Les Chefs-d OEuvre contemporains. 1 Paul el Virgioie Le Secret de Gertrude La Vie ruslique Le Maitre de Forges Serge Panine Le Fits de Coralie Adresser les souscriptions sous pli affranchi, a rAdminislration du journal. AU LES CONTES D'UN BUVEUR DE BIÈBE BULLETIN DE SOUSCRI PTION. Je soussigné declare souscrire aux conditions ci-dessus énoncées aux ouvrages suivants (1) du prix total de (2). que je m'engage payer a raison de 8 francs par mois, jusqu'a complet payement. Indiquer la prime choisie par les souscripteurs de la série entière. Fait a le189 Nom et prénoms Profession ou qualitè Domicile Province Frière d'écrire lisiblement le nom et la profession. (1) Désigner par leur titre, les ouvrages souscrits. (2) Ecrire en toules lettres le prix. Feuilleton du journalLaLutte-De Strijd JEAN CHALON. A Liége, en Avril 1866. Dans la rue de la Cathédrale, un gamin et un prêtre, tons les deux en surplis blancs, et têtes nues, passaient vite, le premier sonnant, le second portant sur sa poitrine entre ses deux mains réunies une bourse de soie rouge la plupart des hommes se découvraient, les femmes s'arrêtaient, es- quissaient des signes de croix. Deux jeunes gens sur le trottoir marchaienf en causantle plus grand seul öta son cbapeau, par une es- pèce de mouvement machinal, oü la réflexion n'avait aucune part. Je ne te savais pas devenu si dévöt mon cher Jacques, dit celui qui n'avait pas salué est-ce a cause de ton prochain mariage que tu rends tes respeclueux hommages a ce... Eh non. Claude, je ne suis pas devenu dévöt, et tu n'es qu'un mauvais plaisant. Mes convictions n'ont pas changecomme toi, je ne reconnais aucune religion positive, ni dog- me, ni revelation. Tu le sais bien Je salue une simple poli 1 esse, non pas au curé qui ne me regarde pas, ni a ce qu'il porte, mais a ceux que je coudoie, ui qui seraieot froissés si j'avais l'air de mépriser leur bon Dien. Mon ami, reprit le premier, avec dans la voix une nuance de gravité triste, l'homme doit agir comme il parle et parler comme il pense, sans gauchir. El j'appelle bonté par euphé- misme, pour ne pas dire faiblesse, ou pis en core, le sentiment que tu colores du nom de politesse. Alcesie, si lu veux du moins je suis franc avec un vrai, un vieux, un bon camarade. Je t'ennuie Parions de sujets plus gais. A quand ton mariage Leur conversation continua, trés animée. Jacques Delmas, qui avait salué le prêlre, venait de sortir, a vingl-quatre ans premier' de l'école des minesdepuis buit jours, une importante société industrielle, les Hauts Fourneaux et Laminoirs de B. sur Sambre, l'avait nommé directeur de Sexploitation, avec dix mille francs d'appointements el une part dansles bénefices; et il allait épouser une jeune fille qu'il adorait. Jacques trés jeune encore avait perdu son père, et sa mère était motte quelqnes mois avant qu'il passat ses derniers examens. Sa mère... qui l'avait élevé et soigné pendant ses années de jeunesse, ne le quittant pas un seul jour, il l'avait idolatrée, et ce lui était un persistant regret de n'avoir pu l'associer au triomphe du diplome conquis, aux joies du mariage projeté, des petils enfants attendus. Hélène Goffln, sa fiancée, appartenait a une familie comme sont en nos villes de Belgique nonanle families sur cent la mère catholique pratiquante, va a la messe du dirtiancbe, com munie a Paques etauxgrandes fêtes du calen- drier romain, observe le maigre du vendredi le père, indifférent, ne met jamais les pieds dans une église, ne critique point ceux qui y vont baplisé d'ailleurs, avant fait sa première communion, marié a l'église, it compte bien, en secret, sur un enterrement religieux les enfants sont élevés sans contestation dans le catholicisme maternei jusqu'a ce que les gar- Qons s'en affrancbissent. mais les Goffin n'avaient qu'une fille unique. Maintenant Jacques marchait le long du quai de la Batte, et joyeusement il parlait de ses projets avec son ami. Le docteur Claude Ber- tin avail passé les années de collége sur le même banc que Delmas, puis devenu tous les deux élèves üniversitaires, ils avaient continué a se voir presque chaque jour, malgré la diversité des occupations et les multiples plaisirs que Liége offre a ses jeunes pension- nai res. Je suppose, disait Claude et Jacques, que tu ne vas pas te marier l'église, toi, libre penseur Comment veux-tu que j'évite l'église, si je ne m'explique pas avec les parents PrécisémentII faut te declarer, franc et simple, a monsieur et a madame Godin. Ecoute, repartil Jacques le père serait vite converti a mes idéés; Hélène aussi, du moins il faut l'espérerelle est encore si jeune! et j'ai un peu d'induence sur elle. Mais la mère... jamais elle ne voudra, je le sais bien, et voila mon mariage rompu. Ob! retardé tout au plus. Devant les sollicitations de sa fille... Non, te dis-je. Je ia connais. Ce n'est peut-ètre pas pour elle une question de croyan- ce, mais a coup sur de mode, de routine, de qu'en dira-t-on, de comme il faut Alors, demanda Claude, tu te tairas et tu subiras la bénédiction du curé? Oui. Cela n'engage a rien. Ceci est ton opinion je pense le con traire. Si tu as plus tard de cette concession quelque repentir, ne me reproche rien et n'ac- cuse que toi. Devient-on musuiman, répliqua Jacques, paree qu'on a chaussé des babouches avant de visiter une mosquée? Le mariage religieux représente les babouches. Non A la mosquée, c'est une conven tion, et ni l'iman, ni les fidèles ne s'y laissent prendre. Si tu te prosternes devant son autel, le curé ne plaisantera pas et n'admettra pas que tu plaisantestes amis le sauront et te croiront sérieux dans la foule qui te verra passer, chacun pensera voila un catholique. Tu ne peux dire a personne, pas même a moi, que tu joues la comédie car, je te le répète, cette comédie est peu digne. Ta fiancée au moins sait-elle que tu n'apparliens pas a sa religion Elle s'en doute certainement, répondit l'ingénieur. Veut-elle s'en assurer Qu'elie s'informe, qu'elie m'interroge. Mais jusqu'a présent, je ne lui ai rien expliqué de ce point qui pourrait devenir iitigieux. Enfin, je veux me marier, et sans passer par l'église, je ne me marierais pas. Tons ceux que je connais, aussi peu catboliques que nous, ont accepté cette cérémonie. Les libres penseurs, qui tous les jours dans leurs écrits et dans leurs dis cours altaquent la boutique romaine... II y aura un lendematn a ton mariage catholique. Prophéte de malheur Et ils se séparèrent. Claude mécontent de Jacques et Jacques mécontent de lui-même. Delmas accepta done le mariage religieux sans y rien objecter. C'était, pensait-ii, une simple déférence pour ses beaux-parents, une formalité un peu plus désagréable et beaucoup moins importante que les autres, voila tout. II comptait bien dans la suite ramener douce- ment sa femme aux idéés qu'il professait lui- même. Insitser maintenant, ou seulement en parler, c'eüt été se montrer peu épris et dis- courtois. 11 n'était pas indifférent, non certes il voulait lutter.L plus tard, et donner a ses enfants il les espérait nombreux une education conforme a ses idéés. Huit jours aprés, le jeune ingénieur, vêtu du vilain frac noir, et mademoiselle Gofiin, en robe de mousseline blanche trés simple, ex quise, furent unis solennellement a l'hótel de ville par l'échevin qui représentait la loi et la société. Dès lors, Hélène portait le nom de son niari, les enfants qui naitraient d'elle s'appel- leraient Delmas il lui avait promis aide et protection elle, obéissance et fidélité. Et eependant on ne la lui donna pas encore et il fallut seséparer. Jacques fit en voiture le trajet jusqu'a l'église avec madame Gofiin, et en lui-même il se demandait pourquoi man- quait a ses cötés Hélène... II accompagna sa belle-mère jusque prés de l'auteltraversa la foule rangée sur deux rangs, et cette curiosité béte l'agatja sa femme marchant sans lui ne semblait pas le connaitre. Sa femme Delmas s'agenouilla auprès d'Hélèneil n'entendit rien de ce que racontait le curé, répondit oui a tout ce qu'on lui demanda, s'inclina sous les bénédictions et les signes de croix, ennuyé. De suite la familie et la société consentirent a lui abandonner la jeune femme avec elle il sortit de l'église, elle lui donnait le bras droit il était done son maitre..., avec elle, il monta dans la voiture qui, rapide, les emporta. Mais alors le mariage civil était considéré comme une vulgaire exigence administrative, et la cérémonie religieuse comme Ia seule valable Mais alors Jacques avait paru mépri ser les lois de son pays et ne tenir compte que des regies ecclésiastiques et romaines En vérité, Delmas avait vécu cette matinee comme en un rêve, sans aucunement réfléchir. Dès qu'il se trouva tête tête avec Hélène, il lui serra doucement les mains, la regardant et ne trouvant rien a lui dire. Elle, loute rougis- santesous la couronne de fleurs d'oranger, lui semblait bien plus jolie qu'il ne l'avait jamais vueil songeait a ce repas trop long qui les attendait, a l'ivresse de monter seuls tous les deux dans le compartiment du train rapide qui devait les emporter tantötles détails de la double cérémonie qu'il venait de traverser ne le préoccupaient en aucune fatjon, et il ne remarqua même pas que son vieil ami Claude, son premier témoin, avait dans le regard un reproche muet, quand il vint lui serrer la main avant de s'asseotr a table. Ypres, imp. Lambin-Mathée, rue au Beurre, 20 Nous approchons de I'époque oü il va falloir songer aux cadeaux de Ia Saint Nicolas et aux étrennes de Noèl et du Nouvel anTout Je monde a éprouvé les ennuis du choixd'un cadeau pour ces cïrconslances. Nous croyons être agréabJes a nos lecteurs en les tirant d'embarras par l'offi e de primes, présenlant des avantages eonsidérables a tons égards. Nous pen- sons qu'un joii livre illuslré est toujours un cadeau bien accueilli par lesjeunes geus et les jeunes filles. Les enfants soul ricbement fêtés de noire temps el il est biern difficile de les gratitier d'un bijou. Le livre est un beau souvenir qu'ils conserveront et qui fera naitre en eux de bonne heure ie désir d'une bibliothèque ricbement composée. Nous avons songé aussi aux plus pelits qui prefèrent encore lesjeux a Ia lecture, et nous nous sommes assuré des jouets nou- veaux et trés altrayanis. Les chefs-d'ceuvre ne vieillissent pas, et cependanl le goüt du changement néccssitait qu'on leur donnat un nouvel attrait. Ce désidératum est largemenl rempli par les admi- rables gravures dont on les a ïllustrés. M. Maurice Le/oir a su avec sou talent incomparable interpreter le talent de Bernard in de Saint-Pierre. qui a déja fail les délices dé Cant de generations, en lui donnant nne nouvelle consecration arlistique par le charme de ses compositions et la vie qu'il a su don net' aux person nayes de cette touchante histoire. Cette edition de grand luxe comprend 132 illustra tions de Leloir dont 12 hors texte gravées a l'eau-forte par Boulard et 120 dessins dans le texte gravés sur bois par Huyot, Be/lenger et Rousseau, texte exprimé par Chamerot sur papier vélin du Marais. Eaux- fortes de Ch. Witmann. relit! satin bleu fers spéciaux prix 45 francs, pour nos lecteurs 30 francs. par Ch. Deulin, sont un des meilleurs ouvrages qui aient paru dans ce genre depttis de nombreuses an- nées, ils peuveut être offerts sans erainte a la jettnes- se. Nous ne pouvons ntieux faire que de reproduirc ci-dessous le passage d'une lettre que Sainte-Beuve écrivaitaCh. Deulin, lors de la publication de ces contes charmants. J'aurais dit, vous remercier depuis longtemps, Mon sieur, pour 1'intéressant volume de contes flamands, intéressant en effet, par le fond, par le tour, par le bon sens vivant et le dramefamilier qui s'y joue a chaque page. Vous avezparfaitement fait de niettre du vötre dans ces légendes et récits populaires U moins qu'on ne veuille recueülir de simples raeines pour la science pure et pour l'histoire des origines. c'est ainsi qu'il convient de faire, afin de courir de main en main et d'être lu. Ces ébauches primitives ne peuvent que gagner a un coup de pouce habile donué par un ami et par un pays. Sainte-Beuve. M. P. Kauffmaiin, a qui a étó confiée 'illustration de eet ouvrage, a su traiter avec un r. marquable humour et une tranche gaielé, les scènes de ces con tes flamands. (tel ouvrage comprend 113 compositions de P. Kauf- mann, dont 10 en têtes, 10 hors texte, 10 culs-de- lampe. gravés sur bois par Quesnel et Willemsens, et 73 dessins reproduits par le procédé Ch. CU lot. Les Contes d'un Buveur de bière ferment un magnifi- que volume in-s» jesus. relié pleine toile 'a biseaux, avec plaque spéciale en plusieurs tons, téte dorée, non rogné, prix 25 francs, pour nos lecteurs 75 francs. d'Ant/ré Theuriet est une histoire simple et touchante, oeuvre sa ine. morale, instructivedont les poripélies out ten té Ie crayon du célèbre peiutre Emile A dan. L'illustration a eie roncue ct peiote sur les lieux mêmes, car l'arlistc et fauieur ont voulu donner a cetie publication un caractère de venté et de couleur locale qui lui sied a merveille. lis ont parcouru en semble les vallées de l'Aigonne jusqu'a Bar-le-Duc, M. A. Theuriei signalanl a Emile Adan les siles et Jes pei sonnagt-s au milieu desquels se cléioule ce roniaii vrai, ü'un charme exquis, pouvanl être lu el parcouru par tout ie monde. II comprend 60 vignettes dans le textegravées sur bois par Huyot, el 15 gravures hors textegravées d l'eau-forte par Boulard. Ce beau volume i 11-80 jésus, relié richementgenre amateurdos et coins crocodileflats toile, plaque spé cialetéte doréetranche ébarbée, prix 35 francs, peur nos lecteurs 20 francs dumêmeauieur est également une belle étude, oü l'auteur nous fail assister dans des recils intimes aux occupations multiples de la ferme, des semailles, tie Ia fenaisonde la moisson ei des vendanges il nous con duit dans la forêt au milieu des sabotiers el des char- bonniers. Dans d'autres pages 11011 moins intéressaiites et quidénolent une profonde observation, une élude minulieuse des moeurs champètres, A. Theuriet nous fait, dans un .^tyle élégani ei souple, la description de VFcole, il nous raconte la Fëte au Village tout est passé t n revue, les Fiangailles, la Vieillcsse) la Mort eic... Ajouions que eet ouvrage peut être mis entre loutes les mains et que M. Léon Lhermitle, le grand peintre des moissons, a bien voulu prêler le concours de son puissant talent pour faire revivre, dans une importante série de compositions, les mceurs et les Iravaux de la vie ruslique. M. Ehermilte a retracé toules les scènes grandioses. familières et poétiques de la vie des champs. Le sera un régal pour les déli- cats de posséder ces admirables compositions qui en- cadrent le texte d'André- Theuriet et l'interprèient si puissamment. M Léon Lhermitte a illustré eet ouvrvge de 118 com positions et dessinsgravés sur bois, par Clément Bel len ger L'ouvrage relié pleine toile d biseauxavec plaque spéciale tirée en or, téte dorée, tranche ébarbée, prix 25 francs, pour nos lecteurs 15 francs. Enfin nous ofFroirs trois célèbres romans modernes Le Mailre de Forges et Serge Panine, de Georges Ohnet, et Le fiIs de Coralie, d'Albert Delpit. Nous avons .l i bonne fortunejde présenter a nos lecteurs, a un prix exceptionml de bon marche, ces trois ceuvres 1 cccnies éuiinciument populaires, dont les editions en volumes ordi 11aires et la publication en revues ou feuilleions ont obtenu un succès colossal. L'edilion degrand luxe que nous presentonsaujour- d'hui oblieiidra eert nneuienl, en raison de sou prix trés avanlag' ux, le même succès. Tirée a irè> petit nombre, rile sera rapidement épuisee, aussi invitons-nous les amateurs a se hater de nous adresser leurs demandes. pak G. 011NET 530 pages. 10 eaux-fwles, dessinées et gravées par P. AVRIL. par G. OflNf.T. Couronné par I'Académie Frangaise. 520 pages. 10 eaux-fortes, dessinées et gravées par LALA USE. par Albert DEI.PIT. 500 pages. Eaux-fortes dessinées et gravées par LOS R/0S. Chaque ouvrage forme un magnifiqtte volume in-8" (24X l(i). impt'imé sur beau papier vélin par Chame röt. Eaux-fortes de ChWittmanCouverture replire tirée en deux couleurs. Prix d'un volume 20 fr., pour nos lecteurs fr. 8-50 Prix des 5 volumes 60 fr.fr. 25. Pour donner loute facilile a nos lecteurs, nous leur laissons la latitude de faire un cboix, a leur conve- n nee, de un ou plusieurs volumes dans la série. Nos primes, d'une valeur rcelle d'au moins 20 fr.' seront offertes gratuitement aux souscripteurs qui preudrout la serie compléte des sept volumes, l/s pourront choisir entre nne de- primes -uivantes I" Une magnifique bofte de peinture en émail sur objets d'argilc. tels que vases, assieties, plats, etc., ei renfermant loutes les couleurs rit tubes, pineeaux, sicca! ifs. vernis, bronzes, etc line instruction est joinle. donnant toules les indications nécessaires pour Its applications de la peinture. Ce procédé ne nécessite pas de counaissances spéciales. il est. a la portee de tons (Juelques vases-modèles sont fournis avec la boiteaitisi quo des dessins. 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Les souscripteurs cl'un ou plusieurs volumes ne bé- néficieront pas de la prime gratuite, mais ils auron1 les avantages de la reduction et du créditchaque ver" sement s'effectuera it raison de 8 francs par mois, san le Ifr qui comprendra en plus la fraction excédaule. SIGNATURE PAR LA SUITE AU PROCHAIN NUMÉRO.

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De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1894 | | pagina 4