Hypothèques
L'art d'acheter
Théorie du
Remplacement.
Notre service
"ETALAGISTES"
Registre du Commerce
jj^ PROFESSION, mercredi 29-6-'38.
et de tes techniciens
(Suite et fin)
ETRE LOGIQUE
Nous avons exposé en cours des
deux dernières éditions du journal La
Profession la théorie du remplace
ment du double point de vue de la
hausse et de la baisse des prix.
Aujourd'hui, il nous incombe de con
clure. Notre conclusion se résumera
conseiller nos amis lecteurs, d'avoir
la-propos nécessaire pour appliquer la
théorie du remplacement en période de
hausse des prix et le courage indispen
sable de l'appliquer également en pé
riode de baisse des prix.
Agir unilatéralement, c'est s'exposer
d'abord soi-imême au piires catastro
phes, mais c'est aussi, et surtout, prê
ter le flanc des critiques, qui risquent
un jour de se traduire par des interven
tions gouvernementales, aussi néfastes
la collectivité que justifiées en droit
par rapport quelques cas isolés.
Il faut savoir Perdre et Gagner
parce que dans le domaine de la théo-
ris du remplacement savoir perdre sert
a gagner.
T. H.
Combien de fois n'arrive-t-il pas que
celui qui a pour la première fois besoin
d'une hypothéqué, achète le journal
Le Soir ou quelqu'autre journal,
parcourt les annonces, et se trouve le
lendemain, si déjà pas le jour même,
en présence d'un intermédiaire plus
avide que compétent
Combien de fois n'arrive-t-il pas
qu'à l'occasion de la première rencontre
fermédiaire a eu soin de se faire
signer un bon de commission, et de
toucher une provision sur une éven
tuelle expertise
Combien de fois n'arrive-t-il pas que
cette expertise est négative et que sans
autre forme de procès, l'intermédiaire
garde par devers lui, la provision re
çue
Pourquoi dès lors s'étonner que cer
tains cabinets d'affaires gagnent plus
d'argent en ne terminant aucune opé
ration, qu'en en faisant beaucoup
Ire constatation..
La seconde constatation porte sur
des intermédiaires plus honnêtes mais
tout aussi peu compétents.
Réalisant peu d'affaires, ils détour
ant la loi en matière de commission
sur hypothèques. Ils se font signer un
Premier bon d'un demi pour cent
Ce qui est légal et un autre de un et
demi pour cent supplémentaire ce qui
est moins.
Muni de ces titres, ils partent dans
inconnu la recherche de la contre-
Partie qu'ils ont prétendu posséder au
centuple.
Us échouent plus souvent qu ils ne
réussissent. Ils ne rendent le dossier,
Propriétaire, qu'après d impérieux
taPpels et bien souvent 1 état incom-
P'et. Entretemps, celui qui est venu
our trouver son hypothèque de
Su'te, attend toujours et finit générale-
raent par la découvrir, lui-même,
^oins qu'il ne soit déjà trop tard, Pour
encore avoir l'occasion d en bénificier.
Ce qui précède, mous amène con-
c'Ufe, qu'en tout, il faut d'abord s a-
Voici ce que nous annoncions, lors
de la précédente parution
C. R. I. se propose de créer très
prochainement un service d'étalagistes.
Ce service est d ores et déjà assuré du
concours de spécialistes avertis. 11 fonc
tionnera sur la base d'un tarif particu
lièrement avantageux. Il disposera d'un
nombreux matériel, de manière pou
voir rép oindre tous besoins.
La création de ce service relève du
souci de doter le moyen et le petit né
goce d'un instrument publicitaire en
matière d'étalages, pour Je moins aussi
efficient que celui dont disposent les
Grands Magasins.
Notre dit service est organiquement
prêt. Il fonctionnera partir du 1 6 juil
let prochain. Deux tarifs seront mis en
vigueur. Un tarif basé sur une redevan
ce fixe, susceptible de diminution par
souscription d'abonnement. Un autre
tarif, exclusivement basé sur le résultat
obtenu, en ce sens, que si celui-ci est
déficient ou égal celui réalisé dans
votre entreprise, par vous-même, un
an de date et en période saisonnière
identique, notre collaboration aura été
gratuite. Par contre, au cas où le ré
sultat est supérieur, la différence favo
rable est frappée d'un très minime pour
centage, correspondant en fait, ceux
que l'on a coutume d'allouer en affai
res, aux invalides, familles nombreuses
et autres organismes, les sociétés Bons
d'achats et Bons le Progrès, etc.
Comme l'application de ce deuxième
tarif amène une certaine inquisition
dans vos affaires, nous avons eu soin
dresser un spécialiste et surtout s in
quiéter de ne point avoir faire un
intermédiaire plus avide que compé
tent.
Qu'il importe ensuite, de ne point
admettre de décaisser avant service
rendu, qu'il sied, enfin, de recourir des
organismes dignes de considération, et
aptes vous rendre dans le minimum
de temps, le service désiré, votre en
tière satisfaction.
Généralement, sur le vu d un dos
sier, ces organismes se prononcent en
principe.
Pour autant que vos affirmations
d'estimation et de prétention se justi
fient dans les faits, vous êtes presque de
prime abord fixés sur vos possibilités.
Pour être complet, dans ce tour
d'horizon, il nous semble indispensable
d'ajouter que le client se doit d être
sincère dans son propre intérêt. A
quoi sert-il, en effet, de venir deman
der une hypothèque de 100.000 Fr.
sur une maison ayant coûté un million
mais ne valant plus aujourd'hui que
100.000 francs
Omettre de dire ceci, et ne déclarer
que le million, c'est s assurer par avan
ce un accord de principe, mais aussi
devoir s'en contenter.
C. R. I. a un service hypothécaire.
Tout naturellement nous le recomman
dons mais ceci ne veut point dire qu il
n'y a pas aussi dans Le Soir et les
autres journaux quelques excellents an
nonceurs en matière d hypothèques.
Au demeurant, il suffit de nous con
sulter pour les connaître. La consulta
tion est gratuite et se donne le Mer
credi de 17 h. 1 7 h. 1/2-
En agissant de la sorte C. R. I. prou
ve sa correction et son désir de laisser
tous ceux qui le méritent libre cours
dans le champ de leur activité et de
leur compétence réelle.
Tony Helsen.
d'y annexer un tarif forfaitaire.
Dans la pratique, nous sommes d'o
res et déjà convaincus que le Tarif
sur résultat sera le plus demandé,
dès l'instant que le secret de vos affai
res puisse vous être assuré, contre ga
rantie absolue et indiscutable.
En la matière, nous croyons tenir la
solution dans une confidence faite et
par écrit, sous enveloppe fermée mais
devant nécessairement être ouverte, en
lieux sûrs. Nous restons dans cet ordre
d'idées disposés donner une délé
gation un huissier, si telle est chose
possible. Nous poursuivons notre en
quête dans cette voie, et serions heu
reux de recevoir toute suggestion utile
sur ce point capital de notre initiative.
Celle-ci ne peut entraîner qu'un
meilleur rendement puisque l'organi
sation créée met la disposition du
moyen et du petit commerce, une arme
presque égale celle dont font tant usa
ge les Grands Magasins pour drainer
vers leurs rayons, la masse des consom
mateurs.
Notre offensive va droit au but. En
core faut-il que les intérêts de tous
y compris celui de garder pour soi-
même le secret de ses affaires soient
respectés dans une égale mesure.
La difficulté est sérieuse, mais non
invincible. Qu'on nous laisse huit jours,
pour en découvrir la Bonne solu
tion
Quelle que soit celle-ci, une seule per
sonne doit être informée c'est nous-
mêmes. Même le service Etalagistes
ignorera le résultat obtenu propre
chaque intervention. Il ne connaîtra que
le résultat global du mois. Et cela c'est
indispensable puisque sa rémunération
est directement en fonction de cet in
dex.
Au demeurant, il faut croire que cela
<ui suffit puisqu'il nous fait confiance.
Il est vrai que nous ne nous som
mes point contentés d'éléments de deu
xième zone, mais de ceux qui ont fait
leur preuve, jusque et y compris les
Grands Magasins eux-mêmes.
Les grands magasins engagent ces
Compétences prix d'or mais pour
une période très limitée.
A ce compte, il y a beaucoup de...
citrons au panier.
Ceci explique cela et par surcroît no
tre initiative.
Nous ne sommes pas systémati
quement contre les Grands Magasins;
mais nous prétendons que les Classes
Moyennes commerçantes, organisées,
les valent et même les surpassent en
efficience commerciale.
Ce qui est mieux encore que de le
prétendre, c'est de le prouver.
Les Grands Magasins sont capables
de se défendre. Nous sommes prêt a
attaquer... et capable aussi de vaincre
Tony Helsen.
L'achat et la vente sont, dans une
entreprise exclusivement commerciale,
les deux opérations directement pro
ductrices des profits ou des pertes.
Bien acheter est presque plus néces
saire encore que de bien vendre, en
ce sens que bien vendre n'est sou
vent qu'une conséquence directe du
bien acheter.
Pour bien acheteT, il ne suffit point
d'ètra un connaisseur dans sa pro
fession il faut aussi savoir organiser
l'achat.
Organiser l'achat, c'est disposer
d'une certaine dose d'imagination créa
trice et avoir une faculté d'adaptation
rapide aux fonctions organiques et aux
nécessités du moment de son entre
prise.
C'est surtout non point acheter sot-
même, mais se faire l'interprète des
tendances de la clientèle en proportion
avec ses moyens propres espèces ou
marchandises.
C'est aussi escompter les prévisions,
non suivant ses souhaits, mais confor
mément aux résultats de vente anté
rieurement enregistrées, dans des con
ditions identiques ou similaires.
C'est encore être indépendant de
tout fournisseur, se documenter chez
tous, concentrer ses achats, les ordon
ner suivant un rythme éprouvé, n'avoir
de préférence pour personne mais sa
voir choisir comme il convient, et dé
cider, quand il le faut et comme il sied
que l'on décide, c'est-à-dire pour sa
tisfaire une clientèle dans le prix et par
la qualité.
C'est tout cela et bien autre chose
encore. Nous reviendrons souvent en
core sur la question. H.
Tenu trop administrativement, le re
gistre du commerce présente du point
de vue commercial une grave lacune.
En voici la preuve, illustrée par un fait
que nous avons personnellement vécu.
Ayant adopté comme Raison sociale,
la dénomination C.R.I. provenant
de C.R.I., c'est-à-dire chaque fois ln
première letre des trois expressions sui
vantes
Consultations gratuites
Réalisations efficaces
Indications précises
nous nous sommes adressés aux fins
de recherche d'antériorités la firme
J. Gevers et C° d'Anvers, laquelle as
sure avec une compétence qui ne se
discute pas, notre service Dépôts et
Recherches de Brevets d'Inventions et
LE SERVICE D'ENQUETE ET D'ENTR'AIDE DE C. R. I.
Veuillez détacher et nous retourner ce bulletin
Les indications et suggestions que nous recevons de nos abonnés détermi
neront et orienteront éventuellement nos efforts. C'est pourquoi, votre réponse
même négative, nous est précieuse. Il est bien précisé qu'il ne s'agit que de
renseignements demandés titre simplement constructif, sans aucun engage
ment de part et d'autre.
Envisagez-vous de participer un voyage organisé
Entre quelles dates extrêmes Pour combien de personnes
En Belgique quelle région A l'étranger quel pays
Quelle dépense totale, ne voudrez-vous pas dépasser par personne Fr.
Désirez-vous visiter les environs de Bruxelles
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