuts de la
Banque Nationale, confie toute éviden
ce, avaient été respectés. Mais il lais
sait subsister des points équivoques, ce
qui permettait aux adversaires du Gou
vernement d'ergoter encore. C'est au
point que le Premier ministre se crut
obligé de faire lui-même une déclara
tion, qui apporta au dossier des éléments
nouveaux, sans avoir pour cela le carac
tère définitif et parfaitement convain
cant qu'on souhaitait. Le ministre des
Finances le reconnnut lui-même 48 heu
res plus tard, puisque dans un interview
alambiaué comme l'ordinaire, il an
nonça un supplément d'enquête.
Devant le Parlement, M. de Man
aura faire connaître le résultat de
cette nouvelle enquête. Il aura notam
ment donner enfin les comptes dé
taillés du fonds commun (ou des fonds
communs puisqu'on prétend maintenant
qu'il y en a plusieurs, l'un officiel, l'au
tre officieux). Il aura répondre aussi
aux objections qu'on ne manquera pas
de lui faire quant la régularité et
la légalité de certains agissements en
honneur la Banque Nationale no
tamment le mode de rémunération du
haut personnel Mais nous craignons
bien que sur ce point-là sa position soit
difficilement tenable et l'on peut se de
mander s'il n'aurait pas grand intérêt
donner du lest, en reconnaissant loya
lement que son rapport est en quel
ques endroits beaucoup trop indulgent.
Sinon il risque de mettre le Gouver
nement dans la quasi-impossibilité de
prendre les justes sanctions que l'opi
nion réclame cor et cris et qui doi
vent être l'une des conclusions pratiques
du débat annoncé.
ETAT-CIVIL.
Naissances
André Faillie, 29, rue du Faubourg.
Raoul et Monique Roegiers, I 14,
rue de Ten Brielen.
Publications de mariage
Daniel Platteau, marbrier et Simonne
Pollet, s. pr. André Morel, garçon-
brasseur et Madeleine Galloo, ouvrière
d'usine.
Mariages
Robert Bouchaert et Martha Fau-
varque. Jérôme Cruydt et Marie
Denève.
Décès
Emile Nuytten, section de Ten Brie
len, 76 ans. Thérèse Dendiével, rue
Neuve, 3 mois.
i
CAUSERIE MEDICALE
vue par les médecins
L'obésité comme toute autre maladie, doit
être combattue la source du mal. Celle-ci
réside principalement dans un déséquilibre
du système glandulaire ainsi que l'ont
prouvé les célèbres professeurs français
Cl. Bernard et Guy Lamite. La sédentarité et
l'alimentation n'ont, en effet, qu'une impor
tance secondaire dans le développement de
l'embonpoint.
!1 faut donc régénérer les glandes, leur
procurer l'énergie indispensable pour que
l'équilibre se rétablisse.
C'est en tenant compte des résultats
récents acquis par la science dans le do
maine Obésité que l'Institut d'Hormono-
thérapie de Paris a étudié, préparé et expé
rimenté un médicament hormoniel OBES-
TINASE, qui constitue par excellence le
traitement rationnel et progressif de l'obé
sité. Par les précieuses hormones qu'il con
tient, il rééduque, suractive et régénère les
glandes défaillantes, rend l'organisme son
fonctionnement normal.
Dans un luxueux ouvrage scientifique
N° 0.441, vous trouverez exposé en un lan
gage clair, précis et détaillé le mécanisme
du système glandulaire, son influence pré
pondérante sur l'obésité.
Envoi gratuit et franco par Laboratoire
d'Hormonothérapie, 50, rue des Commer
çants, Bruxelles.
Les BONNES maîtresses de matëo,
emploient des réfrigérateurs LE*
MEILLEURES d'entre elles emploieri
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